Sites mégalithiques du Puy-de-Dôme

Les sites mégalithiques du Puy-de-Dôme sont peu nombreux mais la position géographiquement centrale du département constitue un carrefour où aboutit un certain nombre de grands courants voisins (quercynois principalement et dans une moindre mesure atlantique). Les dolmens et les menhirs sont architecturalement très homogènes, rarement spectaculaires et très concentrés géographiquement. Ils correspondent à un mégalithisme assez tardif, de la deuxième moitié du Néolithique. Le matériel archéologique retrouvé est assez pauvre.

Le dolmen du Parc à Saint-Nectaire

Le folklore populaire associé à ces constructions mégalithiques est rare et peu original.

Répartition géographique

Répartition géographique des mégalithes.

 : dolmen -  : menhir -  : autre site mégalithique

La région de Saint-Nectaire (6 dolmens) et les environs de Clermont-Ferrand (6 menhirs) et Riom (2 menhirs) concentrent plus du tiers des constructions mégalithiques du département. A contrario, la Limagne et le nord-est du département ne comportent aucun édifice. Il ne semble pas que cette disparité soit liée au contexte géologique. La plupart des monuments ont été édifiés sur des massifs cristallins, en utilisant la pierre locale, granitique ou volcanique. Le dolmen de Cournols est le seul édifice connu comportant une dalle d'origine lointaine et ayant nécessité un transport difficile compte tenu du relief[1].

En général, les dolmens ont été édifiés sur des plateaux ou à flanc de massif à une altitude comprise entre 400 m et 1 080 m et les menhirs dans les plaines et vallées entre 340 m et 955 m d'altitude[1]. Dans tous les cas, les mégalithes ont été dressés sur des éminences ou des versants, avec une volonté manifeste de dominer un territoire et d'être visibles de loin. Les emplacements ont été dictés par des critères d'ordre topographique plus que géologique[2].

Dolmens et menhirs

Les dolmens du département appartiennent essentiellement au type des dolmens simples (type « A » ou « B »). On ne connaît qu'une seule allée couverte (l'Usteau du Loup) et qu'un seul dolmen de type angevin, à portique, celui de Cournols. La très grande majorité de ces dolmens appartiennent ainsi au groupe des dolmens du Causse[3] (Aveyron et Lot) ; a contrario deux édifices se distinguent par une influence marquée du mégalithisme venu de l'ouest (Pierre Fade[3], Usteau du Loup).

Les chambres sont pratiquement toujours de forme rectangulaire (hormis la Pierre Fade) mais de taille variable. La plus petite chambre sépulcrale est celle de la Pierre Cuberte, la plus spacieuse celle de l'Usteau du Loup. Les chambres ouvrent surtout à l'est et au sud-est, seul le dolmen de la Pineyre semble ouvrir à l'ouest mais il n'est pas certain qu'il s'agisse de son ouverture d'origine[4]. Les faces internes des orthostates sont généralement planes, voire lisses, alors que les faces externes sont demeurées à l'état brut. Le dolmen de Boisseyre est quant à lui le seul dolmen du département ayant conservé sa dalle de fermeture[4]. Les tumuli sont de forme ovoïde, avec une taille comprise entre m et 12 m de diamètre pour 1,50 m de hauteur en moyenne[4].

Les menhirs sont constitués de blocs naturels, le plus souvent en granite porphyroïde et dans une moindre mesure en basalte, arkose ou grès[5]. « L'absence totale, en Limagne, de blocs de roche dure de volume suffisant (basaltes) ou de forme adéquate » explique cette prédominance du granite[2]. Si les formes sont très variées au niveau de la section (triangulaire, carrée, ovalaire...), les angles et le sommet sont généralement arrondis. Quelques menhirs ont été retaillés lors de leur christianisation (menhir de Villars, Croix de Saint-Roch, menhir de Freydefond). Seuls quatre spécimens atteignent ou dépassent les m de hauteur, la hauteur moyenne s'établissant aux alentours de 2,50 m[6]. On ne connaît aucun alignement ou cercle de pierre pour le département.

Fouilles archéologiques et datation

Les plus anciennes fouilles connues sont celles effectuées par l'abbé Croizet en 1841 à Cournols. Beaucoup de dolmens ayant été pillé de longue date, peu d'entre eux ont livré un matériel archéologique. Seuls cinq dolmens ont fourni du matériel lithique et trois du matériel céramique. Quant aux ossements, les sols acides n'ont permis leur conservation qu'à de rares exceptions (dolmen du Parc, dolmen de Saillant, dolmen de la Grotte[7].

L'étude du mobilier archéologique découvert permet toutefois de dater les édifices mégalithiques du département d'une période comprise entre le Néolithique moyen (2 800 à 2 700 av. J.-C.) jusqu'au deuxième Âge du fer (Ier siècle av. J.-C.)[8].

Légendes, croyances et pragmatisme

Comme dans d'autres départements, l'association des mégalithes aux fées, aux géants et aux loups est assez répandue dans le Puy-de-Dôme, comme en atteste le nom même de certains monuments (pierre des fées, grotte des fées, Palet de Roland (Samson), Cabane du loup...). Pour autant, peu de légendes précises nous sont parvenues.

L'assimilation des monuments à la culture celtique est aussi une erreur commune (autel des Druides, dolmen du Puy-de-Crouël). Toutefois, la crainte inspirée par les monuments n'empêche pourtant pas de leur accorder parfois un rôle utilitaire de bornage (menhir de Gourdon, menhir de Méjanesse).

Inventaire

Dans sa Statistique monumentale du département du Puy-de-Dôme, Jean-Baptiste Bouillet dresse en 1846 le premier inventaire connu des sites mégalithiques du département. Il recense alors 10 dolmens, 14 menhirs et 8 pierres branlantes[9]. En 1864, Alexandre Bertrand mentionne 13 dolmens[10]. La Liste des dolmens et allées couvertes de la Gaule classés par département de 1878 mentionne 15 dolmens répartis sur 13 communes[11]. En 1880, Étienne Castagné recense 25 dolmens, 19 menhirs, 2 pierres à bassins, 11 pierres branlantes et 1 « pierre diverse » (sic)[12]. En 1901, Adrien de Mortillet comptabilise 20 menhirs[13], et Joseph Déchelette mentionne 29 dolmens, en 1908[14]. En 1909, Léon Coutil publie un Inventaire sommaire des monuments mégalithiques du Puy-de-Dôme[15]. À partir de 1910, le docteur G. Charvilhat entreprend une étude approfondie des mégalithes du département et confectionne une Carte préhistorique du département du Puy-de-Dôme où il recense 30 dolmens, 19 menhirs et 3 pierres à bassins. Cette liste comprend beaucoup de faux monuments. Actualisée en 1931 par ses soins, elle ne compte plus que 10 dolmens, 2 allées couvertes, 15 menhirs et 12 pierres à bassin. Le décompte de Fernand Niel en 1958[16] reprend les décomptes de Mortillet et Déchelette et les actualise, soit 20 dolmens et 20 menhirs.

Le dernier inventaire systématique connu est celui de Sylvie Amblard en 1983. Elle aboutit au décompte suivant[17] :

  • dolmens : 16 monuments véritables, 3 monuments hypothétiques à l'état de vestiges, 13 monuments hypothétiques disparus, 6 monuments douteux disparus, 14 sites identifiés à tort comme dolmens et 3 confusions entre sites;
  • menhirs : 22 monuments véritables, 18 monuments hypothétiques disparus, 2 faux menhirs;
  • 9 pierres à cupules.
Nom usuel Commune Remarque Protection Coordonnées Illustration
Dolmen de Boisseyre Ambert autre nom : Pierre Couverte  Classé MH (1927)[18] 45° 32′ 46″ N, 3° 42′ 13″ E
Menhir du Pont d'Aubière Aubière autre nom : Pierre Piquée  Inscrit MH (1971)[19] 45° 45′ 25″ N, 3° 07′ 48″ E
Menhir de Fohet Aydat autre nom : Pierre Longue 45° 38′ 50″ N, 2° 59′ 20″ E
Pierrelatte Blot-l'Église menhir détruit[20]
Dolmen de Loubaresse Le Broc  Classé MH (1978)[21] 45° 30′ 55″ N, 3° 15′ 35″ E
Pierre Fichade Le Broc détruit[22]
Pierrefitte Bromont-Lamothe menhir disparu[20]
Pas de Gargantua Chambon-sur-Dolore pierre à cupules[23]
Pierre Fichade Champeix  Classé MH (1889)[24] 45° 35′ 57″ N, 3° 07′ 17″ E
Dolmen du Puy-de-Crouël Clermont-Ferrand autres noms : Menhir de la Sarre, Autel des Druides  Classé MH (1965)[25] 45° 46′ 13″ N, 3° 07′ 34″ E
Menhir du Brézet Clermont-Ferrand enterré[26]
Menhir de Sainte-Anne Clermont-Ferrand autre nom : Pierre Longue  Classé MH (1924)[27] 45° 46′ 42″ N, 3° 08′ 54″ E
Menhir du Puy de la Poix Clermont-Ferrand autre nom : Pierre Piquée 45° 46′ 55″ N, 3° 08′ 48″ E
Dolmen de la Grotte Cournols  Classé MH (1889)[28] 45° 38′ 29″ N, 3° 02′ 11″ E
Menhir de Montotoute Davayat autre nom : Pierre du Tombeau  Classé MH (1889)[29] 45° 56′ 49″ N, 3° 06′ 33″ E
Dolmen détruit[30] Dore-l'Église
Pierre Cuberte Job dolmen  Inscrit MH (1979)[31] 45° 38′ 06″ N, 3° 45′ 45″ E
Dolmen détruit[32] Lezoux
Grosse Pierre du Bois des Brosses Menat menhir[33] 46° 07′ 13″ N, 2° 51′ 30″ E
La Chabanette Montaigut-le-Blanc dolmen détruit[34]
Menhir de Gourdon Montaigut-le-Blanc autres noms : Pierre Fichée, Pierre Piquée, Pierre des Fées, Pierre du Territoire[35]
Autel des Druides Murol mégalithe douteux[36]  Classé MH (1948)[37]
Menhir de Villars Orcines christianisé 45° 46′ 40″ N, 3° 01′ 51″ E
Menhir de Pessat-Villeneuve Pessat-Villeneuve menhir déplacé en bord de route[38]. 45° 55′ 26″ N, 3° 09′ 21″ E
Pierre Poujinaire Riom autre nom : Menhir de la Varenne 45° 53′ 04″ N, 3° 07′ 32″ E
Menhirs de Barbouly Sainte-Christine 2 menhirs  Classé MH (1982)[39] 46° 05′ 06″ N, 2° 49′ 50″ E
Dolmen de Pierre-Fade Saint-Étienne-des-Champs  Classé MH (1989)[40] 45° 47′ 48″ N, 2° 35′ 43″ E
Croix de Berzet Saint-Genès-Champanelle menhir douteux[41]
Menhir de Chatrat Saint-Genès-Champanelle douteux[41] 45° 43′ 33″ N, 3° 00′ 02″ E
Menhir de Thèdes Saint-Genès-Champanelle christianisé déplacé

45° 44′ 08″ N, 3° 01′ 23″ E

Pierre Sanglante Saint-Genès-du-Retz pierre à cupules[42] 46° 03′ 51″ N, 3° 12′ 31″ E
Menhir de la Pierre aux Prades Saint-Germain-l'Herm autre nom La Grosse Femme
authenticité incertaine[43]
45° 27′ 29″ N, 3° 30′ 35″ E
Menhir de Saint-Germain-l'Herm Saint-Germain-l'Herm authenticité incertaine[43] 45° 27′ 34″ N, 3° 32′ 32″ E
Dolmen de Farges Saint-Germain-près-Herment autre nom : Dolmen de Montaury  Classé MH (1889)[44] 45° 43′ 56″ N, 2° 32′ 39″ E
Usteau du Loup Saint-Gervazy allée couverte  Classé MH (1896)[45] 45° 24′ 37″ N, 3° 12′ 26″ E
Croix de Saint-Roch Saint-Nectaire menhir christianisé 45° 35′ 11″ N, 2° 58′ 43″ E
Dolmen du Parc Saint-Nectaire autre nom : Second Palet de Samson  Classé MH (1862)[46] 45° 34′ 52″ N, 2° 59′ 40″ E
Dolmen de la Pineyre Saint-Nectaire autre nom : Dolmen de la Bonnet  Classé MH (1923)[47] 45° 35′ 52″ N, 2° 59′ 00″ E
Dolmen de Saillant Saint-Nectaire autres noms : Le Palet de Roland, Le Palet de Samson, La Grotte aux Fées  Classé MH (1862)[48] 45° 34′ 11″ N, 3° 01′ 13″ E
Dolmen de Sapchat Saint-Nectaire ruiné 45° 34′ 45″ N, 2° 58′ 26″ E
Menhir de Freydefond Saint-Nectaire 45° 35′ 55″ N, 2° 58′ 43″ E
Dolmen du Lac Saint-Pierre-Colamine autres noms : La Pierre Sanglante, La Guillotine  Classé MH (1927)[49] 45° 32′ 23″ N, 2° 59′ 57″ E
Dolmen de Méjanesse Saint-Sauves-d'Auvergne détruit[50]
Menhir de Méjanesse Tauves autres noms : Pierre des Plaines des Landais, Pierre des Quatre Curés, Pierre des Quatre Cures, Pierre des Quatre Paroisses  Classé MH (1976)[51] 45° 35′ 18″ N, 2° 39′ 21″ E
Mégalithes de Veyre-Monton Veyre-Monton alignements, cromlech, statue-menhir, cairn[52] détruit 45° 41′ 00″ N, 3° 08′ 39″ E
Pierrefade Veyre-Monton menhir détruit[53]

Notes et références

  1. Amblard 1983, p. 78
  2. Frédéric Surmely, Alain de Goër de Herve, René Murat et René Liabeuf, « Apports de l'étude de la localisation des monuments mégalithiques à la compréhension du phénomène mégalithique », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 93-3, , p. 434-441 (lire en ligne)
  3. Amblard 1983, p. 88
  4. Amblard 1983, p. 80-81
  5. Amblard 1983, p. 82
  6. Amblard 1983, p. 79
  7. Amblard 1983, p. 82-83
  8. Amblard 1983, p. 87
  9. Amblard 1983, p. 13
  10. Alexandre Bertrand, « De la distribution des dolmens sur la surface de la France », Revue Archéologique, no Volume 10, (lire en ligne)
  11. « Liste des dolmens et allées couvertes de la Gaule classés par département », Revue Archéologique, no Volume 35, , pp. 325-326 (lire en ligne)
  12. « Inventaire des monuments mégalithiques », Bulletin de la Société Anthropologique de Paris, , pp. 110-112 (lire en ligne)
  13. Adrien de Mortillet, « Distribution géographique des dolmens et des menhirs de la France », Revue mensuelle de l'École d’anthropologie de Paris, no A11, (lire en ligne)
  14. Joseph Déchelette, Manuel d'Archéologie préhistorique celtique et gallo-romaine, Paris, Picard, , vol. I
  15. Léon Coutil, « Inventaire sommaire des monuments mégalithiques du Puy-de-Dôme », L'Homme préhistorique, , pp. 73-85
  16. Fernand Niel, Dolmens et menhirs, Paris, P.U.F, Que Sais-je ? (no 764), , quatrième éd., 122 p., p. 87
  17. Amblard 1983, p. 76-77
  18. « Dolmen dit La Pierre Couverte », notice no PA00091855, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. « Menhir du Pont d'Aubières dit de La Pierre Piquée », notice no PA00091873, base Mérimée, ministère français de la Culture
  20. Amblard 1983, p. 25
  21. « Dolmen de Loubaresse », notice no PA00091925, base Mérimée, ministère français de la Culture
  22. Amblard 1983, p. 40
  23. Amblard 1983, p. 26-27
  24. « Menhir dit Pierre Fichade », notice no PA00091945, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « Menhir de la Sarre », notice no PA00092034, base Mérimée, ministère français de la Culture
  26. Amblard 1983, p. 29
  27. « Menhir de Sainte-Anne », notice no PA00092035, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. « Allée couverte de la Grotte », notice no PA00092089, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Menhir », notice no PA00092112, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. Amblard 1983, p. 36
  31. « Dolmen de Pierre Cuberte », notice no PA00092145, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Amblard 1983, p. 410
  33. Amblard 1983, p. 41-42
  34. Amblard 1983, p. 43
  35. Amblard 1983, p. 43-44
  36. Amblard 1983, p. 45
  37. « Table mégalithique dite Autel des Druides », notice no PA00092215, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. Bouscayrol (R.) - 1986 - Les mégalithes de la région riomoise. Page 15 à 17
  39. « Deux mégalithes », notice no PA00092345, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Dolmen de Pierre-Fade », notice no PA00092531, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Il n'est mentionné comme tel que par la société historique locale
  42. Amblard 1983, p. 52-53
  43. Surmely 1995, p. 118-120
  44. « Dolmen de Farges », notice no PA00092357, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. « Dolmen dit l'Usteau du Loup ou La Grotte des Fées », notice no PA00092360, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « Dolmen du Parc », notice no PA00092374, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. « Tumulus-dolmen de la Pennet (ou Pineyre) », notice no PA00092377, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. « Dolmen de Saillant », notice no PA00092375, base Mérimée, ministère français de la Culture
  49. « Dolmen du Lac », notice no PA00092379, base Mérimée, ministère français de la Culture
  50. Amblard 1983, p. 69
  51. « Menhir dit Pierre des Quatre Curés », notice no PA00092424, base Mérimée, ministère français de la Culture
  52. « Actualité | Les mégalithes de Veyre-Monton (Puy-de-Dôme) : alignements de menhirs, tombe, cairn et statue », sur Inrap, (consulté le )
  53. Amblard 1983, p. 44

Annexes

Bibliographie

  • Sylvie Amblard, Inventaire des mégalithes de la France, 8 - Puy-de-Dôme, Paris, Éditions du C.N.R.S, coll. « 1er supplément à Gallia Préhistoire », , 94 p. (ISBN 2-222-03207-5). 
  • Frédéric Surmely, Guide des mégalithes secrets d'Auvergne, Éditions De Borée, , 143 p. (ISBN 9782908592221), p. 89-137

Liens externes

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