Saint-Loup-en-Champagne

Le village de Saint-Loup-en-Champagne est une commune française, située dans le département des Ardennes, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Loup.

Saint-Loup-en-Champagne

La mairie et la place de Saint-Loup-en-Champagne.
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Rethel
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rethélois
Maire
Mandat
Amandine Nocton
2020-2026
Code postal 08300
Code commune 08386
Démographie
Gentilé Thoins
Population
municipale
344 hab. (2019 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 20″ nord, 4° 13′ 16″ est
Superficie 15,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Porcien
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Loup-en-Champagne
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Saint-Loup-en-Champagne
Géolocalisation sur la carte : Ardennes
Saint-Loup-en-Champagne
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Saint-Loup-en-Champagne

    Bâti dans un vallon et entouré de fossés, il se trouve à proximité de la voie romaine de Reims à Cologne. Il offre au visiteur le site de son ancien château totalement détruit et une église presque entièrement reconstruite, à une date récente, sauf le chevet.

    En 2012, Saint-Loup-en-Champagne était peuplé de 241 habitants vivant essentiellement de l'agriculure. Ceux-ci sont appelés les Thoins.

    Géographie

    Communes limitrophes de Saint-Loup-en Champagne
    Blanzy-la-Salonnaise Avançon
    Aire Tagnon
    Roizy L'Écaille Bergnicourt

    Saint-Loup-en-Champagne est située dans le département français des Ardennes, entre Porcien et Champagne crayeuse, à une quinzaine de kilomètres de Rethel, son chef-lieu d'arrondissement. Il s'agit d'une petite commune à vocation agricole.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Loup-en-Champagne est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,4 %), forêts (4,4 %), zones urbanisées (2,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le lieu apparaît sur la Table de Peutinger sous la forme Meduanto, toponyme gaulois, comparable à Meduanta > Mantes. Nom probablement basé sur le nom du miel et par extension l'hydromel du celtique commun *medu (cf. gallois med, breton mez)[8].

    À l'époque médiévale, les chartes citent le nom latinisé Sanctus Lupus in Campaniâ.

    On trouve successivement Saint Leu en Champagne au XIIIe siècle, Sainct Loup au XIVe siècle, Saint Leup en Champaigne et Saint Leup de lés Avenson au XVe siècle.

    Viennent ensuite Saint Loup en Champagne, et enfin, jusqu'au décret no 2002-500 du , la préfecture ayant omis le « en » : Saint-Loup-Champagne. Le conseil municipal a rectifié cela par délibération du conformément à l’usage local, paru au journal officiel du (sans les traits d’union par les correcteurs d’orthographe des ordinateurs).

    Le gentilé des habitants est « Thoin (Thoins) ».

    Histoire

    Propriété du chapitre de Reims

    En , Enguerrand de Rumigny, ratifie avec son frère Jacques, seigneur de la Roche, la donation au chapitre de la cathédrale de Reims, moyennant 40 livres, des seigneuries d'Avançon et de Saint-Loup faite par leur frère Jean. Celui-ci, seigneur de Girondelle, Avançon et Saint-Loup-en-Champagne, devient chanoine de Reims en 1243 et prévôt de l’église de Cambrai en 1263.

    On croit qu’Enguerrand de Rumigny accompagna saint Louis à la 8e croisade, en 1270.  [9]

    Guerres de Religion

    Monument de Saint Loup.

    Sur un petit monument à gauche de la route venant de Blanzy-la-Salonnaise, sous une figure de Saint Loup, on lit :

    « Ici a été enterrée par les Huguenots, au temps de la Ligue, la relique de Saint Loup, enlevée par eux de l’église, mais devenue, dit-on si pesante en ce lieu qu’ils ne purent l’emporter plus loin. »

    Selon la légende[10], au XVIe siècle, sous Henri III, les protestants ravagent la région. Ils saccagent l’église de Saint-Loup et trouvent dans une châsse le pouce conservé du saint patron de la paroisse. Ils s’en emparent et veulent le jeter dans un marais voisin. Mais plus ils avancent, plus le pouce devient lourd, si lourd même, qu’à un moment, ils ne peuvent plus avancer.

    La grande guerre

    Du au , Les Ardennes furent le seul département français entièrement occupé par l’armée allemande.

    Vers le , l'armée allemande franchit la frontière franco-belge. Des combats se déroulent à Charleroi, Dinant et Rossignol[11]. Les récits des atrocités allemandes dans les Ardennes, colportées par les réfugiés belges, terrorisent la population[11].

    Toutes les maisons doivent rester ouvertes, elles sont fouillées de fond en comble plusieurs fois par semaine[11].

    En 1916, les 102 communes de la région se voient réclamer 2 100 000 marks[11], en 1917 un 1 500 000 marks[11]. À ces taxes il faut ajouter les réquisitions en tout genre : la récupération des métaux pour les industries de guerre (la mauvaise volonté des Ardennais rendit difficile la collecte des objets en cuivre)[11]. De nombreux biens sont concernés dont le bois de chauffage, les meubles, les noyers pour les crosses de fusil, le charbon, les chevaux, les vaches, les pommes de terre, le foin, la laine des matelas, les clenches de porte.

    Les populations ardennaises sont étroitement contrôlées et assignées à résidence[11].

    Quelques soldats ont exprimé publiquement leur repentir de ces actes. Les occupants se sont efforcés de contrôler les populations ardennaises par tous les moyens.

    Le prêtre de Pauvres résume le sentiment général qu’inspire aux Ardennais le comportement de l’envahisseur :

    « Peuple de sauvages, fourbe et avide, en dessous des Huns d’Attila… Ce qu’il faut, ce qu'il faudra, ce sera d’entretenir non seulement la haine, mais le dégoût de l’Allemand qui est le péché intégral[11]. »

    Aide à la réinstallation

    À la fin de la guerre, le village voisin d’Avançon est détruit à près de 50 %. Les habitants rentrés d'exode sont totalement démunis. Le maire Charles Michelet adresse alors une demande d'aide à la ville du Mans qui vote effectivement de donner 4 poules, 1 coq et 4 lapins à chaque famille, ainsi que 932 mètres de toile à draps, du linge, des couvertures. Avançon se retrouve "filleule du Mans".

    Un comité local du Mans organise aussi les 8 et (Pentecôte) une grande kermesse franco-américaine au profit d'Avançon. Un centre de réembarquement des troupes américaines stationné au Mans concourt à ces festivités et organise une grande représentation rehaussée par la présence de Miss Margareth Wilson, fille du président des États-Unis, laquelle adresse une lettre à la mairie d'Avançon avec un don de 250 francs pour l'école. De nombreux dons de personnalités, d'associations, de commerçants, d'anonymes s'y ajoutent. La Croix-Rouge américaine envoie un don important de meubles, vêtements, denrées alimentaires. Fête et souscription rapportent la somme de 26 630 francs, envoyée en matériel et alimentation.

    La commune d'Avançon en donne une partie à Saint-Loup-en-Champagne aussi démuni[12]. Octave Pasté, ancien Maire de 1891 au , se rappelle :

    « La commune d'Avançon nous a remis une quantité de couverts, chandails, gants, biscuits, haricots et autres articles qui ont été bien reçus par les habitants de notre commune. Je vous remercie du don généreux qui nous a servi à souhait. Notre commune a été moins saccagée, mais les habitants en ont souffert autant. Nous avons été chassés du village et enfermés pendant 4 jours dans l’église d’Avançon. Durant ce temps, nous avons été mis à sac, tout nous a été enlevé, pillé, incendié ; des mines ont détruit certaines parties du village, voilà le résultat de la guerre ; tant pis pour ceux qui sont sur le passage. Encore une fois merci, nous n’oublierons jamais le bien que vous faites à nos familles. Octave Paste. »

    1940-1945

    Le , le chef d’escadron entre en liaison directe avec le commandant Masse, le groupement d’action d’ensemble à Saint Loup, et place un observatoire au signal de Saint Loup (en haut du mont de Blanzy). Mais les batteries subissent des pertes et mal abritées sont parfois dans l’obligation de se taire. Les 2e et 3e batteries du 123e RALCA (artillerie lourde 105L) prennent position dans le bois au sud de Saint Loup à contre pente, elles sont prises sous un bombardement aérien violent à plusieurs reprises puis subissent des tirs d’artillerie ennemis qui préparent l’attaque allemande dans cette région[13].

    Le , le 24e régiment d'infanterie est dirigé sur l’Aisne en camion. Installé les 16 et , le front a une étendue de 20 km de Château-Porcien à Vieux-lès-Asfeld pour défendre la rive sud de l’Aisne.

    Le PC du colonel Sausse est situé à Saint Loup dans la dernière maison à l’angle de la route départementale qui monte en pente douce vers Blanzy et de la rue basse. Au signal sont installés un poste de commandement et un poste d’observation. Le 2e bataillon occupe la ligne d’arrêt au signal Saint Loup, cote 146 et bois Jean Claude.

    Le , les habitants de Saint-Loup-en-Champagne reçoivent l’ordre d’évacuation et vont aller grossir les colonnes de réfugiés.

    Du 17 au , le 24e régiment d'infanterie s’oppose à plusieurs tentatives de franchissement de la rivière par les Allemands, les rejetant à chaque fois avec des pertes sensibles par de vigoureuses contre-attaques. Le régiment remporte un succès en maintenant ses positions malgré l’étendue de son front.

    Entre le 21 et le le régiment profita du répit pour ré-articuler son dispositif Le à 3h30 un violent bombardement par mines, avions et artillerie se déclenche sur l’ensemble de la position. De violents combats ont lieu les 9 et . Les troupes allemandes sont supérieures en nombre et en armes blindées.

     : enfoncement de la ligne d’arrêt. Malgré la résistance des différents bataillons le régiment est complètement encerclé et son colonel est fait prisonnier. Le drapeau est sauvé, le dernier coup de feu est tiré à 23 heures. Des rescapés participent à la défense de la Suippe. Le 24e RI après ces violents combats n’existe plus, mais il a tenu sa mission « tenir sans esprit de recul »[13].

    Le colonel allemand dira au colonel Sausse :

    « Je vous félicite de la magnifique résistance de votre régiment, ce fut très dur pour nous[13]. »

    Au départ de Paris le 24e comptait 83 officiers, 250 sous-officiers, et 2 800 hommes, il ne reste que 8 officiers, 47 sous-officiers et 350 hommes[13]. Sur le terroir de Saint Loup 86 soldats sont décédés dont le chef d'escadrons - (commandant) Robert de Vansay du 19e GRCA. Le 24e RI dépend de la 10e DI avec les 5e RI, 46e RI et 32e RA. Tous ces régiments sont en garnison à Paris.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1852 1887 Modaine    
    1891 1919 Octave Pasté    
    1919 1931 Léon Pasté    
    1932 1940 Auguste Chevalier    
    1941 1944 Georges Nocton    
    1944 1969 Edmond Pasté   Conseiller Général
    1970 1971 René Fromentin    
    1971 1977 Louis Bausseron    
    1977 1995 François Devie    
    1995 2001 Etienne Bausseron    
    2001 2008 Régis Fromentin    
    2008 2020 Robert Carré    
    2020 En cours Amandine Nocton[14]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

    En 2019, la commune comptait 344 habitants[Note 3], en augmentation de 52,21 % par rapport à 2013 (Ardennes : −3,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    459490495466510496472480520
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    498473426381351348325321319
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    327284286284276230272249232
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019 -
    201220217223243241315344-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Ancien château

    Une maison de culture importante est située au sommet du coteau dominant le village au sud, à l’endroit où la carte de Cassini place le château de Saint Loup. Ce domaine appartient à la famille Griffon De Finfe, de Montlaurent.

    Stèle commémorative de l'observatoire du groupement d'action d'ensemble du 24e RI

    Observatoire du 24e RI.

    À la suite du remembrement de Blanzy-la-Salonnaise, les limites du terroir ont été modifiées : la stèle est maintenant sur le territoire de Blanzy-la-Salonnaise. Mais cet emplacement possède désormais un numéro cadastral enregistré comme propriété de la commune de Saint-Loup-en-Champagne.

    Église paroissiale

    L'église en 1910.

    La tour de l’église a été refaite au-dessus du portail, tandis que l’ancienne tour romane se trouvait à sa place normale, à la croisée du transept. Elle forme un porche au rez-de-chaussée, précédant la nef refaite avec elle.

    Cette église construite pendant le XIe siècle, agrandie et embellie quatre cents ans plus tard, menaçait ruine. Elle a été rétablie également en deux fois, grâce aux efforts combinés de la commune et de l’État. Le transept et le sanctuaire ont été restaurés en 1879 – 1880. La nef et le clocher ont été reconstruits en 1887. L'architecture de la tour, comme celle des nefs, s’inspire des lignes gothiques flamboyantes de l’abside. Les combles sont couvertes d'ardoises.

    Elle domine le centre du village.

    Les cloches

    Charlotte - Henriette - Suzanne.

    Les trois cloches actuelles ont été transportées en 1887 de l’ancienne tour carré du transept, installées dans un beffroi neuf à l’étage campanaire percé d’ouïes larges et bien espacées. À cette date, les cloches furent fondues sur place par les fondeurs Antoine et Loiseaux. Elles seront bénies en par l’abbé Bouchy.

    Nom Poids Note Parrain Marraine Remplace Remarque
    Charlotte Elisabeth 1050 kg Mi Léon Pasté, maire de la commune Charlotte Elisabeth Druart, épouse de Léon Pasté Emma Jeanne Elise Noms des enfants du village morts à la guerre 1914-1918 gravés dans le bronze.
    Henriette Jeanne Marie 900 kg env. Fa dièse Fromentin César Fromentin Henriette, sœur de Fromentin César Marie
    Suzanne Andrée Antoinette Marguerite 700 kg env. Sol dièse Chevalier Auguste Angèle Boulay Austrégilde-Uranie-Marie

    Saint patron

    Saint leu (évêque de Sens, mort en 623).

    Galerie

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 221-222.
    9. Chanoine C-G. Roland, Histoire généalogique de la maison de Rumigny-Florennes, Annales de la Sté Archéologique de Namur, 1891, réédition de 1982, p. 226-230.
    10. H. Jadart, Saint Loup En Champagne, écrit à la fin du XIXe siècle, Archives départementales des Ardennes.
    11. Les Ardennais pendant la grande guerre, Gilles Deroche.
    12. Terres Ardennaises no 66, mars 1999.
    13. La Bataille de Rethel : 16 mai - 10 juin 1940 de Robert Marcy - 1990 - (ISBN 2905339144)
    14. « Municipales 2020. Enjeux et résultats. Saint-Loup-en-Champagne », Le Monde
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Bibliographie

    • Mourir à Saint Loup, (Jean-Paul Tricoire)
    • Géographie traditionnelle et population des Ardennes (Octave Guelliot)
    • Statistiques du département des Ardennes (E Dubois)
    • Les Ardennais pendant la grande guerre (G Deroche)
    • La bataille de Rethel (R Marcy)
    • Le journal L'Ardennais
    • Terres Ardennaises
    • Archives départementales des Ardennes et de L'Aisne
    • Archives de la famille Paste

    Liens externes

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