Saint-Denis-de-Méré

Saint-Denis-de-Méré est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 788 habitants[Note 1].

Saint-Denis-de-Méré

L'église Saint Denis.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau
Maire
Mandat
Manuel Machado
2020-2026
Code postal 14110
Code commune 14572
Démographie
Gentilé Mérois
Population
municipale
788 hab. (2019 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 15″ nord, 0° 30′ 54″ ouest
Altitude Min. 57 m
Max. 208 m
Superficie 11,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Condé-en-Normandie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Condé-sur-Noireau
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Saint-Denis-de-Méré
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Saint-Denis-de-Méré
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Saint-Denis-de-Méré
Liens
Site web saint-denis-de-mere.sitego.fr

    Géographie

    Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Vire[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 827 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Athis-de-L'orne », sur la commune d'Athis-Val de Rouvre, mise en service en 1968[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 944,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Denis-de-Méré est une commune rurale[Note 7],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Condé-en-Normandie, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,8 %), prairies (36,3 %), forêts (10,9 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesie sanctorum Dionisii et Martini de Mere en 1709[22], Saint Denis de Mere[23] et Saint Martin des Champs (hameau de la commune de Saint-Denis-de-Méré)[24] vers 1757[23].

    Mentions anciennes de Méré : peut-être Ricardus de Mere abbé du Mont-Saint-Michel entre 1123 et 1128[25], Meray vers 1350[26], ecclesia Merayo en 1494[26].

    Sens du toponyme Méré : mot formé vraisemblablement avec le suffixe gallo-romain -acum, précédé du nom de personne gaulois et latin Matrius[27]. En l'absence de mentions mérovingiennes ou carolingiennes de la localité, ceci reste conjecturale et oblige à rester prudent sur l'interprétation[réf. nécessaire]

    Le gentilé est Mérois[28].

    Histoire

    Mérovingiens

    Le site de l'église Saint-Martin remonte à l'époque Mérovingienne, comme l'illustre les sarcophages du VIIe siècle découverts en 1978 dans le cimetière qui l'entoure[29]. Dans plusieurs titres, la paroisse de Saint-Martin est regardée comme très ancienne[30]. Elle porte le nom de Saint-Martin-des-Champs, ou du Vieux Bourg[30]. À proximité, le puits de Saint‑Martin est, dans le passé, réputé souverain pour la guérison des fièvres.

    Le toponyme Méré qui est associé à la seconde paroisse sous le patronage de saint Denis, Saint-Denys-de-Méré[30] serait aussi très ancien. Il est possible qu'il se rattache au mot gallo-romain Matriacum, qui pourrait se traduire par "Domaine de la Mère". Ce qui peut être compatible avec l'hypothèse d'une source sacrée gallo-romaine, proche de l'église (70 m), qui donne naissance à un petit ru affluent du Noireau[31]. La titulature à saint Denis, célébré le , suggère la christianisation ancienne du site, entre le VIe siècle et IXe siècle.

    Les Capétiens

    Après les invasions normandes, un lieu fortifié a du être nécessaire aux populations, il se développa sous le contrôle des seigneurs de Méré. La paroisse Saint-Denis s'est développée sous leur dépendance[30]. Cet édifice se nommait la château de Mérie en 1883[32]. L'hypothèse a été émise par certain[33] que la chapelle castrale serait à l'origine de l'église paroissiale Saint-Denis. La paroisse de Saint-Martin reléguée, car sans défense, conserva le vieux cimetière, en granit et schiste commun aux habitants des deux paroisses. Elle dépendait du prieuré de Beaulieu, fondé en 1200, proche de Rouen[30]. Le lent déclin de la paroisse commence. Elle ne figure plus dans les Pouillés du XIVe siècle et XVe siècle[26]. Elle deviendra de facto simple succursale de celle de Saint-Denis, et ne sera plus qu'une chapelle par la suite. Situation qui sera officialisée en 1709 par la réunion des deux paroisses.

    Les seigneurs de Méré

    Vers 1300, la seigneurie de Méré appartenait à la famille Radulph[34], dont les armes D'azur à la fasce d'or, accompagné de trois molettes de huit pointes du même[34], ont été adoptées par la commune (cf. Héraldique, ci-dessous) : Jean de Radulph, écuyer seigneur de Cailly, Arnoull de Radulph fils du précédent, Thomas Radulph, fils du précédent, qui eut Arthur Radulph, seigneur de Cailly, Louis Radulph patron de Méré[22].

    Leur descendance se poursuivit en ligne directe à Jacques Radulph, Edmond Radulph, fils du précédent, avocat du roi à Vire en 1568 et 1602; François Radulph, seigneur et patron de Méré, qui accomplit les fonctions de lieutenant-criminel à Vire; Edmond II Radulph, seigneur de Méré et de Placy; Claude Radulph, seigneur de Méré et de Placy, qui épousa sa cousine germaine Marie de Radulph fille de Robert Radulph, seigneur de Blou, i présenta en 1709 à la cure de Méré. Son fils Edmond III Radulph était seigneur de Méré vers 1775[22].

    En 1709, La paroisse de Saint-Denis de Méré et celle de Saint-Martin sont réunies[30].

    En 1766, la population était de 197 feux (env. 800 hab.). Méré dépendait du diocèse de Bayeux, du Parlement de Rouen, intendance de Caen, élection de Vire, sergenterie de Condé[30].

    Le , le feu se déclare à Saint-Denis-de-Méré, faisant suite à de nombreux départs de feux la même année dans la région. Dix-sept bâtiments ont été consumés par les flammes[35].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la fasce d'or, accompagné de trois molettes de huit pointes du même (Famille de Radulph[34]).
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 2001 Michel Vasnier    
    mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Boisne SE Directeur technique
    mars 2008 juillet 2020 Jean-Pierre Binet[36] SE Agent EDF
    juillet 2020[37] En cours Manuel Machado SE Superviseur pré-retraité

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2019, la commune comptait 788 habitants[Note 9], en diminution de 5,4 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9938281 0009609601 2001 1541 1241 137
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1701 1171 1231 1741 049979926817747
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    691665668578583600575658589
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    656759820925835798835828835
    2015 2019 - - - - - - -
    841788-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Deux ponts enjambent la rivière le Noireau au lieu-dit les Bordeaux, un pont routier et un viaduc ferroviaire. Le pont routier est formé d’un des éléments des voies flottantes (ponton Whale) du port d’Arromanches, créé en 1944 lors du débarquement de Normandie. Cet élément reliait les quais du port temporaire et a été posé en 1945, avant d’être rénové en 2003.
    • Chapelle Saint-Martin-des-Champs proche de la D 256.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Vallées. (Pont-Érambourg)

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Athis-de-L'orne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Denis-de-Méré et Athis-Val de Rouvre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Athis-de-L'orne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Denis-de-Méré et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. CAUMONT (Arcisse de) Statistique monumentale du Calvados (1850), t. 2, p. 616-617.
    23. IGN, Plan de Cassini.
    24. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 261.
    25. GAZEAU (Véronique) Normannia monastica: Prosopographie des abbés bénédictins (Xe – XIIe siècle) (2007), p. 214-215.
    26. LONGNON (Aug.) Pouillés de la province de Rouen (1903), p. 106D, 134A.
    27. NÈGRE (Ernest) Toponymie générale de la France: Étymologie de 35000 noms de lieux, pages 1859 et 1861.
    28. « Saint-Denis-de-Méré. Aux vœux, le maire dénonce « des incivilités intolérables » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    29. Gallia: fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine (1986), t. 31-40, p. 278.
    30. EXPILLY (Jean-Joseph d') Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules (1766), t. 4, p. 673.
    31. AUDIN (P.) Les Mères gauloises et les eaux, Cæsarodunum XV bis, éd. Belles-Lettres, Paris, 1980, p. 497.
    32. HIPPEAU (Célestin) Dictionnaire topographique du département du Calvados (1883), p.
    33. Cahiers Leopold Delisle, (1989), t. 38-41, p. 27.
    34. AUBERT de la CHESNAYE-DESBOIS ( Fr. - Alex.) Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & ... (1776), t. 11, p. 666-667.
    35. LANGE (Grégoire J.) Éphémérides normandes, ou, Recueil chronologique, historique (1833), t. 1, p. 143.
    36. Réélection 2014 : « La Pommeraye (14690) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    37. « Saint-Denis-de-Méré. Manuel Machado est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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