Auriac (Aude)
Auriac est une commune française située dans le sud du département en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Auriac.
Auriac | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Narbonne |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois |
Maire Mandat |
Bernard Sutra 2020-2026 |
Code postal | 11330 |
Code commune | 11020 |
Démographie | |
Gentilé | Auriacois |
Population municipale |
38 hab. (2019 ) |
Densité | 1,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 55′ 56″ nord, 2° 29′ 34″ est |
Altitude | 568 m Min. 356 m Max. 907 m |
Superficie | 20,93 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton des Corbières |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orbieu, le ruisseau d'Albières, le ruisseau de Laurio, le ruisseau de Paza et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « hautes Corbières » et la « vallée de l'Orbieu ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Auriac est une commune rurale qui compte 38 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 277 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Auriacois ou Auriacoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-André, inscrite en 1948, et le château, inscrit en 1948.
Géographie
Localisation
Auriac est situé dans les Corbières, au centre du département de l'Aude. Les Corbières sont un massif des Pré-Pyrénées, et le relief s'y trouve parfois escarpé et principalement montagneux. La région est très verte car alimentée par l'Orbieu, et par de nombreuses rivières.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Auriac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Orbieu, le ruisseau d'Albières, le ruisseau de Laurio, le ruisseau de Paza, le ruisseau de Gabach, le ruisseau de la Grave, le ruisseau del Caula, le ruisseau de l'Espergé, le ruisseau de l'Hermita, le ruisseau d'Espéout, le ruisseau des Vaquiers et le ruisseau du Bac del Fabiès, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Orbieu, d'une longueur totale de 84,1 km, prend sa source dans la commune de Fourtou et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Saint-Nazaire-d'Aude, après avoir traversé 22 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune est du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouthoumet », sur la commune de Mouthoumet, mise en service en 1989[12] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 844,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 33 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[18].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :
- la « vallée de l'Orbieu », d'une superficie de 17 765 ha, servant d'habitat, entre autres, pour le Barbeau méridional et du Desman des Pyrénées en limite nord de répartition[21]
et un au titre de la directive oiseaux[20] :
- les « hautes Corbières », d'une superficie de 28 398 ha, accueillant une avifaune riche et diversifiée : rapaces tels que les Busards, l'Aigle Royal, le Circaète Jean-le-Blanc, qui trouvent sur place des conditions favorables à la nidification et à leur alimentation du fait de l'importance des milieux ouverts[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] : le « milobre de Massac et Roc de Lauze Couloubrière » (515 ha), couvrant 4 communes du département[24], et le « vallon du ruisseau de Laurio » (463 ha)[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] :
- les « Corbières centrales » (68 810 ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[26] ;
- les « Corbières occidentales » (59 005 ha), couvrant 66 communes du département[27].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Auriac est une commune rurale[Note 7],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,4 %), prairies (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Auriac est un nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -ac sur le nom de personne latin Aurius.
Histoire
Ce sont les Romains qui commencent l’exploitation de mines dans les Hautes-Corbières.[31]
Au Xe siècle, construction du château d'Auriac[32]. On sait qu’en l’an 1070 il est vendu par Rengarde, comtesse de Carcassonne, à Raymond, comte de Barcelone[33]. L’édifice se composait de deux enceintes dominées au nord par un petit donjon, en ruine aujourd’hui[34]. Dans l’espace compris entre les deux enceintes, se dresse un vaste logis, sans conteste le plus bel élément de l’ensemble. Cette forteresse gardait le chemin qui faisait communiquer la vallée du Verdouble et celle de l’Orbieu, c’est-à-dire le Peyrepertuse et le Termenès.[32]. Par le col de Redoulade, ce chemin traversait le chemin de l’Orme Mort, longeait le ruisseau de Redoulade, en contrebas de la route actuelle puis, après le hameau de Lauradieu, suivait le ruisseau de Laurio qui, après Auriac, rejoint la haute vallée de l’Orbieu[35]. Le château fut de style roman, restauré au XVe siècle. Dominant les vallées, il s’élève sur un rocher escarpé. De puissantes murailles surplombent à l’est un précipice où s’écoule une cascade, la plus haute des Corbières qui, en trois bonds, s’élance dans l’Orbieu[36]. En 865, Charles le Chauve confie ce territoire aux comtes de Carcassonne[37].
Une épidémie en 1752
L'évolution des décès qui figurent sur le site des Archives du département de l'Aude met en évidence une épidémie survenue en 1752. Avant et après cette année on compte environ quatre décès par an. Et là subitement on constate 26 décès.
Héraldique
Blason | D'argent à la fasce fuselée d'azur et d'argent. |
|
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Auriac est membre de la communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Lézignan-Corbières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Corbières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[39].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 38 habitants[Note 8], en augmentation de 5,56 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 8,7 % | 9,1 % | 11,8 % |
Département[I 6] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 19 personnes, parmi lesquelles on compte 58,8 % d'actifs (47,1 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 41,2 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 10, soit un indicateur de concentration d'emploi de 103,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 34,4 %[I 9].
Sur ces 10 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 67 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 66,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,1 % les transports en commun et 22,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Un seul établissement[Note 10] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture est implanté à Auriac au [I 12].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 6 | 3 | 3 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 221 | 168 | 404 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[44]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[45]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 404 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château d'Auriac est un « château cathare » qui fut construit au début du XIe siècle. Aujourd'hui en ruine, il est cependant possible de venir visiter les vestiges du château qui surplombe la vallée. L'entrée du château s'effectue par le village, mais il est possible d'y monter par des chemins de terre, depuis la route nationale venant du pont d'Orbieu.
- La majorité des habitants du village vivent aux alentours du village, et la plupart des maisons sont des résidences secondaires.
- La chapelle Saint-André d'Auriac. La petite fenêtre méridionale à linteau sculpté a été inscrite au titre des monuments historiques en 1948[47].
- Église Sainte-Marie d'Auriac.
- Église de Savignan.
- Notons qu’à l’Est du village d’Auriac, furent découverts les vestiges de trois occupations et sépultures de l’âge de fer ; découverte de monnaies et atelier de faux-monnayeurs, du XVe siècle.
Personnalités liées à la commune
François Ier y a passé la nuit du .
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Auriac » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Auriac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Auriac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Auriac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Auriac » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale d'Auriac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Orbieu »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mouthoumet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Auriac et Mouthoumet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mouthoumet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Auriac et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Auriac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101489 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112028 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Auriac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « milobre de Massac et Roc de Lauze Couloubrière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « vallon du ruisseau de Laurio » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Corbières centrales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- sur le site de la Communauté de Communes Lezignanaise Corbière Minervois
- le château d'Auriac sur Momentum
- [Histoire générale de l'Église de Toulouse, Volume 2,Parties 1 à 3 De Adrien Salvan page 49]
- Les anciens châteaux seigneuriaux du département de l'Aude. Par le Dr Charles Boyer juillet 1980
- Site Chateauruine.fr
- Descente-canyon.com
- Le Perapertusés (Aude) et ses châteaux Anny de Pous, 1939
- « communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Auriac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Chapelle Saint-André », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )