Ricardo Iorio
Ricardo Iorio, né le à Ciudadela, Tres de Febrero, Buenos Aires[1], est un musicien et producteur argentin. Il est connu pour être le fondateur des groupes V8, Hermética et Almafuerte, et comme étant l'une des personnalités les plus importantes de la scène heavy metal d'Argentine[2],[3],[4],[5].
Pour les articles homonymes, voir Iorio.
Surnom | Caudillo, Perro cristiano |
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Nom de naissance | Ricardo Horacio Iorio |
Naissance |
Ciudadela, Tres de Febrero, Buenos Aires, Argentine |
Activité principale | Musicien, producteur |
Genre musical | Heavy metal, tango, milonga |
Instruments | Voix, basse, guitare |
Années actives | Depuis 1979 |
Biographie
Il est né à l'hôpital Ramón Carrillo de Ciudadela et a grandi à Caseros. Au cours de son adolescence, il aidait son père sur le marché dans la vente de pommes de terre, pour laquelle il gagne le surnom de « Papero »[6]. Il épouse Ana Mourín en 1987, avec qui il devient père de deux filles, et de laquelle il se sépare en 1999. Mourín se suicidera en 2001. Depuis 2000, il vit avec Fernanda García (Fernandita), avec qui il s'est marié en .
Idéologie
Ricardo Iorio se considère nationaliste[7] bien qu'il n'adhère à aucun parti politique[8]. Après avoir été insulté de « facho », Iorio déclare : « Pour ceux qui nous traitent de fachos, est-il interdit d'aimer son patrie[7] ? » Ses déclarations concernant les détenus/disparus lors de la dernière dictature argentine, qu'il considérait comme « très peu indemnisés »[9] sont fustigées par les organismes de défense des droits de l'Homme et de différentes personnalités[10]. En , Iorio revient sur ses paroles du morceau La Revancha de América d'Hermética afin que la communauté mapuche ne puisse pas l'utiliser en sa faveur[11]. Il se déclare anti-Kirchner et anti-maçons[12].
Discographie
Albums studio
Avec Almafuerte
Littérature
Notes et références
- (es) Biografía de Ricardo Iorio. CMTV.
- (es) « Iorio: "Hay gente que es perseguidora de vaginas" » (consulté le ) : « El cantante y líder de “Almafuerte”, Ricardo Iorio, visitó el programa radial que conduce Mario Pergolini, “Cuál es?”, y cedió una entrevista de más de una hora. En la misma, el emblema del heavy metal nacional habló sobre diversos temas [...]. »
- (es) Guzzante, Mariana, « Ricardo Iorio: “Uno no es un músico por las minitas” » (consulté le ) : « El exponente del heavy metal argentino asegura: “Yo soy mi estado, mi patrón y mi íntimo dios”. »
- (es) Del Greco, Alexis, « Iorio llevó lo mejor del heavy nacional a Goya » (consulté le ) : « El emblema de la música pesada argentina entregó un repertorio lleno de clásicos. »
- (es) El último paso antes de convertirse en mito del Heavy Metal nacional.
- (es) Biografía de Ricardo Iorio. Matanza Metal.
- (es) « Ricardo Iorio le respondió a quienes lo acusan de ser un fascista », sur minutouno.com, (consulté le )
- (es) « Ricardo Iorio: “El motivo de la censura no fue la foto con Biondini” - Somos Rock », sur Somos Rock, (consulté le ).
- (es) radiomitre.cienradios.com
- (es) nuevodiarioweb.com.ar
- (es) minutouno.com
- (es) infobae.com
- (es) Mourin, Ana, V8, un sentimiento. Historia de la banda precursora del Heavy Metal Argentino, Buenos Aires, Argentina, (ISBN 950-43-5315-0).
- (es) Ariel Osvaldo Torres, Iorio, el perro cristiano, Argentine, (ISBN 9789870536963), p. 288.
Liens externes
- Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- (en) AllMusic
- (en) Encyclopaedia Metallum
- (en) MusicBrainz
- (en) Rate Your Music
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Biografía de Iorio en el sitio de su banda Almafuerte
- Entrevista original en la revista La Maga
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