Payroux

Payroux est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Payroux (homonymie).

Payroux

L'église Notre-Dame.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Sylvie Coquilleau
2020-2026
Code postal 86350
Code commune 86189
Démographie
Gentilé Payrousiens
Population
municipale
475 hab. (2019 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 58″ nord, 0° 29′ 09″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 167 m
Superficie 30,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Payroux
Géolocalisation sur la carte : France
Payroux
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Payroux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Payroux

    Géographie

    Localisation

    La commune de Payroux s'étend sur 3 005 hectares et est située à 50 km au sud de Poitiers, à une vingtaine de kilomètres de Civray et à 4 km de Saint-Martin-l'Ars ; en pays civraisien, caractérisé par un paysage de collines.

    Le centre bourg est sur une hauteur dominant la vallée du Payroux juste avant sa confluence avec le Clain.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 854 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le-Vigeant », sur la commune du Vigeant, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 776,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Payroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), prairies (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), forêts (3,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    L’orthographe du nom du village a été modifiée : de Péroux (que porte la famille de Ferré de Péroux) en Payroux lors de la révolution française.

    Histoire

    Époque gallo-romaine

    Payroux est dans le territoire des Pictons.

    Époque moderne

    Au début du XVIIe siècle, Georges de Moussy, écuyer, est le seigneur de Payroux. En 1665, c'est Jean de Ferré, écuyer, qui tient la seigneurie.

    Époque contemporaine

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune[20]., du au , laissant le chef-lieu en zone occupée avec la majeure partie du territoire de la commune.

    Politique et administration

    liste des maires

    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 mars 2008 Serge Coquilleau UMP  
    mars 2008 mars 2014 Allain Giraud    
    mars 2014 En cours Sylvie Coquilleau    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2019, la commune comptait 475 habitants[Note 7], en diminution de 4,81 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    671573643707820844828882872
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    893885895852900856931932939
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    905915919855846850807737734
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    655552526551528501524516502
    2015 2019 - - - - - - -
    490475-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 17 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Santé

    La commune abrite une maison de retraite (EHPAD résidence les Cèdres de 60 lits et 40 salariés), un centre de post-cure (soins et réadaptation pour malades alcooliques de 70 lits) à La Gandillonnerie.

    Économie

    Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[26], il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 28 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 24 % et sont passées de 2 468 hectares en 2000 à 2 993 hectares en 2010[26]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[27].

    40 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 23 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 27 % pour le fourrage et 6 % restent en herbes. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[26].

    12 exploitations en 2010 (contre 16 en 2000) abritent un élevage de bovins (1872 têtes en 2010 contre 1 206 en 2000)[26]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[28].

    7 exploitations en 2010 (contre 11 en 2000) abritent un élevage d'ovins (1 896 têtes en 2010 contre 2 210 têtes en 2000)[26]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[28]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[29].

    5 exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) se répartissent le cheptel des caprins (1 185 têtes en 2010 contre 1 630 têtes en 2000)[26]. C’est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[28]. Toutefois, cette baisse du nombre de têtes est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou- Charente, cet élevage au cours des deux dernières décennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution des structures de production caprine a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite et encouragé l’adaptation structurelle des élevages restant[30]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44 %[29]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des 485 000 hectolitres récoltés dans l’ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n’élèvent que des chèvres. Le dynamisme de cet élevage, l’accent porté sur la qualité des produits a permis d’obtenir les AOC « chabichou du Poitou » et « Sainte Maure de Touraine » pour les fromages produits[30].

    L'élevage de volailles est limité à une autoconsommation: 20 têtes en 2000 répartis sur trois fermes contre 67 têtes en 2010 répartis sur cinq fermes[26].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame (XIIe siècle). Édifice datant de la période romane à chevet plat, percé d'un triplet comme les églises du proche Limousin, est inscrite comme monument historique depuis 1950[31]. L'intérêt de cette petite église réside surtout dans sa façade, encadrée aux angles par de puissants contreforts. On remarque, de chaque côté de la porte aux trois voussures très simples, la trace d'anciennes arcatures aveugles, a priori également très simples, qui ont été murées de façon un peu anarchique par des blocs de tailles diverses et même, à droite, par de petites pierres irrégulières. Le portail est surmonté d'une étroite baie qui coupe la corniche soutenue par quelques modillons naïfs. À l'intérieur, on peut voir un chapiteau montrant un accouplement, illustration évidente de la luxure.

    Patrimoine civil

    • Château de Payroux (XIXe siècle). Propriété de la famille de Ferré de Payroux.
    • Château de La Touche (XIVe siècle). Le lieu est cité dans les archives du chapitre de l'abbaye de Saint-Hilaire vers 1370. Propriété de la famille de Ferré de Péroux.
    • La Fougeraie (XVIe siècle-XIXe siècle). Ancienne propriété des familles de Lambertye, de Vivonne et Bermondet de Cromières.
    • La Gandillonnerie (XVIIIe siècle-XIXe siècle). Ancienne propriété de la famille Delhomme[32],[33]. La maison possédait une chapelle particulière. Une des terres en faisant partie portait avant la Révolution le nom curieux de "La Tour au Turc"[34]. Depuis 1999, les lieux abritent un centre de soins de suite et de réadaptation.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le-Vigeant - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Payroux et Le Vigeant », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le-Vigeant - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Payroux et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Jean-Henri Calmon et Jean-Clément Martin (dir.), Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », (ISBN 2-910919-98-6), p. 63, carte p. 5
    21. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    27. Agreste – Enquête Structure 2007
    28. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    29. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
    30. Agreste – Bulletin n°11 de Décembre 2005
    31. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    32. Antoine I Delhomme (Payroux, 1755-idem, 1817) allié à Marie-Rose Lesire Labrousse (Payroux, 1776-1818).
    33. Armorial des familles du Poitou.
    34. Voir carte de Cassini, feuilles de Charroux.
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