Virginie Calmels
Virginie Calmels, née le à Talence (Gironde), est une cheffe d'entreprise et femme politique française.
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Virginie Calmels | |
Virginie Calmels en 2019. | |
Fonctions | |
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Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine | |
– (4 ans, 8 mois et 26 jours) |
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Élection | 13 décembre 2015 |
Président | Alain Rousset |
Groupe politique | LR[1] |
Vice-présidente de Bordeaux Métropole | |
– (3 ans, 2 mois et 17 jours) |
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Président | Alain Juppé |
Prédécesseur | Josy Reiffers |
Première adjointe au maire de Bordeaux | |
– (4 ans, 11 mois et 12 jours) |
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Maire | Alain Juppé |
Prédécesseur | Hugues Martin |
Successeur | Fabien Robert |
Première vice-présidente et vice-présidente déléguée des Républicains | |
– (6 mois et 4 jours) |
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Avec | Guillaume Peltier Damien Abad |
Président | Laurent Wauquiez |
Prédécesseur | Laurent Wauquiez Isabelle Le Callennec |
Successeur | Jean Leonetti |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Talence (Gironde) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP (2014-2015) LR (2015-2019 ; depuis 2022) |
Diplômée de | Toulouse Business School INSEAD |
Profession | Dirigeante d’entreprise |
Religion | Catholicisme |
Dirigeante des groupes de médias Canal+ et Endemol entre 1998 et 2014, elle devient première adjointe au maire de Bordeaux, Alain Juppé, vice-présidente de Bordeaux Métropole et présidente du groupe d'opposition de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle décide de quitter la mairie de Bordeaux en même temps qu’Alain Juppé, en mars 2019, pour retourner dans le privé.
Entre 2017 et 2018, elle est première vice-présidente des Républicains et vice-présidente déléguée (« numéro 2 ») ; elle est limogée en raison de ses prises de positions contre Laurent Wauquiez.
Biographie
Études
Virginie Calmels fait ses études au lycée Marceau de Chartres puis intègre une classe préparatoire aux grandes écoles au lycée Claude-Bernard de Paris. Elle est diplômée de l'École supérieure de commerce de Toulouse[2] (promotion 1993), d'études supérieures comptables et financières (DESCF) en 1994, d'expertise comptable et commissariat aux comptes en 1998[3] ainsi que de l'Advanced Management Program (AMP) de l'Institut européen d'administration des affaires (Insead, promotion 2002).
Dirigeante d'entreprises
Sa carrière débute en 1993 en tant qu'auditrice financière[4] puis comme directrice de mission au cabinet Salustro Reydel.
En 1998, elle rejoint NC Numericable (groupe Canal+)[réf. nécessaire] en qualité de directrice financière. En 1999, elle devient directrice administrative et financière de la start-up Skygate BV (hautes technologies satellitaires) montée à Amsterdam aux Pays-Bas par Christian Blanc[3].
De 2000 à 2002, elle est directrice financière de l'international et du développement du groupe Canal+, puis directrice financière de Canal+SA. En 2002, elle est nommée directrice générale adjointe puis codirectrice générale déléguée de la chaîne[3]. À Canal+ et à Numericable, elle mène deux plans sociaux, au nom de « l'efficacité et la compétitivité de l'entreprise »[5].
Elle rejoint en 2003 le groupe de production télévisuelle Endemol France en tant que directrice générale. Elle en devient présidente en 2007[6]. Le 11 mai 2012, au vu du taux de rentabilité d'Endemol France (le plus élevé des 31 pays du groupe), elle devient directrice générale d'Endemol Monde, tout en conservant ses fonctions de présidente d'Endemol France[7].
En 2004, elle devient membre du Centre d’étude et de prospective stratégique (CEPS). Elle en sera administratrice à partir de 2009, puis vice-présidente en 2010 ; elle démissionne en 2015[réf. nécessaire]. Elle est nommée vice-présidente du Syndicat des producteurs et créateurs d'émissions de télévision (SPECT) à sa création, en 2004. Elle en démissionnera en janvier 2013[réf. nécessaire].
Le 18 janvier 2013, elle annonce sa décision de démissionner de ses fonctions de directrice générale d'Endemol Monde et de présidente d'Endemol France pour créer sa propre entreprise, Shower Company[8]. Le 28 janvier 2014, Alain Juppé dévoile sa liste pour les Élections municipales de 2014 à Bordeaux sur laquelle figure Virginie Calmels. A l'issue des élections municipales, elle devient adjointe en charge de l'emploi, des relations avec les entreprises, du développementé économique et de la croissance durable[9].
En février 2019, Virginie Calmels quitte ses mandats exécutifs bordelais pour retourner dans le privé. Elle accède en à la présidence de Barnes France, filiale du groupe immobilier international de luxe Barnes dont elle devient coactionnaire, et prend la tête des entités Barnes International et Barnes Hospitality[10]. « À la suite de dissensions majeures entre Virginie Calmels et les actionnaires », le groupe met fin aux fonctions de cette dernière après trois mois d'activité[11].
Virginie Calmels conteste cette version des faits dans un communiqué de presse paru le 24 juin 2019[12] en indiquant qu’elle a démissionné de ses fonctions le 22 juin à la suite d'une divergence quant à la mise en œuvre du plan de transformation qu'elle avait proposé dans un audit rendu le 5 juin 2019[13]. Le 13 juin 2019, l'administration fiscale française a mené des perquisitions au siège parisien du groupe, dans le cadre d’une enquête sur la société de Barnes au Luxembourg. Selon Thibault de Saint Vincent, président de Barnes, c'est la modification de son contrat réclamant une « indemnisation de près d'un million d'euros en cas de rupture de contrat » qui aurait motivé son licenciement[14]. Le 22 octobre 2021, Virginie Calmels a été déboutée de ses demandes en première instance, et a fait appel de ce jugement.[15] Le tribunal a repris la décision de la cour d’appel du 16 septembre 2020, qui affirmait que « dans cette affaire, aucun élément ne laisse présumer la fraude dont était suspectée la filiale BGL du groupe Barnes »[16].
Le groupe Barnes a été débouté en diffamation le 12 mars 2021, ainsi qu'en appel le 8 décembre 2021.
Administratrice de sociétés
Depuis 2009, Virginie Calmels est administratrice de la société Iliad (Free). Elle est également administratrice d'Assystem[17] depuis mars 2016. Elle est administratrice de 2014 à 2016 de Technicolor[18] puis censeur de juillet 2016 à mai 2017.
En janvier 2013, elle est nommée présidente du conseil de surveillance d’Euro Disney, dont elle était déjà membre depuis 2011[19], mandat dont elle a démissionné le 8 février 2017[20].
Le 6 novembre 2019, Virginie Calmels rejoint le groupe Oui Care en tant que Présidente du conseil stratégique dont la mission est de contribuer à la stratégie de croissance du Groupe Oui Care qui ambitionne de devenir le leader mondial des services à la personne d'ici 15 ans.[21]
Entrepreneuriat et lancement de l'école Futurae
Virginie Calmels lance en février 2020 un projet d'école de l'enseignement supérieur, Futurae, dédiée aux industries créatives et au marketing digital[22]. L'école est basée à Boulogne-Billancourt, elle devrait accueillir 150 étudiants pour sa première promotion. Pour un coût annuel de 7 500 à 9 500 euros, les diplômes sont inscrits au répertoire national des certifications professionnelles, et de la formation continue[23]. Les contenus pédagogiques de l'école « S'adapteront en permanence aux besoins des entreprises », selon Mme Calmels[23] et sont dispensés notamment par des dirigeants d'entreprises tels que Xavier Niel, Véronique Morali, ou encore Patrice Caine[24].
L'école ouvre officiellement ses portes en octobre 2020[25].
Parcours politique
À la suite des élections municipales de mars 2014, Virginie Calmels est élue aux côtés d'Alain Juppé première adjointe, chargée de l'économie, de l'emploi et de la croissance durable[26]. Elle est également vice-présidente de Bordeaux Métropole chargée des sites majeurs d'attractivité économique, depuis le 18 décembre 2015[27].
En vue des élections régionales de décembre 2015, elle est investie tête de liste d'Union de la droite et du centre dans la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes[28]. À l'issue du second tour, le 13 décembre 2015, sa liste arrive en deuxième position derrière celle menée par le député socialiste Alain Rousset, président sortant de l'ancienne région Aquitaine. Sa liste d'union de la droite obtient au 1er tour 27,19% soit seulement 3,20% de moins que le président sortant socialiste Alain Rousset. Au second tour, elle obtient 34,06%, elle ne sera pas élue présidente de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle est élue conseillère régionale et préside le groupe d'opposition «Républicains – CPNT» au Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine.
En mars 2016, elle devient présidente de l'établissement public d'aménagement (EPA) Bordeaux-Euratlantique[29].
Elle est investie par Les Républicains pour les élections législatives de 2017 en Gironde mais a finalement fait savoir qu'elle ne serait pas candidate, afin de se consacrer à la mairie de Bordeaux[30],[31].
En décembre 2016, elle crée son mouvement politique, DroiteLib, « un mouvement pro-Fillon et anti-Macron »[32]. Elle le lance officiellement depuis Bordeaux, le 25 janvier 2017, en présence de François Fillon et d'Alain Juppé[33]. Le 3 mars 2017, dans le cadre de l'affaire Fillon, elle appelle le candidat LR François Fillon à se retirer au profit d'Alain Juppé, sans toutefois démissionner de la campagne[34].
Elle appelle à une rencontre entre Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et François Fillon afin de sortir de la crise en estimant que François Fillon, après le départ de Bruno Le Maire, de l’UDI et des juppéistes n’est plus en mesure de rassembler son camp[34]. Après le refus par Alain Juppé d’être le plan B le 6 mars, et au retour de l’UDI dans la campagne, elle poursuit finalement la campagne de François Fillon. Quelques semaines plus tard, elle participe ainsi à un meeting du candidat à Biarritz[35].
Début septembre 2017, elle annonce son ralliement à Laurent Wauquiez pour l'élection à la présidence du parti, qui a lieu les 10 et 17 décembre et forme avec lui un ticket pour la présidence des LR[36]. Cette décision est une surprise, dans la mesure où elle incarne un courant libéral[37] plus modéré. Elle assume ces différences de sensibilité mais estime : « Nous sommes complémentaires »[38].
Le Canard enchaîné rapporte qu'Alain Juppé aurait réagi vivement à cette défection, en déclarant en petit comité : « Virginie Calmels, c'est la logique Endemol. Ça lui rapporte, elle y va. Elle n'a pas de principes[39],[40]. » Cependant, ce dernier a démenti ces propos[41],[42]. En annonçant son alliance avec Laurent Wauquiez dans Le JDD, Virginie Calmels affirme : « Je le rejoins en restant ce que je suis. Je suis juppéiste. Je suis libérale. Et je l’assume. Mon tempérament et mon parcours prouvent que je ne suis pas dénaturable. Nos sensibilités diffèrent mais notre socle économique, régalien et éducatif est semblable. Avec lui, nous allons rassembler autour des axes forts : l’humanité, la liberté et la sécurité[43]. »
Commentant le ralliement d'Édouard Philippe à Emmanuel Macron, elle affirme son positionnement à droite, pointant que ceux qui ont rejoint En marche n'ont pas apporté avec eux des projets de la droite : « La hausse de la CSG n'était pas dans le programme d'Alain Juppé. La retraite à 65 ans, la fin des 35 heures, la suppression de l'ISF, la baisse de 100 milliards de la dépense publique et de 40 milliards des charges sociales, les quotas d'immigration, le rétablissement des peines plancher, la hausse des moyens pour l'armée, la police et la justice, etc. Tout cela était dans le programme d'Alain Juppé mais n'est pas dans celui d'Emmanuel Macron[43]. »
À la suite des propos du président de Sens commun dans le mensuel L'Incorrect, Virginie Calmels soutient une exclusion de son président, sans toutefois souhaiter l'exclusion du mouvement. Elle appelle à ce qu'une procédure de clarification à leur égard soit lancée, tout en rappelant : « Si Sens commun tend la main au FN, ils n’ont rien à faire dans notre famille politique[44]. »
Après la victoire de Laurent Wauquiez au congrès des Républicains de 2017, elle est nommée le 13 décembre de la même année première vice-présidente et vice-présidente déléguée des Républicains, devenant ainsi «numéro 2» du parti[45]. Virginie Calmels a vu ses relations avec le maire de Bordeaux se dégrader à la suite de son rapprochement avec Laurent Wauquiez[46]. Ces informations ont été démenties par Alain Juppé et Virginie Calmels au journal Sud-Ouest[47]. Ses prises de position changeantes suscitent des interrogations et le départ de plusieurs de ses soutiens[48].
En juin 2018, dans une interview accordée au journal Le Parisien, Virginie Calmels critique la ligne politique prise par Laurent Wauquiez et lui reproche de ne pas assez « rassembler »[49]. Elle est limogée de ses fonctions de vice-présidente des Républicains par Laurent Wauquiez, le 17 juin. Elle est remplacée par Jean Leonetti[50].
Proposé pour devenir membre du Conseil constitutionnel en février 2019, Alain Juppé démissionne de ses mandats électoraux et choisit pour lui succéder Nicolas Florian. Un temps considérée comme sa dauphine, Virginie Calmels affirme pour sa part avoir annoncé dès 2017 ne pas vouloir briguer cette succession. Dans la foulée, elle annonce aux élus de la majorité municipale sa décision de démissionner de ses mandats municipal et métropolitain afin de retourner dans le secteur privé[51],[52].
Le Point révèle que Virginie Calmels a été approchée en 2021 par l'équipe de l'ancien ministre socialiste Arnaud Montebourg pour rejoindre sa campagne présidentielle. D'abord intéressée, elle s'en retire finalement[53].
Fin août 2022, elle annonce sa candidature à la présidence des Républicains, dont l'élection aura lieu en décembre de la même année[54]. La Haute Autorité des Républicains rejette sa candidature au motif qu'elle n'était pas à jour de cotisation au 22 juillet 2022, date fixée par le guide électoral du parti politique[55].
Engagement associatif
En parallèle de ses activités professionnelle, Virginie Calmels a confondé l’association caritative Ares Coop (insertion) avant que cette dernière ne soit absorbée par l'association Ares. Elle en devient alors administratrice jusqu’en 2006[56].
Le 6 novembre 2019, Virginie Calmels devient également Présidente d'honneur du Fonds de solidarité Oui Care qui lutte contre les violences faites aux femmes et contre les inégalités hommes / femmes[57].
Idéologie
Elle se définit comme une « libérale pragmatique »[5] et plaide pour une droite libérale, ferme en matière régalienne et qui restaure la méritocratie et l'ascenseur social[58],[37]. Hostile à tout rapprochement avec le FN, elle est contre la PMA et la GPA, mais favorable à l'adoption pour les couples homosexuels[5],[58].
Elle a déclaré ne pas avoir adhéré à la ligne de l'identité heureuse, défendue par Alain Juppé pendant la primaire. À ce sujet, ce dernier déclarera a posteriori : « Virginie avait une vraie capacité d'anticipation et m'avait prévenu qu'“Ali Juppé” était sous-estimé dans la campagne. Ça me paraissait tellement loufoque qu'il y avait entre nous une divergence d'appréciation », en ajoutant que « peut-être que j'aurais dû être plus vigilant pour rectifier le tir sur l'identité heureuse »[37].
Selon elle, il y avait deux lignes chez les juppéistes, celle de l'identité heureuse portée par Gilles Boyer et Édouard Philippe, et celle à laquelle elle appartenait qui adhérait plus à l'ouvrage d'Alain Juppé Pour un État fort[37]. Elle affirme ainsi : « Qui sait qu'Alain Juppé a mis dans son projet des quotas d'immigration, la restauration des peines planchers, la suppression de l'aide médicale d'État, le durcissement du regroupement familial, davantage de places de prison et de moyens pour la police et la justice ? Si seulement on avait plus parlé du projet Juppé pendant la primaire »[37].
Elle s'assume libérale, puise ses inspirations chez Frédéric Bastiat, et déclare : « Je fais plus confiance à des millions d’individus libres et responsables qu’à une poignée de dirigeants publics »[59].
Selon elle, le rôle de l'État « consiste à faire reculer la place de l’Etat pour qu’il se recentre sur la protection des libertés individuelles, la protection de la propriété, le droit à la sécurité »[59]. Elle souhaite cependant prouver que le libéralisme n'égale pas le capitalisme, et ne consiste pas à défendre les riches au détriment des pauvres. Elle pense ainsi que « nous devons combattre les rentes et le capitalisme de connivence tout comme l’évasion fiscale, tant d’actions publiques qui faussent le marché et nuisent à une juste concurrence »[59].
Elle veut également réduire massivement les dépenses publiques et diminuer fortement le nombre de fonctionnaires en réinstaurant du management dans la fonction publique[59]. Elle plaide également pour plus de décentralisation[59].
Profondément favorable à l'Union européenne, elle plaide néanmoins pour une réforme en profondeur de l'UE et rejette la vision fédéraliste d'Emmanuel Macron :
« Je ne veux pas d'une Europe qui se construise contre les États. » Elle propose une Europe des cercles, plaide pour une harmonisation fiscale à 20 %, d'un noyau dur d'États et de grands projets au niveau européen. Enfin, Virginie Calmels propose un « Buy European Act » qui réserverait certaines commandes publiques à des entreprises européennes, sur le modèle du « Buy American Act » aux États-Unis[60].
Famille et vie privée
Virginie Calmels est la fille de Jean-Marie Calmels, pied-noir d'Algérie, viticulteur ruiné lors de la guerre d'Algérie[61], administrateur de société, et de Paule Calmels, conseillère en droit social[62]. Elle a deux enfants, prénommés Fitzgerald et Pénélope, issus de son union avec François-David Cravenne[63], fils de Georges Cravenne.
Virginie Calmels a vécu en couple avec Christian Blanc pendant cinq ans[62]. Elle a rencontré l'homme politique Jérôme Chartier[64] en 2016 et a vécu avec lui de 2017 à 2021, date à laquelle leur relation a pris fin.
Décoration et prix
- Chevalière de l'ordre national du Mérite (2008)Elle est alors l'une des plus jeunes femmes décorées de cette médaille[65].
- Lauréate du Prix de la Femme d'Influence 2014, dans la catégorie Politique Espoir[66]
Ouvrage
- J'assume, Paris, éditions de l'Observatoire, , 360 p. (ISBN 979-10-329-0276-9).
Notes et références
- Présidente de 2016 à 2019.
- Ex-groupe ESC Toulouse et actuellement Toulouse Business School.
- Gaël Tchakaloff, « Portrait de Virginie Calmels », lenouveleconomiste.fr, 14 juin 2007.
- (fr) David Abiker, « Parlons Net reçoit Virginie Calmels, patronne d’Endemol » sur le site officiel de France Info, 15 mai 2009.
- Virginie Le Guay, « Virginie Calmels, première de cordée chez Wauquiez », Paris Match, semaine du 19 au 25 septembre 2017, page 40.
- (fr) Emmanuel Beretta, « Endemol : Virginie Calmels succède à Stéphane Courbit » sur le site officiel de l'hebdomadaire Le Point, 3 octobre 2007.
- « Virginie Calmels devient n°2 d'Endemol Monde », sur ozap.com (consulté le )
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- « Virginie Calmels : "Ma mission est d’attirer les filiales des grands groupes à Bordeaux" », sur La Tribune, 2014-04-25cest13:30:00+0200 (consulté le )
- « Virginie Calmels prend la présidence d’un groupe immobilier de luxe », sur SudOuest.fr.
- « Immobilier : trois mois après son arrivée, Virginie Calmels quitte Barnes », sur Le Figaro (consulté le ).
- Virginie Calmels, « Pourquoi j’ai démissionné samedi 22 juin de mes mandats sociaux au sein du groupe Barnes ? Retrouvez mon communiqué de presse pic.twitter.com/Z0oV2tznjf », sur @VirginieCalmels, 2019t02:35 (consulté le ).
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- « Virginie Calmels », sur Who's Who 2010 (consulté le ).
- Guillemette Faure, « Femmes de prix », sur lemonde.fr, .
Liens externes
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