maison de force
Français
Locution nominale
Singulier | Pluriel |
---|---|
maison de force | maisons de force |
\mɛ.zɔ̃ də fɔʁs\ |
maison de force \mɛ.zɔ̃ də fɔʁs\ féminin
- (Désuet) Maison de correction.
- Je ne parlerai pas ici des couvents qui se font maison de force, des affaires de Sens, Avignon, Poitiers, ni des suicides qui ont eu lieu, hélas ! bien plus près de nous. — (Jules Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, Préface de la 3e édition, p.XX)
- Si une de ces peines est déterminée par la loi contre le méfait qu’ls ont commis, ils sont condamnés à la peine d’emprisonnement à long terme dans une maison de force, […]. — (Nouveau code pénal des Pays-Bas, en appendice dans Débats ou congrès pénitentiaire de Bruxelles: Sessions de 1847. Séances des 20, 21, 22 et 23 septembre, page 200)
Quasi-synonymes
Vocabulaire apparenté par le sens
maison de force figure dans le recueil de vocabulaire en français ayant pour thème : maison.
Références
- Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (force)
Cet article est issu de Wiktionary. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.