Marie François Auguste de Caffarelli du Falga
Marie François Auguste, comte Caffarelli du Falga, né le au château du Falga et mort le au château de Leschelle[2] dans l'Aisne, est un général et homme politique français de la Révolution et de l’Empire.
Pour les articles homonymes, voir Caffarelli.
Auguste de Caffarelli Marie François Auguste Caffarelli du Falga | ||
Buste d'Auguste de Caffarelli dans la salle des Illustres de l'abbaye-école de Sorèze | ||
Naissance | Château du Falga |
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Décès | (à 82 ans) Château de Leschelle |
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Origine | Royaume de France | |
Allégeance | Royaume de Sardaigne République française Empire français Royaume de France Empire français (Cent-Jours) |
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Arme | Cavalerie | |
Grade | Général de division | |
Années de service | 1783 – 1815 | |
Commandement | ||
Conflits | Guerres de la Révolution française Guerres napoléoniennes |
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Faits d'armes | Austerlitz | |
Distinctions | Grand aigle de la Légion d'honneur Commandeur de l'Ordre de la Couronne de Fer[1] |
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Hommages | Nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile, 21e colonne | |
Autres fonctions | Aide de camp de Napoléon Ier | |
Famille | Famille de Caffarelli | |
Biographie
Fils de Maximilien Caffarelli (1725-1766), seigneur du Falga et de Marguerite Louise Félicité d'Anceau (1732-1786), Auguste Caffarelli nait au château du Falga (Languedoc, auj. dans la Haute-Garonne) le . Il est le frère puîné du général Caffarelli du Falga, mort au siège de Saint-Jean d'Acre le 8 floréal an VII.
Destiné dès sa jeunesse à la carrière des armes[3], Auguste fait de « bonnes études[4] » à l'école militaire de Sorèze comme ses frères Maximilien, Charles-Ambroise, Joseph et Jean-Baptiste[5], et gagne par exemple, le prix de fortifications[4] lors des exercices de 1775[4]. Il sert depuis 1783[6] comme sous-lieutenant dans les troupes sardes lorsqu’il quitte ce service en 1791, au moment où la guerre est imminente entre le Piémont et la France[3]. Les événements le déterminent à rentrer dans sa patrie[7].
Sous la Révolution
Lorsqu'en 1793 les Espagnols envahissent le Roussillon, il s’enrôle comme simple dragon au 15e régiment[6] (ci-devant « Noailles-Dragons[4] »), dans l'armée des Pyrénées orientales qui leur est opposée[3] : il y sert de 1793 à 1795. Devenu aide de camp du général de Nucé[4], puis du général Dagobert[6], Caffarelli est blessé au combat de Trouillas le [4]. Il gagne successivement, après plusieurs actions d'éclat[3], les grades de lieutenant et de capitaine et est élevé provisoirement en l'an II (), à celui d'adjudant-général chef de brigade. Le général Pérignon le note alors comme « un officier distingué[4] ».
Confirmé dans son grade par le Comité de salut public[4] le , Caffarelli passe à l'armée de Sambre-et-Meuse, où il prend le commandement d'une demi-brigade d’infanterie légère, surnommée l'Incomparable[6], à la tête de laquelle il fait plusieurs campagnes avec distinction[7]. Chef de brigade de la 9e légère le , il est affecté à l'armée d'Allemagne puis à celle du Rhin. Adjudant-général dans la Garde consulaire depuis le , Caffarelli combat à Marengo, bataille à la suite de laquelle il est promu général de brigade le . Il accompagne à Bruxelles le Premier consul[7], lorsqu'il se rend en l'an XI, dans cette ville pour y recevoir l'hommage de la Belgique.
À l'armée des Côtes de 1803 à 1805[4], créé membre et commandant de la Légion d'honneur les 19 frimaire et 25 prairial an XII, le général Caffarelli se voit ensuite chargé d'une importante mission. Il reçoit l'ordre d'aller à Rome pour déterminer le souverain pontife à venir en France sacrer le nouvel Empereur. Il s'acquitte de cette mission délicate « avec autant de dignité que d'intelligence[7] », et est nommé en l'an XIV, gouverneur du palais des Tuileries, général de division, et président du collège électoral du département du Calvados, dont un de ses frères est préfet[3].
Général de l'Empire
Vers la fin de cette année, il sert à la Grande Armée d'Allemagne, où l'Empereur lui confie le commandement provisoire de la division Bisson, au moment où ce général, dangereusement blessé à Linz, fait ses dispositions pour passer la Traun. Le général Caffarelli combat avec cette division à la bataille d'Austerlitz, et obtient le , « en récompense de ses talens et de sa bravoure[7] », la décoration de grand officier de la Légion d'honneur, puis celle de grand aigle de la Légion d'honneur.
Appelé le mois suivant au ministère de la Guerre (it) du royaume d'Italie, il en conserve le portefeuille jusqu'en [4], époque à laquelle il rentre en France. Il reçoit l'ordre de se rendre à l'armée d'Espagne. De là, il passe à Trieste[4], retourne en Espagne où on lui confie le commandement des troupes du 4e gouvernement de la province de Biscaye et de Santander[4]). Le , l'Empereur l'a nommé chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, et en 1809, il reçoit le titre de comte de l'Empire avec une dotation de 25 000 francs sur les domaines d'Altkloster situés en Hanovre[7].
Il sert trois ans dans la péninsule Ibérique, « luttant tantôt contre les Anglais, tantôt contre les guérillas[4] », occupant différents postes importants, notamment celui de commandant en chef de l'armée du Nord. Le , une escadre anglaise de 27 voiles ayant voulu tenter un débarquement à Santoña sur la côte de Santander (ou à Luredo selon Mullié[8]), le comte Caffarelli fait échouer la tentative de l'ennemi, et le force à chercher son salut dans la fuite[7]. Gouverneur de la Biscaye en 1811, il attaque les bandes de Mina dans la vallée d'Ultzama, les met en déroute, leur fait plus de 600 prisonniers et disperse le reste dans les montagnes[7]. Le , il contribue avec le général Souham, commandant l'armée du Portugal, à faire lever le siège de Burgos, où les Anglais ont infructueusement sacrifié plus de 3 000 hommes. Il défait les généraux espagnols Renovales (es) et le « Marquesito », près de Bilbao, dont il s'empare et remporte en 1813, à Villadiego, une nouvelle victoire sur les troupes britanniques.
Rappelé en France en 1813, il reprend ses fonctions d'aide de camp, puis en avril, il est placé à la tête du corps de la Garde impériale stationné à Paris.
1814-1815
Lors des événements de 1814, le comte Caffarelli « est assez heureux pour donner des témoignages de sa reconnaissance à son ancien souverain[7] », alors abandonné par la plupart de ses serviteurs. Il accompagne même jusqu'à Vienne (Autriche) l'impératrice Marie-Louise et le jeune roi de Rome.
Revenu en France au mois de , il sollicite sa mise en non-activité[8], mais Louis XVIII lui envoie pour réponse les insignes de chevalier de Saint-Louis et lui confie le commandement de la 1re subdivision de la 13e division militaire[8]. À peine est-il arrivé à Rennes, que Napoléon reparut en France. Le duc de Bourbon, qui se trouve alors à Angers pour y organiser des moyens de résistance, appelle auprès de lui le comte Caffarelli, et lui donne seulement l'ordre de « retourner à Rennes pour y faire tout le bien, et empêcher tout le mal qu'il pourrait[9] ». Ce général ayant pris toutes les mesures propres à maintenir la tranquillité publique[9], suit le mouvement de l'année. Il adresse ensuite des dépêches à l'Empereur, dans lesquelles il annonce que la Bretagne est animée des meilleurs sentiments, donne des ordres pour qu'aucun agent d'insurrection ne pût être reçu dans les places de sa division, puis applaudit au patriotisme des habitants qui font partie de la fédération bretonne[9].
Napoléon, satisfait du zèle[9] que le comte Caffarelli a déployé dans des circonstances difficiles, le fait rentrer dans ses fonctions d'aide-de-camp le [8] et le nomme par décret du , commandant de la 1re division militaire. Ce général veille avec le plus grand soin à la sûreté de la capitale, où le bon ordre ne cesse de régner, et assiste le 1er juillet au conseil de guerre assemblé à l'hôtel de ville, dans lequel il est résolu que Paris n'opposerait aucune résistance à l'ennemi. Le maréchal Davout, ministre de la Guerre, le charge presque aussitôt d'une mission pour Metz, où il ne fait que paraître à cause de l'arrivée des Russes. Il se rend alors à l'armée de la Loire, est licencié comme tous ses compagnons d'armes, mis en disponibilité, et peu de temps après à la retraite[3] le .
Pair de France
Auguste de Caffarelli | |
Fonctions | |
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Ministère de la Guerre (it) | |
– | |
Vice-président | Eugène de Beauharnais, vice-roi |
Monarque | Napoléon Ier, roi d'Italie |
Gouvernement | Royaume d'Italie |
Prédécesseur | Domenico Pino |
Successeur | Sebastiano Giuseppe Danna |
Membre de la Chambre des pairs | |
– | |
Monarque | Louis-Philippe Ier, roi des Français |
Gouvernement | Royaume de France |
Biographie | |
Nom de naissance | Marie François Auguste de Caffarelli du Falga |
Nationalité | Française |
Enfants | Eugène Auguste de Caffarelli |
Diplômé de | Abbaye de Sorèze École militaire de Sorèze |
Profession | Officier général |
Résidence | Hôtel de Cassini Château de Leschelle |
Liste des ministres italiens de la Guerre et de la Marine (1800-1815) (it) | |
En 1819, une ordonnance royale le nomme vice-président du collège électoral du département de l'Aisne. En 1830, le comte Caffarelli préside le collège du 3e arrondissement du même département. Après la révolution de Juillet 1830, il est nommé pair de France le et est élu en 1832, secrétaire de la Chambre haute en remplacement du maréchal Mortier, nommé ambassadeur à Saint-Pétersbourg[3].
Devenu en 1840[3] rapporteur de la commission chargée de l'examen du projet de loi relatif à la translation des dépouilles mortelles de l'Empereur Napoléon[9], le comte Caffarelli s'exprime en ces termes :
« La demande des fonds qui vous est présentée ne saurait être considérée comme une question d'argent. Nous n'hésitons pas à vous proposer l'adoption pure et simple du chiffre demandé, et nous ne doutons pas qu'en cas d'insuffisance, la Chambre des pairs ne fût prête à voter des crédits supplémentaires qui pourraient encore vous être soumis. En vous proposant, à l'unanimité, de vous associer au projet du gouvernement, nous avons pensé qu'il était superflu de rappeler ici tout ce que fit l'empereur Napoléon pour le bonheur et la gloire du peuple français. Le souvenir en est vivant encore dans cette enceinte où siègent tant de témoins de sa gloire et de compagnons de ses travaux.[9] »
Le général Caffarelli rentre dans la vie privée à la révolution de Février 1848[3]. Resté depuis cette époque étranger aux grands débats politiques, il meurt après une longue maladie[8] le , au château de Leschelle[4], près de Guise (Aisne), âgé de 83 ans, « laissant le deuil chez tous ceux qui le connurent[4] ». Il laisse une veuve, « digne fille[8] » du comte d'Hervilly qui a « su résister aux avances de l'Empereur, tout en demeurant son amie sincère[4] », deux filles et un fils que le gouvernement impérial restauré nomme au conseil d'État à la préfecture d'Ille-et-Vilaine.
Le nom d’Auguste Caffarelli est inscrit sous l'Arc de triomphe de l'Étoile, côté sud.
Récapitulatifs
Carrière
Depuis le | Jusqu'au | Grade/Fonction | Unité Campagnes et batailles disputées |
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Sous-lieutenant | Royaume de Sardaigne | ||
Dragon | 15e régiment[6] (ci-devant « Noailles-Dragons[4] ») | ||
Capitaine | |||
Adjudant-général chef de brigade à titre provisoire | |||
Adjudant-général chef de brigade | |||
Chef de brigade | |||
Général de brigade | |||
Général de division | |||
1793 | 1795 | Armée des Pyrénées orientales | |
1795 | Armée de Sambre-et-Meuse | ||
Adjudant-général | de la Garde consulaire puis Garde impériale | ||
1803 | 1805 | Armée des Côtes[4] | |
1805 | Gouverneur | palais des Tuileries | |
Aide de camp de l'Empereur. | |||
Commandant | 1re division du 3e corps de la Grande Armée (Division Bisson) | ||
Commandant | d'une division de réserve de l'armée d'Espagne | ||
Commandant supérieur | des troupes du 4e gouvernement (provinces de Biscaye et de Santander) | ||
Commandant | d'une division de l'armée du Nord (Espagne) | ||
(effectif le ) |
Commandant en chef | Armée du Nord (Espagne) | |
Aide de camp de l'Empereur et Commandant | des corps de la Garde impériale restés à Paris | ||
Mis en non-activité. | |||
Commandant | 1re subdivision de la 13e division militaire | ||
Aide de camp de l'Empereur | |||
Commandant | 1re division militaire (Paris) | ||
Affecté | à l'armée de la Loire | ||
(à compter du ) |
Admis en retraite | ||
Placé dans la section de réserve | |||
(à compter du ) |
Réadmis en retraite | ||
1793 | 1793 | Guerre du Roussillon : Première Coalition | |
Combat de Trouillas | |||
1799 | 1800 | 2e Campagne d'Italie (1799-1800) : Deuxième Coalition | |
Bataille de Marengo | |||
Campagne d'Autriche (1805) : Troisième Coalition | |||
Bataille d'Austerlitz | |||
1810 | 1813 | Campagne d'Espagne (Empire) | |
Santoña | |||
Siège de Burgos (1812) | |||
1813 | Villadiego |
- Sources
Titres
- 1er Comte Caffarelli et de l'Empire, accordé par décret du (lettres patentes signées à Valladolid le )[11] :
- Transmission des dotations majorataires conférées par décrets des et , confirmée en faveur de son fils unique, Eugène-Auguste Caffarelli, par arrêté ministériel du [12].
- Transmission du titre de comte héréditaire confirmée en faveur de son petit-fils « aîné en primogéniture », Jean-Louis-Maximilien Caffarelli, par arrêté ministériel du [12] ;
- Comte Caffarelli et du Royaume (d'Italie) (lettres patentes du )[13] ;
- Dotation de 25 000 francs sur les domaines d'Altkloster, situés en Hanovre[7]
- Pair de France ( - ) ;
Décorations
- Légion d'honneur[14] :
- Légionnaire le 19 frimaire an XII (), puis,
- Officier le 25 prairial an XII (), puis,
- Commandant le 25 prairial an XII (), puis,
- Grand officier le 4 nivôse an XIII (), puis,
- Grand aigle de la Légion d'honneur le ;
- Ordre de la Couronne-de-Fer :
- Chevalier de Saint-Louis en [8].
Armoiries
Image | Armoiries |
---|---|
Armes de la famille Caffarelli
Parti: au 1, d'azur, au lion d'or; au 2, coupé: a. taillé d'or sur gueules; b. tranché d'or sur gueules. Au chef de l'écu d'or, brochant sur le parti et ch. d'une aigle de sable, couronnée d'or.[16] | |
|
Armes du 1er comte Caffarelli et de l'Empire
Écartelé ; le premier des comtes militaires ; le deuxième taillé d'argent et de gueules, le troisième d'argent au lion rampant de sable ; le quatrième tranché d'argent et de gueules.[11],[16],[1] |
|
Armes du comte Caffarelli du Falga, pair de France
Parti, au premier d'argent, au lion rampant de sable; au deuxième coupé, le premier taillé d'argent et de gueules, le second tranché d'argent et de gueules.[1],[16] |
Hommages, honneurs, mentions…
- Le nom de CAFFARELLI, A. est gravé au côté Sud (21e colonne) de l’Arc de Triomphe de l’Étoile, à Paris. Son frère (Louis Marie Maximilien de Caffarelli du Falga, 1756-1799) a lui aussi son nom gravé au côté Sud (27e colonne).
- À Toulouse :
- Une caserne a porté le nom du militaire. Construite au XIXe siècle, elle a abrité un corps d'artillerie. Cédée à la ville de Toulouse à la fin des années 1970, elle est démolie en 1981-1983[17] ;
- Le quartier Compans-Caffarelli lui doit en partie son nom ;
- À Sorèze, son buste fut inauguré, lors des fêtes de Pentecôte le [4].
Ascendance et postérité
Auguste Caffarelli était le septième fils et dernier des dix enfants de Maximilien Caffarelli (1725-1766), seigneur du Falga et de Marguerite Louise Félicité d'Anceau (1732-1786).
Il épouse en 1803 Julienne Blanche Louise Le Cat d'Hervilly (1784 - 1854), fille de Louis Charles comte d'Hervilly, général, et d'Augustine Marie Louise de La Cour de Balleroy. Le général d'Hervilly fait campagne en Amérique et commande les gardes à cheval de la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI avant d'émigrer. Il participe à l'expédition de Quiberon comme Philippe de Caffarelli, frère de son futur gendre (fait prisonnier et fusillé).
- Ensemble, Auguste et Julienne eurent :
- Napoline ou Napoléone (1805-1871), mariée, en 1824, avec (Paul 1791-1869), 2e comte Begouën, receveur général des finances à Lisieux et Privas, fils cadet de Jacques-François Begouën, dont postérité ;
- Eugène-Auguste (1806-1878), 2e comte de Caffarelli, auditeur au Conseil d'État (1832), préfet d'Ille-et-Vilaine (1849-1851), préfet de la Haute-Marne (1851), député d'Ille-et-Vilaine (bonapartiste, 1852-1869), conseiller général de l'Aisne (1854-1878), marié à deux reprises, dont :
- Augustine Marie Laurence (1809-1889), mariée avec Jules de Bernetz (1803-1868), dont postérité.
Notes et références
- Brémond 1863, p. 157.
- Notice no IA02000107, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Robert et Cougny 1889, p. 546.
- Sorèze 2012.
- Roglo 2012.
- Mullié 1852, p. 255.
- Fastes 1844, p. 110.
- Mullié 1852, p. 256.
- Fastes 1844, p. 111.
- S.H.A.T. 7 Yd 400.
- Archives nationales BB/29/966, p. 299.
- Noblesse impériale, p. n°53.
- Circolo Giovanile 2002, p. Conti.
- Léonore LH/403/39.
- Testu, Almanach impérial pour l'année 1810 : présenté à S.M. l'Empereur et Roi par Testu, Paris, Testu, (lire en ligne)
- Rietstap 1884.
- « Casernes Compans-Caffarelli », Archives municipales de Toulouse (consulté le )
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- A., « Caffarelli (Auguste, comte) », dans A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion d'honneur, biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, t. III, , 581 p. [détail de l’édition] (BNF 37273876, lire en ligne), p. 110-111 ;
- « Caffarelli (Marie-François-Auguste, comte de) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, t. I, Edgar Bourloton, 1889-1891, 622 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 545 ;
- « Caffarelli-du-Falga (Marie-François-Auguste-Louis) », dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, t. Ier, Poignavant et Cie, , 1179 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 255-256 ;
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 « et ses Compléments », sur www.euraldic.com (consulté le ) ;
- Alphonse Brémond, Nobiliaire toulousain, (lire en ligne) ;
Articles connexes
- Famille de Caffarelli
- 5e régiment de hussards ;
- 84e régiment d'infanterie de ligne ;
- Armorial des comtes militaires de l'Empire (A-K) ;
- Familles subsistantes de la noblesse d'Empire ;
- Liste des membres de la noblesse d'Empire ;
- Noblesse du Royaume d'Italie (1805-1814) ;
- Ordre de bataille des unités françaises ayant participé à la bataille d'Austerlitz ;
- Toussaint Louverture (téléfilm) ;
Liens externes
- « Cote LH/403/39 », base Léonore, ministère français de la Culture ;
- « Registres de transcription des lettres patentes de collation ou de confirmation de titres. 24 avril 1808 - 30 octobre 1830. BB/29/967 page 378. », Titre de comte, accordé par décret du 19 mars 1808, à Marie, François, Auguste Caffarelli. Valladolid (15 janvier 1809)., sur chan.archivesnationales.culture.gouv.fr, Centre historique des Archives nationales (France) (consulté le ) ;
- BBM, « Tout sur l'héraldique : dessin de blasons et d'armoiries », Noblesse impériale n°53, ;
- « Sorèze », François-Marie-Auguste, Comte Caffarelli (1776-1783) + 1849, sur www.soreze.com, Assoctiation sorèzienne (consulté le ) ;
- « Web.genealogie, le site de la généalogie historique : les militaires », Côte S.H.A.T. : 7 Yd 400., sur web.genealogies.free.fr (consulté le ) ;
- (it) « Titoli concessi da Napoleone Bonaparte ai sudditi del Regno Italico », Conti, sur www.cnicg.net, CNI Circolo Giovanile, 2002-2012 ;
- « Auguste de Caffarelli », sur roglo.eu (consulté le ) ;
- Alain Garric, « François Auguste (de) CAFFARELLI », sur gw1.geneanet.org (consulté le ) ;
- Pierfit, « François de CAFFARELLI », sur gw4.geneanet.org (consulté le ) ;
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