Seine-Maritime

La Seine-Maritime, dénommée jusqu'en 1955 Seine-Inférieure, est un département français de la Normandie[2],[3],[4], dont il héberge plus du tiers de la population. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 76.

Seine-Maritime
Administration
Pays France
Région Normandie
Création du département
Chef-lieu
(Préfecture)
Rouen
Sous-préfectures Dieppe
Le Havre
Président du
conseil départemental
Bertrand Bellanger
Préfet Pierre-André Durand (d)[1]
Code Insee 76
Code ISO 3166-2 FR-76
Démographie
Gentilé Seinomarin
Population 1 255 633 hab. (2019)
Densité 200 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ nord, 0° 50′ est
Superficie 6 278 km2
Subdivisions
Arrondissements 3
Circonscriptions législatives 10
Cantons 35
Intercommunalités 18
Communes 708
Liens
Site web seinemaritime.fr

    Sa préfecture est Rouen.

    Gentilé

    Depuis le , à la suite d'une consultation[5],[6] réalisée en par courrier et par Internet, les habitants de Seine-Maritime sont appelés les Seinomarins et Seinomarines[7].

    Histoire

    Le département de la Seine-Inférieure est créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d'une partie de la province de Normandie.

    Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (), le département est occupé par les troupes britanniques de à novembre 1818 (voir Occupation de la France à la fin du Premier Empire).

    Après le coup d'État du 2 décembre 1851 de Napoléon III, la Seine-Inférieure fait partie des départements placés en état de siège afin de parer à tout soulèvement massif[8].

    Elle prend le nom de « Seine-Maritime » le [9].

    Pendant Mai 68, le département est celui des premières usines en grève. Chez Renault-Cléon, jeudi à 5 heures, l'équipe du matin trouve portes fermées, la grève ayant été déclenchée le mardi à 15 heures[10]. Plusieurs centaines de salariés de l'équipe de nuit restent enfermés dans les bâtiments administratifs et le directeur de l'usine refuse de quitter l'entreprise.

    Proposition de blason

    Blasonnement :
    De gueules à la fasce ondée d'argent, accompagnée de deux léopards d'or[11].
    Commentaires : Armoiries proposées par Robert Louis en 1950[12]. Ce sont les armes de la Normandie avec une fasce évoquant la Seine.

    Géographie

    Carte de la Seine-Maritime.

    La Seine-Maritime, baignée par la Manche de l'estuaire de la Seine jusqu'à l'embouchure de la Bresle, fait partie de la région Normandie. Elle est limitrophe des départements de la Somme, de l'Oise, du Calvados et de l'Eure.

    Le plateau crayeux du pays de Caux occupe la majeure partie du département, qui comprend aussi, à l'est, le Petit Caux et le pays de Bray, ainsi qu'au sud, la vallée de la Seine.

    Les principales villes du département sont : Rouen, Le Havre, Dieppe, Fécamp, Elbeuf, Barentin, Yvetot et Lillebonne.

    Climat

    Le climat de la Seine-Maritime est océanique. Il existe des différences de températures entre le littoral et l'intérieur du département. En hiver, les températures enregistrées sur la côte sont plus douces que celles relevées plus à l'est. L'effet inverse est notable en été. Les terres du pays de Bray, situées plus en altitude, connaissent quelques épisodes neigeux en hiver. Les vents dominants viennent du sud-ouest ou de l'ouest. Ils peuvent souffler en tempête en automne et en hiver.

    Interventions publiques

    En 2017, le département dispose d'un budget de 1,8 milliard d'euros[13].

    Les investissements : chiffres clés

    La solidarité : 817,7 M €[14]

    Les engagements de solidarité restent le premier budget de la collectivité avec 817,7 M€.

    • Revenu de Solidarité Active : 261,4 M€
    • Allocation Personnalisée d'Autonomie et personnes âgées : 209,6 M€
    • Enfance et Famille : 184,9 M€
    • Personnes en situation de handicap : 151,7 M€
    • Protection Maternelle et Infantile, Santé Publique : 3,6 M€
    • Coopération décentralisée : 0,41 M€
    • Lutte contre les discriminations et le racisme : 0,35 M€

    Développement du territoire : 88,1 M€

    Égalité des droits (Éducation, Culture et Sport) : 136,3 M€

    Mobilité, la sécurité et la protection de l’environnement : 162,7 M€

    Frais de structure : 243,8 M€[14].

    L'encours de la dette du département de la Seine-Maritime est de 989 millions d'euros au . Il a décru de plus de 247 M€ entre le et le .

    Développement économique

    Emplois, revenus et niveau de vie

    Quelques statistiques :

    • le taux de chômage est de 9,7 % en 2006[15], 11,1 % en 2015 et 9,8 % en 2019[16] ;
    • la répartition de la population active par secteur économique[Quand ?] est de 3,5 % pour le secteur primaire, 22 % pour le secteur secondaire et 71,5 % pour le secteur tertiaire.

    Agriculture

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    • Agriculture : céréales, lin (pays de Caux), betteraves, colza ;
    • Sylviculture ;
    • Pêche : Dieppe, Le Havre, Fécamp, Le Tréport ;
    • Élevage : pays de Bray (élevage laitier), pays de Caux (viande, lait).

    Industrie

    Les zones industrielles, dans la vallée de la Seine, se répartissent sur trois pôles principaux : l'estuaire (zone industrialo-portuaire du Havre), la zone Lillebonne/Notre-Dame-de-Gravenchon en amont du pont de Tancarville et Rouen.

    Les activités industrielles sont diverses : la pétrochimie (raffineries Total, ExxonMobil, Shell), les industries de pointe, en particulier les usines automobile Renault (Sandouville, Cléon, Dieppe) et deux centrales nucléaires à Penly (2 × 1 300 MW) au nord de Dieppe et à Paluel (4 × 1 300 MW) à l'est de Fécamp.

    Les activités portuaires sont réparties sur différents sites : port du Havre (premier port à conteneurs de France), grand port maritime de Rouen, port pétrolier d'Antifer et ports secondaires (Dieppe, Fécamp et Le Tréport).

    Transports

    L'axe Paris - Rouen - Le Havre est l'axe de transport majeur du département, construit autour de la Seine navigable et parcouru par les autoroutes A13 et A131 et par la ligne ferroviaire majeure de Paris-Saint-Lazare au Havre. Les ports du Havre et de Rouen sont deux des plus importants ports maritimes français, et jouent un rôle majeur dans l'économie du département et sa physionomie.

    Tourisme

    Nef de l'abbatiale Saint-Georges-de-Boscherville.
    Un des magnifiques magnolias visibles au bois des Moutiers à Varengeville-sur-Mer.

    Le tourisme est diversifié entre Rouen, la vallée de la Seine, les stations balnéaires du littoral (Étretat, Fécamp, Dieppe, Le Tréport). On peut également évoquer les ports, parmi lesquels, notamment, Saint-Valery-en-Caux pour la plaisance. La Seine-Maritime dispose de huit passages d'eau entre Rouen et l'embouchure de la Seine, permettant la traversée de celle-ci par des bacs amphidromes, en complément des ponts.

    Le département compte un village parmi Les Plus Beaux Villages de France : Veules-les-Roses[17].

    Routes touristiques

    Plusieurs routes touristiques dans le département permettent de découvrir le patrimoine selon un thème :

    Parcs et réserves naturelles

    Les principaux sites sont le parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, la côte d'Albâtre avec ses plages de galets et ses falaises, le jardin botanique du Bois des Moutiers, parc de 12 hectares à Varengeville-sur-Mer, et le parc zoologique de Clères.

    Châteaux

    Les principaux châteaux sont le château d'Arques-la-Bataille (vestiges), le château d'Ételan (Renaissance flamboyante) à Saint-Maurice-d'Ételan, le château de Filières (XVIe au XVIIIe siècle) à Gommerville, le château de Miromesnil près de Dieppe, lieu de naissance de Guy de Maupassant, le château de Cany-Barville et le château de Galleville à Doudeville. Le château d’Eu est l’ancienne résidence d’été du roi Louis-Philippe.

    Les résidences secondaires

    Selon le recensement général de la population du , 3,8 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires en 2017[18].

    Ce tableau indique les principales communes de la Seine-Maritime dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.

    Démographie

    En décembre 2005, un sondage a été mené pour déterminer le nom à donner à ses habitants. Depuis, les habitants de la Seine-Maritime sont officiellement appelés les Seinomarins/Seinomarines[7].

    En 2019, le département comptait 1 255 633 habitants[Note 1], en augmentation de 0,08 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
    -609 843643 093655 804688 295693 683720 525737 206757 990
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    762 039769 450789 988792 768790 022798 414814 068833 386839 876
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    837 824853 883863 879877 383880 671885 299905 278915 628846 131
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    941 6841 035 8441 113 9771 172 7431 193 0391 223 4291 239 1381 243 8341 251 282
    2016 2019 - - - - - - -
    1 255 7551 255 633-------
    (Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[19] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[20] puis population municipale à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Communes les plus peuplées

    La Seine-Maritime a la particularité d'être un des rares départements de province, avec les Bouches-du-Rhône et le département du Rhône, à posséder deux communes de plus de 100 000 habitants, en l'occurrence, Le Havre et Rouen. Cette particularité est d'autant plus forte que ces deux communes ne font, en plus, pas partie de la même agglomération.

    Liste des quinze communes les plus peuplées du département
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Modifier
    Le Havre 76351 CU Le Havre Seine Métropole 46,95 168 290 (2019) 3 584
    Rouen 76540 Métropole Rouen Normandie 21,38 112 321 (2019) 5 254
    Sotteville-lès-Rouen 76681 Métropole Rouen Normandie 7,44 29 068 (2019) 3 907
    Saint-Étienne-du-Rouvray 76575 Métropole Rouen Normandie 18,25 28 352 (2019) 1 554
    Dieppe 76217 CA de la Région Dieppoise 11,67 28 241 (2019) 2 420
    Le Grand-Quevilly 76322 Métropole Rouen Normandie 11,11 25 963 (2019) 2 337
    Le Petit-Quevilly 76498 Métropole Rouen Normandie 4,35 22 000 (2019) 5 057
    Mont-Saint-Aignan 76451 Métropole Rouen Normandie 7,94 19 357 (2019) 2 438
    Fécamp 76259 CA Fécamp Caux Littoral Agglomération 15,07 18 041 (2019) 1 197
    Elbeuf 76231 Métropole Rouen Normandie 16,32 16 224 (2019) 994
    Montivilliers 76447 CU Le Havre Seine Métropole 19,09 15 470 (2019) 810
    Bois-Guillaume 76108 Métropole Rouen Normandie 8,85 14 592 (2019) 1 649
    Canteleu 76157 Métropole Rouen Normandie 17,61 13 846 (2019) 786
    Barentin 76057 CC Caux - Austreberthe 12,74 12 398 (2019) 973
    Oissel 76484 Métropole Rouen Normandie 22,19 12 241 (2019) 552

    Vie quotidienne en Seine-Maritime

    Lieux de culte

    Pour l'Église catholique romaine, le département correspond à l'archidiocèse de Rouen et au diocèse du Havre. Il y a une forte présence de l'Église réformée (protestants) à Bolbec, à Lillebonne, au Havre et à Rouen. À Elbeuf, existent une mosquée de rite malékite et une synagogue. L'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours est présente en Seine-Maritime avec deux paroisses au Havre et à Rouen.

    Médias

    La presse écrite est représentée par Paris Normandie, Le Havre Presse, Le Havre libre, Le Courrier cauchois, Les Informations dieppoises, Liberté-Dimanche, Le Réveil de Neufchâtel, L'Éclaireur Brayon et Le Journal d'Elbeuf.

    Administration et politique

    Politique locale

    Le conseil départemental édite : Seine-Maritime Le magazine.

    Exécutifs des instances politiques départementales de la Seine-Maritime

    De 2004 à 2014, le président du conseil départemental[22] est Didier Marie. En application de la réglementation régissant le cumul des mandats en France, Didier Marie (sénateur par suite de la démission de Marc Massion) abandonne la présidence le . Son successeur, Nicolas Rouly, a été élu lors de l'assemblée plénière le même jour.

    Le , Pascal Martin est élu président du conseil départemental avec 36 voix en sa faveur contre 28 pour Nicolas Rouly et 2 pour Hubert Wulfranc. Deux conseillers départementaux ont voté blanc.

    Élu sénateur du département le à la suite de la démission de Charles Revet, il abandonne la présidence du conseil départemental le même jour.

    Le , Bertrand Bellanger succède à Pascal Martin en tant que président de la majorité divers droite. Il est élu par 38 voix pour 70 inscrits et 44 votants[23]. Bertrand Bellanger a été élu conseiller départemental du canton de Mont-Saint-Aignan en , aux côtés de Catherine Flavigny. Accompagnant le changement de majorité à la tête du Département de la Seine-Maritime, il devient alors vice-président chargé de l’arrondissement de Rouen.

    Découpage administratif

    La Seine-Maritime est composée de 35 cantons. Avant le redécoupage cantonal de 2014, la Seine-Maritime comptait 69 cantons[24]. Rouen comptait sept cantons, ce nombre est ramené à trois par la réforme.

    Découpage électoral

    Le département est divisé en 10 circonscriptions législatives :

    Tendances et résultats politiques

    Le département de Seine-Maritime est traditionnellement considéré comme de gauche, avec une forte présence communiste dans certains secteurs comme Le Havre, Dieppe, Le Tréport ou Saint-Étienne-du-Rouvray. C'est d'ailleurs en Seine-Maritime que le Front de gauche a réalisé son meilleur score au niveau national lors l'élection régionale de 2015. Le département a basculé de justesse à droite lors de l'élection départementale de 2015, mais est en revanche le seul département normand à avoir voté majoritairement à gauche lors de l'élection régionale de 2015[25].

    Lors des élections présidentielles et législatives de 2017, la Seine-Maritime a confirmé son ancrage très à gauche en plaçant Jean-Luc Mélenchon en deuxième position, juste derrière Marine Le Pen, et en envoyant notamment trois députés issus du Parti communiste français (dont deux élus avec le soutien de la France Insoumise), faisant ainsi de la Seine-Maritime le département le plus représenté au sein du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.

    Élection / collectivitésGauche radicaleGaucheCentreDroiteExtrême-droite
    Élection présidentielle de 2017 (1er tour)22,20 % (Jean-Luc Mélenchon)6,05 % (Benoît Hamon)21,23 % (Emmanuel Macron)17,24 % (François Fillon)24,90 % (Marine Le Pen)
    Conseil départemental de 2021826 (+2)7270
    Députés31510
    Sénateurs11040
    Villes de + 25 000 habitants23100

    Enseignement

    Les établissements scolaires du département de la Seine-Maritime dépendent tous de l’académie de Rouen, ils sont sous la direction de l’inspection académique de la Seine-Maritime.

    Santé

    La santé et le social sont deux secteurs d'intervention qui entrent dans les compétences du conseil départemental. À ce titre, il est chargé de coordonner les actions en faveur des personnes âgées, des personnes en situation de handicap, des enfants, des familles et des personnes en difficulté. Il dispose aussi d’un droit de regard dans la gestion des établissements publics de santé présents sur le territoire départemental.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Shahinez Benabed, « Un nouveau préfet pour la région Normandie », sur acteurspublics.com, (consulté le ).
    2. LOI no 2015-29 du 16 janvier 2015.
    3. Ministère de l'Intérieur.
    4. Conseil Constitutionnel.
    5. Seinomarins ? T'es sûr ???
    6. seinemaritime.net.
    7. « « Seinomarins, un beau nom ! » sur Commune76 ».
    8. Jacques Olivier Boudon, Les Bonaparte : regards sur la France impériale. La Documentation photographique, dossier 8073, janvier-février 2010, p. 11 (carte de Gilles Pécout).
    9. République Française, « Décret du 18 janvier 1955 relatif au changement de nom du département de la Seine-Inférieure qui portera désormais le nom de Seine-Maritime », Journal officiel de la République française, Paris, Direction de l'information légale et administrative, (lire en ligne).
    10. Chronologie sur deux jours, le 18 mai dans Le Monde.
    11. http://www.labanquedublason2.com Gaso.
    12. Malherbe Normandy Kop, Les Drapeaux de Normandie, , 94 p. (ISBN 979-10-699-6523-2), p. 74-75
    13. seinemaritime.fr, « Budget 2017 - Département de la Seine-Maritime », sur www.seinemaritime.fr (consulté le ).
    14. seinemaritime.fr, « Budget 2017 - Département de la Seine-Maritime », sur www.seinemaritime.fr (consulté le ).
    15. « Site de l'INSEE au 31 décembre 2006 ».
    16. « Le taux de chômage repart à la baisse en Normandie - Insee Flash Normandie - 84 », sur www.insee.fr (consulté le )
    17. « Découvrez nos villages | Les plus beaux villages de France - Site officiel », sur www.les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
    18. « Comparateur de territoire − Département de la Seine-Maritime (76) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    19. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
    20. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
    21. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 1968, 1975, 1982, 1990, 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019
    22. Article 1 de la loi no 2013-403 du 17 mai 2013, modifiant la dénomination de conseil général au profit de celle de conseil départemental
    23. « Bertrand Bellanger, président sur un sillon déjà tracé », sur www.paris-normandie.fr (consulté le ).
    24. « Le nouvelle carte attaquée », sur Paris-Normandie (consulté le ).
    25. « Résultats des élections régionales 2015 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Regionales/elecresult__regionales-2015 (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Jean Benoît Désiré Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France »,
    • Joseph Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine Inférieure, coll. « La Mémoire normande », 1875-1879 (réimpr. 1975)
    • Charles de Robillard de Beaurepaire et Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, 1982-1984, 1188 p. (ISBN 2-7177-1627-0)
    • Michel de la Torre, Guide de l'art et de la nature, Seine-Maritime, Paris, Berger-Levrault,
    • Esther Baumann (dir.), Sabine Bledniak, Clotilde Brégeau et al., Le patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
    • Daniel Delattre, La Seine-Maritime, les 745 communes, Grandvilliers, , 344 p. (OCLC 53292170)
    • Michel de Boüard, Histoire de la Normandie, Privat, Toulouse, Rennes, Éd. Ouest-France, , 540 p. (ISBN 2-7089-1707-2)
    • Michel Hébert, La Seine-Inférieure en 1900, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , 235 p. (ISBN 2-85480-754-5, OCLC 40997582)
    • Marie-Hélène Desjardins, Des peintres au pays des falaises : 1830-1940, Fécamp, Éditions des Falaises, , 224 p. (ISBN 2-84811-016-3)
    • Frédéric David et Didier Mouchel (photogr. Louis Chesneau), La Seine-Maritime, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, coll. « Il y a bientôt 100 ans », , 116 p. (ISBN 2-84253-050-0)
    • Francis Cormon, Au-dessus de la Seine-Maritime, PTC, , 96 p.

    Liens externes

    • Portail de la Seine-Maritime
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