Liste des évêques d'Angoulême

Liste des évêques d'Angoulême

(Dioecesis Engolismensis)

Liste

Haut Moyen-Âge

IV^e siècle : Ausone (ou Ausonius)[Note 1]^,[1]
avant 431-451 ou après : Dynamius[2]
508-511 : Aptone, chapelain de Clovis[3]
cité de 511 à 541 ou après : Lupicinus[2]
542-566 : Aptone II (ou Aptonius)[4]
567-573 : Maracharius (ou Mererius)[5]
573-574 : Fronton (ou Frontonius)[6]
~574-~580 : Heraclius[7]
avant 584-~590 ou après : Nicaise (ou Nicasius)[8]
614 : Bassolus (614)[9]
626/627-637 : Namatius[9]
milieu VII^e siècle : Ebargehenus[10]
662/675-677 : Tomanius[11]
fin VII^e siècle-début VIII^e siècle : Ardoin[Note 2]^,[11]
1^re moitié IX^e siècle : Sidranius[11]
835 : Fredebert (ou Fredebertus)[Note 3]^,[11]
848-25 janvier 861 ou 862 : Laune (ou Launon ou Launus)[12]
862-~875 : Hélie I^er Scotigène (ou Helias Scotigena)[Note 4]
~875-3 septembre 892 : Oliba[13]^,[Note 5]^,[14]
892-mars ou avril 895 : Anatole (ou Anatolius)[13]
2 mars 897-23 mars 940 : Gombaud (ou Gumbaldus)[Note 6]^,[15]
janvier 938-février 951 : Foucaud (ou Fulco ou Fulcaldus)[15]
2 avril 951-18 janvier 964 : Eble (ou Eblo, Ebbon, ou Ebulus)[16]
février ou avril 963-janvier 973 : Ramnulfe (ou Ramnulfus)[16]
973-990: Hugues I^er de Jarnac (ou Hugo de Jarnac)[17]

Bas Moyen-Âge

22 septembre 991-28 janvier 1018 : Grimoard de Mussidan (ou Grimoardus)[18]
~1020-12 mars entre 1032 et 1036 : Rohon de Montaigu (ouRoho)[Note 7]^,[19]
1037 ou avant-15 juin 1043 : Girard I Malart (ou Gerardus Malard)[20]
1043-20 septembre 1075 ou 1076 : Guillaume I^er Taillefer (ou Guillelmus)[21]
15 mai 1075-4 septembre 1101 : Adémar Taillefer (ou Ademarus), frère du précédent[22]
1101 ou 1102-1er mars 1136 : Girard II d'Angoulême (ou Gerardus)[23] légat du Saint-Siège[24]
24 mai 1136-13 juin 1149 : Lambert (ou Lambertus)[25]
11 juin 1149-12 août 1159 : Hugues II Tizon de La Rochefoucauld (ou Hugo Rupis-fulcaldi)[26]
1159-1182 : Pierre I^er Titmond (ou Petrus)[Note 8]^,[27]
1181-7 mars 1204 : Jean I^er de Saint-Val (ou Johannes de Sancti Vallio)[Note 9]^,[28]
1206-1227 : Guillaume II Testaud (ou Guillelmus)[29]
1228-~1238 : Jean II Guillot (ou Johannes Guilloti)[30]
~1240-1247 : Raoul 1^er (ou Radulfus)[31]
1247-1252 : Pierre II (ou Petrus)[32]
1252-1268 : Robert de Montbron (ou Robertus de Monberon)[Note 10]^,[33]
1268-1272 : sede vacante[34]
1272-1273 : Pierre III Raymond (ou Petrus Raimundi)[34]
12 octobre 1273-1307 : Guillaume III de Blaye (ou Guillelmus de Blavia)[Note 11]^,[35]
1308-1313 : Foulques de La Rochefoucauld (ou Fulco de Rupis-fulcaldi)[36]
1313-1315 : Oliver (ou Oliverius)[37]
1315-1317 : Jean III (ou Johannes)[38]
1318-1328 : Gaillard I^er de Fougères (ou Galhardus de Falqueriis)[39]
1328-1363 : Ayquelin de Blaye (ou Ayquelinus de Blavia)[40]
1363-1381 : Hélie II de Pons (ou Helias)[41]
1380-1384 : Jean IV (ou Joannes)
1386-1390[42] ou 1398[43] : Gaillard II[Note 12]
1391[42] ou 1398[43]-1414 : Guillaume IV (ou Guilielmus)
1415-~1440 : Jean V Fleury (ou Joannes), devient évêque de Luçon († 17 octobre 1451).
19 décembre 1440-1465 : Robert(us) III de Montbrun
1465[42] ou 1467[43]-1469[42] ou 1470[43] : Geoffroi de Pompadour[44] (ou Godefredus[45]), deviendra évêque de Périgueux de 1470 à 1485 et de 1500 à 1504.
6 juillet 1470-1479 : Raoul II du Fou, auparavant évêque de Périgueux (1463-1470).
1479-1493 : Robert IV de Luxembourg

Époque moderne

1494-1502 : Octavien de Saint-Gelais (ou Octavianus)
29 avril 1502-1505 : Hugues III de Baure[44] (ou Hugo de Bauza[45])
1506-28 février 1523[43] ou 1524[42] : Antoine I^er d'Estaing (ou Antonius)
14 janvier 1524-15 juillet 1527 : Antoine II de la Barre (ou Antonius)
9 février 1528-26 novembre 1532 : Jacques I^er Babou de la Bourdaisière (ou Jacobus)
13 juin 1533-1562[43] ou 1567[42] : cardinal (1561) Philibert Babou de la Bourdaisière, frère du précédent[Note 13]. Après lui, quatre années de vacance du siège[46].
1567[43] ou 1572[42]-14 décembre 1603 : Charles de Bony (ou Carolus)
1603-1605 : Jacques Turricella[47], deviendra évêque de Marseille de 1605 à 1618.
5 juin 1608-24 décembre 1634 : Antoine III de La Rochefoucauld (ou Antonius)
14 juin 1637-30 août 1646 : Jacques II du Perron (ou Jacobus)
août 1646-29 septembre 1687[43] ou 1689[42] : François I^er de Péricard
1^er novembre 1689-12 janvier 1737 : Cyprien-Gabriel Bénard de Résay[48]
16 décembre 1737-21 septembre 1753 : François II du Verdier (confirmé le 1^er juin 1738)
novembre 1753[42] ou 3 mars 1754[43]-19 avril 1784 : Joseph-Amédée de Broglie (ou Josephus-Amadeus)
2 mai 1784-1790 : Philippe-François d'Albignac de Castelnau, titulaire du siège jusqu'en 1801 († 3 janvier 1814)

Révolution, Empire et époque contemporaine

8 mars[Note 14] 1791-1793 : Pierre-Mathieu Joubert[49], évêque constitutionnel de la Charente.
11 avril 1802-7 avril[42] ou 7 avril[43] 1823 : Dominique Lacombe[50]
10 septembre 1823-21 mai 1842 : Jean-Joseph-Pierre Guigou
15 juin 1842-16 mai 1850 : René-François Régnier
17 juin 1850-12 août 1872 : Antoine-Charles Cousseau
16 décembre 1872-17 mai 1891 : Alexandre-Léopold Sebaux
2 avril 1892-6 septembre 1899 : Jean-Baptiste Frérot
7 décembre 1899-24 juillet 1900 : Jean-Louis Mando
5 avril 1901-15 avril 1907 : Joseph-François-Ernest Ricard
7 août 1907-15 mai 1933 : Henri-Marie Arlet
7 décembre 1933-9 mai 1965 : Jean-Baptiste Mégnin
9 mai 1965-1^er juillet 1975 : René-Noël-Joseph Kérautret
1^er juillet 1975-22 décembre 1993 : Georges Rol
22 décembre 1993-10 janvier 2016 : Claude Dagens (Claude-Jean-Pierre Dagens), de l'Académie française.
depuis le 10 janvier 2016 : Hervé Gosselin

Notes et références

Notes

Grégoire de Tours place Ausone au milieu du III^e siècle, mais l'historien Robert Favreau pense qu'il était évêque au IV^e siècle.
Les évêques du VIII^e siècle ne sont pas connus. Certaines listes notent Landebertus et saint Salvius comme évêques : Landebertus est seulement trouvé comme participant du concile de Narbonne en 788, mais cela est apocryphe. Traditionnellement célébré comme un évêque d'Angoulême, saint Sauve se trouve sur certaines listes tardives, mais sa vita a été écrite peu de temps après sa mort et ne fait aucune mention d'Angoulême.
La Chronique de Saint-Maixent note un évêque Autbertus, mais à partir d'un acte faux. Son existence est donc douteuse.
Les Annales Engolismenses (MGH SS, 4:5 et 16:486) notent qu'un évêque Girbaldus est mort en 864, mais il n'est pas attesté dans un autre document et Helias a assisté à un concile en 862.
Oliba peut avoir été évêque dès 869, car Hélias est vu la dernière fois au concile de Vermery en 869.
Un évêque Godalbert, qui aurait été évêque entre Anatole et Gombaud, se trouve sur une liste épiscopale du XII^e siècle qui n'inclut pas sa date de mort (alors que c'est le cas pour les autres évêques); d'après Puybaudet, "Une liste épiscopale d’Angoulême", p. 282. Non attesté dans d'autres documents, Favreau rejette son existence, notant que son nom aurait été confondu avec Gumbaldus (le nom de Gombaud en latin), surtout depuis Gombaud a été appelé "Gundaberto" dans la Chronique de Saint-Maixent.
Roho est peut-être devenu évêque dès 1018, mais est seulement attesté en 1020.
Élu en 1159, ordonné en 1160.
Élu en 1181, ordonné en 1182.
Élu en 1252, ordonné en 1253.
Guillaume III de Blaye : élu 12 octobre 1273, ordonné 15 janvier 1274.
Le Trésor de Chronologie précise qu'il siégea 12 années (sed. 12 annos).
Le Trésor de Chronologie précise « frater ejus ».
Élu le 8 mars. Occupe le siège le 9 avril.

Références

Favreau 2010, p. 9.
Favreau 2010, p. 10.
Jean-Marie Ouvrard, « Évêché d'Angoulême » (consulté le 26 avril 2020)
Favreau 2010, p. 10-11.
Favreau 2010, p. 11.
Favreau 2010, p. 11-12.
Favreau 2010, p. 12.
Favreau 2010, p. 12-13.
Favreau 2010, p. 13.
Favreau 2010, p. 14.
Favreau 2010, p. 14-15.
Favreau 2010, p. 16.
Favreau 2010, p. 17.
Debord, p. 93.
Favreau 2010, p. 18.
Favreau 2010, p. 19.
Favreau 2010, p. 19-20.
Favreau 2010, p. 21-22.
Favreau 2010, p. 22-23.
Favreau 2010, p. 24.
Favreau 2010, p. 24-26.
Favreau 2010, p. 26-28.
, Favreau 2010, p. 28-33.
Hugues Du Tems, Le clergé de France…, Brunet, 1774, p. 242.
Favreau 2010, p. 33-35.
Favreau 2010, p. 35-37.
Favreau 2010, p. 37-39.
Favreau 2010, p. 39-40.
Piveteau 1983, p. 122.
Piveteau 1983, p. 122-123.
Favreau 2010, p. 125-128.
Piveteau 1983, p. 123-124.
Piveteau 1983, p. 128.
Piveteau 1983, p. 124-125.
Piveteau 1983, p. 130-133.
Piveteau 1983, p. 133-134.
Piveteau 1983, p. 134.
Piveteau 1983, p. 135.
Piveteau 1983, p. 136.
Piveteau 1983, p. 135-139.
Piveteau 1983, p. 137.
Date donnée par La Grande Encyclopédie.
Date donnée par le Trésor de Chronologie.
Forme nominale donnée par La Grande Encyclopédie.
Forme nominale donnée par le Trésor de Chronologie.
Selon le Trésor de Chronologie.
Monseigneur Paul Pouget, « Jacques Turicella, évêque d'Angoulême de 1602 à 1605 », Bulletin de la Société Archéologique et Historique de la Charente, n^os 149-4,‎ octobre-décembre 1993, p. 172-175
"Benard" est donné par La Grande Encyclopédie.
Archives de l'Assemblée Nationale.
« Les figures de Montréjeau », Dominique Lacombe (1749-1823), sur montrejeau-pyrenees.com (consulté le 3 janvier 2012)

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente X^e-XII^e s., Picard, 1984, 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne)
Robert Favreau, Évêques d’Angoulême et Saintes avant 1200., vol. 9, Revue historique du Centre-Ouest, numéro 1, 2010, p. 7-142
La Grande Encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts - volume deuxième, pages 1167 et 1168 - Paris (1885-1902).
L’Annuaire pontifical, sur le site http://www.catholic-hierarchy.org, à la page
Pertz, Georgius Henricus, ed. "Annales Engolismenses." In Monumenta Germaniae Historica Scriptorum t.4, 5. Hannover: Impensis Bibliopolii Hahniani, 1841.
Pertz, Georgius Henricus, ed. "Annales Engolismenses." In Monumenta Germaniae Historica Scriptorum t.16, 485-87. Hannover: Impensis Bibliopolii Hahniani, 1859.
Cécile Piveteau, Les évêques d'Angoulême aux XIII^e et XIV^e siècles, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 1983, p. 119-139.
Puybaudet, Guy de. "Une liste épiscopale d'Angoulême", dans Mélanges d'archéologie et d'histoire 17 (1897) : 279-84.
Trésor de Chronologie, d’histoire et de géographie pour l'étude et l'emploi des documents du Moyen Âge, par le comte de Mas-Latrie ; pages 1373 et 1374 - Paris - V. Palmé (1889) (consultable sur https://gallica.bnf.fr)

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[1] Grégoire de Tours place Ausone au milieu du III^e siècle, mais l'historien Robert Favreau pense qu'il était évêque au IV^e siècle.

[13] Les évêques du VIII^e siècle ne sont pas connus. Certaines listes notent Landebertus et saint Salvius comme évêques : Landebertus est seulement trouvé comme participant du concile de Narbonne en 788, mais cela est apocryphe. Traditionnellement célébré comme un évêque d'Angoulême, saint Sauve se trouve sur certaines listes tardives, mais sa vita a été écrite peu de temps après sa mort et ne fait aucune mention d'Angoulême.

[14] La Chronique de Saint-Maixent note un évêque Autbertus, mais à partir d'un acte faux. Son existence est donc douteuse.

[16] Les Annales Engolismenses (MGH SS, 4:5 et 16:486) notent qu'un évêque Girbaldus est mort en 864, mais il n'est pas attesté dans un autre document et Helias a assisté à un concile en 862.

[18] Oliba peut avoir été évêque dès 869, car Hélias est vu la dernière fois au concile de Vermery en 869.

[20] Un évêque Godalbert, qui aurait été évêque entre Anatole et Gombaud, se trouve sur une liste épiscopale du XII^e siècle qui n'inclut pas sa date de mort (alors que c'est le cas pour les autres évêques); d'après Puybaudet, "Une liste épiscopale d’Angoulême", p. 282. Non attesté dans d'autres documents, Favreau rejette son existence, notant que son nom aurait été confondu avec Gumbaldus (le nom de Gombaud en latin), surtout depuis Gombaud a été appelé "Gundaberto" dans la Chronique de Saint-Maixent.

[25] Roho est peut-être devenu évêque dès 1018, mais est seulement attesté en 1020.

[34] Élu en 1159, ordonné en 1160.

[36] Élu en 1181, ordonné en 1182.

[42] Élu en 1252, ordonné en 1253.

[45] Guillaume III de Blaye : élu 12 octobre 1273, ordonné 15 janvier 1274.

[55] Le Trésor de Chronologie précise qu'il siégea 12 années (sed. 12 annos).

[58] Le Trésor de Chronologie précise « frater ejus ».

[62] Élu le 8 mars. Occupe le siège le 9 avril.

[Favreau9-2] Favreau 2010, p. 9.

[Favreau10-3] Favreau 2010, p. 10.

[4] Jean-Marie Ouvrard, « Évêché d'Angoulême » (consulté le 26 avril 2020)

[Favreau10et11-5] Favreau 2010, p. 10-11.

[Favreau11-6] Favreau 2010, p. 11.

[Favreau11et12-7] Favreau 2010, p. 11-12.

[Favreau12-8] Favreau 2010, p. 12.

[Favreau12et13-9] Favreau 2010, p. 12-13.

[Favreau13-10] Favreau 2010, p. 13.

[Favreau14-11] Favreau 2010, p. 14.

[Favreau14et15-12] Favreau 2010, p. 14-15.

[Favreau16-15] Favreau 2010, p. 16.

[Favreau17-17] Favreau 2010, p. 17.

[19] Debord, p. 93.

[Favreau18-21] Favreau 2010, p. 18.

[Favreau19-22] Favreau 2010, p. 19.

[Favreau19et20-23] Favreau 2010, p. 19-20.

[Favreau21et22-24] Favreau 2010, p. 21-22.

[Favreau22et-26] Favreau 2010, p. 22-23.

[Favreau24-27] Favreau 2010, p. 24.

[Favreau24a26-28] Favreau 2010, p. 24-26.

[Favreau26a28-29] Favreau 2010, p. 26-28.

[Favreau28a33-30] , Favreau 2010, p. 28-33.

[31] Hugues Du Tems, Le clergé de France…, Brunet, 1774, p. 242.

[Favreau33a35-32] Favreau 2010, p. 33-35.

[Favreau35a37-33] Favreau 2010, p. 35-37.

[Favreau37a39-35] Favreau 2010, p. 37-39.

[Favreau39et40-37] Favreau 2010, p. 39-40.

[Piveteau122-38] Piveteau 1983, p. 122.

[Piveteau122et123-39] Piveteau 1983, p. 122-123.

[Favreau125a128-40] Favreau 2010, p. 125-128.

[Piveteau123et124-41] Piveteau 1983, p. 123-124.

[Piveteau128-43] Piveteau 1983, p. 128.

[Piveteau124et125-44] Piveteau 1983, p. 124-125.

[Piveteau130a133-46] Piveteau 1983, p. 130-133.

[Piveteau133et134-47] Piveteau 1983, p. 133-134.

[Piveteau134-48] Piveteau 1983, p. 134.

[Piveteau135-49] Piveteau 1983, p. 135.

[Piveteau136-50] Piveteau 1983, p. 136.

[Piveteau135a139-51] Piveteau 1983, p. 135-139.

[Piveteau137-52] Piveteau 1983, p. 137.

[f-53] Date donnée par La Grande Encyclopédie.

[d-54] Date donnée par le Trésor de Chronologie.

[g-56] Forme nominale donnée par La Grande Encyclopédie.

[h-57] Forme nominale donnée par le Trésor de Chronologie.

[ad-59] Selon le Trésor de Chronologie.

[60] Monseigneur Paul Pouget, « Jacques Turicella, évêque d'Angoulême de 1602 à 1605 », Bulletin de la Société Archéologique et Historique de la Charente, n^os 149-4,‎ octobre-décembre 1993, p. 172-175

[ae-61] "Benard" est donné par La Grande Encyclopédie.

[63] Archives de l'Assemblée Nationale.

[64] « Les figures de Montréjeau », Dominique Lacombe (1749-1823), sur montrejeau-pyrenees.com (consulté le 3 janvier 2012)