Robert Carrier

Biographie

Il est élu pour la première fois en juin 2004 avec plus de 5 000 votes d'avance sur la députée sortante. Ce mandat est écourté par la chute du gouvernement libéral minoritaire. Un second mandat lui est accordé en janvier 2006 avec près de 8 300 votes d'avance sur son plus proche rival. À l'élection d'octobre 2008, il voit sa majorité rapidement fondre à un peu plus de 5 000 votes sur le candidat du Parti libéral. Il a été porte-parole adjoint du Bloc québécois aux Finances, porte-parole aux Revenus, ainsi que porte-parole au transport. Lors de l'élection du 2 mai 2011 il est défait par la candidate du Nouveau Parti démocratique, Rosane Doré Lefebvre qui l'emporte par une avance de près de 10 600 voix.

Il a travaillé dans sa circonscription à la revitalisation du Vieux pénitencier de St-Vincent-de-Paul et, en vain, au développement du train dans l'Est de la Ville de Laval puisque le tracé qu'il proposait n'a pas été retenu [1]

Après avoir envisagé de prendre la tête du Mouvement lavallois[2], il a plutôt opté pour une carrière provinciale. Il se présente lors des élections générales québécoises de 2012 dans la circonscription de Mille-Îles pour le Parti québécois [3]. Il termine deuxième derrière la libérale Francine Charbonneau.

Notes et références

  1. Hugo Morissette, « Robert Carrier rêve encore au train de l'est de Laval », Courrier Laval, (lire en ligne, consulté le ).
  2. Stéphane St-Amour, « Robert Carrier au ML: ce sera comme chef ou rien », Courrier Laval, (lire en ligne, consulté le ).
  3. Stéphane St-Amour, « Robert Carrier aurait le chemin libre », Courrier Laval, (lire en ligne, consulté le ).
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