Hautes-Duyes

Hautes-Duyes est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Auribeau (homonymie) et Duyes (homonymie).

Hautes-Duyes

Les rochers de Guéruen.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Italo Zanartu-Hayer
2020-2026
Code postal 04380
Code commune 04177
Démographie
Gentilé Duyen
Population
municipale
45 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 52″ nord, 6° 09′ 30″ est
Altitude Min. 776 m
Max. 1 872 m
Superficie 22,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Hautes-Duyes
Géolocalisation sur la carte : France
Hautes-Duyes
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Hautes-Duyes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Hautes-Duyes

    Le nom de ses habitants est Duyens[1].

    Géographie

    Hautes-Duyes et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Les communes limitrophes sont Authon, La Robine-sur-Galabre, Thoard et Le Castellard-Mélan. Le village est situé à 800 m d’altitude[2]. La commune tire son nom de la Duyes qui la traverse.

    Les routes d’accès sont acrobatiques.

    Relief

    Sommets :

    • montagne de Géruen ;
    • crête de la Fubie

    Environnement

    La commune compte 750 ha de bois et forêts[1].

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Ouest auquel appartient Hautes-Duyes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune d’Hautes-Duyes est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

    • feu de forêt ;
    • inondation (dans la vallée des Duyes) ;
    • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[5].

    La commune d’Hautes-Duyes n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim existe depuis 2011[7].

    La commune a été l’objet d’un seul arrêté de catastrophe naturelle, en 1994 pour des inondations et des coulées de boue[4]. Malgré la classification de la commune pour le risque sismique, il n’existe aucune archive conservant la mémoire des tremblements de terre ressentis dans la commune[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Hautes-Duyes est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (48,3 %), forêts (38,5 %), prairies (5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,6 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Histoire

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone et celles de ses affluents, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Hautes-Duyes. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[16].

    La commune est formée de la fusion de celles d’Auribeau et de Saint-Estève en 1973[17]. Auribeau apparaît vers 1200 dans les chartes (Auribellum), compte 26 feux en 1315 et 3 en 1471[18]. Saint-Estève est cité pour la première fois au XIIIe siècle (Sanctus Stephanus), et compte 26 feux en 1315, et 139 habitants en 1765[19]. Les deux communautés relevaient de la baillie de Digne[20].

    Saint-Estève appartient aux comtes de Baschi du XVe au XVIIIe siècle[18], et le fief de Bachy-Saint-Estève est érigé en comté en 1715[21],[22]. Un noyau de protestants se maintient à Saint-Estève jusqu’à la fin du XVIIe siècle et utilise la chapelle et le cimetière Notre-Dame[20].

    Durant la Révolution, Auribeau compte une société patriotique, créée après la fin de 1792, ainsi que Saint-Estève[23]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, cette seconde commune change de nom pour L’Arc-des-Duyes[24] (parfois orthographié Larg-des-Duyes[25]).

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Auribeau, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée. Aucun habitant de Saint-Estève n’a été jugé[26].

    Comme de nombreuses communes du département, les communes d’Auribeau et de Saint-Estève se dotent d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, une école dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionne dans chacun des deux villages[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas Saint-Estève et Auribeau[28],[29]. Les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent à Saint-Estève de construire une école neuve[30], mais ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de des deux communes sont scolarisées.

    L’ancienne école de Saint-Estève est reconvertie en logements sociaux[31].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à un chevron d'or accompagné de trois cailloux du même, deux en chef et un en pointe.[32]

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 15 personnes, dont 2 chômeurs[33]. Ces travailleurs sont majoritairement indépendants (sept contre six salariés)[34] et travaillent majoritairement à Hautes-Duyes (huit actifs sur treize)[34]. La majorité des emplois de la commune relèvent du secteur primaire. Il n'y a aucun établissement du secteur secondaire dans la commune, et aucun emploi salarié.

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus)[35].

    Le nombre d’exploitations professionnelles en 2010 était inconnu de l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture. Il était de quatre en 2000[36], de 10 en 1988[37]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin[36]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 389 ha à 506 ha[37].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire ne comptait qu’un seul et unique établissement du secteur administratif[35].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[38]. Les capacités d’hébergement consistent, aux Hautes-Duyes, en des meublés labellisés[39]. Il y a en outre une dizaine de résidences secondaires susceptibles d'apporter un complément à la capacité d’accueil[40],[41],[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2014 2020 Chantal Casa   employée
    1977 (?) 2014 Jean-Louis Richard[43],[44],[45] PS  
    juin 2020 En cours Italo Zanartu-Hayer[46]    

    Intercommunalité

    Hautes-Duyes a fait partie, de 1992 à 2016, de la communauté de communes des Duyes et Bléone. Depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.

    Démographie

    Auribeau

    Évolution démographique de la commune d'Auribeau (avant fusion)
    1315 1471 1793 1800 1806 1821 1831 1836
    26 feux3 feux213lacune184184160175
    1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    165165160170164168147140
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    12810510093101867367
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
    47434635241620-
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[18], EHESS[47].)

    L’histoire démographique d'Auribeau est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles, suivi d'un long mouvement de croissance jusqu’au milieu du XIXe siècle. Lui succède ensuite une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période d'apogée démographique dure de 1806 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul de longue durée, et assez rapide. Dès 1906, la commune enregistre une perte supérieure à la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1806[48]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion d'Auribeau avec sa voisine Saint-Estève.

    Saint-Estève

    Évolution démographique de la commune de Saint-Estève (avant fusion)
    1315 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836
    26 feux139108lacune142124117140
    1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    132144128119114120114104
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    1021041009983838159
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
    40514939383428-
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[19], EHESS[17].)

    L’histoire démographique ancienne de Saint-Estève est mal connue. Elle connait elle aussi une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé, mais plus courte que celle d'Auribeau : de 1806 à 1851. L’exode rural est moins rapide à Saint-Estève qu'à Auribeau : la perte de la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1846 n'est enregistrée qu'en 1921[49]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion avec sa voisine Auribeau.

    Hautes-Duyes


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

    En 2019, la commune comptait 45 habitants[Note 2], en augmentation de 7,14 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    108142124117140132144128119
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1141201141041021041009983
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    838159405149393834
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    283833292732334043
    2019 - - - - - - - -
    45--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L’église paroissiale d’Auribeau se trouve à l’écart du hameau[20],[53]. Placée sous le vocable de Saint-Pierre, c’est un ancien prieuré[20]. Au-dessus d’Auribeau, subsiste la base d’une tour, au lieu-dit Castellar de Saint-Pierre[53]. L’une des tours d’angle du château d’Auribeau est en fait un pigeonnier[54], le reste du bâtiment, datant du XVIIe siècle tombe en ruines, y compris la chapelle Saint-Sébastien du château[20].

    L’ancienne église de Saint-Estève s’appelle Notre-Dame-des-Touisses[18],[20].

    La chapelle Saint-Pierre au col Saint-Pierre, ancienne église castrale, est en ruines[20].

    La chapelle Notre-Dame, fondée en 1555, vient d’être restaurée[20].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    4. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 26 juillet 2012
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    7. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 26 juillet 2011
    8. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Haute-Duyes », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 26 juillet 2012
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 161
    19. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 195
    20. Daniel Thiery, « Hautes-Duyes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 3 décembre 2011, consulté le 26 juillet 2012
    21. Édouard Baratier et Ernest Hildesheimer, « Les fiefs provençaux au XVIIIe siècle », carte 111 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
    22. Par LP de novembre 1715 : AD13, B3395, f°40
    23. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    24. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
    25. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008
    26. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
    27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    28. Labadie, op. cit., p. 16.
    29. Labadie, op. cit., p. 18.
    30. Labadie, op. cit., p. 11.
    31. Labadie, op. cit., p. 58.
    32. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
    33. Insee, Dossier local - Commune : Hautes-Duyes, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    34. Insee, Dossier local, p. 7
    35. Insee, Dossier local, p. 15
    36. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    37. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    38. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    39. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    40. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    41. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
    42. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    43. Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1059, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    44. Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
    45. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
    46. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Auribeau », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    48. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    49. Christiane Vidal, op. cit., p. 288.
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    53. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 311
    54. Raymond Collier, op. cit., p 445
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