Trémentines
Trémentines est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Trémentines | |||||
![]() La rue Pasteur à Trémentines. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Intercommunalité | Agglomération du Choletais | ||||
Maire Mandat |
Jacqueline Delaunay 2020-2026 |
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Code postal | 49340 | ||||
Code commune | 49355 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Trémentinais | ||||
Population municipale |
3 088 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 07′ 24″ nord, 0° 47′ 07″ ouest | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 180 m |
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Superficie | 34,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Trémentines (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cholet (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cholet-2 | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Trémentines | ||||
Ses habitants sont appelés les Trémentinais et les Trémentinaises.
Géographie
Localisation
Commune angevine des Mauges, Trémentines se situe au nord de Nuaillé, sur les routes D 160E, Saint-Georges-des-Gardes / Nuaillé, D 160, Cholet, et D 65, Le May-sur-Èvre / Vezins[1].
![](../I/Croix6959947765.jpg.webp)
![](../I/Chapelle8694876.jpg.webp)
Communes limitrophes de Trémentines :
Les communes les plus proches sont : Nuaillé (3 km), Saint-Georges-des-Gardes (4 km), Vezins (5 km), La Tourlandry (7 km), Toutlemonde (8 km), Le May-sur-Èvre (8 km), Chanteloup-les-Bois (8 km), Mazières-en-Mauges (9 km), La Jubaudière (9 km) et Cholet (10 km)[2].
Relief et paysage
La commune se trouve dans la vallée de l'Èvre et sur les collines de l'Anjou. Elle est située sur un double plateau, divisé par la vallée de l’Èvre qui arrose la commune sur un parcours de 10 100 mètres et animait autrefois les moulins de Picosson et de la Fôrétrie. L’Èvre est grossi des ruisseaux de l’Éperonnière, de la Génillière, de Montbault, de la Singère, de la Beillardière et des Ogeries.
Géologie et hydrologie
La commune s'étend sur un terrain granitique, eurite et syénite[3].
Transports routiers et autoroutiers
La Route impériale d’Angers au Sables d’Olonne traverse la commune ainsi que l’autoroute Angers-La Roche-sur-Yon (A87).
Transports ferroviaires
La ligne de chemin de fer Angers – Cholet traverse presque parallèlement la partie occidentale avec une gare de marchandises située à 2 200 mètres de l’agglomération, la station voyageurs ayant été fermée en 1999. La gare la plus proche est la celle de Cholet.
Transports péri-urbains
La ligne 12 du réseau Choletbus assure les arrêts de Trémentines, Cholet et Angers[4]. La ligne 7 du réseau Anjoubus assure également ces arrêts.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[11] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 777,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 64 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,5 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Trémentines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trémentines, une unité urbaine monocommunale[21] de 3 088 habitants en 2019, constituant une ville isolée[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
![](../I/49355-Tr%C3%A9mentines-Sols.png.webp)
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), prairies (27,2 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), cultures permanentes (0,9 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Deux mégalithes se tiennent encore sur le territoire de la commune, le menhir du Pré de la Chapelle et la pierre Fiche ou la pierre qui tourne de la ferme du Parchambault où se trouve également un tumulus. De plus, ont été trouvés sur l'ensemble de la commune 19 haches polies et quatre silex taillés[3].
On retrouve la trace de deux voies romaines, une se dirigeant vers La Tourlandry, la seconde vers Vezins. En 1878, il est fait mention d'un tronçon dallé de larges dalles de granite[3], sans qu'il ait été prouvé qu'il s'agit d'une voie antique.
Moyen Âge
L'église a probablement été fondée vers le XIe siècle par les seigneurs de Maulévrier. Au XIIe siècle, elle est la propriété de l'abbaye Saint-Florent-de-Saumur. Un prieuré y est créé au sud de l'église[3].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de l'agglomération du Choletais. La commune était précédemment membre de la communauté d'agglomération du Choletais[31].
Autres circonscriptions
Trémentines appartient au canton de Cholet-2.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 3 088 habitants[Note 7], en augmentation de 9,39 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 511 hommes pour 1 537 femmes, soit un taux de 50,43 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Établissements scolaires : l'école maternelle publique Le Petit Prince, l'école maternelle privée, l'école primaire publique Saint-Exupéry et lécole primaire privée Sacré-Cœur.
Santé
Établissements de santé : une pharmacie et une maison de retraite.
Sports
Installations sportives : deux terrains de football, où se pratique du football, deux terrains de tennis, un boulodrome, une salle multi-sport, la salle Audignane où se pratique du basket-ball, une salle d'arts martiaux (dojo), une salle multi-sports où se pratique du tennis, du tennis de table et du basket-ball, une salle de gymnastique, où se pratique la gymnastique et la zumba, un city-stade (terrain où l'on peut jouer au football et au basket-ball) et une salle de danse.
Culture
RencArt : salon annuel de peinture et de sculpture, depuis [38].
Économie
Sur 172 établissements présents sur la commune à fin 2010, 30 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[39]. Fin 2015, sur les 174 établissements actifs, 20 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[40].
Ce petit bourg près de Cholet est le siège d'une industrie horlogère avec la présence de l'entreprise Bodet[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices religieux :
- Église Saint-Euvert du XIXe siècle.
- Chapelle et croix : grand calvaire à la sortie du bourg vers Nuaillé : une croix est placée sur le globe terrestre, lui-même soutenu par 5 colonnes formées chacune de 4 rouleaux à battre le grain avec l’inscription : « Au Christ Roi Sauveur du Monde, mission de 1934 ».
Édifices civils :
![](../I/Ancienne_gare_de_Tr%C3%A9mentines.jpg.webp)
- Ancienne gare à la sortie du bourg vers Le May-sur-Èvre fermée depuis 1999.
Personnalités liées à la commune
- Félix-Pierre Fruchaud (1811-1874), né dans la commune, archevêque de Tours au XIXe siècle.
- Alfred Jungbluth (1865-1914), sculpteur et dessinateur né dans la commune.
- Henri Fruchaud (1894-1960), chirurgien, commandeur de la Légion d'honneur, compagnon de la Libération, inhumé dans la commune.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 589-594.
- Alain Rigaudeau, Trémentines au 20e siècle – Le temps des conflits, 2021
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Trémentines (Maine-et-Loire), consulté le 18 novembre 2012.
- Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Trémentines (49), consulté le 18 novembre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Port 1996, p. 589.
- Choletbus, Réseau de transport Choletbus, consulté le 2 septembre 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trémentines et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trémentines et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Trémentines », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- (Port 1996).
- Ouest-France, Maire, adjoints et délégués se sont répartis (sic) les tâches, article du 4 avril 2014.
- « Trémentines. Jacqueline Delaunay est première magistrate », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trémentines (49355) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Trémentines. Quinze artistes exposent au salon Renc’Art », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Trémentines (49), consultées le 16 juin 2013.
- « Dossier complet - Commune de Trémentines (49358) », sur Insee, (consulté le ).
- Hervé Gallet, « Et si vous osiez porter une horloge de gare au poignet ? », Le Point, (lire en ligne).
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