Violette Bouyer-Karr
Violette Bouyer-Karr, née à Saint-Raphaël le [1] et morte en 1975[2], est une écrivaine et journaliste française, petite-fille du compositeur Henri Karr, sœur de la journaliste féministe Carme Karr et nièce du romancier Alphonse Karr.
Pour les articles homonymes, voir Bouyer (homonymie) et Karr.
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Biographie
Originaire de la ville de Saint-Raphaël[3] (Var), elle demeure pendant toute sa vie dans le château de Claviers[4].
Isolée volontaire dans sa demeure du Var, elle est aidée par des amis, comme le poète Jean Aicard.
Elle a aussi le soutien de sa sœur Carme Karr, qui la nomme correspondante pour la France de la revue féministe Feminal, qui a un grand succès à Barcelone, et qui la publie en Une du numéro 27 du journal.
En 1907, Violette édite son œuvre phare, saluée par l'Académie française[5], intitulée Une amoureuse, avec une préface de Jules Claretie[6].
Son parcours est redécouvert par Françoise Grosjean, présidente de la société d'études de Draguignan[7], qui lui consacre une biographie[8].
Bibliographie
- Violette Bouyer-Karr, Une amoureuse, Paris, Calmann-Lévy, , 326 p.
- Françoise Grosjean, L'humble Violette, femme forte, Les Presses du Midi, , 291 p. (ISBN 978-2812705700)
Références
- Acte de naissance à Saint-Raphaël, n° 43, vue 100/107, fille de Léon-Joseph Bouyer et de Joséphine-Alphonsine-Jeanne Verger.
- The Library of Congress, « Bouyer-Karr, Violette, 1875-1975 - LC Linked Data Service: Authorities and Vocabularies | Library of Congress, from LC Linked Data Service: Authorities and Vocabularies (Library of Congress) », sur id.loc.gov
- « Violette Bouyer-Karr (auteur de Fruit sauvage) », sur Babelio
- La rédaction, « Vin et cinéma, une tradition familiale chez les Lamorisse », sur Var-Matin,
- « Violette BOUYER-KARR | Académie française », sur www.academie-francaise.fr
- Jules Claretie, V. Bouyer-Karr. Une amoureuse, C. Lévy, (lire en ligne)
- La rédaction, « Françoise Grosjean, présidente de la Société d’études dracénoise: "Nous devons renforcer ce devoir de transmission" », sur Var-Matin (consulté le )
- « La Société d’Etudes ne pouvait passer sous silence l’édition aux Presses du midi d’un excellent roman historique », sur l.20-bal.com
Articles connexes
Liens externes
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