Saint-Cirq (Tarn-et-Garonne)
Saint-Cirq est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Cirq.
Saint-Cirq | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Quercy caussadais | ||||
Maire Mandat |
Guy Rouzies 2020-2026 |
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Code postal | 82300 | ||||
Code commune | 82159 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Ciriens | ||||
Population municipale |
557 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 08′ 49″ nord, 1° 36′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 108 m Max. 215 m |
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Superficie | 15,96 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montauban (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Quercy-Rouergue | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Rieumet, le ruisseau du Traversié et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Cirq est une commune rurale qui compte 557 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Saint-Ciriens ou Saint-Ciriennes.
Géographie
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le ruisseau de Rieumet, le ruisseau du Traversié, Riou Caut, le ruisseau de Rolland, le ruisseau des Glacières, le ruisseau des Martines, le ruisseau du Doumarc et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[3],[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montricoux », sur la commune de Montricoux, mise en service en 1999[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 740,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 25 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[14] à 14 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[16] : le « causse du Frau et falaises rive droite de l'Aveyron entre Montricoux et Saint-Antonin-Noble-val » (6 135 ha), couvrant 7 communes dont une dans le Tarn et six dans le Tarn-et-Garonne[17].
Urbanisme
Typologie
Saint-Cirq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), prairies (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), forêts (12,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la commune provient de saint Cyr, en latin, Sanctus Cyricus, honoré dans l'église paroissiale qui porte son nom, dont une des formes occitanes est Sant/Sent Circ, à côté de Sant/Sent Cirgue, Ciergue o Cierge.
Les informations contenues dans la partie historique indiquent que le village se serait appelé Saint-Cirguet, ce que confirment cinq attestations occitanes ou latines fournies par Paul Burgan et André Lafon pour la période située entre le XIIIe et le XVIIe, une autre, de 1383, étant Saint Cirguel, avec un autre diminutif. La présence d'un diminutif formé sur Saint-Cirq (ou Cirgue) ne peut être expliquée sans preuves : on peut avoir par exemple un nom donné en référence à un autre village appelé Saint-Cirq ou Saint-Cirgue, ou le diminutif peut servir à distinguer le village d'un autre portant le même nom, mais le fait que le saint éponyme ait été martyrisé enfant attire aussi l'attention (Saint Cirguet pouvant signifier : le petit enfant qu'était saint Cirq). Saint Cirq ou plus fréquemment et plus normalement Circ, sans diminutif, semble néanmoins exclusif à l'écrit au XIIe siècle, selon huit attestations occitanes fournies par les mêmes auteurs.
Histoire
Monographie de la commune de Saint-Cirq.
D'après les recherches sur documents d’archives à Montauban ; d'après les plus anciens habitants de la commune, Édouard Malby, décédé ; d’après l’abbé Charles Hélias décédé en 1993, curé de la paroisse de Saint-Cirq ; d’après M. Neveu à Caussade, conservateur d’archives, décédé ; d’après le frère Michel, très intéressé pour les recherches.
En 1610, il n’y avait pas de pont à Montricoux. On coupa la forêt du Brétou pour vendre le bois et le pont fut construit. Sous la domination des templiers de Vaour, l’église Saint-Benoît fut construite pour soigner les enfants malades à la source du même nom.
La route actuelle qui traverse le village (RD 75 est /ouest) a plus de quatre siècles, elle relia déjà Caussade, Monteils, Villefranche-de-Rouergue. Anecdote : cette route très fréquenté aux XVe et XVIe siècles des armées de pillards l’utilisaient pour attaque en plaines les fermes pour se nourrir. Les attaques avaient toujours lieu à la pointe du jour, la paroisse a payé un lourd tribut à ces vandales.
La vallée de l’Aveyron de Montricoux à Najac, était fortifiée contre les pillards, mais aussi les guerres. La paroisse de Saint-Cirguet eu beaucoup de mal à se développer à cette époque. On peut penser aussi que la paroisse au XVIIe siècle était plus importante en surface ; le Brétou, Clavel, Doumerc, dépendaient de Saint-Cirguet. Ceci est attesté par les anciens.
Monographie, avant 1789
Au XVIe siècle, les guerres de religion ensanglantent le France. Catholiques et protestants, se font la guerre. Avant cette époque, au XIIe siècle, le village s’appelait CIR (les attestations données par Burgan et Lafon dans la Toponymie du Tarn-et-Garonne ne confirment pas cette forme d'apparence française, mais qui correspond à la prononciation occitane actuelle : -c final de Circ devenu muet). Pourquoi ? Un peu plus tard, sous l’influence de la religion, ou peut être sous l’influence de la royauté mets fin à une époque païenne. St CIRGUET succède à CIR, l’occitan est dominant, le patois qui se perd de nos jours. Pendant les guerres de religion ou de suite après, on nous trouva un autre nom pour la paroisse bien sur, pour tomber d’accord avec les habitants, on créera la nouvelle appellation de St CIRQ, qui n’est plus occitan mais français. On supprima le UET et on modifia le G par un Q, ce qui donnera définitivement ST CIRQ et pour longtemps maintenant.
L’ancienne église du XIIe siècle, était construite sur l’emplacement du cimetière actuel. Des vestiges de ses fondations existent toujours dans la partie la plus ancienne du cimetière. Sous l’influence de famille de la paroisse, après les guerres de religion, il fut décidé de reconstruire une nouvelle église, d’abord à l’endroit de la maison d’Edouard Malby, au cœur du village, mais elle devait coûter trop cher, et c’est finalement les fondations du fort Dumas qui furent détruites par les guerres de religion que fut construite la nouvelle église. A l’unanimité, la population avait décide de rester catholique.
(On se souviendra des familles PORTAL à la maison d’Oliva BESSIERES, BADEL à Bezios, LACASSAGNE à Panatié, de COMBETTES à Conté, de Martin, de BOUYSSI au Pibouls, COUSTILLIERES à la Bourbonne, COURTES, LABORIE, GABENS à Combettes, CARBONNEL à la Croix Blanche, LARROQUE, SOULOMIAC au village… etc.).
Sous l’influence de l’évêque de Cahors, il fut décidé de ne réaliser qu’une chapelle sans clocher à l’endroit où elle se trouve de nos jours.
Monographie, après 1800
En 1850, la commune comptait 650 habitants, en 1950… 264 habitants, et en 2008 443 habitants et plus de 500 en 2012.
C’est 100 ans après la Révolution française de 1789 que se créera la commune de Saint-Cirq avec ses limites actuelles en 1890. Le dernier prêtre de la paroisse, Charles Hélias est décédé en 1993. Il n’y a plus de nos jours de prêtre à temps complet à la paroisse. L’ancien presbytère a été modifié pour recevoir deux appartements à titre locatif.
Je n’ai trouvé aucun documents écrit à la maire de Saint-Cirq, tout ce qui est relaté ici provient des anciens ou des archives de Montauban, Caussade et Cahors qui fut jusqu’au XVIIIe siècle notre rattachement religieux.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].
En 2019, la commune comptait 557 habitants[Note 8], en augmentation de 6,3 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Historique de la commune de nos chemins ruraux, voir communaux. Chemin rural N°1 : PESSAMEN – FILHOL. Chemin rural N°1 : TOULLESE – CABANEL. Chemin rural : de Septfond à Penne. Chemin rural de Septfond à Montricoux. Chemin rural de Clavel à Monticoux via Bourdes.
Ces trois derniers chemins ruraux par leur structure au support calcaire du causse seront déterminants pour l’histoire de la commune. La voie communale N° 10, et l’élargissement considérable des chemins sur le secteur de Guillau confirment l’existence de drailles, au nombre de quatre, et de ses igues au nombre de quatre aussi, dites de Frouille, igue de Juniat, igue de Serrou et de l’Arnac indispensables pour la vie des hommes et des animaux. Le siège de Saint-Antonin-Noble-Val et le séjour du roi Louis XIII au lieu-dit Les Granges durant six mois utiliseront tous ces chemins pour le soutien des armées du roi.
Plus près de nous, la création du département par Napoléon Bonaparte en 1808, les armées de l’empereur utiliseront encore le chemin rural de Bioule à Saint-Antonin, via le chemin de la Charlotte en direction de Villefranche-de-Rouergue. À cette époque les routes départementales 75, 76, 95 et 964 n'existaient pas.
Draille : lieu où les bêtes pouvaient pacager mais aussi largeur d’un chemin de dix mètres ou plus, qui servait au croisement des armées, au repos des hommes et des animaux (chevaux…) et leurs entretiens, boire et manger.
Héraldique
Blason | D'azur au puits surmonté, à dextre, d'un bouquet de trois épis de blé tigés et feuillé et, à senestre, de deux feuilles de chêne posées en chevron renversé, le tout d'argent; au chef cousu de gueules chargé, à dextre, d'un lion léopardé contourné d'or et, à senestre, d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Cirq » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Cirq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Montricoux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Cirq et Montricoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Montricoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Cirq et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Cirq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « causse du Frau et falaises rive droite de l'Aveyron entre Montricoux et Saint-Antonin-Noble-val » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Laurent Benayoun, « Le candidat du sénateur Bonhomme battu à la communauté de communes », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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