Saint Nicolas

Classés par ordre chronologique du natalice (du latin natalicia, repas anniversaire de naissance) :

• Nicolas de Myre (IV^e siècle), archevêque, patron de la Lorraine, des écoliers, des marins, célébré à la Saint-Nicolas ; célébré le 6 décembre (natalice) et le 9 mai (translation).
• Nicolas de Sion, (VI^e siècle), archimandrite du monastère de la Sainte-Sion près de Myre et évêque de Pinara en Lycie ; la tradition tend à se confondre avec le précédent.
• Nicolas le Studite (°793 - †868), moine du monastère des Acémètes à Constantinople ; célébré localement le 4 février[1].

Classés par ordre chronologique du natalice :

• Nicolas (I^er siècle), l'un des sept premiers diacres instaurés par les apôtres ; célébré le 28 juillet avec quatre autres diacres[2].
• Nicolas de Luogosanto († ?), et Trano, ermites légendaires dans une grotte de granit de Luogosanto en Sardaigne ; célébrés le 4 juin[3].
• Nicolas de Tolentino (°1245 - †1305), frère de l'ordre des Ermites de Saint-Augustin ; célébré localement le 10 septembre[4].
• Nicolas de Flue (°1417 - †1487), ermite, patron de la Suisse ; célébré le 25 septembre en Suisse et le 21 mars ailleurs[5].
• Nicolas Horner (mort en 1590), martyr anglais, bienheureux catholique ; fêté le 4 mars et le 22 novembre.
• Nicolas d'Arménie († 1601), bienheureux, martyr de l'Ordre de saint Dominique ; célébré localement le 17 novembre[6]
• Nicolas Owen († 1606), frère jésuite anglais, martyr écartelé pendant la Conspiration des poudres ; célébré localement le 2 mars[7].
• Nicolas Postgate (° vers 1596 - †1679, bienheureux, prêtre et martyr en Angleterre ; célébré le 7 août[8].
• Nicolas Steensen (°1638 - † vers 1686), ou Stenone, bienheureux, né à Copenhague au Danemark dans une famille luthérienne, évêque converti, écrivit les Démonstrations anatomiques ; célébré localement le 5 décembre[9].
• Nicolas Mello (XVII^e siècle), bienheureux, chanoine régulier de Saint-Augustin ; célébré le 28 décembre[10].
• Nicolas Bui Viet Thé († 1839), avec Augustin Phan Viet Huy, soldats martyrs au Viêt Nam, près de Hué en Annam ; célébré le 13 juin[11].
• Nicolas Konrad († 1941), et Vladimir Pryjma, bienheureux, martyrs des Nazis en Ukraine ; célébrés le 26 juin[12].
• Nicolas de Gesturi († 1958), bienheureux, prêtre capucin ; célébré le 8 juin[13].

Classés par ordre chronologique du natalice :

• Nicolas Cabasilas (°1322 - † 1397), célébré le 20 juin[14].
• Nicolas de Mytilène († 1463), célébré le ?
• Nicolas de Corinthe († 1554), célébré le ?
• Nicolas de Pskov († 1576), célébré le ?
• Nicolas de Géorgie († 1591), célébré le 18 février^{[réf. nécessaire]}.
• Nicolas Caramos († 1657), ou Cassetis, martyr à Smyrne par la main des Musulmans ; célébré le 6 décembre^{[réf. nécessaire]}.
• Nicolas l'Épicier († 1672), néo-martyr torturé puis décapité à Constantinople le 23 septembre 1672 à l'âge de 15 ans, sous le prétexte d'avoir parjuré sa confession musulmane alors qu'il ne s'y était pas converti[15]. Il tire son nom (ὁ Παντοπώλης) de la profession de son père, avec lequel il travaillait à Karpenisi.
• Nicolas de Chio († 1754), originaire de Chios, maçon, néo-martyr par la main des musulmans ; célébré le 31 octobre[16].
• Nicolas de Crète († 1824), avec Georges son frère, et Angelis et Manuel leurs cousins, paysans, martyrs en Crète par la main des Turcs ; célébrés le 28 octobre[17]^,[18].
• Nicolas du Japon († 1912), archevêque fondateur de l'Église orthodoxe du Japon, célébré le 3 février^{[réf. nécessaire]}.
• Nicolas Planas († 1932), prêtre à Athènes ; célébré le 2 mars[19].
• Nicolas Goulianov, statez et archiprêtre russe du début du XXe siècle, il développe une théologie de l'icône en particulier sur l'icône de Nicolas II[20].

• Saint Nicolas est un ancien bateau à roues à aubes à vapeur russe de 1886.

• Nicolas (prénom)