Anne-Laure Folly

Ayele Folly-Reimann dites^[Combien ?] Anne-Laure Folly est née de Juliette Reimann et de Amah Folly, qui était producteur à Ocora Radio France et Radio France internationale[1]. Elle a fait des études de droit à Paris, à l'Université Paris-Panthéon-Assas[1].

Puis en 1981, elle commence à travailler comme conseillère juridique pour l'UNESCO[1].

Elle se lance dans la réalisation de films plusieurs années dans la décennie suivante, au début des années 1990. Elle n'a pas fait d'école de cinéma mais a été fortement inspirée par Sarah Maldoror (cinéaste française) et Safi Faye (cinéaste et ethnologue sénégalaise)[1].

Cette réalisatrice atypique^{[Selon qui ?]} se partage ainsi son parcours entre le cinéma et une carrière de juriste internationale spécialisée dans les questions concernant l’Afrique. Elle a réalisé une vingtaine de documentaires sur des thèmes sociaux et politiques en Afrique[1]^,[2]^,[3]^,[4]^,[5].

• 1992 : Le Gardien des forces. Vidéo, 52 min, documentaire[5]
• 1993 : Femmes du Niger. Vidéo, 26 min, documentaire[2]^,[5]
• 1993 : L'Or du Liptako. Vidéo, 12 min[5]
• 1994 : Femmes aux yeux ouverts. Vidéo, 52 min, documentaire[5]
• 1995 : Les Amazones se sont reconverties. Vidéo, 12 min, documentaire[5]
• 1996 : From the Tree to the Dugout/ Entre l'arbre et la pirogue. 52 min, documentaire[5]
• 1996 : Projet sambizanga[5]
• 1997 : Les Oubliées. 16 mm, 52 min, documentaire[3]^,[5]
• 1998 : Sarah Maldoror ou la nostalgie de l'utopie. 16 mm, 26 min, documentaire consacré à Sarah Maldoror[5]
• 1999 : Déposez les Lames. 25 min, documentaire[5]