Université de Bourgogne
L'université de Bourgogne (uB) est une université française située à Dijon (Côte-d'Or) fondée en 1722. Elle possède également des antennes à Auxerre, Chalon-sur-Saône, Le Creusot, Mâcon et Nevers. Elle offre un large éventail de formation dans toutes les disciplines (hors odontologie : droit, économie, gestion, lettres, philosophie, langues, médecine, pharmacie, sciences humaines, sciences exactes et expérimentales) et à tous les niveaux (licence, master, doctorat, diplômes de technologie, d'ingénieurs, professionnalisés, de santé, d'enseignement et de formation à la recherche).
Fondation |
---|
Type | |
---|---|
Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président |
Vincent Thomas (d) (depuis ) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
34 169 () |
---|---|
Enseignants-chercheurs |
1 519 (2018) |
Rang national | |
---|---|
Rang international |
Pays | |
---|---|
Campus | |
Localisation |
Plus de 30 000 étudiants sont accueillis chaque année, plus de 2 000 salariés ou demandeurs d'emploi s'y forment dans le cadre de la formation continue. Propriétaire de vignoble et d'un centre d'expérimentation à Marsannay-la-Côte (agglomération dijonnaise), elle offre des filières complètes en sciences de la vigne et œnologie, regroupés dans l'Institut Jules-Guyot nommé d'après Jules Guyot. L'université de Bourgogne consacre près du tiers de son budget (hors salaires) à la recherche[réf. souhaitée].
Depuis le 1er avril 2015, l'université de Bourgogne est membre fondateur de la communauté d'universités et établissements Université Bourgogne - Franche-Comté (COMUE UBFC)[1], dont le siège est à Besançon.
Histoire
Les écoles médiévales
Les écoles publiques de Dijon jouissent au Moyen Âge d'une grande réputation. La création pour les deux Bourgogne de l'université de Dole (alors Dôle), en 1422, leur porte gravement atteinte car elles se voient privées d'étudiants et surtout des étrangers.
À la demande du maire et des échevins, appuyés par Georges de la Trémoille, gouverneur de la province de Bourgogne et son défenseur contre les Suisses en 1513, François Ier (1515-1547) institue à Dijon une université avec quatre facultés en 1516 mais cette décision reste lettre morte, même si les patentes royales sont très flatteuses pour les Dijonnais.
Le Collège des Martinots ou des Martin (1531), dans l'actuelle rue du Vieux-Collège, puis le collège jésuite des Godrans, fondé en 1581 en exécution du testament d'Odinet Godrans, président du Parlement de Bourgogne, tentent avec plus ou moins de succès de pallier cette situation. Le transfert de l'université de Dôle à Besançon en 1691 incite les États de Bourgogne à solliciter du roi de France la création à Dijon d'une université. Les deux villes deviennent alors rivales. Sous l'influence du Prince de Condé, gouverneur de Bourgogne, Louis XV accorde à Dijon une université avec quatre facultés le . Besançon réplique par une véritable coalition avec l'université de Paris et plusieurs universités provinciales. Le roi hésite alors et établit un compromis.
L'université moderne
L'édit de décembre 1722 ne crée donc plus qu'une faculté de droit (civil, canon et français) confirmée par une bulle d'Innocent XIII en 1723. L'université, soutenue financièrement par la Ville et la Province s'installe au couvent des Jacobins (à l'emplacement actuel des halles centrales) et se voit inaugurée en grande pompe le . Le Parlement tout entier vient assister à la séance de rentrée qui accueille les 117 étudiants de la nouvelle faculté[2]. Le premier président Berbisey ouvre le cortège, entouré des neuf présidents avec leurs manteaux d'hermine et leurs mortiers, des chevaliers d'honneur, de soixante-quatre conseillers et de cinq conseillers clercs en grand costume ecclésiastique.
Les cinq professeurs et les trois agrégés exercent aussi leur profession d'avocat et enseignent à des étudiants dont l'effectif atteindra jusqu'à 209 étudiants en 1773[2]. Le futur Président de Brosses, Guyton de Morveau, Cazotte ou Berlier en font partie.
L'université tient donc ses écoles et ses assemblées dans le couvent des Jacobins qui offre un abri fort convenable bien qu'emprunté. Celui-ci sera démoli en 1874 en même temps que la vaste église à laquelle il tient pour faire place aux Halles du marché couvert. Il n'en reste plus aucun vestige. L'Académie des sciences, arts et belles-lettres y tient aussi des cours publics et organise des démonstrations de botanique, de chimie et de matière médicale.
La tourmente révolutionnaire emporte avec elle l'université de Dijon, en même temps que l'Académie des sciences, arts et belles-lettres : de 1788 à 1792, date de sa fermeture, le nombre d'étudiants passe de 181 à 18[2].
L'université de Dijon au XIXe siècle
Lorsque Napoléon entreprend de réorganiser l'enseignement, Dijon devient le siège d'une école spéciale de droit. Le nouvel établissement s'installe au Collège des Godrans 1806 et devient faculté de droit par décret du 17 mars 1808. La faculté de lettres est créée la même année et la faculté des sciences ouvre en 1809. Dans le même temps est ouverte une école secondaire de médecine et de pharmacie.
Parmi les nombreux bâtiments confisqués à Dijon lors de la Révolution, une aile de l'ancien collège des Godrans autrefois bâti par les Jésuites est occupée, au rez-de-chaussée seulement, par l'école de droit qui commence ses cours en 1805. La faculté des sciences, celle des lettres et le Rectorat doivent investir une partie de l'Hôtel Despringles, déjà occupé par l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres. Cette situation durera plus de trente ans. L'Académie doit ensuite quitter les locaux. L'école secondaire de médecine et de pharmacie se trouve, quant à elle, dans un pavillon qui est construit pour elle à l'hôpital général. En 1888, l'Association Générale des Etudiants de Dijon est créée. Il s'agit de la première association étudiante dijonnaise.
L'université de Dijon au tournant du XXe siècle
L'université de Dijon connait un certain essor avec le début du XXe siècle : l'année 1902 voit la création de l'Institut agronomique et œnologique de Bourgogne, de l’Institut de géographie et de l’Institut de langues vivantes. Une bibliothèque universitaire est érigée à l'angle de la rue du Petit-Potet et de la rue Chabot-Charny, bientôt suivie dans sa continuité par la construction de la faculté de Lettre qui s'étend jusqu'à l'angle de la rue de l'école de droit, en lieu et place de l'immeuble Koch, ancienne « Maison du Singe », qui avait abrité la Chambre de la ville de 1350 à 1501[3]. En 1903, Dijon est avec 792 étudiants la deuxième ville universitaire de France.
1922 : célébrations du bicentenaire de l'université en présence du Président de la République, Alexandre Millerand, pour mettre en échec un premier plan de suppression de l'université[4]. Le développement de l'université se poursuit avec les constructions successives en 1923 et 1924 de la Cité universitaire, du restaurant universitaire, des salles de travail, etc. dans l'ancien séminaire désaffecté rue du Dr. Maret. Le CROUS est créé en 1936.
L'université contemporaine
En 1945, on projette de supprimer l'université de Dijon et d'envoyer les 950 étudiants à Paris, Lyon et Besançon. Le projet n'aboutit pas, et en 1946, le recteur Marcel Bouchard prend la direction du rectorat. Il choisit de bâtir la nouvelle université sur la pente de la colline de Montmuzard, et en quelques années, le nouveau campus sort de terre :
- 6 janvier 1953 : on creuse les fondations de la future Faculté des Sciences (bâtiment « Sciences Gabriel »), premier bâtiment de l'université inauguré le 12 octobre 1957 par le Ministre de l'Education Nationale, René Billières.
- 9 septembre 1959 : ouverture des premiers pavillons Bossuet et Lamartine qui logent les étudiants.
- 6 octobre 1962 : inauguration de la bibliothèque universitaire, la faculté de droit et la chaufferie.
- 23 septembre 1965 : un décret publié au Journal Officiel transforme l'école de médecine et de pharmacie en faculté de médecine et de pharmacie.
- 9 octobre 1965 : la faculté de lettres est inaugurée (bâtiments droit-lettres).
- 1968 : la faculté de médecine et de pharmacie rejoint l'Hôpital du Bocage ouvert en 1962.
De 1957 à 1968, l'université passe de 2 700 à 9 400 étudiants. On[Qui ?] en comptera 17 000 à la fin des années 70 et 26 000 à la fin des années 80. Cela nécessitera un important réaménagement du campus et la construction de nouveaux bâtiments :
- 1969 : construction des amphithéâtres Aristote et Platon.
- 1971 : construction de l'IUT.
- 1974 : installation de l’INRA rue Sully.
- 1983 : construction de l’atheneum, salle de spectacle et cœur culturel du Campus.
- 1990 : adoption du schéma directeur conçu par les architectes bâlois Herzog et De Meuron avec l'artiste Rémy Zaugg, qui permettra d'urbaniser le campus et d'engager le plan "Université 2000".
- 1991 : inauguration de la Maison des Sports.
- 1992 : inauguration de l'amphithéâtre Gutenberg.
- 1994 : inauguration de l’extension « le petit Beaubourg » du bâtiment droit-lettres, sciences-humaines.
- 1995 : inauguration de l'Institut Universitaire de la Vigne et du Vin Jules Guyot (IUVV).
- 26 juin 1997 : l’amphithéâtre Galilée (similaire à l’amphi Gutenberg inauguré en 1992), le pôle d'économie et de gestion, et la Maison de l'université sont inaugurés.
- 1998 : création du Centre Européen des Sciences du Goût (CESG).
- 2003 : inauguration du pôle Acquisition, Apprentissage, Formation et Éducation (AAFE).
- 2005 : inauguration de la Maison de l'Étudiant.
- 2011 : inauguration de la Maison des Sciences de l'Homme.
C'est en 1984 que l'université de Dijon a changé de nom pour prendre son nom actuel d'université de Bourgogne. Aujourd'hui, le campus de Montmuzard s'étale sur une surface de 150 hectares qui concentre 90 % du potentiel de recherche et d'enseignement de Bourgogne[5][source insuffisante], le reste se répartissant sur les cinq autres campus de l'université à Auxerre, Chalon-sur-Saône, Le Creusot, Mâcon et Nevers.
Rénovation du campus
À partir de 2012 et l'arrivée du tramway sur le campus, un vaste chantier de rénovation s'étalant sur plusieurs années est lancé sur le campus. Plusieurs objectifs sont fixés: favoriser la vie étudiante, le développement durable, améliorer l'accès aux personnes à mobilité réduite... Le chantier permet la mise en valeur des œuvres d'art sur le campus, la création d'espaces de convivialité et une véritable cohérence de l'ensemble par la rénovation des voies de circulation pour cycles et piétons sur le campus. 3 700 000 € sont mis à disposition pour faire rentrer l'université dans le XXIe siècle[6].
Historique des présidents
Liste des présidents successifs de l'Université de Bourgogne depuis 1946[7] :
- 1946-1967 : Marcel Bouchard (l'université était alors dirigée par un recteur)
- 1971–1973 : Françoise Morey-Bailly, première présidente de l'université, maître de conférences de mathématiques
- 1973–1978 : Pierre Feuillée, professeur de géologie
- 1978–1983 : Jacques Vaudiaux, professeur de droit
- 1983–1988 : Roger Paris, professeur de biologie
- 1988-1993 : Gilles Bertrand, professeur de chimie-physique
- 1993-1998 : Jocelyne Pérard, professeur de géographie et spécialiste de climatologie
- 1998-2003 : Bernard Laurin, professeur de paléontologie
- 2003-2007 : Jean-Claude Fortier, professeur de droit public
- 2007-2012 : Sophie Béjean, professeur de sciences économiques
- 2012-2020 : Alain Bonnin, médecin, professeur de parasitologie-mycologie (PU-PH).
- 2020 : Vincent Thomas, professeur de droit
Composantes
Unités de formation et de recherche
L'université compte huit UFR[8] :
- Droit et Sciences Economique et Politique
- Langues et Communication
- Lettres et Philosophie
- Sciences de Santé
- Sciences du Sport (STAPS)
- Sciences et Techniques
- Sciences Humaines
- Sciences Vie, Terre et Environnement
Instituts
L'université compte six instituts d'enseignement[8] :
- Institut d'administration des entreprises (IAE)
- Institut de la vigne et du vin Jules Guyot (IUVV)
- Institut supérieur de l'automobile et des transports (ISAT)
- Institut universitaire de technologie de Dijon-Auxerre
- Institut universitaire de technologie de Chalon-sur-Saône
- Institut universitaire de technologie du Creusot
L'université compte également six écoles doctorales et 32 laboratoires et entités de recherche.
Formation et recherche
Enseignement
L'université propose près de 400 formations diplomantes :
- 26 licences générales
- 132 masters
- 32 disciplines doctorat
- 15 DUT
- 60 diplômes universitaires
- 90 diplômes et spécialisations santé
Elle accueille dans ses effectifs en 2019 1 854 étudiants en formation continue et plus de 750 en formation à distance[9].
Partenariats internationaux
L'université de Bourgogne a signé 386 partenariats avec des universités internationales, permettant la mobilité de ses étudiants et chercheurs partout dans le monde ainsi que l'accueil de 2 783 étudiants internationaux de 120 nationalités différentes[9]. Elle proposose également des cursus intégrés (double ou triple diplôme) en langue, sciences humaines, droit ou sciences politiques, soutenus par l'Université franco-allemande, avec l'université Johannes Gutenberg de Mayence en Allemagne, mais aussi celles de Sherbrooke (Canada) et Opole (Pologne) en option trinationale suivant les cursus.
Université européenne
En juin 2019, l'université est avec 14 autres universités françaises l'une des lauréates du premier appel à projet « Universités européennes » de la Commission européenne. Réunies au sein de l'alliance FORTHEM, les universités de Dijon, Palerme (Italie), Jyväskylä (Finlande), Opole (Pologne), Valence (Espagne), Mayence (Allemagne) et de Lettonie, font partie d'une des premières 17 universités européennes retenues par la Commission (sur 54 dossiers de candidatures déposés)[10].
Classements internationaux
L'université de Bourgogne figure depuis 2017 au classement des meilleurs université mondiale réalisé par l'université Jiao Tong de Shanghai (Academic Ranking of World Universities), à la 601e-700e place en 2019[11]. La même année, elle était classée 768e par le classement Ranking Web of World Universities[12] qui est basé sur le volume et la qualité des publications électroniques des 6 000 écoles et universités classées.
Vie étudiante
Logement, restauration
L'université met à disposition de ses étudiants avec le CROUS 4 100 places de logements, trois restaurants universitaires et cinq cafétérias réparties sur le campus.
Vie associative et culturelle
140 associations étudiantes animent le campus et 235 événements culturels sont proposés au centre culturel. L'atheneum, à proximité de la bibliothèque universitaire Droit-Lettre propose régulièrement des concerts et spectacles dans sa salle ou sur son parvis[13]. Radio Dijon Campus, une des plus anciennes radios étudiantes de France, a ses locaux à cet endroit. Elle émet depuis 1982 sur 92.2 FM.
Sport
50 disciplines sportives sont proposées aux étudiants par l'intermédiaire du SUAPS (Service universitaire des activités physiques et sportives). Plusieurs équipements sportifs sont à ce titre directement disponibles sur le campus, autour de la Maison des sports, à proximité de l'arrêt de tramway « Université »[14]:
- terrains de beach-volley, de football, de rugby, de baseball ;
- stade d'athlétisme Colette Besson ;
- un gymnase ;
- salle de danse/salle de combat ;
- salle de musculation.
Santé
Le service de médecine préventive accueille les étudiants sur le campus pour des questions médicales, et une mission handicap accompagne 594 étudiants.
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Durant l'année universitaire 2019/2020, l'université a accueilli le nombre record de 34 169 étudiants dont 30 315 sur le seul campus de Dijon.
Personnalités
Enseignants
- Gaston Bachelard, philosophe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques
- Lucien Febvre, historien, cofondateur de l'école des Annales
- Joël Le Gall, historien et archéologue, professeur d'histoire romaine, directeur des fouilles d'Alésia
- André Leguai, historien du Moyen Âge
- Louis Renault, juriste, lauréat du prix Nobel de la paix
- Georges Connes, maître de conférence puis professeur de littérature anglaise, résistant et maire de Dijon.
- Alain Bazot, président de l'UFC-Que Choisir.
- Aurélie Trouvé, coprésidente de ATTAC.
- Bernard de Montmorillon, président de l'université Paris-Dauphine
- Gérard Taverdet, professeur émérite prix Albert-Dauzat dialectologie et onomastique
- Jean-Cyrille Hierso, chercheur et enseignant chimiste
- André Weiss (1858-1928), juriste
- Marie Duru-Bellat, sociologue spécialiste de l'éducation et de l'enseignement supérieur
Étudiants
- Georges-Louis Leclerc de Buffon, naturaliste.
- Edvard Beneš, président de République tchécoslovaque (1935-1938; 1939-1945; 1945-1948).
- Louis Renault, juriste international, prix Nobel de la Paix 1907.
- Arthur Kleinklausz, médiéviste français, spécialiste de la période carolingienne.
- Roch Marc Christian Kaboré, président du Burkina Faso.
- Abdoulaye Wade, président du Sénégal (2000-2012) [31].
- Aminata Touré, première ministre du Sénégal.
- Alain Colas, navigateur.
- Charles Rozoy, champion olympique de natation.
- Arnaud Montebourg, ministre de l'économie (2012-2014), président du conseil général de Saône-et-Loire (2008-2012) et député de ce même département (1997-2012).
- Rachida Dati, ministre de la Justice (2007-2009), députée européenne (2009-2019).
- Alain Joyandet, ancien secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, député et sénateur de la Haute-Saône, maire de Vesoul.
- Pierre Frogier, président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie de 2001 à 2004.
- Igor et Grichka Bogdanoff[32].
- Roger Guillemin[33], prix Nobel de physiologie ou médecine 1977.
- Mahmoud El Materi, ministre tunisien de la Santé.
- Jacques Blondel, écologue, biologiste.
- Guy Canivet, premier président honoraire de la Cour de cassation, membre du Conseil constitutionnel.
- Henri-François Gautrin, ministre québécois.
- Antanas Mockus, maire de Bogota 1995-1998 et 2001-2003, président de l' Alliance verte (Parti écologiste de Colombie) de 2010 à 2014.
- Gérard Courant, cinéaste français, inventeur de Cinématon.
- Frédéric Tissot, médecin, humanitaire et diplomate français (il est notamment le premier consul de France au Kurdistan irakien de 2007 à 2012)[34].
- Daniel Křetínský, milliardaire tchèque, ayant fait fortune dans les énergies fossiles.
Identité visuelle
- Logo de l'université de Bourgogne utilisé jusqu'en 2003.
- Logo de l'université de Bourgogne utilisé depuis 2003.
Notes et références
- Décret N°2015-280 du 11 mars 2015 publié au Journal officiel du 14 mars et entré en vigueur le 1er avril 2015.
- Les 50 ans du campus Montmuzard de Dijon (1957-2007), Dijon, Université de Bourgogne, (lire en ligne)
- « L'université de Dijon en 1910-1911 », Revue internationale de l'enseignement, vol. 63, no 1, , p. 328–341 (lire en ligne, consulté le )
- Marcel Bouchard, Pour la Bourgogne son université : souvenirs et réflexions, Dijon, Association Bourguignonne des Sociétés Savantes, , 143 p., p. 17-18
- « Grand Campus universitaire », sur www.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « Aménagement du Campus universitaire de Dijon-Montmuzard -Ilex », sur L'Observatoire des CAUE (consulté le )
- « Les présidents de l’université de Bourgogne », sur www.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « UFR, instituts, écoles », sur www.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « Les chiffres clés et indicateurs de l’université de Bourgogne », sur www.u-bourgogne.fr (consulté le )
- Université de Bourgogne, « L’université de Bourgogne lauréate dans le cadre de l’appel à projet « Universités européennes » », Communiqué de presse, (lire en ligne)
- « Classements nationaux et internationaux », sur www.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « Search | Ranking Web of Universities: More than 28000 institutions ranked », sur www.webometrics.info (consulté le )
- « Accueil - atheneum - Université de Bourgogne », sur atheneum.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « Le SUAPS de l’université de Bourgogne – SUAPS Bourgogne » (consulté le )
- « L'université de Dijon en 1910-1911 », Revue internationale de l'enseignement, , p. 336 (lire en ligne)
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
- Fabienne Rosenwald, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2018, p. 153, (ISBN 978-2-11-152402-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 27 janvier 2019
- « Chiffres-clés des effectifs étudiants de l'UB », sur PDF, .
- « Chiffres-clés des effectifs étudiants de l'UB », sur PDF, .
- , www.gouv.sn, consulté le 13 octobre 2011
- Hervé Morin, « La réputation scientifique contestée des frères Bogdanov », Le Monde, jeudi 19 décembre 2002
- Roger Guillemin, The Nobel Prize in Physiology or Medicine 1977, nobelprize.org, consulté le 4 mai 2010
- Eric Favereau, « Frédéric Tissot : Le médecin roulant », Libération, (lire en ligne)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la recherche :
- Site officiel
- Portail de l’éducation
- Portail des universités françaises
- Portail de la Bourgogne
- Portail de Dijon