Papa, maman, ma femme et moi

Papa, maman, ma femme et moi est un film français réalisé par Jean-Paul Le Chanois et sorti en 1956.

Papa, maman, ma femme et moi

Réalisation Jean-Paul Le Chanois
Scénario Pierre Véry
Marcel Aymé
Jean-Paul Le Chanois
Acteurs principaux
Sociétés de production Lambor Films
Champs-Élysées Production
Cocinor
Pays de production France
Genre Comédie
Durée 105 minutes
Sortie 1956

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Ce film est la suite de Papa, maman, la bonne et moi, déjà réalisé par le même metteur en scène en 1954.

Résumé

Au retour de leur voyage de noces, Robert et Catherine habitent avec les parents de Robert : Gabrielle et Fernand. L'euphorie du début fait bientôt place à une atmosphère tendue, aggravée par l'arrivée des premiers jumeaux, l'exiguïté des lieux et les dures réalités de la vie quotidienne. Pourtant la grande affection qui lie les membres de la famille leur permet de faire face à d'autres problèmes : arrivée d'autres jumeaux, mise à la retraite de Fernand qui se fait escroquer par un agent immobilier, difficulté de se faire une clientèle pour Robert, jeune avocat…

Fiche technique

Distribution

Autour du film

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (juillet 2022). 
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
  • Le titre du film a inspiré la version française de titres de plusieurs films américains, comme Mes doubles, ma femme et moi et Mon beau-père, mes parents et moi.
  • Dans ce second film, il semblerait que les scénaristes aient été encombrés par la présence de la nièce de Catherine puisqu'ils l'ont fait disparaître de l'histoire.
  • Qualifié de "ringard", ou de "cinéma de papa", par les réalisateurs de la nouvelle vague, surtout par Jean-Luc Godard, ce film est aussi, souvent cité par les critiques de cinéma, pour faire des comparaisons, avec ce qui se réalisera après 1960.
  • Robert a installé un ingénieux système pour bercer ses jumeaux cachés par un paravent dans son cabinet d'avocat. Il actionne le pédalier d’une machine à coudre Elias Howe. Au dessus le support de la machine à coudre supporte dorénavant une machine à écrire. Les machines à coudre Elias Howe (1846)[1] étaient antérieures aux machines Singer (1851).

Voir aussi

Liens externes

Références

  • Portail du cinéma français
  • Portail des années 1950
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.