Saint-Jurs

Saint-Jurs est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Saint-Jurs

Saint-Jurs

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Danielle Urquizar
2020-2026
Code postal 04410
Code commune 04184
Démographie
Population
municipale
136 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 58″ nord, 6° 12′ 02″ est
Altitude Min. 619 m
Max. 1 726 m
Superficie 33,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Riez
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jurs
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
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Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Jurs

    Ses habitants sont appelés les Saint-Jursiens[1].

    Géographie

    Saint-Jurs et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est situé à 925 m d’altitude[1], dans le massif du Montdenier.

    Sommets et cols

    • Sommet de l’Huby (1285 m)
    • Mont-Denier (1750 m)
    • col de Saint-Jurs (1318 m)

    Environnement

    Le village, vue d'ensemble.

    La commune compte 1 001 ha de bois et forêts, soit 30 % de sa superficie[1].

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n’est en zone de risque sismique nul. Le canton de Moustiers-Sainte-Marie, auquel appartient Saint-Jurs est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[2], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3]. La commune de Saint-Jurs est également exposée à trois autres risques naturels[3] :

    • feu de forêt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain : des secteurs importants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[4].

    La commune de Saint-Jurs n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jurs est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,4 %), terres arables (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Planification de l'aménagement

    La commune de Saint-Jurs a approuvé son plan local d'urbanisme (PLU) en 2014. La révision de ce PLU, décidée en 2016 par la commune[13], est arrêtée en [14]. Cette révision intègre des modifications de zonage, la création d'une OAP pour la création de cinq villas et de logements mitoyens à l'entrée du village et la possibilité de construire dans les ruines du château. Une enquête publique s'est tenue entre le et le . Une vive opposition au projet a eu lieu au sein du village. Deux pétitions ont recueilli plusieurs centaines de signatures.[réf. nécessaire][15],[16] Dans ce contexte, le commissaire enquêteur rend un avis défavorable au projet, tant sur la forme, que sur le fond[17].

    Le , la commune approuve ce PLU révisé.[réf. nécessaire] Plusieurs recours au Tribunal Administratif de Marseille ont été déposés par des associations et des citoyens contre l'approbation de ce PLU.

    Économie

    Plusieurs secteurs économiques sont présents sur la commune de Saint-Jurs.

    Un snack-bar est présent sur la place Bellevue du village.

    Toponymie

    Le nom du village apparaît pour la première fois en 1096 (castrum Sancti Georgii) ; il est nommé d’après saint Georgius sous sa forme occitane, qui a été déformée par la suite[18]. Cette évolution est confirmée par Robert Bailly[19]. La commune se nomme Sant Jurs en occitan provençal.

    Histoire

    Un cimetière gallo-romain a été découvert, jouxtant le cimetière actuel. La localité, dont le nom est une déformation de Saint Georges, est citée en 1259 dans les chartes pour la première fois (Sanctus Georgius)[20]. Un château y était construit sur le sommet de l’Huby (1285 m)[21]. La baronnie appartient aux Castellane du XIVe siècle à la Révolution française[20], la communauté relève de la viguerie de Moustiers[22] et la paroisse dépend d’abord de l’évêque de Riez Augier, qui donne un quart des dîmes à l’abbaye de Montmajour en 1096. Puis un de ses successeurs, Foulque II de Caille, donne la paroisse à une de ses fondations, à Sorps (établie en 1255 à Bauduen), composée d’une communauté de chanoines augustiniens, d’un couvent de moniales et d’un hospice. Ce monastère crée une prévôté à Saint-Jurs[22].

    Mathieu de Lenenao (Levens), noble, originaire de Saint-Jurs et coseigneur de ce lieu, acheta en 1323, une terre à Saint-Jurs. En 1340, il échangea avec Isnard de Sancto-Martino, coseigneur de Saint-Jurs, des biens situés dan ce même endroit[23].

    Alors que la crise des XIVe et XVe siècles décime la communauté villageoise (près de 90 % de perte entre 1315 et 1471[20]), le monastère de Sorps n’est pas épargné, et les derniers chanoines viennent se réfugier à Saint-Jurs en 1433, jusqu’à la suppression de la prévôté en 1499[22].

    Les reliques de saint Nicaise et Restitut ont été découvertes en 1640 lors de travaux dans l’église, avant d’être à nouveau enfermées dans le mur.

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[24]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Bellevue[25].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 18 habitants de Saint-Jurs sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie[26].

    Comme de nombreuses communes du département, Saint-Jurs se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[27]. La même instruction n’est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[28]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[29].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à un Saint-Georges d'or perçant de sa lance un dragon abattu au pied de son cheval du même[30],[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      Jean Chauvet[32]    
      Albert Escudier DVG [33],[34]  
    avant 2005 2014 Michel Favre[35] DVG[36],[37],[38]  
    En cours Danielle Urquizar[39] RN  

    L'école est construite en 1885. Dans les années 1980, elle fonctionnait en classe unique[40].

    Opposition et implication des citoyens

    En fin d'année 2020 une association (Mouvement citoyen de Saint-Jurs) voit le jour afin d'informer la population des actions de la mairie et d'aider tout citoyen en détresse face à la municipalité[41].

    Des élections municipales partielles ont eu lieu en 2021 à la suite de la démission de quatre conseillers municipaux en raison de désaccords profonds avec la maire et ses adjoints [42]. Aucun des candidats soutenus par la municipalité en place n'a été élu. À la suite de ces élections, 3 nouveaux conseillers ont démissionné en 2021 et la troisième adjointe a démissionné de son poste d'adjointe.

    Des reportages ont lieu sur ces tensions qui traversent le village [43].

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[44] :

    • total des produits de fonctionnement : 227 000 , soit 1 516  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 193 000 , soit 1 288  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 506 000 , soit 3 375  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 189 000 , soit 1 259  par habitant.
    • endettement : 357 000 , soit 2 382  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 5,47 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,69 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 59,68 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Intercommunalité

    Saint-Jurs était, en 2011, l'une des treize communes du département à n'être rattachée à aucun établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. À la suite du schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 établi par la préfecture, prévoyant « la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre »[45], la commune fait partie, depuis 2013 et jusqu'en 2016, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ; et à partir du , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

    En 2019, la commune comptait 136 habitants[Note 2], en diminution de 5,56 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    431452496427514564535490475
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    457430451427382402412403317
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    358309287275217192178170120
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
    1051028586115121151155156
    2013 2018 2019 - - - - - -
    144138136------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    121 feux18 feux

    L’histoire démographique de Saint-Jurs, après la grande saignée du XIVe siècle et la lente croissance allant de la fin du XVe siècle aux années 1830, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1841. L’exode rural provoque un mouvement de diminution de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1831[50]. Le petit pic de population en 1896 est contemporain des travaux de construction de la ligne de chemin de fer de Nice à Digne.

    La baisse continue jusqu’aux années 1970, période où le mouvement s’inverse.

    Lieux et monuments

    Ruines monumentales à Saint-Jurs.

    L’église paroissiale Saint-Georges domine le village et le plateau de Valensole. Son chœur est construit sous une coupole, datant du milieu du XIIe siècle, et revoûté au XIVe siècle. La nef est construite à une date plus récente (XIIIe siècle) : elle est plus large, n’est pas située dans le même axe que le chœur. Elle est réparée en 1640[51]. Dans son mobilier se trouve un tableau représentant saint Joseph, de la première moitié du XVIIIe siècle, est classé monument historique au titre objet[52],[53].

    Chapelle Saint-Georges.

    La chapelle Saint-Georges dans le cimetière[54], avec une nef de trois travées voûtées d’un faux berceau au XVIIIe siècle et une abside voûtée en cul-de-four. Originellement, l’entrée se faisait par le portail sud, aujourd’hui bouché. Le mur sud et l’abside, en petit appareil régulier et en galets, datent du début du XIIe siècle. Outre la reconstruction de la voûte, la chapelle a été restaurée en 1978[55] puis à nouveau en 1989[22].

    • Le château d’Allès date des XVIe et XVIIe siècles[20].
    • château en ruines
    • village médiéval d’Alès, en ruines

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Bouvier (né en 1941), auteur du Parler marseillais : dictionnaire, du Parler marseillais : dictionnaire argotique, d’Origine des quartiers de Marseille et de "Tresse d'aïet, ma mère"[56].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Moustiers-Sainte-Marie », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
    2. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    3. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
    6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 08 décembre 2016 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 19 septembre 2019 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Pétition habitants de Saint Jurs »
    16. « Commentaires de signataires · Mairie de Saint-Jurs: Pétition contre les projets de construction prévus par le PLU de St Jurs · Change.org », sur www.change.org (consulté le )
    17. « Commune de Saint-Jurs. Enquête publique sur la révision du Plan local d'urbanisme de la commune de Saint-Jurs. 14 septembre - 15 octobre 2020 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28446, p 1624
    19. Robert Bailly, Chapelles de Provence : Bouches-du-Rhône, Alpes-Maritimes, Alpes-de-Haute-Provence, Var, Vaucluse : Origines, Architecture, Croyances, Le-Coteau, Horvath, 1988, (ISBN 2-7171-0565-4), p. 12
    20. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196
    21. Jacques Cru, « Petra Castellana », Verdon no 1, estieu 1999, p. 35.
    22. Daniel Thiery, « Saint-Jurs », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
    23. B1984f320
    24. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    25. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
    26. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 69.
    27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    28. Labadie, op. cit., p. 16.
    29. Labadie, op. cit., p. 11.
    30. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Dictionnaire géographique et héraldique des villes et villages, Paris : Bachelin-Deflorenne, 1866, p. 143.
    31. Asse Bléone Verdon : Saint-Jurs, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    32. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    33. Albert Escudier est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4801, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    34. Albert Escudier est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
    36. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002, Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
    37. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à celle de 2007, Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
    38. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé Nathalie Arthaud (LO) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012
    39. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    40. Philippe Exibard, « Saint-Jurs », in Renaud Alberny, Denis-Armand Canal, Thomas Laurenceau, Dominique Voisin, Les Écoles de la République, Niort : Eclectis, 1993. (ISBN 2-908975-15-7), 440 p., p. 19.
    41. « Mouvement citoyen de Saint-Jurs », sur www.facebook.com (consulté le )
    42. « Fichier PDF Démissions_conseillers.pdf », sur Fichier PDF (consulté le )
    43. « Alpes de Haute-Provence : la grogne monte entre une partie des habitants et la municipalité à Saint-Jurs », sur D!CI TV & Radio (consulté le )
    44. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive)
    45. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    50. Christiane Vidal, « [Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle.] », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    51. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 100 et 176-177
    52. Arrêté du 21 avril 1975, notice de la Base Palissy, consultée le 11 décembre 2008
    53. Raymond Collier, op. cit., p. 480.
    54. Chapelle
    55. Raymond Collier, op. cit., p. 67-68.
    56. BNF, Notice d’autorité personne Bouvier, Robert, 20 avril 1984, mise à jour le 22 novembre 1988, consultée le 12 septembre 2012
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