André Maillart

Diomède-André Maillart, dit André Maillart ou D. A. Maillart, né le à Paris et mort en à Nice, est un dessinateur, graveur, et illustrateur français. Il est le neveu de Diogène Maillart.

Pour les articles homonymes, voir Maillart.

André Maillart
André Maillart, Paris, 1923.
Biographie
Naissance
Décès
(à 65 ans)
Nice[2].
Nationalité
Formation
Activités
Parentèle
Autres informations
Maîtres
Distinctions

Biographie

Parenté

Le père de Diomède André, Diomède Alcide Philopémon Maillart [3] était avec son frère Diogène aux Beaux-arts, où on les surnommait les jeunes grecs. Il s’orienta vers les Lettres dont leur père Simon Pierre Maillart était féru. Instituteur (1868), puis employé au Ministère de l'Intérieur (1880), poète sous le nom Diomède d’Elkeuchy, il se maria avec Antoinette Cécile Azémia Dufour professeur de musique ; le couple eut une fille [4]. Et il se remaria avec Lucile Jenny Boulanger[5] ; le couple eut cinq enfants, André était le quatrième.

Formation

Comme son frère ainé René Alcide, André entra dans l’atelier du peintre Jean-Léon Gérôme pour le dessin à l’École des beaux-arts de Paris [N 1]. En 1904, le peintre Gabriel Ferrier succède à Jean-Léon Gérôme, André Maillart l’eut donc aussi pour maitre tout en faisant partie de l’atelier de gravure en taille-douce à l’eau-forte, sur bois et en lithographie, dirigé par le graveur aquafortiste Charles Albert Waltner, fils de Charles Jules Waltner.

Quand, étudiant, il n’était pas rue Bonaparte, André Maillart se formait à Montparnasse, au cours que donnait dans son atelier son oncle Diogène qui avait une quarantaine d’élèves. André apprenait aussi beaucoup dans le 16ème auprès de son autre oncle Norbert Maillart[8],[N 2],[9].

Premier grand prix de Rome, gravure

André dessinant aux côtés de son oncle Diogène auto-portraituré. Détail de Scène d'atelier.1912[N 3].

C’est par une académie, un nu dessiné d’après modèle vivant, gravée au burin[10] qu’André remporta le 1er grand prix de Rome en gravure. Le journaliste Charles Dauzats récapitula sa jeune carrière dans Le Figaro du 26 juillet 1912[11].

« Simon Pierre [Maillart] n'était plus là pour apprendre un autre succès [son dernier fils, Norbert Auguste avait en 1881 remporté un grand prix de Rome d’Architecture] : celui de son petit-fils Diomède André qui lui aussi était reçu au Grand Prix de Rome dans le domaine de la gravure en taille-douce. Quelle fierté pour le père du jeune homme, Diomède [Philopémon], qui lui-même avait tenté, sans beaucoup de succès, de se faire un nom dans le domaine des lettres ! », écrit Catherine Thieblin[12],[N 4]

Directeur de l'École nationale d'art décoratif de Nice

André Maillart quitta Paris en octobre 1934, attiré à Nice par un ami architecte François Aragon pour prendre la direction de l'École des Arts décoratifs. Succédant aux vingt années de Paul Audra à ce poste ; Maillart se voit également confié les cours de dessin et de peinture pour décorateurs et sculpteurs. Il participe activement à la rénovation de l’école dans la villa Arson en étroite collaboration avec l’architecte Aragon [N 5]. Une lettre datant du 3 janvier 1939, témoigne de la grande attention qu’ils ont accordée à ces travaux notamment pour la décoration de la nouvelle façade. Au cours de L’inauguration de l’École rénovée et agrandie en 1938-39, le 9 juillet 1939 sous la présidence de Georges Huismann, Directeur Général des Beaux-Arts, il est rappelé que M. Maillard « se félicite des brillants résultats obtenus par les élèves, non seulement dans les compétitions mais au point de vue de leur formation artistique » et le Directeur Général des Beaux-Arts, M. Georges Huisman, représentant le Ministre, à cette occasion, d’ajouter : « heureux d’applaudir aux brillants résultats obtenus par les élèves » et il leur demande de rechercher un idéal derrière leurs succès scolaires. Mais dit en substance, cette école marche si bien, obtient de si brillants résultats qu’elle n'a besoin d’aucun encouragement officiel[16].

Vie familiale

Marié à Paris le 11 août 1924, à 37 ans [17], avec Jeanne Lucie Bourq née à Reims (Marne) le 4 janvier 1879[18]. Ils eurent un fils, Jean [19].

André ayant besoin d’aide, son ami Marcel Bodard, professeur à l’École Duperré lui envoya en 1928 une de ses jeunes élèves en gravure sur bois en qui il avait remarqué une grande patience. Suzanne Rafine,19 ans [20]. Elle a passé un an chez Maillart à apprendre avant de l'aider. André Maillart lui a inculqué sa science du travail, sa technique. Elle l’accompagnait au Maroc dans les années 1930 lorsqu’il dut honorer un contrat pour la réalisation de billets pour la Banque de France au Maroc alors protectorat : le billet de 5000 francs-50 dirhams et le billet de 10 000 francs-100 dirhams dont le recto représentait le port de Casablanca a été assuré par André Maillart[21] et le verso par elle.

Suzanne a rejoint les Maillart à Nice en 1937, elle avait 26 ans. En 1938, en tant qu’élève d’A. Maillart tout en faisant partie de l’atelier Penat aux Beaux-Arts de Paris, Le 5 juillet, élève également chez Le Riche elle a obtenu le Deuxième second Prix de Rome en gravure en taille douce[22],[N 6],[23]. André n’eut pas d’autre collaborateur que Suzanne. Reflétant son maître jusqu’au bout, elle-même a été professeur de gravure pendant 30 ans à cette même école des Arts décoratifs de Nice [N 7], [N 8].

Œuvre

L’art de la gravure peut se réaliser dans trois contextes : soit en suivant scrupuleusement un dessin ou un tableau réalisé par un autre artiste, pour par exemple illustrer des livres ou diffuser l’œuvre originale à travers les estampes imprimées en grand nombre  on parle de gravure de reproduction  ; soit au contraire, l'auteur de la gravure est aussi l'auteur du motif original  on parle de gravure ou d'estampe originale  ; soit l'artiste s'inspire d'une autre œuvre en traduisant le motif original tout en lui la réinterprétant à sa manière  on parle de gravure ou d'estampe d'interprétation .

André Maillart est entre autres l'auteur des œuvres suivantes :

  • La copie du Concert champêtre , (traditionnellement attribué à Giorgione, Le Concert champêtre est considéré à présent comme une œuvre de jeunesse de Titien). La mention qu’il remporta au concours de Composition de l'École en 1911 lui valut en 1912, un premier achat par l'État[24].
  • L’Annonce de l’ange faite aux bergers, eau-forte originale (scène fantastique), délicate pointe sèche sur papier Japon [25]. À partir du 1911, Maillart exposa au Salon des Artistes français où, dès la première année, cette Société lui décerna pour cette gravure le prix Belin-Dollet[26].
  • Portrait de M. de Vèze d’après Ingres, eau-forte au salon 1912, « Mention honorable ». Le journaliste parisien Raymond Bouyer écrivit au sujet de cette gravure dans la Revue d’art ancien et moderne ces termes : « en simili de crayons », manière ingénieuse de Gilles Demarteau que l'austère Calamatta ne dédaignait point quand sa ferveur reproduisait d'après Ingres les traits d'Ingres lui-même ou de Paganini» [27].
  • Portrait de Siméon Foucault au crayon, 32,5/28,5 cm, exécuté à la Villa Médicis Rome en 1913. Quand André Maillart dessine, c’est à la manière d’une gravure (mine de plomb très taillée, traits et hachures en grand nombre) [28].
  • Pérugin d'après Raphaël, burin, Salon 1920.
  • La Fuite en Égypte, eau-forte originale sur feuille de vélin (36/43 cm) publiée en 1923 par l'Association française des artistes graveurs au burin [N 9] D’un possesseur de l’œuvre, Jean-Dominique Delaveau, ces lignes : « Dans l'esprit des meilleurs artistes orientalistes, cette fine gravure, par la légèreté et la paix qui s'en dégagent, renouvelle le thème classique de la Fuite en Égypte, souvent traité de manière bien plus mélodramatique. ».
  • Au Soleil grande estampe originale 1923 [N 10].
  • Bord de l'Oise d’après Daubigny, gravure d’interprétation à l’eau-forte 10/17 cm [N 11].
  • Scène d’un couple sur un lit, (Ange entrainant une jeune fille nue hors du lit d’un vieil homme couché qui tend les bras). Composition originale aux trois crayons sur papier sombre 25/23 cm, 1929 [N 12].
  • Ciel d’orage huile sur carton 26,5/35 cm. Vers 1930.
  • La Panthère noire ; Aigle ; Grands Ducs ; Jaguar de faceJaguar couché, Tigre au repos ; Aigle enserrant un lièvre ; L'Aigle à l'aile cassée[29]. Maillart était un des graveurs du maître de l'art animalier du XXe siècle, Paul Jouve, les publications de leur collaboration, de 1920 aux années 1930, se vendent aujourd’hui en ventes publiques pour les collectionneurs, bibliophiles, amateurs d’art...
  • Reliquiæ : dessiné et gravé au burin, le portrait de Marguerite née Pompée, épouse d’Horace Finaly en frontispice du recueil d’écrits qu’elle avait laissés et qu’il publia après qu’elle décéda [N 13], [N 14], [N 15].

André Maillart a également dessiné et gravé au burin pour M. Finaly une allégorie du souvenir par une pleureuse grecque assise la tête penchée vers ses mains qui tiennent la flamme de l’amour, médaillon en marbre exécuté par Marcel Dammann pour la sépulture de 24 m2 qu’il lui fit édifier au Père Lachaise à Paris [30]

  • Candide ou l'optimiste, de Voltaire, Maillart exécutait les commandes de l'éditeur illustrateur Sylvain Sauvage (le peintre Félix Roy était son vrai nom). Illustré de gravures rehaussées de couleur à l’aquarelle par S. Sauvage. 2 hors-textes, 52 in-textes et 110 lettrines historiées en rouge et noir, gravées sur cuivre par A. Maillart, imprimées en couleurs par Paul Haasen, 1928 [N 16].
  • Contes antiques, de Pierre Louÿs, 31 compositions de Sylvain Sauvage, gravées sur cuivre in-4 en feuilles en couleurs au repérage, 1929, sorties de l'atelier Paul Haasen. Sous chemise et étui. Tirage à 237 exemplaires dont 185 sur vélin de Montval [31].
  • Dix Légendes (10 légendes en marge du livre ) par Samuel Silvestre de Sacy, ouvrage illustré par Jean Bruller de 11 eaux fortes originales en couleurs et hors texte dont 1 frontispice, 10 lettrines et 10 culs-de-lampe originaux, 1930 [32].
  • Orphée de Jean Dupas ou Jeune Amazone à la lyre, 1930[31].
  • Les Liaisons dangereuses, Pierre Choderlos de Laclos avec des figures de Sylvain Sauvage, 50 compositions en couleurs, gravées sur cuivre, format grand in-4° (34/26). N. Edition tirée à 165 exemplaires, en outre 10 hors-commerce [33].
  • L'Enlèvement d'Europe d’après Jean Dupas. En planche unique inspirée d’une œuvre picturale contemporaine et interprétée. 200 tirages. 55/71 cm (vente de l'ex N°3 par Horta à Bruxelles le 15 juin 2009, lot 212) Eau-forte et aquatinte sur Rives avec légers rehauts de rouge 71,4/89,3 cm. (28 1/8/ 35 1/8 in.)
  • Aventures de deux captifs françois dans le Royaume de Fez et de Maroc, Germain Moüette (1651-1691). Les 53 pages in-4° en feuilles, chemise et étui. Dessins en couleur de Camille Paul Josso, gravées sur cuivre et au repérage, 15 eaux-fortes. Fabriqué spécialement pour la Société des Bibliophiles du Maroc et filigrané à son nom. Tirage limité à 150 exemplaires sur vélin blanc. Paris, 1934.
  • Le Cheval libre, gravure d’interprétation au plomb [34]. « Au Salon des Artistes français 1932, Robert Poughéon exposa une gravure d’André Maillart d’après un de ses dessins : une grande arabesque féminine, qualifiée parfois de Nu dansant, qu’il avait imaginée vers 1923 pour l’une des figures du couple central des Amazones aux pies. » Gravure d’interprétation. (Cimaise 3) page 10 « Des Amazones [aux pies] au cheval libre » [35].
  • Héraclès archer d'après la sculpture Bourdelle, pointe sèche sur papier 81/82 cm, 1935.

Achats de l'État

  • Le Martyre de Saint Sébastien [36].
  • Héraclès archer d’après la sculpture de Bourdelle [37].

Récompenses et prix

  • Premier grand Prix de Rome en gravure douce, 1912[39],

Citation

« Des illustrations de M. Jean Bruller, interprétées au burin par M. Maillart, sont savoureuses, voluptueuses, spirituelles, M. Bruller est plein de verve, il compose à merveille des dessins compliqués et qui pourraient être touffus, mais l’air et la vie y circulent et, dans les plus sombres planches, une lumière charmante qui allège, aère, simplifie. Du point de vue technique, ce lieu est d’un équilibre remarquable. Il est le produit de longs mois d’années d’efforts patients, d’une amoureuse sollicitude. - Allez, bibliophiles, mes frères, rue de Villejust, chez MM : Creuzevault. Mais je vous en avertis, vous y resterez des heures durant devant des trésors. Il sera prudent de ne pas prendre d’autres rendez-vous dans la journée. » »

 Robert Burnand, [40].

Notes et références

Notes

  1. René Alcide Maillart dit Boulanger (Il voulut porter le nom de sa mère) 1878-1953. Entre 1895 et 1908, où il accumula aux Beaux-Arts[6], une dizaine de médailles, puis monta deux fois en loge. Artiste peintre avec mention honorable au Salon des artistes français en 1911 et professeur de dessin à la Ville de Paris [7], il tint une galerie de peinture rue de Seine à Paris, a peint une fresque dans l’église de Buno-Bonnevaux. Marié en 1917 avec Adeline Brindle ; le couple eut un fils dont descendants.
  2. Dans l'hôtel particulier dont il avait été l’architecte, 4 rue Pétrarque, édifié en 1890, démoli en 1933 par l'ouverture de l'avenue Paul-Doumer.
  3. « Scène d’atelier », huile sur toile, 2,12/2,52 m., signée Jeanne Béatrix Maillart est l’œuvre de son père Diogène Maillart qui voulait, en lui faisant signer certaines de ses propres toiles, assurer un statut social à sa fille célibataire quand il ne serait plus là. Cette toile a été achetée au Salon des Artistes français par le baron Edmond de Rothschild qui en fit don au musée des Beaux-Arts de Marseille en 1912. Inv BA 935.
  4. Une photo de groupe prise dans le Parc de la Villa Médicis[13], début 1914, le présente parmi les premiers Grands Prix de Rome : Musique : Paul Paray, Claude Delvincourt, Lili Boulanger, les sculpteurs Louis Lejeune, Siméon Foucault, Lucienne Heuvelmans, et les architectes René Mirland et Maurice Boutterin.
  5. La correspondance entre les directeurs des établissements de l’enseignement artistique et les responsables des pouvoirs publics, révèlent une certaine négligence [14] vis-à-vis de l’éducation artistique, surtout après la Grande Guerre [15].
  6. Elle se maria avec le fils d’André, Jean Maillart, le 08 07 1940 à Peyrestortes-Perpignan (66.) ; ils eurent trois enfants ; même jeune mère elle n'a jamais cessé, ne pouvant s'arrêter de dessiner et graver. « Des œuvres solides qui dénotent un métier certain, de fort tempérament presque masculin parfois et de grande délicatesse également dans les sujets traités, surtout en gravure. Qualité, sensibilité, pas une créative ni inspiration ni imagination : une technicienne et décoratrice sérieuse, paysages, compositions, natures mortes. » Aubin Diximus
  7. En travaillant, A. Maillart lui parlait beaucoup et elle découvrait un monde très vaste, elle qui n'avait chez ses parents eu droit qu'à la famille (oncles, tantes et le monde s'arrêtait là). Le fils d'André était enfant et elle l'aidait à faire ses devoirs ; - après on va jouer, disait-il et elle jouait avec lui.
  8. Comme son père était toujours absorbé par le travail et sa mère manquait de tendresse, il s'est attaché à elle qui avait dix ans de plus que lui et il lui avait toujours dit : - je ne veux pas d'autre femme que toi. Quand il partit à la guerre il lui a dit : -Je ne vais peut-être pas revenir, ne voudrais-tu pas des enfants. Suzanne a eu des difficultés avec sa propre famille pour ce mariage mais elle aimait les enfants et ne se serait sans doute pas mariée voulant travailler la gravure.
  9. Paris, 117 boulevard Saint-Germain, Imprimerie parisienne Porcabeuf.
  10. 42/43 cm, tirée à 200 exemplaires.
  11. Chez Maitre Guerpillon-Bergeron 05 décembre 2009.
  12. Paris, Couturier-de Nicolaÿ 14 déc.1990, lot 4.
  13. Reliquiæ , Paris : Léon Pichon, 1925, in-8°, 75 p. relié par G. Cretté, successeur de Marius Michel). Édition originale tirée à 150 exemplaires numérotés sur vélin à la cuve des papeteries van Gelder Zonen, filigrané à la marguerite
  14. Avec Finaly, la Banque de Paris était devenue la première banque des pétroles d’où la lancée en 1913 de la série de pétroliers Marguerite Finaly.
  15. Héritier de La Villa Finaly à Florence, sa bibliothèque renfermait 66000 volumes qu’il légua à la Bibliothèque nationale d'Italie. À la mort de son épouse, il adopta son fils, Boris Aslan (1895-1973, directeur général de la Banque de Paris et des Pays-Bas (Paribas) entre 1919 et 1937.
  16. Traduit de l'allemand de Mr le Docteur Ralph (?-1759) In-4, (28/23), broché, sous chemise cartonnée et étui de l'éditeur, 157 pp. Se vend à Paris, chez l'artiste, rue Cassini au n°16, tirée à, 237 exemplaires numérotés, dont 40 sur papier Japon.

Références

  1. Archives de Paris 14e, acte n°5508.
  2. Boulevard Mont Baron n°6.
  3. Diomède Alcide Philopémon Maillart [30-10-1842 à La Chaussée-du-bois-d'écu (Oise)-décès à la Salpêtrière Paris 13 en 1915, acte n°1976].
  4. le 16- 01- 1868 Paris IVe acte n°41.
  5. Paris 11, acte °1976.
  6. Ensba, René Alcide Boulanger
  7. Ensba, collectionneur.
  8. Artatlas des prix de Rome.
  9. Monographie de l'hôtel particulier, situé au 4 rue Pétrarque par Mr Maillart Norbert, architecte, 4 pages, c. 1890, format 36,28cm. Publié par Durcher à Paris sous la direction de A. Raguenet.
  10. Ensba.fr, un Saint Sébastien.
  11. « À l’Institut – Académie des Beaux-Arts », Le Figaro, , p. 4 (lire en ligne).
  12. Catherine Thieblin, Diogène Maillart : sa vie (1840-1926), son œuvre à Paris, en Ile-de-France et dans le Beauvaisis, 2012, 144 pages, p.20. cf. arch. Pierre Durvin, « Nos Hommes illustres... Diogène Maillart », Beauvais Ville d'Art, n°3, Mutualité Agricole de l'Oise, 1971, p 25.
  13. Musimem, Prix de Rome
  14. confirmée dans la presse« Ecole Nationale d’Art Décoratif de Nice », Le Cri des travailleurs, (lire en ligne).
  15. L’Eclaireur de Nice du 29 avril 1936.
  16. Slim Jemai, thèse de doctorat: Les arts plastiques à Nice dans l’entre-deux-guerres : fondements et institutions, in Art et histoire de l’art, Université Nice-Sophia-Antipolis, 2014, Page 2 et note 35, [présentation en ligne].
  17. Paris-XVème, 75115, acte n°1875.
  18. Acte mariage. N°1875.
  19. Jean François Michel Maillart, né le 26 10 1919 Paris 14e Acte n°9058, décédé Nice 08 011972. Le couple eut 4 enfants.
  20. Suzanne Marie Gabrielle Rafine (20 10 1909 Paris IV- 12 03 2012 La Brigue 06  Ses parents : Georges Eugène Rafine né à Paris 17e famille originaire de Montauban et Madeleine Gaudin.
  21. « Billet de 5,000 fr. marocain », Le Petit Marocain, Casablanca,  17 mars 1940 (lire en ligne).
  22. Académie des beaux-arts/Institut de France Éd. A. & J. Picard, Bulletin annuel Paris 14ème année, 1938. Page 13 et page 30.
  23. Les Maillart confiait-elle, ont été le fil conducteur de ma vie : art, amour et vie.
  24. Archives nationales, Le Concert Champêtre, André Maillart.
  25. Format cuivre 20/24,5 cm.
  26. (en)Dictionnaire Bénézit.
  27. Raymond Bouyer, « Portrait de M. de Vèze, d'après Ingres : Gravure de M. A.-D. Maillart », La Revue de l'Art ancien et moderne, vol. 31, , p. 272 (lire en ligne) et (— Imprimerie Georges Petit, 1912, Revue Archéologique : 1844-2016 Quatrième Série, T. 21 (janvier-juin 1913), pp. 254-257, Presses Universitaires de France).
  28. Aubin Diximus, Les Maillarts.
  29. Félix Marcilhac « Paul Jouve », Les Éditions de l’Amateur, Paris, 2005, modèle similaire référencé et reproduit p. 363, 369, 373.1000 à 2000 € …
  30. Reliquiæ , Paris : Léon Pichon,, 1925, in-8°, p. 67.
  31. Gravure en couleurs sur papier crème.
  32. Édition limitée à 225 exemplaires sur papier Gaspar-Maillol à la main (Rel. Creuzevault).
  33. A Paris, chez Sylvain Sauvage, 1930.
  34. Villa Medici.it, [PDF].
  35. Catalogue de l’exposition Robert Pougheon (1886-1955). Un classicisme de fantaisie Musée d’Art et d’Industrie André Diligent à Roubaix 2017-2018 Format : 20 x 26 cm à la française 232 pages150 visuels environ Edition Gourcuff-Gradenigo. Prix : 29€ (ISBN 978-2-35340-275-5)
  36. Arts graphique Louvre, Torse d'homme nu.
  37. Arts graphiques, Louvre, Heraclès archer.
  38. Base Léonore.
  39. « Dans les Académies », La Croix, Paris, (lire en ligne).
  40. Art et Industrie, juillet 1931, page 43.

Liens externes

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