Renaissances (film)
Renaissances ou Im/mortel au Québec[1] (Self/less) est un film américain de science-fiction réalisé par Tarsem Singh, sorti en 2015.
Pour les articles homonymes, voir Renaissance (homonymie).
Titre québécois | Im/mortel |
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Titre original | Self/less |
Réalisation | Tarsem Singh |
Scénario |
David Pastor Àlex Pastor |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Endgame Entertainment Ram Bergman Productions |
Pays de production | États-Unis |
Genre | science-fiction |
Durée | 116 minutes |
Sortie | 2015 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Damian Hale (Ben Kingsley), un vieil architecte milliardaire, va bientôt mourir d'un cancer. Une organisation secrète menée par le professeur Albright lui propose la « mue », le transfert de sa conscience dans le corps d'un jeune homme en bonne santé. Cette organisation lui propose également des services pour sa nouvelle vie et sa nouvelle identité. L'opération réussit et sous le nom d'Edward Kidner (Ryan Reynolds), il passe plusieurs mois à fêter son nouveau corps à La Nouvelle-Orléans. Cependant, un jour où il oublie de prendre son médicament quotidien, Damian est en proie à d'étranges visions qui paraissent bien trop réelles. Il va alors découvrir la terrible vérité et rentrer en contact avec la famille de Mark Bitwell, l'ancien possesseur de son nouveau corps. C'est la relation qu'il avait avec sa fille Claire, investie dans une ONG, lorsqu'il était encore Damian Hale, et sa relation avec la famille de Mark qui vont lui donner l'occasion de faire un choix.
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
- Titre original : Self/less
- Titre français : Renaissances
- Titre québécois : Im/mortel[2]
- Réalisation : Tarsem Singh
- Scénario : David Pastor et Àlex Pastor
- Direction artistique : Tom Foden
- Décors : Tim Beach
- Costumes : Shay Cunliffe
- Montage : Robert Duffy
- Musique : Dudu Aram et Antonio Pinto
- Photographie : Brendan Galvin
- Production : Ram Bergman, Peter Schlessel et James D. Stern
- Sociétés de production : Endgame Entertainment et Ram Bergman Productions
- Sociétés de distribution : Focus Features (États-Unis), SND (France)
- Budget : 26 000 000 $
- Pays d’origine : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Format : couleur - 35 mm - 2,35:1 - son Dolby Digital
- Genre : science-fiction
- Durée : 116 minutes
- Critique : Rotten Tomatoes 20% ; IMDB 6.5/10
- Dates de sortie[3] :
- Classification : déconseillé aux moins de 12 ans
Distribution
- Ryan Reynolds (VF : Pierre Tessier ; VQ : François Godin) : Damian Hale, jeune (Edward Kidner) / Mark Bitwell
- Ben Kingsley (VF : Féodor Atkine ; VQ : Jacques Lavallée) : Damian Hale, âgé
- Natalie Martinez (VF : Kahina Carina ; VQ : Laurence Dauphinais) : Madeline « Maddie » Bitwell
- Matthew Goode (VF : Jean-Christophe Dollé) : le Dr Jensen, jeune / Albright
- Victor Garber (VF : Guy Chapellier) : Martin O'Neill
- Derek Luke (VF : Jean-Baptiste Anoumon) : Anton
- Melora Hardin : Judy
- Michelle Dockery (VF : Candice Lartigue) : Claire Hale
- Sam Page (VF : Damien Ferrette) : Carl Baldwin
- Jaynee-Lynne Kinchen : Anna Bitwell
- Brendan McCarthy : Anton n°2
- Thomas Francis Murphy : le Dr Jensen, agé
- Sandra Ellis Lafferty (VF : Monique Nevers) : Phyllis Jensen
- Emily Tremaine : Mallory
- Teri Wyble : Andrea
- Mariana Paola Vicente (VQ : Geneviève Bastien) : Leah
- Gary Weeks (VF : Loïc Guingand) : le chauffeur, agent de la « Mue »
Analyse prospective[7]
Indépendamment des nombreux rebondissements propres à un film hollywoodien, le film Renaissances pose clairement la question de la digitalisation de la conscience humaine : si, un jour, on s'essaye à « numériser » un esprit humain, est-on sûr que l'échantillonnage appliqué aux données analogiques qui, entre autre, composent la mémoire sera suffisamment fin pour ne pas trop perdre d'informations dans l'opération ? De plus, comment « décompiler » la psychologie de l'individu biologique en voie de numérisation pour donner au futur clone numérique le logiciel adéquat pour utiliser les données numériser de la même manière que le ferait l'individu de son vivant. Et, cette opération effectuée, apaisera-t-elle le passage de la vie biologique à la vie numérique, ce qu'on appelle, encore pour un certain temps, la mort ?
Commentaires
Le postulat de départ est très proche du film L'Opération diabolique, réalisé par John Frankenheimer, sorti en 1966.
Notes et références
- « Self/less », sur www.rcq.gouv.qc.ca (consulté le )
- « Self/less - Régie du cinéma », sur www.rcq.qc.ca (consulté le )
- (en) Release Info sur l’Internet Movie Database
- « Fiche du doublage français du film », sur RS Doublage, (consulté le ).
- « Fiche du doublage français du film » sur AlloDoublage.
- « Fiche du doublage québécois du film », consulté le 11 octobre 2016
- « Ce que le film "Renaissances" aurait à nous dire sur demain », sur Le HuffPost, (consulté le )
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- (en) AllMovie
- (en) Internet Movie Database
- (en) LUMIERE
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- Ressource relative à plusieurs disciplines :
- (en) Metacritic
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