Saint-Gonlay

Saint-Gonlay est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne. Saint-Gonlay compte 341 habitants, elle est d'une superficie de 926 hectares.

Saint-Gonlay

L'église
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Montfort Communauté
Maire
Mandat
Loïc Boisgerault
2020-2026
Code postal 35750
Code commune 35277
Démographie
Gentilé Gonlaisien
Population
municipale
377 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Population
agglomération
21 956 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 50″ nord, 2° 03′ 53″ ouest
Altitude 74 m
Min. 38 m
Max. 95 m
Superficie 9,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montfort-sur-Meu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Gonlay
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Saint-Gonlay
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Saint-Gonlay
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Gonlay
Liens
Site web www.saint-gonlay.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans l'ouest du département d'Ille-et-Vilaine. Elle fait partie du canton de Montfort-sur-Meu, elle est membre de l'intercommunalité de Montfort Communauté et dépend de l'arrondissement de Rennes.

    Communes limitrophes de Saint-Gonlay
    Saint-Maugan Iffendic
    Bléruais
    Saint-Malon-sur-Mel
    Carte de la commune de Saint-Gonlay.

    Géologie et relief

    Les points culminants sont le Châtel (91 mètres) et le Lorinou (83 mètres).

    Hydrographie

    Le Meu est le principal cours d’eau de la commune.

    La ville est bordée au nord par le Meu et son affluent le ruisseau de Comper, à l'est par le ruisseau du Boutavent puis au sud par la forêt de Paimpont (assimilée à Brocéliande).

    Ruisseaux :

    • le Comper
    • le Hélouin
    • le Boutavent
    • la Planchette

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 751 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 761,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gonlay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57 %), terres arables (27,5 %), prairies (11,2 %), forêts (4,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont : Sancto Gonleio (1265), Saint Gouley (1325), Sancto Gonlay (XVIe siècle), Saint Goulay (1709)[21].

    Le nom de la commune traduit en breton est Sant-Gonlei[21]. En gallo, le nom s’écrit Saent-Gólei[22].

    La prononciation locale est « Saint Gonlâ »[réf. souhaitée].

    Lieux-dits et écarts

    • La Ville Men
    • Le Vilou
    • La Ville Menu
    • La Gicquelais
    • La Ville es Dahiers
    • Le Châtel
    • La Ville Bouesnou
    • Le Hil du Mou
    • La Ville es Chevalier
    • La Ville es Longresme
    • La Ville Allard
    • La Ville es Rouault
    • Le Pont Jean
    • Le Genetay
    • Le Gué Martin
    • La Ville Even
    • La Ville l'Outre
    • La Ville Guérin
    • Le Champ des œufs
    • Les His
    • Les Rochettes
    • Le Bas Plessis
    • La Noué
    • La Changée
    • La Jossais
    • La Ville es Chevaliers
    • La Fontaine
    • Le Vau Roulet
    • La Lammerais
    • La Coutancière
    • Trécien
    • Fretonnay
    • Le Vaurichard
    • Le Tertre
    • La Levrette
    • La Rousselais
    • Le Val
    • Le Patis des Grippiaux
    • la Touchette

    Histoire

    Saint-Gonlay résulte de la division de l'ancienne paroisse d'Iffendic.

    Sa naissance est probablement due à la fondation d'une église au XIIIe, par deux prêtres de Montfort-sur-Meu.

    Un prieuré va également être édifié[Quand ?] et il dépendra de l'abbaye Saint-Jacques de Montfort.

    Économie

    Tourisme

    La gestion du tourisme de Saint-Gonlay est confiée par Montfort Communauté à l'office de tourisme du pays de Montfort.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Louis Ruellan    
    1895 1912 Poignand    
    1912 1939 Chevalier    
    1939 1983 Louis Fortin[23]    
    1983 2014 Bernard Collet    
    2014 25 mai 2020 Jean Bouvet[24]   Retraité
    25 mai 2020 En cours Loïc Boisgerault[25]   Technicien qualité
    8e vice-président de Montfort Communauté (2020 → )[26]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 377 habitants[Note 7], en augmentation de 9,28 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    640671614851664648649622669
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    621659634589605608603605624
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    589566572479488495469430453
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    376329304296280274313325349
    2014 2019 - - - - - - -
    341377-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Monuments

    La commune ne compte aucun monument historique protégé mais possède un important patrimoine bâti avec de nombreux édifices inventoriés[31],[32].

    • Église Saint-Guillaume[33],[34], entourée de son cimetière[35],[36], elle est datée des XVIe et XVIIe siècles. Elle était dédiée semble-t-il à Saint Gundlée, roi de Glamorgan. On peut remarquer sur le mur de la façade extérieure deux figures se faisant face : un confesseur et un confessé.
    • La maison noble du Vilou[37],[38] date du XVIIIe. Elle était considérée à l'époque comme étant une maison de notable. En effet, à cette époque, un sous-préfet de Montfort-sur-Meu y habitait.
    • Le château de la Châsse date du XVIIe siècle. Il fut détruit en 1595 durant les Guerres de la Ligue, puis reconstruit.
    • Le manoir de la Changée[39],[40].
    Maison-école de Saint-Gonlay
    • La maison d'école[41] est l'ancienne école publique de Saint-Gonlay. Autrefois, c'était une école dynamique du Pays de Montfort. Aujourd'hui l'école a été transformée en petit musée et présente une classe des années 50-60. Elle expose également des photos et présente les souvenirs des anciens écoliers, les jeux de cours, etc.
    • Pont Hervil sur le Comper.
    • Pont Jean sur le Meu.
    • La Rousselais sur le Meu.

    Lieux

    • Le Chemin des écoliers dont le départ se fait sur le parking près de l'église et de la Mairie. Le balisage du circuit est bleu. Le parcours fait 9 km et sillonne la commune de Saint-Gonlay et ses villages, en campagne. La randonnée dure 2 h 15, longe le Meu et offre de nombreux panoramas à divers endroits du circuit. On peut alors voir le bourg d'Iffendic, la forêt de Paimpont, etc.

    Événements

    • Fête communale le 2e ou 3e dimanche de septembre :
      • courses cyclistes
      • courses de chevaux
      • courses en sacs
      • course aux œufs
      • mât de cocagne
      • casses pots
      • tir à la corde
      • palets
      • piteauls
      • cheval à deux
      • galettes saucisses/bolées
      • commerces divers
      • feu d'artifice
      • bal
    • Comices agricoles
    • Procession de la mi-août
    • Dictée annuelle, organisée dans l'ancienne école du bourg
    • Les Bancs de bois, muséographie sur l'école du village :
      • reconstitution d'une classe d'école en 1950.
      • évolution de l'école depuis 1900.
      • témoignages d'instituteurs et d'élèves

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Mauron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Gonlay et Mauron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Mauron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Gonlay et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Résultats concernant « Saint-Gonlay » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    22. Fiche descriptive de la ville de Saint-Gonlay sur Geobreizh.
    23. (décédé le 01/02/87), maire honoraire le 30/06/83
    24. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    25. « Saint-Gonlay. Loïc Boisgerault est le nouveau maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    26. Le bureau communautaire, sur montfortcommunaute.bzh (consulté le 6 octobre 2020)
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. « Présentation de la commune de saint-Gonlay », notice no IA35029147, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Présentation de la commune de saint-Gonlay, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    33. « prieuré Saint-Guillaume (prieuré cure), église paroissiale », notice no IA00130764, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Prieuré (prieuré cure) puis église paroissiale Saint-Guillaume, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    35. « Cimetière », notice no IA35029115, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Cimetière, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    37. « Maison de notable », notice no IA35029008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Maison de notable, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    39. « Manoir », notice no IA35029005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Manoir, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    41. La maison d'école en Pays Gallo sur www.paysdemontfort.com.

    Liens externes

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