Villettes
Villettes est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Villette.
Villettes | |
Vue aérienne de Villettes. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays du Neubourg |
Maire Mandat |
Guy Raimbourg 2020-2026 |
Code postal | 27110 |
Code commune | 27692 |
Démographie | |
Population municipale |
161 hab. (2019 ) |
Densité | 23 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 08′ 59″ nord, 1° 02′ 45″ est |
Altitude | Min. 70 m Max. 152 m |
Superficie | 6,87 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Louviers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Neubourg |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Canappeville », sur la commune de Canappeville, mise en service en 1960[9] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 744 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Villettes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), forêts (33,7 %), zones urbanisées (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Attestée sous la forme Villetes (charte de Saint-Étienne de Renneville)[23] et Villettes en 1212[24], Veilleites en 1225 (charte de Louis VIII) et en 1285, Viellectes en 1386 (charte de Louis VIII), du nom de lieu Vieilles, situé à environ dix kilomètres[24], Veillettes en 1454, Villectes en XVe siècle (dén. de la vic. de Conches), Villettes-Criquetot en 1828 (Louis Du Bois)[25].
Le nom de Villette vient du latin villetta diminutif de ville et désigne un « petit domaine », du pluriel de l'oïl « petite maison des champs » ou « très petite ville »[23].
Histoire
Le principal hameau de Villettes est nommé Criquetot : c'était un fief, quelquefois séparé, mais le plus souvent uni à la seigneurie de Villettes. Criquetot, dont l'étymologie est typiquement normande, signifie « masure située sur une éminence » (Kerch, en gaulois, signifie hauteur ; Tot, en norrois, signifie maison.) Criquetot voudrait donc dire "Maison de la hauteur" et son origine remonterait du fait de sa toponymie avant la conquête romaine[26].
L'histoire de la seigneurie de Villettes est racontée dans le Dictionnaire des communes du département de l'Eure[27] :
- En 1204, après la conquête de la Normandie par Philippe II Auguste, la seigneurie de Villettes devint la propriété personnelle du roi.
- En 1222, il l'offrit à son échanson, Thibaud de Chartres pour le récompenser de ses services.
- Au mois d', Louis VIII le Lion donna à Thibaud de Chartres tout ce qu'il possédait à Ectot, Criquetot et Villettes.
- Au XIIIe siècle, les successeurs immédiats de Thibaud de Chartres, furent Odin, Christian, Michel et Raoul de Villettes.
- En 1309, l'abbaye Saint-Ouen de Rouen fut déchargée de l'hommage que le procureur du roi à Beaumont-le-Roger lui demandait à cause de son fief de Criquetot.
- En 1374, la seigneurie de Villettes appartenait à Geoffroy de Bailleul.
- Au début du XVe siècle, la seigneurie passa à la famille Le Roux ; Martin Le Roux, tué à la bataille de Verneuil en 1424, avait en effet épousé Guillemette de Bailleul, dame de Villettes. Leur fils Denis, seigneur de Becdal et de Villettes, devint capitaine de Louviers. Dès lors, la collation de l'église de Villettes revint à la famille Le Roux[27]
- Par lettres royales du , il fut ordonné à une famille Godefroy de réparer les moulins et bâtiments des terres de Criquetot et Villettes qu'elle avait eus à vil prix pendant l'occupation anglaise, lesdites terres et réparation allant au profit de Louis de Fontaines, écuyer du dauphin Louis, qui avait dû quitter ce pays pour garder sa fidélité au roi.
- Le , Guillaume Le Roux rendit aveu pour le fief de Villettes ; il épousa Alison du Fay, qui lui donna Guillaume Le Roux II, seigneur de Villettes, deuxième du nom. Ce dernier rendit aveu au roi Louis XI le . Cependant, Guillaume Le Roux II perdit la seigneurie de Villettes en 1493. Celle-ci fut attribuée à Guillaume de Fontaines, seigneur de Criquetot. La famille Le Roux conserva néanmoins la seigneurie.
- En 1469, La monstre de la noblesse cite Louis de Fontaines, seigneur de Criquetot, « estant en la court du Roy ».
- En 1493, il y eut contestation au sujet du droit de patronage entre Guillaume de Fontaines, écuyer, seigneur de Criquetot, et Guillaume Le Roux, écuyer, seigneur de Villettes. Ce fut le droit de Guillaume de Fontaines qui prévalut.
- En 1547, Nicolas Le Roux, abbé du Val-Richer, était seigneur de Saint-Aubin et de Villettes.
- Le , Robert Le Roux, fils de Claude le Roux et de Jeanne de Chalenge, seigneur de Becdal, de Villettes et de Tilly, conseiller au Parlement, épousa en secondes noces Barbe Guiffart, dame des Nonettes, dont il n'eut qu'un fils unique nommé également Robert.
- Le , Robert Le Roux II rendit aveu au roi Henri IV du fief de Villettes. Il avait épousé le , Marie de Bellièvre ; il mourut conseiller au Parlement en 1638.
- Robert Le Roux III, chevalier, vidame de Normandie, baron d'Esneval, seigneur de Tilly et de Villettes était en 1665 conseiller du roi Louis XIV en son grand conseil. Il était en 1708, président à mortier au Parlement.
- La famille Le Roux[Note 8] conserva la seigneurie de Villettes jusqu'à la Révolution française. Pierre Robert Le Roux d'Esneval, président à mortier au Parlement de Normandie finança la construction et l'entretien d'une école de filles à Villettes ainsi que la reconstruction du chœur de l'église Saint-Germain.
Il existait à Villettes au Moyen Âge un château fort dont il reste aujourd'hui une ferme fortifiée nommée le Manoir ; celle-ci en possède encore une tour authentique[28].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30]. En 2019, la commune comptait 161 habitants[Note 9], en diminution de 12,97 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Lieux et monuments
- L'église Saint-Germain
L'église de Villettes est dédiée à saint Germain. Sans parvis ni place arborée, l'église combine un extérieur austère et un intérieur typique par son architecture et son décor du style Louis XVI sans équivalent dans les églises du département de l'Eure hormis l'église Saint-Julien de Bois-Normand-près-Lyre. Le bâtiment succède à une ancienne église dont il ne reste rien.
- L'ancienne église
- Au XVIe siècle, l'ancienne église fit l'objet de nombreux travaux financés par les paroissiens et répertoriés dans les archives de la fabrique de Villettes[33] : achat en 1609 d'une image de sainte Anne faite à Évreux pour vingt-et-une livre tournois ; en 1611, achat d'une « aulne et demi de velours noir pour refaire et réparer les tuniques de l'église » ; en 1616, achat d'un nouveau calice et du missel diocésain ; en 1634, achat pour douze livres d'un tabernacle ; en 1635, construction du nouveau portail ; en 1636, reconstruction du beffroi et du clocher ; en 1637 et 1638, travaux de restauration de l'ensemble de l'édifice. Au-delà de l'entretien du bâtiment, c'est au soin des âmes qu'étaient destinées les dépenses, avec l'accroissement à partir de 1620 de l'appel à un prêtre extérieur pour des prédications exceptionnelles pendant le Carême, à l'Ascension, à la Trinité, à la Fête-Dieu ou lors de la fête patronale de l'église.
- Au XVIIe siècle, l'entretien fut poursuivi[34] : en 1727, commande de deux nouvelles cloches ; en 1733, commande deux portes de fer pour clôturer le cimetière.
- L'église actuelle
- À la fin du règne de Louis XVI, l'église fut entièrement reconstruite, sous l'égide de Pierre-Robert Le Roux d'Esneval (1714-1788), baron d'Acquigny, marquis de Grémonville et président à mortier au parlement de Rouen. Fervent catholique, disposant de son chapelain personnel, affilié à la réforme cistercienne de la Trappe de Soligny, ami intime de Pierre-Jules-César de Rochechouart, évêque d'Évreux, fondateur des petits collège de Pavilly et Grémonville en Seine-Maritime, bienfaiteur de l'école de filles de Villettes[Note 10],[35], celui qu'il est convenu d'appeler le « Président d'Acquigny » mena une vaste campagne de reconstruction et de décoration des églises dont il était le patron laïc comme celles de Pavilly, Grémonville, Bois-Normand-près-Lyre, Acquigny[36]. Pour financer la reconstruction de l'église, le curé Foulon engagea sa paroisse à participer à l'emprunt de trente millions de livres que le clergé de France avait lancé en 1780 au titre du don gratuit, en constituant une rente de mille livres[37]. Comme collateur du bénéfice curial, le « Président d'Acquigny » finança la reconstruction du chœur. La première pierre posée le , le grand archidiacre et vicaire général du diocèse d'Évreux vint le bénir les travaux de l'église nouvellement édifiée « sous les auspices et par les libéralités » du Président d'Acquigny. L'église fut consacrée le par Monseigneur Charles-François-Joseph Pisani de la Gaude, évêque de Vence[38].
- L'église est bâtie en briques sur assises de pierres appareillées ; elle est précédée d'une façade néoclassique en briques et pierres. De part et d'autre du portail, deux pilastres à bossage plat soutiennent un attique cantonné de deux ailerons appareillés, et percé d'une fenêtre cintrée aujourd'hui obstruée et surmontée d'un fronton triangulaire de pierre. De 1877 à 1879, des travaux permirent la réfection du clocher et modifièrent le dessin primitif de la façade[39] ; la façade est aujourd'hui cantonnée à deux chapelles, l'une abritant traditionnellement les fonts baptismaux et l'autre un confessionnal. Le portail est précédé d'une tribune portée par trois arches monumentales légèrement surbaissées. Le chœur, de dimensions réduites, se compose de trois travées qui répondent à celles de la nef. Une sacristie, construite au chevet de la nef, est accessible à partir du chœur, grâce à un petit couloir longeant le mur gouttereau.
- Dans le chœur se trouve la plate-tombe de Louis de Canouville[40], seigneur de Criquetot, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, gentilhomme de la chambre du roi, mort en [38].
- Les vitraux[41] furent réalisés par le maître-verrier ébroïcien Duhamel-Marette[42] qui projetait la réalisation de verrières pour les chapelles de la Vierge et de saint Sébastien ; ils représentent la Nativité, le martyre de sainte Barbe, saint Germain détruisant les idoles, l'Ascension, l'apparition de la Vierge à Lourdes à Bernadette Soubirous et rue du Bac à Catherine Labouré[43].
Personnalités liées à la commune
- Pierre Robert Le Roux d'Esneval (1716-1788), magistrat, président à mortier au parlement de Normandie.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cette famille acquit de nombreux fiefs en Normandie. Parmi ses membres, on peut citer Pierre Robert Le Roux d'Esneval, président à mortier au Parlement de Normandie.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Fondée le 19 novembre 1782 par le curé de Villettes, l'abbé Foulon, cette école était dirigée par sœur Françoise Chemin, supérieure de la communauté des Écoles chrétiennes d’Évreux ; le Président d'Acquigny, dans un acte du 1er août 1782, déclarait vouloir assurer à perpétuité l'instruction des jeunes filles de Villettes ; de fait, il finança la réalisation des maison, cour et jardin de l'école, mettant ainsi en œuvre les volontés d'Anne-Marie-Magdeleine de Canouville, son aïeule, qui avait laissé des dispositions olographes en ce sens.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Villettes et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Page 1431.
- François de Beaurepaire - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Page 210.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Archives départementales de l'Eure, G 1487.
- Archives départementales de l'Eure, G 1488.
- Archives de la paroisse de Villettes, Archives départementales de l'Eure, 2 F 3152.
- Amis des monuments et des sites de l'Eure, Confluence 2013, p. 140.
- Archives départementales de l'Eure, G 1486.
- Amis des monuments et sites de l'Eure, Confluence 2013, p. 141.
- Amis des monuments et sites de l'Eure, Confluence 2013, p. 143-144.
- Notice no IM27020293.
- Notice no IM27020290.
- Notice no IM27020291.
- Archives départementales de l'Eure, 5 O 6/Villettes.
Voir aussi
Liens externes
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