Spider-Man (film)
Spider-Man est un film américain réalisé par Sam Raimi, sorti en 2002. C'est l'adaptation cinématographique du comics de Marvel Spider-Man créé par Stan Lee et le dessinateur Steve Ditko. Il a donné lieu à deux suites, Spider-Man 2 en 2004 et Spider-Man 3 en 2007.
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Réalisation | Sam Raimi |
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Scénario | David Koepp |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Columbia Pictures Laura Ziskin Productions Marvel Entertainment |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Action, science-fiction |
Durée | 121 minutes |
Sortie | 2002 |
Série Spider-Man (2002)
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Orphelin, Peter Parker est élevé par sa tante May et son oncle Ben dans le borough de Queens à New York. Il est victime d'humiliations de la part de ses camarades de lycée, sauf de son meilleur ami Harry Osborn, qui le défend. Après avoir été mordu par une araignée génétiquement modifiée, qui s'était échappée d'un laboratoire qu'il visitait avec sa classe, il se découvre des pouvoirs surhumains (une force et une agilité hors du commun, la capacité d’adhérer aux parois (uniquement avec pieds et mains) ainsi qu'un « sens d'araignée » l'avertissant des dangers imminents).
Norman Osborn, père de Harry, président et fondateur de la société Oscorp, tente lui-même une expérience sur un produit sur lequel il travaille. Mais cela affecte sa personnalité : il devient violent, agressif et tue son assistant en laboratoire.
Un soir, Peter participe à un combat de catch, où une récompense de 3000 $ est promise au combattant survivant pendant 3 minutes face au « tronçonneur » (Bonesaw). Il y participe sous l'identité de "Spider-Man", et réussit à battre le catcheur en 2 minutes. Après le combat, l'organisateur refuse de lui donner la récompense, ne lui donnant que 100 $. Au même instant, l'organisateur malhonnête se fait braquer par un voleur. Pour se venger, Peter laisse le voleur s'enfuir avec tout l'argent de la caisse.
Malheureusement, cette erreur coûtera la vie à son oncle, qui l'attendait dans la rue, et se fait tirer dessus par le voleur qui s'enfuit. Peter remet alors son habit de Spider-Man et poursuit le voleur. Il le rattrape et le neutralise, mais ce dernier trébuche et passe à travers une fenêtre, se tuant en contre-bas.
Se sentant responsable de la mort de son oncle, le jeune homme se fabrique le célèbre costume de Spider-Man, et décide d'utiliser ses nouveaux pouvoirs pour faire le bien.
Plus tard, Norman Osborn perd sa société, ses délégués décidant de vendre son entreprise à Quest, et est contraint de démissionner. À la suite de cela, il devient le Bouffon vert, attaque la ville de New York et tue ses anciens délégués. Mais Spider-Man le neutralise. Norman change radicalement de personnalité et oblige son fils à rompre avec Mary Jane. Remettant son costume de Bouffon Vert, celui-ci capture Spider-Man et lui propose une alliance pour détruire la ville. Après avoir sauvé un bébé d'un incendie, Spider-Man tombe à nouveau sur le Bouffon Vert, et l'affronte en réponse à son offre.
Offensé, le Bouffon Vert envoie tante May à l'hôpital et prend en otage Mary Jane, ainsi que des scouts. Puis le Bouffon Vert laisse le choix à Spider-Man : choisir de sauver soit Mary Jane, soit les jeunes enfants, et les précipite tous les deux dans le vide. Spider-Man parvient cependant à sauver tout le monde, mais le Bouffon Vert le balance dans un bâtiment abandonné, et lui inflige une sévère correction. En déclarant vouloir tuer Mary Jane, Osborn provoque la colère de Peter, qui reprend le dessus sur lui, et ce dernier découvre que c'est le père de Harry qui se cache sous le casque du méchant. Osborn tente de tuer Peter avec son planeur, mais le jeune homme esquive et Osborn est embroché par sa propre arme. Tout juste avant de mourir, Osborn dit à Peter de ne rien dire à Harry. Lors des funérailles, Mary Jane va voir Peter pour lui avouer ses sentiments, l'embrasse, mais celui-ci, refusant de mettre sa vie en danger, ne lui offre que son amitié.
Fiche technique
- Réalisation : Sam Raimi
- Scénario : David Koepp, avec les participations non créditées de Scott Rosenberg, Alvin Sargent et James Cameron[1], d'après Spider-Man créé par Stan Lee et Steve Ditko
- Directeur de la photographie : Don Burgess
- Musique : Danny Elfman
- Son : Pierre Marcel
- Créateur des costumes : James Acheson
- Montage : Arthur Coburn
- Production : Laura Ziskin et Ian Bryce
- Sociétés de production : Columbia Pictures, Laura Ziskin Productions et Marvel Entertainment
- Distribution : Columbia TriStar Films
- Pays d'origine : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Genres : Action et science-fiction
- Durée : 121 minutes
- Budget de production (estimation) : 139 000 000 $
- Dates de sortie[2] :
- États-Unis :
- France :
Distribution
- Tobey Maguire (VF : Damien Witecka ; VQ : Hugolin Chevrette-Landesque) : Peter Parker / Spider-Man
- Willem Dafoe (VF : Éric Herson-Macarel ; VQ : Guy Nadon) : Norman Osborn / le Bouffon vert
- Kirsten Dunst (VF : Marie-Eugénie Maréchal ; VQ : Aline Pinsonneault) : Mary Jane Watson
- James Franco (VF : Philippe Valmont ; VQ : Antoine Durand) : Harry Osborn
- Rosemary Harris (VF : Monique Martial ; VQ : Françoise Faucher) : May Parker
- Cliff Robertson (VF : Marc Cassot ; VQ : Denis Mercier) : Ben Parker
- J. K. Simmons (VF : Jean Barney ; VQ : Pierre Chagnon) : J. Jonah Jameson
- Bill Nunn (VF : Luc Florian) : Joseph « Robbie » Robertson
- Gerry Becker (VF : Jean-Yves Chatelais ; VQ : Claude Préfontaine) : Maximilian Fargas
- Michael Papajohn (VF : Emmanuel Karsen ; VQ : Thiéry Dubé) : Dennis Carradine, cambrioleur et voleur de la voiture d'oncle Ben
- Stanley Anderson (VF : Claude Brosset ; VQ : Raymond Bouchard) : le général Slocum
- Elizabeth Banks (VF : Odile Cohen) ; VQ : Natalie Hamel-Roy) : Betty Brant
- Ron Perkins : le docteur Mendel Stromm
- Bruce Campbell (VF : Gérard Rinaldi ; VQ : Yves Corbeil) : l'annonceur sur le ring
- Joe Manganiello (VF : Marc Saez ; VQ : Martin Watier) : Flash Thompson
- Jack Betts (VQ : Aubert Pallascio) : Henry Balkan
- Lucy Lawless : La fille punk
- Amy Bouril : La secrétaire de Jameson
- Deborah Wakeham (VQ : Johanne Léveillé) : La mère de Billy
- Una Damon (en) (VQ : Isabelle Leyrolles) : La présentatrice au laboratoire
- Tim De Zarn (VQ : Jean-Marie Moncelet) : Philip Watson, Le père de Mary Jane
- Lou Torres (VF : François Siener ; VQ : Daniel Lesourd) : Enrique
- Randy Savage (VF : Sylvain Lemarié ; VQ : Vincent Davy) : Bone Saw McGraw, le catcheur
- Robert Kerman : Le capitaine du remorqueur
- Octavia Spencer : La femme prenant les inscriptions au catch
- Sara Ramirez : Un agent de police
- Scott L. Schwartz : Le catcheur qui crie
- Stan Lee : Le vieil homme (caméo)
- Lisa Danielle : Fille de Bone Saw McGraw 1
- Natalie T. Yeo : Fille de Bone Saw McGraw 2
- Erica D. Porter : Fille de Bone Saw McGraw 3
- Kristen Davidson : Fille de Bone Saw McGraw 4
Production
Développement
En 1985, Marvel Comics ouvre une enchère pour les droits d'adaptation de Spider-Man. Seul Menahem Golan, propriétaire du studio Cannon Group, enchérit pour 225 000 USD[3],[4] mais à condition de lancer la production avant [4]. À cette époque, la société Cannon a produit le Superman 4 avec Christopher Reeve. Tobe Hooper (Massacre à la tronçonneuse, Poltergeist) puis Joseph Zito (Portés disparus, Invasion USA) planchent à l'époque successivement sur l'écriture d'un projet qui tienne la route.
Mais la société Cannon est en difficulté financière, tandis que Menahem Golan fonde un studio nommé 21st Century Film Corp, son associé Yoram Globus reste à la tête de Cannon qui est absorbé par Pathé Communications alors dirigé par Giancarlo Parretti[4]. En , Parretti et Globus transfèrent les droits de Spider-Man à 21st Century Film Corp, accord confirmé en par Marvel qui repousse la production à [4]. MGM qui a récupéré les droits de 21st Century après sa faillite contestera ce transfert initié par Parretti[4]. 21st Century vend les droits de distribution télévisuelle à Viacom en 1989 et les droits vidéo à RCA/Columbia, coentreprise entre RCA et Columbia Pictures, vendue en par Coca-Cola à Sony[4]. En 1991, Marvel, 21st Century et Carolco passent un accord pour produire un film avant avec l'intention de prendre James Cameron comme réalisateur[4]. Cameron, qui a travaillé avec Carolco sur Terminator 2 : Le Jugement dernier, propose un scénario long et ambitieux qui met en scène L'Homme-sable et Electro, mais la société Carolco fait faillite en 1996[4]. MGM achète une partie de la société Carolco et réclame les droits sur Spider-Man[4]. Les droits sont coincés dans un nœud juridique dont Hollywood a le secret pendant près de 10 ans.
Plusieurs procès sont lancés. Golan au travers de 21st Century réclame dès 1993 que son nom apparaisse dans le générique comme producteur du futur film de Carolco, puis Carolco intente des procès contre Sony et Viacom qui lancent eux aussi des contre-procès[4]. En 1994, MGM entame un procès mais la période est difficile avec les soucis judiciaires de l'affaire du Crédit lyonnais mêlant Giancarlo Parretti, Pathé Communications, MGM/UA et Kirk Kerkorian, la banqueroute de Marvel ne simplifiant rien[4].
Le , au bout de huit années de procès, Columbia Pictures et sa maison-mère Sony Pictures Entertainment obtiennent les droits de produire des films sur Spider-Man réclamés par MGM[5]. Plusieurs procès avaient été initié à la suite de la vente des droits par Marvel à trois sociétés indépendantes dans les années 1980, l'une ayant licencié la production de la télévision et la vidéo à Viacom et Sony[5]. La MGMP aurait de son côté hérité ou conclu un contrat de droits pour le cinéma de l'une des sociétés disparue entretemps[pas clair][5]. Par ailleurs, Marvel a engagé un contre-procès réclamant des droits à MGM mais les deux parties ont finalement conclu un accord pour arrêter les poursuites tandis qu'en parallèle Sony concluait un contrat comprenant une avance de 10 à 15 millions de dollars pour produire un film Spiderman, une suite et des séries télévisées à condition que Toy Biz fabrique les jouets dérivés[5]. A noter qu'un projet de rachat de Marvel par Michael Jackson a un moment été en discussion avec Stan Lee mais ce projet n'a jamais pu aboutir[6].
Il faut donc attendre 1999 pour que Columbia récupère les droits d'adaptation avec le développement concocté par James Cameron, mais ce dernier n'est plus intéressé. C'est alors le défilé des réalisateurs en vogue à Hollywood dans le bureau de Columbia Pictures : Jan de Bont, Tim Burton, Chris Columbus, Roland Emmerich, David Fincher, Ang Lee et enfin Sam Raimi, qui l'emporte finalement. Le réalisateur est officialisé en [7]. Le scénario de James Cameron est initialement conservé, avant d'être retravaillé par David Koepp, qui ne garde finalement que l'idée des toiles organiques. Alors que James Cameron voulait utiliser Electro et l'Homme-sable comme antagonistes principaux, David Koepp décide finalement d'utiliser le Bouffon vert comme antagoniste principal, avec le Docteur Octopus comme ennemi secondaire[8]. Sam Raimi pense que le Bouffon vert peut être utile, notamment pour souligner la relation père-fils entre Norman Osborn et Peter Parker. Il supprime donc le Docteur Octopus[9] (il sera présent dans la suite du film).
En , la Columbia engage ensuite Scott Rosenberg pour des réécritures[10]. Scott Rosenberg supprime donc le Docteur Octopus du script et ajoute des scènes d'action[11]. La productrice Laura Ziskin engage ensuite Alvin Sargent, pour améliorer les dialogues, notamment ceux entre Peter et Mary Jane[12]. La Columbia donne à la Writers Guild of America la liste des quatre contributeurs du script final, Scott Rosenberg, Alvin Sargent, James Cameron et David Koepp. Les trois premiers préfèrent cependant ne pas être crédités, au profit de David Koepp[1].
Tournage
Le tournage débute en [12] à Culver City en Californie. Plusieurs plateaux des Sony Pictures Studios sont utilisés, notamment pour le décors de la maison des Parker à Forest Hills ou encore le combat de catch. Une scène d'action est en partie tournée à Downey[13]. À Los Angeles, une salle du musée d'histoire naturelle est utilisée pour la scène se déroulant dans le laboratoire de l'université Columbia où Peter est mordu, le Pacific Electricity Building sert de décor aux bureaux du Daily Bugle alors que le Greystone Mansion est utilisé pour les scènes d'intérieurs de la demeure de Norman Osborn. En , 4 costumes de Spider-Man sont volés durant le tournage ; Sony offre alors 25,000 $ de récompenses pour leur retour[14]. Ils seront retrouvés 18 mois plus tard lorsqu'un ancient agent de sécurité du studio et un complice seront arrêtés[15]. Après plusieurs mois de tournage en Californie, la production se rend à New York pour deux semaines. Des scènes sont tournées sur le pont de Queensboro, à la Bibliothèque Low Memorial et la New York Public Library ou encore sur un rooftop du Rockefeller Center[13]. Le Flatiron Building à Manhattan est utilisé pour les plans extérieurs du Daily Bugle[12]. L'équipe retourne ensuite à Los Angeles où le tournage s'achève.
Le tournage est achevé en avec une sortie prévue pour Noël 2001 mais des effets spéciaux supplémentaires sont requis et la date repoussée à . Ainsi, une scène tournée présentait une scène où le super-héros attrape un hélicoptère Eurocopter AS355 dans lequel un groupe de braqueurs de banque cherche à fuir. L'appareil est brusquement stoppé en plein vol puis propulsé vers l'arrière vers ce qui semble être un filet. On comprend que c'est en fait une toile d'araignée gigantesque filée entre les tours jumelles du World Trade Center. La scène a été enlevée après les attentats du 11 septembre, mais les tours apparaissent furtivement à quelques endroits du film et cette scène apparait dans la première bande-annonce[3].
La scène dans laquelle Peter Parker rattrape les aliments projetés en l'air lorsque Mary Jane glisse dans la cantine a été tournée sans l'aide d'effets spéciaux numériques, et a nécessité 156 prises[16].
Spider-Man - Original Motion Picture Score
La bande originale du film a été composée par Danny Elfman en 2002, sous le titre Spider-Man - Original Motion Picture Score[17].
Spider-Man - Music From and Inspired by
Cet album, sous le nom Spider-Man - Music From and Inspired by, reprend deux titres de Danny Elfman Main Titles et Farewell. Plusieurs morceaux entendus durant le film When It Started, What We're All About, My Nutmeg Phantasy et Theme from Spider Man ainsi que d'autres titres inspirés du film, dont la reprise de Theme from Spider Man (Revamped Theme from T.V. Show) du groupe Aerosmith. Le chanteur et guitariste du groupe de metal Nickelback Chad Kroeger a composé avec Josey Scott la chanson Hero. Le clip représente Chad Kroeger, Mike Kroeger et Josey Scott sur le toit d’un immeuble en train de jouer et quelques séquences de Spiderman sur un panneau publicitaire[18].
Accueil
Critique
Le film a eu un accueil positif pour les performances de Tobey Maguire, Willem Dafoe et J.K Simmons et l'histoire.
Box-office
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
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États-Unis Canada |
403 706 375 $[19] | 15 | |
France | 6 459 120 entrées[20] | 16 | |
Total mondial | 825 025 036 $[19] | - | - |
Le film a récolté un total de 406 millions de dollars de recettes aux États-Unis et au Canada, et 418 millions de dollars de recettes internationales pour un total de 821 millions de dollars de recettes mondiales[19]. En France, il a réalisé plus de 6 millions d'entrées, ce qui fait de lui le film de super-héros le plus rentable en France, jusqu'à être dépassé par Avengers: Endgame en 2019[20]’[21].
Notes et références
- (en) Michael A. Hiltzik, « Untangling the Web » (version du 4 mars 2016 sur l'Internet Archive), sur Los Angeles Times Magazine,
- (en) Spider-Man sur l’Internet Movie Database
- (en) Ronald Grover, « Unraveling Spider-Man's Tangled Web », sur Bloomberg News, (consulté le )
- (en) Janet Shprintz, « Spider-Man’s legal web may finally be unraveled », sur Variety, (consulté le )
- (en) Michael A. Hiltzik, « Studio Rights to Spider-Man Are Untangled », sur Los Angeles Times, (consulté le )
- https://hitek.fr/bonasavoir/michael-jackson-voulait-incarner-spiderman_1215
- Robert K. Elder, « What's ahead for comics fans », The Dallas Morning News,
- Edward Gross, Spider-Man Confidential : From Comic Icon to Hollywood Hero, Hyperion, , 208–209 p. (ISBN 0-7868-8722-2)
- Subtitled Factoids: Weaving the Web () Sony.
- Edward Gross, Spider-Man Confidential : From Comic Icon to Hollywood Hero, Hyperion, , 206–208 p. (ISBN 0-7868-8722-2)
- Claude Brodesser, « 'Spider-Man' snares scribe », Variety, (lire en ligne, consulté le )
- Greg Dean Schmitz, « Greg's Preview - Spider-Man » [archive du ], Yahoo! (consulté le )
- (en) livret (booklet) du DVD (2002), p.2–3
- « They Took Spidey's Clothes! », Internet Movie Database, (lire en ligne, consulté le )
- « 7 Bizarre Stories of Stolen Movie Props », Mental Floss, (lire en ligne, consulté le )
- Rebecca Lewis for Metro.co.uk, « Turns out there was no CGI in that tray scene in Spider-Man », sur Metro, (consulté le )
- « Danny Elfman - Spider-Man (Original Motion Picture Score) », sur Discogs (consulté le ).
- http://www.soundtrackcollector.com/title/43887/Spider-Man#labels
- (en) « Spider-Man », sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Spider-Man », sur JP's Box-Office (consulté le )
- JP, « Charts -LES ENTREES EN FRANCE », sur JP's Box-Office (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (it) Cinematografo.it
- (en) Internet Movie Database
- (en) LUMIERE
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Oscars du cinéma
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
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- (en) Metacritic
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- (en) Comic Vine
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