Télécom SudParis
Télécom SudParis (anciennement « Télécom INT ») est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[2] et est un « établissement-composante » de l'Institut Polytechnique de Paris[3] aux côtés de l’Ecole Polytechnique, l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris et Télécom Paris.
Cet article possède un paronyme, voir Télécom Paris.
Fondation |
1979 |
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Type |
École d'ingénieurs interne de l’institut Mines-Télécom |
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Nom officiel |
Télécom SudParis |
Directeur |
François Dellacherie [1] |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
853 (2020-2021) |
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Enseignants-chercheurs |
103 |
Pays | |
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Campus |
Partagé avec Institut Mines-Télécom Business School |
Ville |
Télécom SudParis est une grande école d’ingénieurs en sciences et technologies du numérique. Elle forme des ingénieurs et des docteurs innovants et entreprenants, alliant capacités conceptuelles et opérationnelles, fortement appréciés en France et à l’international dans tous les secteurs d’activité. Elle mène une recherche de haut niveau en lien étroit avec les entreprises et contribue à l’innovation dans les sciences et technologies du numérique.
Ses domaines d’excellence scientifique répondent aux défis majeurs de la transition numérique (notamment cybersécurité, science des données et intelligence artificielle, réseaux et internet des objets, multimedia), mais intègrent également des applications pour l’industrie et la ville du futur ainsi que l’environnement et la santé.
Cette école publique d'ingénieurs fait partie de l’Institut Mines-Télécom, établissement sous tutelle des ministères chargés de l’industrie et des communications électroniques, qui constitue le premier groupe français d’écoles d’ingénieurs et de management et est un institut national de science et technologie, de nature fédérale, déployé sur les territoires au travers de ses écoles et à visibilité internationale. L’IMT a été créé le avec le statut d’EPSCP grand établissement, par le décret n° 2012-279.
Télécom SudParis est par ailleurs une école-membre de l’Institut Polytechnique de Paris, regroupant 5 grandes écoles d’ingénieurs (8000 étudiants, plus de 900 chercheurs et enseignants-chercheurs), dont l’ambition est de devenir l’un des premiers pôles mondiaux scientifiques et technologiques.
Télécom SudParis déploie son activité sur deux sites principaux : Evry avec Institut Mines-Télécom Business School et Palaiseau, avec la direction générale de l’IMT et Télécom Paris et à proximité des autres écoles de l’Institut Polytechnique de Paris.
L’école compte 950 étudiants inscrits, dont 710 en formation d’ingénieur et 110 doctorants et délivre environ 330 diplômes par an. Elle dispose de 186 emplois permanents, dont une centaine d’enseignants chercheurs. Son budget annuel est de l’ordre de 29 M€ dont 38% de ressources propres.
Télécom SudParis dispose aussi d'un pôle de recherche dans le domaine des Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (STIC).
Histoire de Télécom SudParis (TSP)
L'école partage son campus avec l'Institut Mines-Télécom Business School (anciennement « INT Management » et « Télécom École de management »). Les ressources informatiques et logistiques du campus sont administrées par un secrétariat général commun aux deux écoles. Jusqu'à 2012, les deux écoles du campus formaient une structure administrative commune, Télécom et management SudParis (anciennement « Institut national des télécommunications », INT). Depuis 2012[4], Télécom SudParis existe à part entière au sein de l'Institut Mines-Télécom. Télécom SudParis garde des liens étroits avec Institut Mines-Télécom Business School par la mise en commun de plusieurs formations, du bureau des élèves, et de l'association des diplômés Télécom & Management Alumni.
Elle devient en 2019 une école de l'Institut Polytechnique de Paris[5].
- 1977 : création de l'Institut National des Cadres Techniques (INCT), centre de formation continue des cadres de la Direction Générale des Télécommunications.
- 1979 : Création de l'Institut national des télécommunications (INT), rassemblant une école d'ingénieurs formée à partir de l'Institut National des Cadres Techniques (INCT) et une école de gestion formée à partir de l'Institut National des Cadres Administratifs (INCA). La même année, la nouvelle école d'ingénieurs obtient sa première habilitation par l'État à délivrer le diplôme d'ingénieur.
- 1989 : L'école d’ingénieur réorganise ses départements d’enseignement et se dote dès 1989 d’une Direction scientifique et d’un Conseil de la recherche.
- 1990 : La formation promotionnelle se détache de l'INT par la création de l'École Nouvelle des Ingénieurs en Communication (ENIC ; actuellement Télécom Lille).
- 1992 : L’entrée à l'INT se fait sur le concours commun Mines-Ponts, tout en conservant une filière d’admission sur titres.
- 1996 : L'école prend le nom de Télécom INT.
- 1997 : Création du Groupe des Écoles des Télécommunications (GET) qui regroupe, outre l'INT, Télécom Paris et Télécom Bretagne, sous la tutelle du Ministère chargé des communications électroniques.
- 2000 : Création d'un incubateur sur le campus. Organisation du 1er Challenge Projets d'Entreprendre.
- 2003 : Créé en 2001 au sein de l’école, le laboratoire SAMOVAR, regroupant les activités de recherche en informatique et réseau, obtient sa labellisation UMR CNRS.
- 2007 : Grande réforme pédagogique du programme ingénieur qui passe notamment par le séquencement du cursus en périodes et semestres, et la création des cycles de tronc commun et d’approfondissement.
- 2008 : Le GET devient l'Institut Télécom et l’École change son nom de Télécom INT en Télécom SudParis.
- 2009 : Ouverture d'un second centre d'incubation à Arcueil (Val-de-Marne).
- 2010 : Premier Trophée Start-up innovantes.
- 2012 : L'Institut Télécom devient I'Institut Mines-Télécom qui rassemble les 4 écoles Télécom et les 6 écoles des Mines de Paris, Saint-Etienne, Alès, Douai, Nantes et Albi-Carmaux, placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’industrie et des communications électroniques.
- 2013 : L'école ouvre sa formation d’ingénieur de spécialité Réseaux par l’apprentissage.
- 2015 : Télécom SudParis est, avec Télécom ParisTech, membre fondateur de l’Université Paris-Saclay, créée sous la forme d’une communauté d’universités et d’établissements, et les deux écoles développent dans ce cadre, avec leurs partenaires, une nouvelle offre de master et de doctorat.
- 2016 : Création d’un nouveau concours, le concours Mines-Télécom, avec 12 autres partenaires. L'école recrute désormais sur ce concours. En septembre, le Premier Ministre, Manuel Valls, inaugure un nouveau bâtiment du campus, ETOILE qui héberge le centre de conférence, l’incubateur actuellement dénommé IMT Starter et des plateformes d’expérimentation de recherche.
- 2019 : L'école crée avec l'Ecole polytechnique, ENSTA Paris, ENSAE Paris, Télécom Paris un nouvel établissement d'enseignement supérieur et de recherche : l'Institut polytechnique de Paris.
Les formations
La formation d'ingénieur généraliste
La formation d'ingénieur généraliste de Télécom SudParis se compose de deux cycles de trois semestres chacun, répartis sur 3 ans. Elle inclut une expérience de l'entreprise et de l'international.
Tronc commun
Ce cycle vise à l'acquisition des connaissances et des compétences de base en sciences de l'ingénieur et en technologies de l'information et de la communication.
Il est composé de sciences de l'ingénieur, projets, d’économie, gestion et droit de l'entreprise, langues et sciences humaines et stage en entreprise.
Approfondissement
Le cycle est composé d'un choix de cours d'ouverture et d'approfondissement, du stage ingénieur de cinq mois minimum (de 10 à 18 mois dans le cadre de l'année jeune ingénieur), d'un stage ou séjour académique à l'étranger obligatoire. Cet approfondissement est construit autour de cinq domaines :
- Réseaux, services et protocoles ;
- Informatique et systèmes d'information ;
- Physique, signal et communications ;
- Image, multimédia et applications ;
- Modélisation et mathématiques appliquées.
De multiples options sont possibles dans une école de l'Institut Mines-Télécom.
Environnement international
- +130 universités partenaires
- 26 accords de doubles diplômes
- Programmes de coopération pour la formation d'ingénieur à l'international : Erasmus Mundus, Brafitec, Arfitec.
- 77 nationalités sur le campus
- 10 langues enseignées, dont le français comme langue étrangère (allemand, anglais, espagnol, russe, italien, japonais, arabe, chinois)
- 30 % d'étudiants étrangers
- 32 % d'enseignants internationaux
Intégrer la formation ingénieur
Télécom SudParis recrute les étudiants :
- des classes préparatoires MP, PC et PSI, sur Concours Mines-Télécom[6], via les épreuves écrites de la banque Mines-Ponts
- de la filière PT, sur Concours Mines-Télécom, via la banque filière Physique Technologique
- de la filière TSI, sur Concours Mines-Télécom, via la banque Centrale-Supélec
- de la filière ATS via le concours ENSEA
- des universités, titulaires d'une licence scientifique (L3), sur concours d'admission sur titre en 1re année
- des universités, titulaires d'une maîtrise scientifique (M1) ou d'un diplôme jugé équivalent, sur concours d'admission sur titre en 2e année
Stages
- Les élèves ingénieurs de 1re année effectuent un stage - obligatoire - de découverte de l'entreprise de 1 à 2,5 mois.
- En 1re, 2e ou 3e année un stage de trois mois minimum à l'international est obligatoire. Des séjours académiques, non obligatoires, à l'étranger sont également possibles en 2e et 3e année.
- En 2e année les élèves peuvent effectuer un stage optionnel en entreprise de 2 à 3 mois.
- Le stage ingénieur obligatoire se déroule en fin de cursus sur une durée minimale de cinq mois.
Pédagogie par projet
La formation d'ingénieur de Télécom SudParis combine enseignements théorique et pratique associés à la pédagogie par projet.
- En 1re année :
- Projets GATE[7] (Gestion & Apprentissage du Travail en Équipe) : L'activité contribue, comme les stages, à préparer l'insertion professionnelle des futurs ingénieurs en les habituant à communiquer, à collaborer sur des projets concrets. Elle offre l'occasion de prendre des responsabilités, de s'affirmer et de mettre en pratique les théories apprises.
- Projets informatiques : apprentissage des bases de l'informatique.
- En 2e année :
- Le Challenge Projets d'Entreprendre : Concours de création d'entreprise.
- Projets Cassiopée : Projet (Recherche, Développement ou Industriel) visant à développer l'esprit de créativité et d'initiative des étudiants dans un contexte proche de l'entreprise.
- En 3e année :
- Projet Ingénieur : mise en application des enseignements dispensés sur un cas concret.
La formation d'ingénieur spécialité réseaux par la voie de l'apprentissage
Pour sa formation d'ingénieur par apprentissage, spécialité réseaux, Télécom SudParis recrute des étudiants :
- titulaires d'un DUT (Réseaux et Télécommunications ; Génie électronique et informatique industrielle)
- titulaires d'un BTS (Informatique et réseaux pour l'industrie et les services techniques ; services informatiques aux organisations)
et recrute également directement en deuxième année des étudiants inscrits en licence scientifique ou technologique se rapportant aux domaines de l'école.
Mastères Spécialisés (MS)
Les mastères spécialisés de la Conférence des grandes écoles de Télécom SudParis sont ouverts aux titulaires d'un diplôme scientifique universitaire validant 5 années d'études supérieures, ou 4 années avec expérience professionnelle :
- Réseaux et services (à temps partiel)
- Cybersécurité des Opérateurs de services Essentiels (à temps partiel)
- Space Communication Systems (enseigné en anglais, en partenariat avec ISAE, ENSEEIHT et Télécom Bretagne)
Masters Recherche
En cohabilitation avec l'Université d'Évry-Val d'Essonne :
- Sciences et Ingénierie, Mention : Informatique et Systèmes, Spécialité Modèles, Optimisation, Programmation et Services
- Sciences et Ingénierie, Mention : Informatique et Systèmes, Spécialité Réalité Virtuelle et Systèmes Intelligents
En cohabilitation avec l'ESIEE et le CNAM :
- Sciences et Technologies, Mention : Électronique et Télécommunication, Spécialité Systèmes de Communication Hautes Fréquences
En convention avec l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines :
- Sciences pour l'Ingénieur, Spécialité Traitement de l'Information et Exploitation des Données (TRIED)
En convention avec l'Université Pierre-et-Marie-Curie :
- Sciences et Technologies, Mention Informatique, Spécialité Réseaux
Formation continue et formation professionnalisante
Formations agréées BADGE.
Les débouchés
Secteurs d'activité des jeunes diplômés
- Technologies de l’information et de la communication (44 %)
- Audit et conseil (36 %)
- Industries automobile, aéronautique, navale, ferroviaire, transport et énergie (9 %)
- Autre dont : Finance, Banque, Assurance, Médias, Édition, Art, Culture, Audiovisuel, Enseignement, Recherche, Jeux vidéo… (8 %)
Fonctions exercées par les jeunes diplômés
- Informatique et réseaux (39 %)
- Conseil, audit (28 %)
- R&D en télécoms, signal et image (14 %)
- Systèmes d’information (10 %)
- Commercial et management (7 %)
La recherche
La recherche est réalisée dans les départements de recherche de Télécom SudParis. Les thèmes sont :
- Réseaux ad hoc et spontanés (Wi-Fi, Bluetooth, WiMAX, etc.)
- Réalité virtuelle
- Tatouage de l'image et du son (watermarking)
- Reconnaissance des formes
- Classification automatique des données
- Web sémantique
- Sécurité des systèmes
- Modélisation des comportements humains
- Conception des systèmes d'information
- P2P
- Middleware
- Conception orientée objet ; etc.
Innovation et entrepreneuriat
Fondé en 2000 par Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School, l'incubateur[8] Télécom & Management SudParis Entrepreneurs, est également commun à l'ENSIIE. Son but est d'héberger et accompagner les porteurs de projet de création d'entreprise innovante IT. Son objectif est de favoriser l'éclosion et le succès d'entreprises en facilitant les collaborations avec les laboratoires de recherche, les fonds d'investissement et les interactions avec les étudiants et les diplômés. L'incubateur est soutenu par le ministère de l'économie et des finances, la région Île-de-France et le département de l'Essonne. Télécom & Management SudParis Entrepreneurs dispose de seize bureaux sur son site d'Evry (Essonne) et seize autres bureaux sur son antenne d'Arcueil (Val-de-Marne). Les sociétés comme Cedexis, WeCook.fr, Vinoga ou MonExTel sont issues de l'incubateur.
L'incubateur organise chaque année le Challenge Projets d'Entreprendre, un concours d'entrepreneuriat étudiant en France. Il réunit les étudiants de 2e année de Télécom SudParis, Institut Mines-Télécom Business School et l'ENSIIE pour créer leur propre entreprise en une seule semaine. Des sociétés telles que Linagora[9], KRDS[10] ou Ubicast[11] sont nées du Challenge[12].
Depuis 2010, l'incubateur organise le Trophée Start-up Numérique[13], un concours de création d'entreprises sur le web ouvert aux entrepreneurs de tous horizons.
Classements
Classements nationaux (classée en tant que Télécom SudParis au titre de son diplôme d'ingénieur)
Nom | Année | Rang |
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DAUR Rankings[14] | 2022 | 27 ea |
L’Étudiant[15] | 2022 | 20-21 |
L’Usine Nouvelle[16] | 2022 | 25 |
Le Figaro[17] | 2022 | 23 |
Classements internationaux (classée en tant qu'Institut Polytechnique de Paris)
Nom | Année | Rang (monde) | Rang (France) |
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CWUR[18] | 2022-2023 | 43 | 5 |
QS Top Universities[19] | 2023 | 48 | 2 |
Shanghai Ranking[20] | 2022 | 301-400 | 13-16 |
Times Higher Education[21] | 2022 | 91 | 3 |
Anciens élèves
- Stéphane Grasset (1982), Dirigeant Associé d'Apps2Com, Président du CDRT, Conseiller municipal à Buc
- Adel Gaâloul (1983), secrétaire d'État tunisien aux Technologies de la communication, dans le gouvernement Béji Caïd Essebsi en 2011
- Éric Trappier (1983), PDG de Dassault Aviation
- Francine Bavay (1985), femme politique
- Philippe Cassoulat (1986), Directeur général, Talan
- Marc Rougier (1988), Entrepreneur, fondateur de Scoop.it, associé du fonds Elaia Partners (VC)
- Jean-Marc Boursier (1991), directeur général adjoint chargé des Finances de Suez Environnement
- Jean-Sébastien Hongre (1991), Directeur général, Planète Interactive
- Sylvain Waserman (1991), Directeur général, GDS, député de la 2e circonscription du Bas-Rhin
- Abdelkrim Benamar (1993), Directeur général, Alcatel-Lucent international
- Yves Lozachmeur (1994), Directeur général, Popup-House
- Juan Hernandez (1994), cofondateur de Club-Internet et de Day One Entrepreneurs & Partners
- Laure-Claire Aigrot-Reillier (1995), Head of seller proposition Europe, eBay
- Corinne Narassiguin (1997), députée de la Première circonscription des Français établis hors de France (2012-2013)
- Guillaume Boutin (1997), Chief Executive Officer de Proximus
- Thierry Petit (1997), cofondateur de Showroomprive
- Bertrand Bailly (1998), Président et fondateur de Davidson consulting
- Frédérique Dame (1999), Partner du fonds GV (ex Google Ventures)
- Antoine Dubost (2001), Président directeur général, E-Charlemagne
- Gaël Octavia (2001), écrivaine et dramaturge
- Raphael de Botton (2002), Senior Managing Director du fonds Blackstone
- Matthieu Pellerin (2005), Fondateur et Directeur de l'équipe Growth Lab de Google
- Xavier Lhuer (2006), Partner McKinsey
- Benjamin Tincq (2008), entrepreneur, cofondateur de OuiShare, fondateur de Good Tech Lab
- Aymeric Pierre (2009), PDG de SAS AYMERIC PIERRE, Youtubeur, Streameur
- Amine Bouhafa (2010), César 2015 de la meilleure musique originale pour Timbuktu
- Jesse Chacón, ministre des Télécommunications de plusieurs gouvernements vénézuéliens depuis 2003
- Kevin Tran (2016), PDG de Le Rire Jaune (duo)
L'association des anciens élèves est Télécom et Management Alumni[22], commune à Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School.
Vie étudiante et associative
Le campus de Télécom SudParis s'étend sur 5 hectares avec un restaurant universitaire, des logements, des infrastructures sportives, un centre associatif.
Une soixantaine d'associations et clubs sont actifs sur le campus : la Maisel (Maison des élèves) est responsable de l'hébergement, Welcom accueille les élèves internationaux, Moov'int donne des cours de danse, le BDA (Bureau des Arts)[23] orchestre les animations artistiques de différents clubs, le Forum des Télécommunications organise un forum de recrutement commun avec Institut Mines-Télécom Business School (anciennement avec Télécom Paris Tech également), l'ASINT coordonne les activités sportives, Emoty:S ravit chaque année les spectateurs par une comédie musicale inédite, Aparté le club de théâtre qui chaque semaine se réunit pour de l'improvisation et qui ravit encore plus les spectateurs par une pièce en fin d'année, Anim'INT organise des projections hebdomadaires, des nocturnes et autres activités en rapport avec l'animation japonaise. Intervenir rassemble les passionnés d'humanitaire, EvryOne[24] la radio étudiante, INTech participe chaque année à la Coupe de France de Robotique, MiNET[25] fournit Internet aux étudiants, HackademINT[26] participe tout au long de l'année à des compétitions de sécurité informatique, le CJ (Club Jeux) offre un endroit de détente et de tranquillité, Déclic assure la couverture photo et INTv[27] la couverture vidéo des événements organisés par le BDE (Bureau des Elèves) et les autres clubs tout au long de l'année.
La junior entreprise SPRINT bénéficie des compétences des élèves ingénieurs de Télécom SudParis et élèves managers de Institut Mines-Télécom Business School.
Articles connexes
Notes et références
- « François Dellacherie, nouveau directeur de Télécom SudParis », sur imt.fr
- Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- « École Polytechnique - Accueil site de l'Ecole Polytechnique », sur www.polytechnique.edu (consulté le )
- Décret no 2012-279 du 28 février 2012 relatif à l'Institut Mines-Télécom
- « COMMUNIQUÉ DE PRESSE », sur www.telecom-sudparis.eu,
- Concours Mines-Télécom
- Gestion & Apprentissage du Travail en Équipe
- Incubateur Télécom & Management SudParis Entrepreneurs
- Linagora
- KRDS
- Ubicast
- Challenge Projets d'Entreprendre
- Trophée Start-Up Numérique
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
- « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant
- « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR
- « QS World University Rankings 2022 », sur QS Top Universities
- « 2022 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking
- « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education
- Télécom et Management Alumni
- « BDA » (consulté le )
- EvryOne
- « MiNET - Home », sur minet.net (consulté le )
- « HackademINT » (consulté le )
- « INTv Crew », sur YouTube (consulté le )
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