Saint-Pierre-la-Cour
Saint-Pierre-la-Cour est une commune française située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 2 265 habitants[Note 1].
Pour les articles homonymes, voir Cour.
Ne pas confondre avec Saint-Pierre-sur-Orthe, autre commune de Mayenne, appelée Saint-Pierre-de-la-Cour jusqu'en 1863
Saint-Pierre-la-Cour | |||||
L'église Saint-Pierre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Mayenne | ||||
Arrondissement | Laval | ||||
Intercommunalité | Laval Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Michel Paillard 2020-2026 |
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Code postal | 53410 | ||||
Code commune | 53247 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierrot-Courtois | ||||
Population municipale |
2 265 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 144 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 06′ 54″ nord, 1° 01′ 35″ ouest | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 168 m |
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Superficie | 15,69 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Pierre-la-Cour (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Loiron-Ruillé | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | saintpierrelacour.fr | ||||
La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.
Géographie
Faisant partie du canton de Loiron, Saint-Pierre-la-Cour se situe dans l'ouest de la Mayenne, à la limite entre les Pays de la Loire en Bretagne. Son bourg est à 4,5 km à l'ouest de Port-Brillet, à 16 km à l'est de Vitré et à 22 km à l'ouest de Laval[2].
Communes limitrophes
Géologie
La commune repose sur le bassin houiller de Laval daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[12] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[13],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 52 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre-la-Cour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pierre-la-Cour, une unité urbaine monocommunale[22] de 2 170 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (29,1 %), mines, décharges et chantiers (18,1 %), forêts (14,1 %), terres arables (12,5 %), zones urbanisées (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,7 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].
Transports
Une gare ferroviaire est desservie par les TER assurant la liaison avec les gares de Laval, Vitré et Rennes. Cette gare dispose également d'un embranchement destiné à la cimenterie Lafarge.
La commune est située à proximité de la sortie no 5 et du péage de La Gravelle de l'A81 reliant Le Mans à Rennes.
Toponymie
La forme eccl. Beati Petri de Curia est attestée au Xe siècle[29].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bourg-l'Union[30].
Histoire
Les curés de Saint-Pierre-la-Cour
- 1340 : Pierre Papin, témoin d'un règlement concernant l'église d'Andouillé.
- 1415 : Macé Jarry
- 1492 : Mathieu Lemaignan fonde la chapelle de la Chevalerie, à L'Huisserie.
- 1541 : Antoine Lefebvre rend aveu à La Gravelle pour le presbytère, resigne en 1574, et paraît encore en 1582.
- 13 mai 1574 : Gaspard Lefebvre, du diocèse de Beauvais, neveu du précédent, se démet 1577.
- 29 mars 1577 : Antoine Gauchet, du diocèse de Beauvais.
- 22 juillet 1582 : Rémy Orière.
- 23 juin 1585 : Jean Ragaine (démissionne 1587).
- 5 avril 1587 : Jean Doré, de Laval; (resigne 1593).
- 1er octobre 1593 : Jean Soudays, du diocèse de Rennes ; 1598.
- < 1621 : Bertrand Juffé († 1623).
- 24 août 1623 : Denis Cohon, du diocèse d'Angers, prend possession le 2 septembre, malgré l'opposition de Claude Haisne, et reste tranquille possesseur à la mort de ce dernier en 1625.
- Jean Guillard, inhumé en l'église de Précigné le 10 mai 1632.
- 1643 : Louis Nouillu († 15 juin 1664).
- 18 juin 1664 : Jean Febvrier, maintenu contre noble Pierre de Vahais, sieur de la Bertherie (resigne 1666).
- Juin 1666 : Alexis Febrier, frère du précédent (se démet 1667).
- 8 juillet 1667 : Anne-François de Caboche de Mermont, du diocèse d'Amiens (résigne 1672).
- Septembre 1672 : Louis Anjuère, bachelier en théologie, en procès en 1689 avec l'abbé de Clermont qui refusait de payer la portion congrue ; se démet, † 1700.
- 16 avril 1700 : François Bellier du Jarossay, bachelier en théologie de la faculté de Nantes, résigne 1707.
- 13 avril 1707 : Charles-François de Lhuillier (démissionne 1711).
- 13 août 1711 : Jacques Blanche, vicaire à Loupfougères ( † 1730).
- 7 septembre 1730 : Charles Thébault, demeurant à Passais, résigne, "détenu de maladie", 1737.
- 23 août 1737 : Nicolas Thébault, recteur de Princé ( † 1743).
- 24 février 1743 : Jean Mérienne, desservant de Mégaudais, ( † 1765).
- 15 février 1765 : François Fleury, demeurant au Mans, résigne 1780.
- 11 juillet 1780 : Julien Paucton, de Saint-Julien-du-Terroux[32] Signe avec son vicaire, le 30 janvier 1791, le serment à la constitution civile du clergé avec restrictions fermement catholiques, et administre publiquement sa paroisse, où aucun "intrus" n'avait osé venir, jusqu'en août 1792. Il disparaît à partir de cette date, probablement sans quitter le pays, et commence en 1795 à enregistrer les baptêmes d'un nombre considérable d'enfants de Saint-Pierre et des paroisses voisines, nés depuis la fin 1792 jusqu'au 30 thermidor an VI (17 août 1798), date à laquelle il est arrêté, à 4 h. du matin, dans une cachette pratiquée dans l'escalier du presbytère. Conduit dans la prison de Laval, il baptise, le 22 août 1798, le fils du geôlier. Rentré dans sa cure en 1800, Julien Paucton, qualifié par le pouvoir "simple, bienfaisant, sage et instruit", y est maintenu en 1803 et meurt en 1804.
- 1795 : René-Pierre Mautain, vicaire (déporté en Angleterre après le mois d'août 1792), reprend le ministère de Julien Paucton à Saint-Pierre et dans les paroisses voisines. Il est nommé curé de Launay-Villiers en 1803.
- 1804 : René Bry, ancien vicaire à Changé ( † 1810).
- 1810-1811 : Julien-François-Jacques Frescher.
- 1811-1815 : Michel Filoche.
- 1815-1856 : Louis-Jacques Lhuillier ( † à Montsûrs le 20 mars 1868, âgé de 80 ans).
- 1856 : Pierre-René Manceau ( † 1901).
- 1901 : Alphonse Lecomte.
- Juillet 1902 : Gheuldres, au refus de M. Métayer et de M. Gaugain, curé de Louverné.
Révolution française
Le , le district de Vitré informe Rennes que des rassemblements suspects se produisent dans la région, notamment dans les communes de Bourgon, Saint-Ouën-des-Toits, Saint-Pierre-la-Cour et La Brûlatte[33].
Mines
Des mines de charbon sont exploitées de 1880 à 1921. Monsieur Armand Chappée en fait l'acquisition en 1907[5].
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[39].
Enseignement
- École maternelle publique.
- École primaire publique.
- Collège privé Notre-Dame.
Gestion des déchets
- Déchèterie intercommunale de Port-Brillet, route de la Brûlatte.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].
En 2019, la commune comptait 2 265 habitants[Note 8], en augmentation de 8,48 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Activité économique principale
La cimenterie Lafarge est implantée sur la commune avec sa très grande carrière. Elle est l'une des plus grandes cimenteries d'Europe.
Petits commerces
Le village dispose d'un bureau de poste, de deux banques, une boulangerie, une supérette, un magasin de fleurs et décoration, deux cafés, une pharmacie, deux garages et une station de lavage.
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre du XXe siècle, abritant une statue de pape du XVIIIe siècle classée à titre d'objet aux Monuments historiques[43].
- Deux menhirs de la Pierre Bouillante situés au milieu des bois.
- Hippodrome de Tilleul[44].
- Butte artificielle donnant une vue d'ensemble sur la carrière de la cimenterie.
- Les deux étangs du Moulin Neuf (du nom de deux lieux-dits homonymes), ainsi que l'étang de la Forge (33 ha) inventorié en tant que zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), du fait de la présence de châtaigne d'eau (Trapa natans)[45].
- L'ancienne mine de houille de la Balorais[5].
Activité et manifestations
Manifestations annuelles
- Troisième dimanche de juin : courses de chevaux (les festivités commencent dès le vendredi soir avec une randonnée ; le samedi soir est réservé au feu d'artifice).
- En juillet : courses de chevaux
- Courses de vélos.
Sports
En plus de terrains de football, de tennis en extérieur, la commune dispose de deux salles de sport.
- Club de roller.
- Cours de yoga.
- Cours de gymnastique.
- Karaté contact.
Culture
Bibliothèque municipale.
Activités des seniors
L'absence de relief dans le bourg et la largeur des trottoirs rend plus facile le déplacement des personnes à pied.
Personnalités liées à la commune
- Adolphe Salmon (1863-1940), photographe à Saint-Pierre-la-Cour, éditeur de cartes postales, horloger-bijoutier…
- Jean-Claude Bouttier (né en 1944 à Saint-Pierre-la-Cour), boxeur.
- Jean-Paul Kauffmann (né en 1944 à Saint-Pierre-la-Cour), journaliste et écrivain.
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 489
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-la-Cour et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-la-Cour et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Pierre-la-Cour », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Pour son président Claude Le Feuvre : « Le Pays de Loiron a été un véritable challenge » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- "Bon sujet, et charitable, et mortifié" (note de l'évêché en 1778).
- Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
- « Raymonde Descamps, ancien maire, est décédée », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Ouest-france.fr - Claude Le Feuvre reçoit la Légion d'honneur - Saint-Pierre-la-Cour » (consulté le ).
- Ouest-France, « Saint-Pierre-la-Cour. Le maire Claude Le Feuvre est décédé à l’âge de 83 ans », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Un sixième mandat de maire pour Claude Le Feuvre », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Fred Martin, « Sophie Chauvigné élue maire de Saint-Pierre-la-Cour », Courrier de la Mayenne, (consulté le ).
- « Municipales à Saint-Pierre-la-Cour. Premier mandat de maire pour Michel Paillard », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Statue : Un pape », notice no PM53000672, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La fiche de l'hippodrome sur le site du Cheval français » (consulté le ).
- « ZNIEFF 520014748 - Etang de la forge à Port Brillet », sur http://inpn.mnhn.fr.
Liens externes
- Site municipal
- Saint-Pierre-la-Cour sur le site de la communauté de communes
- Résumé statistique de Saint-Pierre-la-Cour sur le site de l'Insee
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