Prix Pittard de l'Andelyn
Le prix Pittard de l'Andelyn est un prix littéraire suisse créé en 1990 à Genève.
Le prix est décerné « soit à un auteur genevois pour l’un de ses ouvrages publiés récemment, soit à un écrivain genevois reconnu, pour l’ensemble de son œuvre[1]» par la fondation Pittard de l’Andelyn, créée par Jules Émile Pittard, dit Charles de l’Andelyn, professeur au Collège de Genève et écrivain genevois. Il distingue de « jeunes écrivains genevois, et a pour but de favoriser le développement des lettres à Genève par des publications et des concours littéraires[1]».
Lauréats
- 1990 : Yvette Z'Graggen
- 1991 : Jean-Claude Fontanet
- 1992 : Armen Godel, pour Mes algues d’Osaka
- 1993 : Serge Laplace alias Benoît Damon pour La Farine
- 1994 : Amélie Plume
- 1995 : Catherine Safonoff pour Comme avant Galilée
- 1996 : Olivier Beetschen
- 1997 : Guy Poitry
- 1998 : Jean-Marc Lovay
- 1999 :
- Daniel de Roulet pour Double
- Marie Gaulis pour Ligne imaginaire
- 2001 : Yves Laplace pour L'Inséminateur
- 2002 : Liliane Roskopf
- 2003 : Jean-Pierre Keller
- 2004 :
- Alfred Berchtold pour Guillaume Tell, résistant et citoyen du monde
- Patrice Duret (Prix de la Découverte) pour Le Chevreuil
- 2005 : Jacques Probst
- 2006 : Luc Weibel pour l'ensemble de son oeuvre
- 2007 : Jean-François Duval pour L'année où j'ai appris l'anglais
- 2008 : Bessa Myftiu, pour Confession des lieux disparus
- 2010 : Sandrine Fabbri, pour La Béance, éditions d'en bas
- 2011 : Jean-Jacques Busino, pour Cancer du Capricorne
- 2012 :
- Laurent Cennamo, pour Les Rideaux rouges, Samizdat
- Sylviane Dupuis pour Poème de la méthode, Empreintes
- 2013 : Carole Allamand, pour La plume de l’ours, Stock, 2013
- 2014 : Philippe Rahmy, pour Béton armé, La Table Ronde, 2013
- 2015 : Anne-Claire Decorvet, pour L’Instant limite, Bernard Campiche éditeur, 2014
- 2016 : Douna Loup, pour L'Oragé, Mercure de France, 2015
- 2017 : Claude Tabarini, pour Rue des Gares et autres lieux rêvés, Héros-Limite, 2016
- 2018 :
- Laurence Boissier, pour Rentrée des classes, art&fiction, 2017
- Chawqî Baghdâdî, pour On te demande comment va Damas (Prix spécial de traduction littéraire Pittard de l'Andelyn)[2]
- 2019 : Matthieu Mégevand, pour La Bonne vie[3]
- 2020 :
- Alexandre Friederich, pour TM[4]
- Annette Hug, pour Révolution aux confins, Roman traduit de l'allemand par Camille Luscher (Prix spécial de traduction littéraire Pittard de l'Andelyn)[5]
- 2021 : Joseph Incardona, pour La soustraction des possibles[6]
Notes et références
- « Fondation Pittard de l’Andelyn », sur fondationpittard.ch (consulté le )
- « Chawqî Baghdâdî 2018 » (consulté le )
- « Matthieu Mégevand 2019 », sur RTS (consulté le )
- « Alexandre Friederich 2020 », sur fondationpittard.ch (consulté le )
- « Annette Hug 2020 », sur fondationpittard.ch (consulté le )
- « Joseph Incardona 2021 », sur fondationpittard.ch (consulté le )
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