Saint-Vaast-d'Équiqueville
Saint-Vaast-d'Équiqueville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Vaast.
Saint-Vaast-d'Équiqueville | |||||
L'église Saint-Vaast. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Falaises du Talou | ||||
Maire Mandat |
Francis Sevestre 2020-2026 |
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Code postal | 76510 | ||||
Code commune | 76652 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Équiquevillais | ||||
Population municipale |
763 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 06″ nord, 1° 15′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 30 m Max. 182 m |
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Superficie | 14,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Dieppe (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieppe-2 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintvaastdequiqueville.fr | ||||
Géographie
Saint-Vaast-d'Équiqueville est située à l'extrémité nord-ouest du pays de Bray, dans la vallée de la Béthune, Saint-Vaast étant situé sur la rive droite et Équiqueville sur la rive gauche. Au nord-est, le territoire communal atteint l'Aliermont alors qu'à l'ouest, il côtoie la forêt du Croc (partie nord de la forêt d'Eawy).
Saint-Vaast est à 10 km d'Envermeu, à 13 km de Londinières et d'Arques-la-Bataille, à 17 km de Neufchâtel-en-Bray, à 20 km de Dieppe, et à 21 km d'Auffay.
Saint-Vaast-d'Équiqueville était située sur la ligne Paris-Dieppe aujourd'hui transformée en itinéraire cyclable reliant Londres à Paris (tronçon de Forges-les-Eaux à Saint-Aubin-le-Cauf).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Vaast-d'Équiqueville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,8 %), prairies (31,9 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (4,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Saint-Vaast
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancto Vedasto entre 1106 et 1135 (Arch. S.-M. G 7, p. 793), Sanctum Vedastum vers 1034[21], Sancti Vedasti fin du XIIe siècle (Arch. S.-M. 16 H — Cart., f. 298 v.), Sancto Vedesto (Arch. S.-M. G 948) et Sancti Vedasti en 1214 (Arch. S.-M. G 7, f. 797), Sancti Vedasti en 1257 (Arch. S.-M. G Arch. — Aliermont), Saint Vaast en 1289 (Bib. de Rouen, fds du Chap.), Saint Vast en 1330 (Arch. S.-M. G 3988), Saint Vaast d'Equiqueville en 1337 (Arch. S.-M. G 3988)[22].
L'hagiotoponyme Saint-Vaast fait référence à Vaast d'Arras, évêque d’Arras au VIe siècle. Vaast est une forme septentrionale d'oïl correspondant à Gaston.
Équiqueville
Le hameau d'Équiqueville est une ancienne paroisse et commune de Saint-Vaast-d'Équiqueville[23].
Le nom du hameau est attesté sous les formes Schechevilla (pron. Skekeville) en 1142-1150|50[24], Eschechevillam en 1153, Eschechevilla en 1180, Eskekevillam avant 1182, Eskekevilla au XIIe siècle, Esquiquevilla en 1259 (Arch. S.-M. 56 H), Esquiqueville au XVe siècle, Equiqueville en 1715[23].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé de l’anthroponyme scandinave Skeggi « le Barbu » que l'on retrouve dans Écuquetot (Eskeketot 1122) et dans Skegby (Angleterre, comté de Nottingham, Schegeby XIe siècle)[25].
Histoire
L'influence des ducs de Normandie
Les premiers ducs de Normandie possédaient la terre d'Équiqueville. C'est dans ses bois et sur ses collines qu'ils venaient chasser au sortir de leurs châteaux d'Arques ou de Bures. Par la suite, la terre d’Équiqueville est donnée par Richard Ier, duc de Normandie, au chapitre de l’église métropolitaine de Rouen, mais une division s’opère plus tard. Le duc épouse Gonnor, belle-sœur d’un garde forestier d’Équiqueville. Il y a alors deux paroisses. La première — Saint-Vaast-d’Équiqueville — reste aux chanoines ; la seconde — Saint-Pancrace-d’Équiqueville — appartient aux moines du prieuré de Longueville. Les religieuses de Saint-Saëns possèdent au XIIIe siècle un manoir et des bois à Équiqueville. - Autres info: Equiqueville (Saint Pancrae !1419) est rattachée à Saint-Vaast le par ordonnance du roi[26].
Guerres civiles
Le village est brûlé par les Bourguignons en 1472 (ligue du Bien public) et occupé par les Ligueurs le lors des guerres de Religion.
Fusion des communes
Une ordonnance royale décrète le la fusion des communes de Saint-Vaast-d’Équiqueville et d’Équiqueville.
Seconde Guerre mondiale
- : bombardement de Saint-Vaast.
- : l’armée française fait sauter les ponts de la Béthune.
- : arrivée des troupes allemandes.
- : occupation des logements chez les habitants et du château jusque début mai 1944.
- 1941-1942 : pose de câbles et construction de blockhaus.
- 1943 : construction de nouveaux bunkers et blockhaus, pose de mines dans le village aux alentours du château, dans les cours entre la route du foyer et de la laiterie.
- : bombardement du château (Kommandantur).
- : deuxième bombardement du château qui est détruit à l'exception de l'aile gauche.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2019, la commune comptait 763 habitants[Note 8], en augmentation de 5,39 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Vaast
Saint Vaast, patron de l'église, est un évêque d’Arras, mort en 539.
Il subsiste une grande partie de la construction du XIIIe siècle, en particulier les fenêtres du chœur, caractéristiques de cette époque. Le clocher et le transept du midi appartiennent, comme le chœur, à l'ogive primitive mais la nef est romane et doit dater de l'époque de Richard Ier, duc de Normandie.
La chapelle latérale au chœur date du XVe siècle. Lors de sa construction, les grandes ouvertures actuelles ont remplacé d'étroites fenêtres qui perçaient jadis les épaisses murailles.
Le chœur de l'église possède également des boiseries sculptées de l'époque Renaissance, ainsi qu'un retable de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Ce retable est aux armes de l'abbé Terrisse, abbé de Saint-Victor-en-Caux (aujourd'hui Saint-Victor-l'Abbaye), et haut doyen du chapitre métropolitain de Rouen : d'azur, avec un arbre dont les racines sont une ancre, chef de gueules à 3 étoiles d'or à 5 branches et une couronne comtale. Ces armoiries qui sont reproduites de chaque côté du retable sont accompagnées de la mitre et de la crosse abbatiales.
À noter que la plus petite des cloches de l'église vient de Ricarville, dont l'église a été démolie dans la première moitié du XIXe siècle.
Maison du Doyen
Le doyen du chapitre, bienfaiteur, confère de plein droit à la cure de Saint-Vaast. Ce dignitaire possède dans la paroisse un manoir ou manse décanale. Dans la ferme dite « du Doyenné » sont conservées des dépendances de l'ancien manoir, appelé Maison du Doyen et datant de 1657. La propriété conserve également un puits d'eau potable, comme on en trouvait souvent à l'époque dans chaque exploitation agricole[36].
Cimetière
Présence d'une élégante croix de pierre, qui doit dater de 1605.
Gare
La gare de la commune n'est plus en service. En effet, cette dernière n'accueille plus de trains depuis. Autrefois, cette gare était située sur la ligne Paris-Dieppe mais aujourd'hui il s'agit l'Avenue Verte. Cette ligne est fermée à cause la non-rentabilité de celle-ci. Elle est construite en 1873[37]. Les voyageurs mettaient 45 minutes pour aller à Dieppe et 6 heures pour aller à Paris.
Personnalités liées à la commune
- Auguste Durst : (1842–1930) a séjourné de 1902 à 1907 à Saint-Vaast, d'où il ramena de nombreux croquis dont-celui-ci représentant l'église. Pendant cette période, il partagea sa vie entre son hôtel particulier de Puteaux et sa maison de Saint-Vaast.
- Albert Guilloux (1871-1952), sculpteur et peintre.
Héraldique
Blason | Coupé ondé: au 1er de gueules à la mitre brochant sur une crosse en bande, le tout d'argent, à dextre, et à la couronne ducale d'or, à senestre, au 2e d’azur à la foi alésée d'argent. |
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Détails | Création Jean-François Binon. |
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Vaast-d'Équiqueville et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Vaast-d'Équiqueville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 161.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 938.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 344.
- François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éd. Picard, 1979, p. 70 et 73.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- Hervé Morisset, Freulleville Le Manoir du Val, HM-Ed., 2017
- « Saint-Vaast-d'Équiqueville », Les communes seinomarines, sur https://seine76.fr (consulté le ).
- Maria da Silva, « L'ancien maire est décédé : Gérard Ledoux est décédé. Il avait été le maire de Saint-Vaast-d'Equiqueville de 1983 à 1995 », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller en septembre 1982 au cours d’une élection partielle suite au décès accidentel de Fernand Gaillardon, maire de l’époque, Gérard Ledoux, ancien maire de Saint-Vaast-d’Equiqueville, est décédé. Il avait été élu à la tête de l’équipe municipale en mars 1983. Il a effectué trois mandats jusqu’en 1995 avant de redevenir conseiller municipal de 1995 à 2001 ».
- « Le maire Daniel Chauver n’est pas candidat à sa succession à Saint-Vaast-d’Equiqueville : Le maire Daniel Chauver ne brigue pas de 4e mandat aux municipales 2020 », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « C’était la dernière cérémonie de vœux pour le maire Daniel Chauvet qui a annoncé à ses administrés qu’il ne se présente pas aux élections municipales de mars 2020 après trente-sept ans de mandat comme conseiller municipal, un mandat d’adjoint, trois de maire, un de président du Sivos et deux de président de Syndicat d’eau ».
- « Francis Sevestre, candidat à la succession de Daniel Chauvet à Saint-Vaast-d’Équiqueville : Élections municipales à Saint-Vaast-d’Équiqueville : le premier adjoint Francis Sevestre est le seul candidat à la succession du maire Daniel Chauvet qui ne se représente pas », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Saint-Vaast-d'Équiqueville », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) .
- « Saint-Vaast et la ligne de chemin de fer Pari-Dieppe » [PDF] (consulté le ).
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