Sens-Beaujeu

Sens-Beaujeu est une commune française, située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire. Elle appartient également à l’ancienne province du Berry

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Sens-Beaujeu

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Bourges
Intercommunalité Communauté de communes Pays Fort Sancerrois Val de Loire
Maire
Mandat
Laurent Fauroux
2020-2026
Code postal 18300
Code commune 18249
Démographie
Gentilé Sembeljoutains
Population
municipale
402 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 39″ nord, 2° 42′ 32″ est
Altitude Min. 223 m
Max. 392 m
Superficie 21,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Satur - Sancerre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sancerre
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sens-Beaujeu
Géolocalisation sur la carte : France
Sens-Beaujeu
Géolocalisation sur la carte : Cher
Sens-Beaujeu
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Sens-Beaujeu

    Géographie

    Plan de Sens-Beaujeu
    Plan du bourg de Sens-Beaujeu

    Située à la transition entre le Pays Fort et le Sancerrois, Sens-Beaujeu fait partie des plus vastes communes du canton de Sancerre.

    Son territoire de plateaux est largement entaillé par la rivière de la Grande Sauldre et son affluent le ruisseau de l’Étang de Couët, formant des vallons humides au paysage encore bocager. La vallée est limitée au sud-ouest par une chaîne de collines couvertes de bois qui, partant de Neuilly en Sancerre (point culminant du canton 392 mètres dans la forêt communale) se dirige vers Aubigny sur Nère. A l'est la colline des Bruyères (365 mètres sur Crézancy) se prolonge sur Sens-Beaujeu (330 mètres) tandis qu'au nord le Bois Briou n'a que 276 mètres d'altitude. Le point le plus bas est à 230 mètres au Parc en limite avec Le Noyer. Les hauteurs de l'Est de la commune sont des collines de silex crétacé occupées par la forêt.

    La superficie de la commune est de 2.154 hectares, avec une forme triangulaire pointée vers l'ouest et dont la base nord-sud (de 6 kilomètres) passerait près du bourg et au droit de ce dernier une petite avancée saillant en direction de l'est portant ainsi la longueur de l'axe est-ouest à plus de 8 kilomètres.

    La diversité des sols, riches en pierre à chaux, argile, marne et sable, ont permis l’installation de fours à chaux ou de tuileries, comme l’ancienne Tuilerie des Barras dont il reste quelques vestiges[1].

    La particularité de ce chef-lieu communal est incontestablement l’étendue de sa place, qu’enrichit une fontaine monumentale, avec sa vasque en fonte exceptionnelle pour le département[2].

    La forte dispersion de son habitat (80 lieux-dits ou hameaux dénombrés) et son activité relevant de la polyculture (élevage d’ovins et de bovins, production céréalière) rattachent Sens-Beaujeu davantage au Pays Fort qu’au Sancerrois.

    Lieux-dits et écarts

    A

    • Les Arrentis

    B

    • Les Barberies
    • La Bardoise
    • Les Bardoises
    • Les Barrats
    • Bel Air
    • Les Bergères
    • Le Bois Briou
    • Le Bois Jarreau
    • Le Bordier
    • Bureau
    • La Buzardière

    C

    • Le Chaillou
    • Les Chailloux
    • Château de Beaujeu
    • Le Château de la Motte
    • Le Château Joyeux
    • Les Chênes
    • Les Cherriers
    • Le Chezal Reine
    • Le Chezal Riffet
    • Le Crotet
    • Le Crotot
    • La Culotterie

    D

    • Les Deux moulins

    E

    • Engros

    F

    • Les Fossés

    G

    • Gambier
    • Les Grisons
    • Le Gué du Roi

    L

    • Le Larray

    M

    • Machereaux
    • La Maison Neuve
    • La Maison Rouge
    • Les Maisons Neuves
    • Les Malchains
    • La Martaine
    • Le Masnet
    • Même Rang
    • La Métairie Charlon
    • La Métairie du Chêne
    • La Métairie du Thou
    • Les Migeons
    • Le Montcontent (lotissement)
    • La Motte
    • Le Moulin d'Allery
    • Le Moulin de Conflans
    • La Moutonnerie

    P

    • Les Petites Fontaines
    • La Pigeonnerie
    • Pincet
    • Les Potiers

    Q

    • Les Quartiers Royers

    R

    • Les Réaux
    • Les Rois
    • Les Rois du Gué
    • Le Ruguenard

    T

    • Tierceau

    V

    • La Valoterie
    • Le Vernoy


    Localisation

    Urbanisme

    Typologie

    Sens-Beaujeu est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Satur - Sancerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), prairies (34,8 %), forêts (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (1,2 %)[8].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sens-Beaujeu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sens-Beaujeu.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[11]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 331 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 249 sont en en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[12],[13].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[9].

    Histoire

    Extrait de la carte du Duché de Berry autour Sens-Beaujeu - 1566
    Extrait du plan du cadastre napoléonien de Sens-Beaujeu - 1819

    La présence d’habitation sur la commune de Sens-Beaujeu est ancienne puisque des vestiges archéologiques au lieu-dit Les Malchins attestent la présence d’une villa gallo-romaine aux abords du tracé probable d’une voie reliant Saint-Thibault-sur-Loire à Neung-sur-Beuvron. Des traces de construction romaine ont également été mises au jour à proximité du bourg.[14]

    L’histoire du village est intimement liée à celle de la famille de Sully, une des plus puissantes familles du Berry au Xe siècle. Jean de Mesnil-Simon, descendant par alliance des Sully par son mariage avec Philippa de Rochechouart[15], déplace, à la moitié du XVIe siècle, le siège de sa seigneurie de la commune limitrophe de Neuilly-en-Sancerre à la paroisse de Sens, en faisant construire une imposante demeure seigneuriale au bord de la Sauldre, le Château de Beaujeu.

    C’est à cette époque que le nom de Beaujeu commence à être attaché à celui de Sens, et le village prend officiellement le nom de Sens-Beaujeu en , lors de la création des communes.

    Sorcellerie et procès des Sorciers de Marlou

    Repas et danses durant le sabbat. D'après Bartholomaeus Spranger, xvIIIe siècle

    Sens-Beaujeu a été le théâtre d’une des plus célèbres histoires de sorcellerie : les Sorciers du carroy de Marlou. Le Berry a depuis longtemps cultivé la réputation populaire et internationale d'être le "foyer principal de la sorcellerie français", et le procès des Sorciers du carroy de Marlou est l’un des rares documents entiers qu’on a pu garder"[16],[17] .

    Peu avant 1583, Bernard Girault, un garçon de douze ans, se retrouve ensorcelé par son cousin Étienne Girault. Un sorcier, Jean Tabourdet, sergent seigneurial à Sens-Beaujeau, l'aurait possédé en faisant venir à lui - par l'intermédiaire de son cousin - une petite bête noire.

    Alerté qu’un jeune garçon de la Châtellenie de Beaujeu soit « possédé de malins esprits qui le tourmentent », le seigneur de Beaujeu, Jean du Mesnil-Simon demande à Pierre Ragun, bailly de Beaujeu et de Sens, de régler le procès. Le petit Girault raconte comment la bête l’a commandé de se rendre, la nuit, au carroy de Marlou (littéralement "Carrefour des mauvais loups", situé de nos jours au croisement des routes de Menetou-Ratel à Sancerre et de Bué à Sens-Beaujeu[18]). Comme tout carrefour, le carroi de Marlou constitue un lieu traditionnel de sabbat. Bernard raconte y voir beaucoup de gens, entre 25 et 30.

    Aux termes d’un procès de trois mois, 5 personnes seront jugées coupables d’être sorciers ou de participer au sabbat. Ils seront pendus puis brûlés, à l’endroit même du Carroi de Marlou[19].

    La Petite Vendée du Sancerrois

    Sens-Beaujeu est un lieu important du mouvement insurrectionnel royaliste qui se produisit dans le Cher en 1796, qu’on désigne sous le nom de "Petite Vendée du Sancerrois", en référence à la Guerre de Vendée qui opposa les républicains et royalistes, ces derniers combattant pour le retour de la Monarchie Française, en établissant sur le Trône Louis XVIII.

    Le , l’Armée Catholique et Royale du Sancerrois, avec à sa tête le jeune adjudant-général dans l’armée de Condé, Louis Edmond Le Picard de Phélippeaux, passe à Sens-Beaujeu puis s'empare de Sancerre. Après y avoir séjourné quelques jours, les soldats se replient sur Sens-Beaujeu le , où ils dressent leur campement sur la place du village.

    Dans la nuit du 11 au 12, l’armée royaliste est surprise et mise en déroute par l'armée républicaine, commandée par le général Desenfants, faisant une centaine de morts. Cet épisode, connu sous le nom de Bataille de Sens-Beaujeu, marque la fin de ce mouvement insurrectionnel .

    Trois des principaux chefs de l’armée royaliste sont tués, dont l’Abbé Claude Antoine Buchet, curé de Jalognes et prêtre réfractaire, engagé comme prieur des troupes royalistes. Une stèle lui est dédiée sur la place de Sens-Beaujeu[20].

    Les Economiques du Cher

    Entre 1885 et 1966, le département du Cher a été largement quadrillé par les trains[21]. De 1906 à , la Société générale des chemins de fer économiques a exploité la ligne La Guerche / Argent[22] (La Guerche-sur-l'Aubois et Argent-sur-Sauldre) via Veaugues, qui comportait une gare à Sens-Beaujeu[23].

    Cette ligne permettait en particulier d’acheminer la population du Nord et de l’Est du département vers la sous-préfecture de l’époque (Sancerre) moyennant un changement à la gare de Neuilly Moulin-Jamet, véritable nœud ferroviaire[24].

    L'ancienne gare de Sens-Beaujeu existe toujours et se trouve au bout d'une allée qui donne sur le chemin des Deux Moulins, au Larray.[25]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1796 Etienne Girault    
    1796 1801 Nicolas Deschamps    
    1801 1802 Louis-Claude Decensiere    
    1802 1814 Claude Girault    
    1814 1816 Jean-Baptiste Gressin    
    1816 1821 François Besson    
    1821 1830 Jean-Maurice De Pommereau    
    1830 1835 Sylvain Poupaille    
    1835 1861 Louis Saujot    
    1861 1870 François De Guinaumont    
    1870 1871 Louis Dubout    
    1871 1874 Jean-Baptiste Renard    
    1874 1874 Louis Dubout    
    1874 1875 Jules Cirotte (Adjoint)    
    1875 1876 Jean Chauveau    
    1876 1876 Louis Hautin    
    1876 1887 Jean-Baptiste Renard    
    1887 1892 Louis Hautin    
    1892 1892 Jean-Baptiste Renard (Fils)    
    1892 1896 Pierre Vatan    
    1896 1919 Jean-Baptiste Renard    
    1919 1935 Jean Girault    
    1935 1977 Raymond Godon    
    1977 1994 Jean Raffestin    
    1994 mars 2014 Michel Granjon    
    mars 2014 mai 2020 Philippe Riffault    
    mai 2020 En cours Laurent Fauroux    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2019, la commune comptait 402 habitants[Note 3], en diminution de 2,66 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1451 0999621 1091 1131 1841 2121 3141 381
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3931 4591 4251 3261 2951 2871 3011 2221 170
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1451 1321 080979909807777730602
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    591511444430398377413428425
    2014 2019 - - - - - - -
    402402-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Caprais. XIIIe s. XVe s. Fin XIXe s.
    • Le château de Beaujeu
    • Fontaine publique avec vasque en fonte aux visages d'angelots, 1879.
    • Le village comprenait 6 moulins dont l’un est attesté depuis le XIIIe siècle[30]. Les moulins de Conflans et celui du Croté existent encore.
    • L'étang communal des Barberys, crée en 1976.


    Le village autrefois

    Au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, cinq foires se succédaient chaque année[31].

    Plus peuplée que les communes limitrophes, Sens-Beaujeu fut un temps chef-lieu de canton.


    Enseignement

    La commune est située dans l'académie d'Orléans-Tours.

    Une école publique accueille les petits de première et deuxième années de maternelle et fait partie d'un regroupement inter-communal avec les communes de Menetou-Râtel et Crézancy-en-Sancerre.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. Blog de Sirius, « Sens-Beaujeu: l'ancienne tuilerie des Barras ».
    2. Conseil Général du Cher (Service de l’Inventaire du Patrimoine), « La fontaine de Sens-Beaujeu », sur Patrimoine du canton de Sancerre.
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. « Les risques près de chez moi - commune de Sens-Beaujeu », sur Géorisques (consulté le )
    10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    11. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    12. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    13. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    14. Jean-François Chevrot - Jacques Troadec, « Carte archéologique de la Gaule - Le Cher - Sens-Beaujeu », sur Google Books, .
    15. Base collaborative Pierfit, « Généalogie de Jean de Mesnil-Simon », sur Généanet.
    16. « Procès de sorcellerie, fait devant le Parlement de Paris contre Etienne Girault... », sur Bibliothèque Nationale de France - Ms Français n° 10.973, 20 décembre 1582-30 mars 1583.
    17. « Messes noires et empoisonnements », Le Parisien, .
    18. « Emplacement du « Carroi Marlou » de nos jours », sur Google Maps.
    19. Nicole Jacques-Chaquin et Maxime Préaud, « Les Sorciers du carroi de Marlou », sur Google Books.
    20. Georges Yver, « La petite Vendée du Sancerrois », sur www.persee.fr, Revue d’Histoire Moderne & Contemporaine (1901, p. 349-376), .
    21. Le Répertoire des Rues Ferroviaires, « Carte ferroviaire du département du Cher », sur Rue du Petit train.
    22. Fil de discussion, « Balade le long des lignes SE du Cher », sur Forums de Passions Métrique et Etroite.
    23. Paul Hurley, « Le chemin de fer en Sancerrois, Pays Fort et Champagne Berrichone », sur Place des Librairies, .
    24. Blog de Sirius, « Neuilly-en-Sancerre : la gare de Moulin-Jamet ».
    25. « Emplacement de l'ancienne gare de Sens-Beaujeu », sur Google Maps.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Conseil Général du Cher (Service de l’Inventaire du Patrimoine), « Généralités sur Sens-Beaujeu », sur Patrimoine du canton de Sancerre.
    31. Conseil Général du Cher (Service de l’Inventaire du Patrimoine), « Le village de Sens-Beaujeu », sur Patrimoine du canton de Sancerre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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