Aizier
Aizier est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Aizier | |
L'église Saint-Pierre Classé MH (1913) Inscrit MH (1961). | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Roumois Seine |
Maire Mandat |
Arnaud Maupoint 2020-2026 |
Code postal | 27500 |
Code commune | 27006 |
Démographie | |
Gentilé | Aiziérois |
Population municipale |
148 hab. (2019 ) |
Densité | 63 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 25′ 52″ nord, 0° 37′ 38″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 117 m |
Superficie | 2,36 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bourg-Achard |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.aizier.fr |
Géographie
Localisation
Aizier est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure, limitrophe de celui de Seine-Maritime. Elle appartient traditionnellement au pays de Roumois. Située au cœur du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, entre la forêt de Brotonne à l'est et le Marais-Vernier à l'ouest, elle fait partie de la région naturelle de la vallée de la Seine. L'atlas des paysages de Haute-Normandie la classe même plus précisément au sein de l'unité paysagère de la boucle de Brotonne[1]. Le territoire de la commune est marqué par un paysage très boisé, typique des coteaux pentus de la vallée de la Seine, et par la présence de haies bocagères. À vol d'oiseau, le bourg se situe à 12 km au nord-est de Pont-Audemer[2], à 12 km au sud-est de Lillebonne[3], à 33,5 km à l'ouest de Rouen[4] et à 59 km au nord-ouest d'Évreux[5].
Hydrographie
La commune est riveraine de la Seine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumieges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[14] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 41 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 11 °C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Aizier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (15,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,2 %), eaux continentales[Note 8] (23,8 %), prairies (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), terres arables (0,2 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Toponymie
Aizier est attesté sous la forme latinisée Aysiacus en 1025 (Fauroux 34)[28], Aisi ou Aisium en 1215[29]. Le village s'est appelé Aisy jusqu'au XVe siècle[30].
D'après les formes anciennes, il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain en -acum, composé avec un anthroponyme non attesté *Asius.
Cependant, ce nom de personne est postulé par son identification dans de nombreux toponymes analogues : Ezy-sur-Eure (Aisiaco 1033), Aisy (Asiacus 1126), Azé, Azay-le-Rideau, etc.[31]. L'anthroponyme *Asius n'est pas directement attesté, mais un élément assu- de signification obscure est bien identifié dans l'onomastique personnelle gauloise : Assu-talus, Assu-le, Ati-assu et surtout Asus, Assuius, Asucius[32], etc. Il est probable qu'il s'agisse du même radical anthroponymique. En outre, le toponyme peut très bien s'analyser en As-iacum au lieu de Asi-acum, la finale -ius (autrement -ios) ayant été souvent confondue avec le suffixe dans les faits, d'où la création d'un nouveau suffixe -iacum. On peut alors reconnaître dans le premier élément As-, le nom de personne gaulois bien attesté Asus (de *Asos).
Aizier est un des seuls toponymes gallo-romans en -acum qui subsiste encore dans le Roumois[33] ; cette région ne recèle d'ailleurs que très peu de noms de lieux antérieurs à l'installation des colons anglo-scandinaves.
Histoire
Aizier est un ancien port gallo-romain où aboutissaient les voies antiques menant à Lillebonne[34]. Voir également Vieux-Port, commune contiguë.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 148 habitants[Note 9], en augmentation de 11,28 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Aizier compte cinq édifices inscrits au titre des monuments historiques :
- la pierre percée Inscrit MH (1999) [42]. Il s'agit d'un bloc de calcaire, percé d'un trou bien circulaire qui semble être un élément d'une allée couverte ;
- l'église Saint-Pierre (XIIe et XVe) Classé MH (1913) Inscrit MH (1961)[43]. La tour, qui est un bel exemple de construction étagée, et l'abside en cul-de-four datent du XIIe siècle, ainsi que la plus grande partie du mur nord. Ils sont bâtis en pierre de Caen. Le mur sud est gothique et la façade, un peu rude, est réalisée en gros moellons de pierre calcaire locale. Un vieil if subsiste derrière le cimetière, dans l'ancien enclos funéraire ;
- la croix de cimetière (XVIe Inscrit MH (1965)[44] ;
- la maladrerie Saint-Thomas-Becket (XIIe) Inscrit MH (1993)[45]. La maladrerie, juchée sur la colline boisée surplombant Aizier, à l'écart, est une ancienne léproserie qui ne comptait guère plus de dix malades, établissement modeste dont subsistent les substructions de bâtisses à colombage et surtout le pignon du mur est de la chapelle Saint-Thomas-de-Cantorbéry, ainsi que quelques autres vestiges. En 2015, l'ancienne léproserie a fait l'objet d'une restauration qui s'élève à 500 000 euros[46]. Dans le bois environnant, poussent des arbres aux branches nouées, œuvres de couples désirant perpétuer la flamme de leur amour ;
- le quai antique Inscrit MH (1993)[47], vestige du port antique[34],[48].
Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- la chapelle Saint-Thomas-de-Canterbury (XIIe)[49]. Cette chapelle a été fondée par l'abbaye de Fécamp ;
- une maison du XVIIIe siècle[50] ;
- une ferme du XVIIe siècle[51].
- La dalle percée.
- L'église Saint-Pierre.
Héraldique
Blason | Écartelé: au 1er de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'argent à trois branches de laurier rangées en fasces, posées en pal, celles des flancs ayant leurs tiges jointes en pointe et à trois mitres d'argent bordées d'or brochantes, au 3e d'argent à trois corneilles de sable becquées et membrées de gueules, au 4e de gueules au quai antique du lieu d'argent, maçonné de sable, sommé d'arbres au naturel et posé sur des ondes d'azur, elles-mêmes chargées du logo du "Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande" d'argent et à l'aigle romaine au vol abaissé d'or empiétant une dalle à trou d'homme d'argent chargée de l'inscription de sable « AIZIER MXXVII », et brochant sur le quai et les arbres. |
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Détails | Création Ben Bailly. Reçu officiellement le 17 Janvier 2016. |
Voir aussi
Bibliographie
- Virginie Michelland, « Vieux-Port et Aizier : deux escales historiques et romantiques », Patrimoine normand, vol. 101, (lire en ligne).
Article connexe
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « La boucle de Brotonne », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Pont-Audemer », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Lillebonne », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Jumieges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aizier et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Jumieges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aizier et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 50.
- Dans le cartulaire de l'abbaye de Préaux.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- ibidem
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 57.
- François de Beaurepaire, op. cit, p. 197.
- « Port », notice no IA27000300.
- Aurore Coué, « Municipales. Le maire d’Aizier, Benoît Gatinet, annonce sa candidature à Bourg-Achard : Annoncé depuis plus d’une semaine, le maire d’Aizier et président de Roumois-Seine se lance en campagne pour les municipales. Déjà deux listes sont annoncées. Une arrivée qui divise la population », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales 2020. À Aizier, le conseiller municipal sortant Arnaud Maupoint est tête de liste : Le conseiller municipal sortant sous la majorité de Benoît Gatinet se présente comme tête de liste aux prochaines élections municipales avec son équipe « Aizier, fort et vert ! », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoit Galley, « Municipales 2020 : à Aizier, Arnaud Maupoint a pris la succession de Benoît Gatinet : À Aizier, Arnaud Maupoint, ancien collaborateur à la Communauté de communes Roumois Seine, a succédé à Benoît Gatinet, élu conseiller à Bourg-Achard », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « La liste « Aizier, fort et vert ! » a été élue dès le premier tour de scrutin ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Sépulture mégalithique », notice no PA27000031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Pierre », notice no PA00099296.
- « Croix de cimetière », notice no PA00099295.
- « Maladrerie Saint-Thomas-Becket », notice no PA00125430.
- « Une ancienne léproserie restaurée à Aizier, dans l’Eure », sur France 3 Haute-Normandie (consulté le ).
- « Quai antique », notice no PA00125429.
- Le port romain d'Aizier (Eure) : principaux résultats de la campagne 2011, en ligne .
- « Chapelle Saint-Thomas-de-Canterbury », notice no IA00018905.
- « Maison », notice no IA00018908.
- « Ferme », notice no IA00018907.
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