Pour quiconque a une surface végétale autour de sa maison, l’arrosage peut être un plaisir, mais vite devenir chronophage. Heureusement, il existe des systèmes d’arrosage très perfectionnés et finalement assez simples à mettre en place. Il vous faudra des tuyaux, des arroseurs adaptés et éventuellement des électrovannes et une centrale de programmation. Toutes ces fournitures sont facilement disponibles aujourd’hui près de chez vous. Ainsi, vous n’aurez à vous occuper de rien, juste à profiter de votre belle pelouse, de vos magnifiques parterres fleuris ou arbustifs.

Partie 1
Partie 1 sur 4:
Sélectionner des arroseurs

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    Choisissez des arroseurs-canon pour les grandes surfaces. Ils sont aujourd’hui très plébiscités, pour les pelouses en particulier. En effet, grâce à une bonne programmation, ils sont capables d’arroser au près et au loin et le jet est mobile dans un rayon de 360°. La portée d’arrosage est réglable de 2 à 20 m, distances variables selon les modèles [1] .
    • S’ils se sont imposés, c’est certes par leur qualité d’arrosage, mais aussi par leur capacité à économiser l’eau et ils sont moins bruyants.
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    Pour les fleurs et les arbustes, optez pour des goutteurs. Comme le nom l’indique, ce sont de petits arroseurs que l’on place pratiquement au pied de chaque arbuste (ou plusieurs au milieu d’un parterre de fleurs), l’arrosage se fait sinon au goutte à goutte, du moins sous la forme d’un petit parapluie d’eau. Chaque goutteur humidifie environ 0,3 m2, mais ce sera a vérifier dans la notice du fabricant [2] .
    • Les asperseurs ne s’installent que sur un sol plat. En effet, sur un sol en pente, vous risquez de voir se former plusieurs petits ruissèlements qui finiront par en créer de plus importants en bas de pente.
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    Près des bâtiments, installez des têtes d’arrosage spécifiques. C’est bien votre pelouse ou votre massif que vous voulez arroser, non votre maison ou l’allée en goudron. Dans ces zones mixtes en quelque sorte, installez des têtes d’arrosage fixes qui ont un jet semi-circulaire. Vous ferez attention à bien les orienter, car elles ont un sens [3] .
    • Ces têtes d’arrosage particulières sont à installer également le long de votre clôture ou sur le côté donnant sur la rue.
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Partie 2
Partie 2 sur 4:
Faire le schéma d’un système d’arrosage

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    Tracez un dessin à l’échelle de votre propriété. Représentez tout, à savoir le point d’alimentation et les différentes zones à arroser. Faites un dessin à l’échelle 1/100e, ce qui vous permettra en particulier de calculer les longueurs de canalisations et le nombre de têtes d’arrosage. Sur ce schéma, vous indiquerez les emplacements de ces têtes, ce qui entrainera le tracé des canalisations [4] .
    • Toutes les zones de votre propriété doivent être représentées, celles qui seront arrosées et celles qui ne doivent pas l’être.
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    Divisez en rectangles chacune des futures zones irriguées. Ces rectangles auront une surface d’environ 110 m2. Chacun de ces rectangles sera, si possible, homogène, c’est-à-dire qu’il sera planté d’une végétation. Vous comprenez bien qu’une pelouse drue n’a pas les mêmes besoins en eau qu’un parterre de fleurs ou un grand massif d’arbustes rustiques [5] .
    • Si la surface à arroser est plus importante, il faut un système plus important avec des têtes plus performantes et bien sûr, une alimentation spéciale avec des tuyaux plus gros.
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    Indiquez l’emplacement des têtes d’arrosage. Ces têtes d’arrosage devront être installées en fonction du type et du rayon d’arrosage. Sur votre schéma, en utilisant correctement l’échelle et les données du fabricant, vous allez pouvoir symboliser les têtes d’arrosage et par la suite, le parcours des tuyaux.
    • Les têtes d’arrosage rotatives doivent pouvoir arroser sur une longueur (portée) de 8 à 9 m. En conséquence, pour un arrosage parfait, sans manques, vos têtes d’arrosage seront situées à 14 ou 15 m les unes des autres [6] .
    • Les arroseurs fixes ont une portée de 3 m. Selon le même principe que précédemment, ils devront être distants au maximum de 5,50 m, le recoupement des jets se fait sur environ 50 cm.
    • Quant aux goutteurs, ils, seront indiqués tous les 50 cm, puisque tel est le rayon théorique de ces arroseurs, mais vous vérifierez sur la notice de leur fabricant [7] .
    • Si vous voulez un arrosage parfait, les zones d’arrosage doivent se chevaucher partiellement.
    • Grâce au livret du fabricant, vous pourrez sans difficulté régler et orienter le secteur du jet, ainsi que sa portée, c’est-à-dire sa distance.
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    Représentez la canalisation principale. Dessinez d’amont en aval : la prise d’eau, le programmateur, les électrovannes et enfin, la canalisation principale. Chaque manifold de vannes doit être équipé d’un dispositif antiretour [8] . Le plus souvent, l’arrosage intégré prend son alimentation à un robinet extérieur.
    • Les tuyaux en PVC n’ont quasiment aucune souplesse, aussi les montages sont-ils rectilignes : heureusement qu’il y a les coudes (à 30, 60 ou 90°) qui permettent de réaliser tous les parcours.
    • Ce premier tracé vous donne déjà une idée du métrage de canalisation à acheter… à condition de bien faire le schéma à l’échelle.
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    Tracez les canalisations secondaires. D’un diamètre de 20 mm, elles partiront donc de la canalisation principale et alimenteront un ou deux arroseurs, pas plus ! Ces derniers ne sont jamais branchés sur la canalisation principale, ce qui vous indique assez où celle-ci doit passer. Le tracé de ces canalisations secondaires se fait si possible en ligne droite [9] .
    • Un peu plus complexe, au bout de la canalisation principale, car elle ne fait pas une boucle, vous pouvez poser un tube de 20 mm et y brancher deux arroseurs.
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Partie 3
Partie 3 sur 4:
Installer un système d’arrosage

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    Achetez la bonne quantité de tuyaux. En général, il faut une canalisation principale de 25 mm de diamètre et de 20 mm pour les tuyaux qui alimentent les têtes. Si vous avez fait votre schéma à l’échelle, calculez (deux fois !) vos longueurs pour chaque diamètre. On en saurait trop vous conseiller d’y mettre le prix et de les commander dans un magasin spécialisé [10] .
    • Si le plan d’arrosage est simple, c’est-à-dire un arroseur par tuyau secondaire, vous pouvez vous contenter de mettre du 13 mm.
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    Mesurez la pression exacte en sortie de la prise d’alimentation. Récupérez un manomètre que vous pouvez fixer sur votre alimentation. Ouvrez l’alimentation au maximum et voyez la mesure qui s’affiche. En général, il y a deux échelles de pression, une en bars (en noir) et une en PSI (en rouge). La pression optimale pour un système d’arrosage se situe entre 2 et 3,5 bars [11] .
    • Les manomètres pour l’eau s’achètent généralement en surfaces de bricolage, sinon sur Internet.
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    Matérialisez au sol votre réseau d’arrosage complet. Cela consiste à indiquer avec des fanions ou des piquets vos têtes d’arrosage. Tendez ensuite une ficelle entre tous les piquets d’un même réseau afin de repérer le cheminement du tuyau. Prenez un sac de plâtre et tracez le parcours le long de la ficelle : c’est là qu’il faudra creuser la tranchée. Plantez des piquets ou des fanions aux endroits prévus pour les arroseurs. Ôtez la ficelle et laissez les piquets [12] .
    • Comme vous utilisez des tuyaux en PVC un peu souple, vos tranchées n’ont pas à être parfaitement rectilignes.
    • Avant de creuser, assurez-vous que les mesures que vous avez établies sur le croquis correspondent à celles sur le terrain.
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    Creusez toutes les tranchées. Si la tranchée traverse votre gazon, à l’aide d’une bêche plate, déplaquez le gazon sur la largeur de la tranchée (10 cm) et sur une longueur de 20 cm, ces plaques seront remises en place en fin de travail. Quant à la profondeur, elle doit être par sécurité d’au moins 20 cm [13] .
    • Si vous habitez une région avec un hiver rude, creusez un peu plus profond (25 à 30 cm) afin que le gel n’endommage pas vos tuyaux. Si le sol est meuble, creusez la tranchée à la serfouette.
    • Si vous savez que des adductions (évacuations, gaines électriques…) sont quelque part dans votre sol, allez-y prudemment lors du creusement.
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    Installez grossièrement les tuyaux dans les tranchées. Sans faire de découpes, installez au fond de la tranchée vos tuyaux, ceux de la canalisation principale, puis les tuyaux secondaires jusqu’aux marques des piquets symbolisant les arroseurs. Installez ensuite, sans les fixer et aux bons endroits, tous les éléments de raccordement, comme les raccords droits ou en T, les coudes, les bagues de réduction et les vannes [14] .
    • Il est difficile de bien expliquer ici ce que sont les tuyaux de type « funny ». Ce sont des tuyaux en butyle qui servent de jonction en fin de ligne secondaire. Les avantages sont au nombre de trois : ils se montent facilement (des deux côtés) sans colle ni colliers, se découpent à la taille et ont une très grande flexibilité. Faites-vous expliquer le produit en magasin.
    • Ces tuyaux permettent, par exemple, d’affiner précisément la hauteur des arroseurs afin pour ne pas les décapiter avec la tondeuse ou les écraser avec un autre engin.
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    Installez les tuyères ou les turbines. Installez-les aux endroits prévus pour les arroseurs (précédemment matérialisés par des piquets ou des fanions). Une tuyère est cette partie verticale qui se raccorde sur la canalisation et est surmontée de la buse. Comme la jonction se fait par vissage, le filetage du raccord final (sur la canalisation) doit correspondre à celui de la tuyère [15] .
    • Nous insistons : le raccord en bout de ligne doit avoir un filetage susceptible d’accueillir le pas de vis de la tête d’arrosage. Demandez conseil au vendeur.
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    Branchez la canalisation principale en amont. Branchez-la à la centrale de programmation et aux électrovannes. L’arrosage se fait donc depuis une centrale de programmation et ensuite avec les électrovannes : ces deux éléments contrôlent la mise en route et l’arrêt des arroseurs. La jonction entre la canalisation principale et le manifold de vannes se fait souvent avec un tuyau « funny », bien plus pratique [16] .
    • Un manifold de vannes est un dispositif prêt à l’emploi, composé d’autant de vannes que vous voulez, ce système permet une alimentation homogène des tuyaux.
    • Il doit y avoir une adéquation entre votre installation, la centrale et les valves. Ces deux derniers éléments doivent être de la même marque et relever du même modèle.
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    Prévoyez un dispositif antiretour. Il s’agit d’une pièce très facile à monter (en faisant cependant attention à ne pas la monter à l’envers, mais elle n’a normalement qu’un sens !) et s’installe, sinon en sortie immédiate du robinet (vivement recommandé), du moins pas très loin. Ce dispositif est là pour éviter le retour de l’eau des tuyaux dans votre système d’eau potable et le désamorçage des canalisations. Ceci fait, branchez la canalisation principale entre l’alimentation générale et les électrovannes [17] .
    • Si vous oubliez d’installer un clapet antiretour, votre eau domestique risque d’être contaminée.
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    Installez la centrale de programmation près d’une prise électrique. Cet appareil fonctionne sur le secteur, il faut donc le passer près d’une prise murale. Pour le montage, le mieux est donc de suivre à la lettre les instructions du fabricant. Au passage, il est recommandé d’acheter la centrale et les électrovannes chez le même fabricant. Le montage fait, testez chaque électrovanne depuis la centrale : les arroseurs doivent fonctionner, même s’il n’y a pas d’eau. Tout est clairement expliqué, schémas à l’appui, dans les notices [18] .
    • La centrale de programmation est ce boitier qui permet de fixer les séquences d’arrosage en fonction des besoins de vos sols et de vos impératifs. Aujourd’hui, personne ne s’amuse à installer un système d’arrosage sans ce petit appareil qui, reconnaissons-le, n’est pas toujours facile à programmer au départ.
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    Purgez chaque tuyère. En effet, lors du montage, de la terre est entrée dans la tuyère et la canalisation. Il faut donc les purger et chacune est équipée d’un capuchon de purge qui s’active à l’aide d’une télécommande. Ouvrez la vanne de quelques secondes à une ou deux minutes jusqu’à ce que le jet soit clair et continu. Cette purge vous évitera bien des déboires plus tard, comme l’obstruction d’un élément [19] .
    • Une fois installées, les têtes d’arrosage sont difficiles à déboucher, c’est la raison pour laquelle cette purge, à ce moment-là, est essentielle.
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    Installez les arroseurs dans les tuyères. Comme elles sont enterrées, nous vous conseillons de reprendre votre plan pour vérification et pour savoir où elles sont. En fonction de la hauteur des arroseurs, vous règlerez (c’est une étape un peu fastidieuse !) la profondeur des tuyères. Une fois la bonne hauteur trouvée, tassez la terre autour de la tuyère pour qu’elle ne bouge plus [20] .
    • En cas d’arroseurs escamotables, vous allez devoir régler (nous parlons ici des surfaces entretenues par une machine, comme la pelouse) leurs hauteurs en position fermée : dans cette position, le haut de l’arroseur doit se trouver en dessous de la hauteur de coupe du gazon.
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    Continuez le réglage des différentes zones. Une fois les têtes d’arrosage de la première zone installées, passez à la suivante. En général, on travaille du plus près au plus loin, le repère étant la prise d’eau. Comptez aussi vos purges et comparez le nombre aux têtes : vous devez retomber sur le même nombre [21] .
    • Faites attention, surtout si vous avez une grande propriété avec de nombreuses zones, à n’en oublier aucune : pour vous aider, faites-vous un plan approximatif et cochez au fur et à mesure les zones faites.
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Partie 4
Partie 4 sur 4:
Faire les derniers réglages du système d’arrosage

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    Observez la qualité de l’arrosage. Voyez si toutes les zones voulues sont bien arrosées et si les arroseurs sont bien dirigés. Tout est en place, les tuyères sont fixes, mais il faut maintenant procéder à des réglages de précision. Il vous faut à présent, pour chaque arroseur, aligner le secteur (en tournant le corps de la tuyère) et le régler du côté gauche (jusqu’à 360°, avec la molette sommitale), puis fixer le rayon (serrage de la petite vis du sommet avec un petit tournevis plat [22] ).
    • Ces trois réglages des têtes d’arrosage sont indiqués dans le petit livret fourni par le fabricant. Il y a des croquis, c’est très clair et les opérations sont très simples.
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    Inspectez le tracé de vos canalisations. Le circuit étant en eau, marchez le long des tranchées pour voir s’il n’y a pas une fuite sur le parcours. Rares sont les fuites sur les tuyaux, mais toutes les zones de raccordement seront inspectées attentivement, car c'est là où sont souvent les fuites. En cas de fuite, tentez de la colmater (serrage des vis, mettre plus de colle…), sinon refaites le montage à cet endroit [23] .
    • Vous le comprenez bien : cette vérification doit se faire avant de recouvrir la tranchée, sans quoi vous allez avoir des notes d’eau… salée ! Votre fournisseur d’eau vous avertira au bout de plusieurs semaines que vous avez une consommation anormale, vous devrez rouvrir les tranchées.
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    Refermez les tranchées et tassez le sol. Cette opération ne se fera que lorsque vous serez absolument sûr(e) qu’il n’y a aucune fuite en ligne. Le remplissage de la tranchée se fait en général en deux couches, une première éventuellement plus grossière, puis une seconde faite d’un mélange de terre et de terreau. Entre les deux, posez un grillage plastique avertisseur bleu [24] . À titre d’exemple, si vous avez creusé dans une pelouse et réussi à enlever des plaques de gazon, remettez celles-ci en place, sinon replantez-en.
    • Il est inutile d’ensevelir les racines ou les cailloux un peu gros qui ont été enlevés lors du creusement des tranchées. Sur tous les éléments du système, vous ne devez mettre que de la terre meuble qui finira de toute façon par se tasser.
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Conseils

  • À la fin de l’installation, il vous restera certainement des fournitures : gardez tout, y compris les notices. Cela servira pour une réparation ou un réglage.
  • Si vous installez un système automatisé, afin de faire des économies, il est judicieux de coupler la centrale de programmation à un détecteur de pluie.
  • Grâce à des logiciels de CAO (conception assistée par ordinateur), pratiquement tous les paysagistes et les sociétés spécialisées dans l’arrosage, sont capables à partir des données que vous leur donnerez, de dresser un plan d’arrosage optimal avec tracé, fournitures, chiffrage de consommation et autres conseils de pose et d’entretien.
  • N’arrosez pas trop votre pelouse. En fonction du sol, du type de pelouse et des conditions météorologiques, une pelouse s’arrose une à deux fois par semaine. Quant à la quantité, beaucoup s’accordent sur 4 litres au mètre carré, soit 20 mm d’arrosage.
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Avertissements

  • C’est peu probable, mais vérifiez quand même auprès des services techniques de votre commune que des adductions (fibre optique, ligne téléphonique) ne traversent pas votre terrain. Vous serez responsable si vous les coupez. Ces équipements sont protégés par des grillages avertisseurs de couleur.
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Éléments nécessaires

  • Une pelle
  • Une hache (facultatif)
  • Un sarcloir ou une serfouette
  • Un décamètre
  • Des fanions (pour les têtes)
  • Des têtes d’arrosage
  • Une longueur de tuyau « funny » (butyle)
  • Du tuyau en PVC de 25 mm
  • Des raccords (d’angle, en T…)
  • Un dispositif antiretour
  • Une centrale de programmation
  • Des électrovannes
  • De la colle pour PVC
  • Une scie à métaux ou un coupe-tube

À propos de ce wikiHow

Mike Garcia
Coécrit par:
Entrepreneur paysagiste agréé
Cet article a été coécrit par Mike Garcia. Mike Garcia est entrepreneur paysagiste agréé et fondateur d'Enviroscape LA, une entreprise de conception et de construction de paysages, qui propose des prestations complètes à Los Angeles, en Californie. Mike a plus de 30 ans d'expérience et il est spécialisé en aménagement paysager durable. Il est titulaire d'un diplôme d'horticulture ornementale ainsi que des licences C-27 d'entrepreneur paysagiste et D-49 d'entrepreneur en services arboricoles. Il a aussi les certifications Permaculture Design, California Naturalist, International Certified Professional Pond Contractor et Pond Building. Il est l'un des huit constructeurs d'étangs certifiés au niveau international dans le monde. Enviroscape LA a remporté des prix pour ses aménagements paysagers et aquatiques, décernés par des associations telles que l'International Professional Pond Contractors Association (IPPCA), la National Association of Pond Professionals (NAPP) et la California Landscape Contractors Association (CLCA). Mike est un ancien président de la CLCA et siège actuellement au conseil d'administration local de cet organisme. Les réalisations d'Enviroscape LA ont été présentées dans les magazines PONDS USA, Pond and Garden Lifestyles et dans le Los Angeles Times. Mike est apparu dans Extreme Home Makeover, HGTV's Landscapers Challenge, et la série Fix That Yard de A & E. Cet article a été consulté 7 039 fois.
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