Sainte-Eulalie (Gironde)

Sainte-Eulalie est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle dispose d'une zone commerciale importante et de plusieurs monuments historiques[1].

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Eulalie.

Sainte-Eulalie

La Mairie en 2015.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Les Rives de la Laurence
Maire
Mandat
Hubert Laporte
2020-2026
Code postal 33560
Code commune 33397
Démographie
Gentilé Eulaliens
Population
municipale
4 832 hab. (2019 )
Densité 533 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 32″ nord, 0° 28′ 19″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 60 m
Superficie 9,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Presqu'île
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eulalie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eulalie
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Sainte-Eulalie
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Eulalie
Liens
Site web http://www.mairie-ste-eulalie.fr


    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Sainte-Eulalie se situe dans le nord de l'Entre-deux-Mers, entre Garonne et Dordogne, dans le nord-est de l'aire d'attraction de Bordeaux et dans son unité urbaine.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Sainte-Eulalie[2]
    Ambarès-et-Lagrave Saint-Loubès
    Carbon-Blanc
    Lormont Yvrac

    Voies de communication de transports

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 890 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beychac et Caillau », sur la commune de Beychac-et-Caillau, mise en service en 1971[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 852,7 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 15 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Eulalie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[20] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].

    Le territoire communal, d’une superficie de 906 ha, entre la Garonne et la Dordogne, s’étire le long de l’A10 et de la RD911. La Commune est composée, d’une part, d’un habitat pavillonnaire, de nombreux espaces verts et viticoles et d’autre part, d’une importante zone de commerces et de loisirs. Elle fait partie de la Communauté de Communes du Secteur de Saint-Loubès, elle-même intégrée au Pôle Territorial « Cœur Entre-Deux-Mers ».

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,8 %), zones urbanisées (27,2 %), cultures permanentes (24,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,7 %), forêts (5,6 %), prairies (1,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de la dédicace de la paroisse à sainte Eulalie, appelée « la vierge de Mérida », martyrisée en l'an 304[26].

    En gascon, le nom de la commune est Senta Eulàlia.

    Histoire

    Placée jadis sous la protection de la maison Montferrand et d'Aliénor d'Aquitaine, Sainte-Eulalie s'est appelée Sainte-Eulalie d'Ambarès jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'abbaye de Bonlieu, édifiée en 1141 par Sicaire sous l'impulsion des Monteferrand, amorce un vaste aménagement des terres en parcelles agricoles. Elle gagnera en notoriété par sa production de vin, donnant à la future commune les bases de son activité viticole qui persistera jusqu'à nos jours. À partir des années 1960 toutefois Sainte-Eulalie va subir une première vague d'urbanisation par lotissement, qui ira en s'intensifiant à partir des années 2000, vouant à la disparition les étendues de vigne et les prairies au profit de blocs résidentiels et de voiries. Depuis 2009 la commune est engagée dans un programme de densification urbaine en partenariat avec l'Agence nationale de rénovation urbaine, avec livraison dès 2013 de nombreuses résidences, dont des logements sociaux, faisant apparaître de nouveaux quartiers aux noms évocateurs tels Europe, Clos de Cosse ou Sabalette.

    Politique et administration

    La commune de Sainte-Eulalie fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île[27],[28]. Sainte-Eulalie fait également partie de la Communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1909   Eugène Alfred Pousson    
    1933 1977 Georges Portmann Centre gauche Sénateur (1933-1941 et 1955-1971)
    Médecin ORL
    Membre de l'Académie de Médecine
    1977 1989 Serge Dutruch PS  
    1989 1995 Marcel Riva PS  
    juin 1995 mars 2001 Jean Charpentier PS  
    mars 2001 mars 2008 Christian Laur PCF  
    mars 2008 En cours Hubert Laporte UMP puis UDI Entrepreneur et ingénieur en bâtiment Conseiller départemental depuis 2015
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Les habitants de Sainte-Eulalie sont appelés les Eulaliens[26].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 4 832 habitants[Note 7], en augmentation de 4,52 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    901806644569616759781748707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    685715768720701693711698695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    692711735761877933919871943
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1391 9532 6333 3653 9304 1894 5444 6064 632
    2015 2019 - - - - - - -
    4 5764 832-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Saintefolie
    • Défi sport

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'abside semi-circulaire de l'église est la partie la plus ancienne, édifiée au XIe siècle, dont les modillons du chevet ont été martelés ; elle est ainsi décrite par Léo Drouyn[35] : « L'abside surmontée d'un mur haut de 1,50 m environ destiné à supporter la toiture est divisé en trois pans verticaux par des contreforts élevés sur des socles et plats à leurs partie supérieure mais bien plus saillants dans le bas, à partir du milieu de leur hauteur ; cette saillie est accusée par un amortissement incliné. Ils montent jusqu'à la corniche appuyée sur des corbeaux frustes, mais où l'on distingue encore quelques moulures et des figures humaines informes. »

    Personnalités liées à la commune

    Sainte-Eulalie autrefois

    Héraldique

    Blason
    Tranché, au premier coupé au I d’azur au navire de sable habillé d’argent et flammé de gueules voguant sur une mer de sinople, et au II d’argent plain, au second d’argent à la grappe de raisin soudée d’or tigée, vrillée et feuillée d’une pièce de sinople, sommée d’un escargot contourné aussi d’or ; à la cotice d’azur chargée de trois étoiles d’or à plomb brochant sur la partition.
    Détails
    La grappe de raisin et le bateau, séparés par une bande, symbolisent l'Entre-deux-Mers et illustrent la viticulture et l’exportation des vins par voie fluviale.
    L’escargot rappelle le nom donné parfois aux Eulaliens, réputés amateurs de « cagouilles », les « Escargots »[26].
    Officiel, présent sur le site de la mairie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Notes

      Références

      1. Super User, « Ma commune », sur Mairie de Ste Eulalie (consulté le ).
      2. Sainte-Eulalie sur Géoportail, consulté le 12 octobre 2015.
      3. Sainte-Eulalie sur Géoportail, consulté le 12 octobre 2015.
      4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      10. « Station Météo-France Beychac et Caillau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      11. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie et Beychac-et-Caillau », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station Météo-France Beychac et Caillau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      13. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
      14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      20. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      26. Sainte-Eulalie sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
      27. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance.
      28. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde.
      29. Annuaire des villes jumelées.
      30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      34. « Église paroissiale Sainte-Eulalie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
      35. L. Drouyn, Sté Archéologique de Bordeaux, tome 1, 1874, p. 74.
      36. « Basket : la Bordelaise Valériane Ayayi va à l’Euro pour "gagner" », sur SudOuest.fr (consulté le ).
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