Avenue du Bois-de-Verrières

L'avenue du Bois-de-Verrières est une voie de communication d'Antony dans les Hauts-de-Seine.

Avenue du Bois-de-Verrières

La route de Verrières
Situation
Pays France
Région Île-de-France
Ville Antony
Début Avenue d'Estienne-d'Orves
Fin Carrefour de la Résistance-et-de-la-Déportation
Morphologie
Type Avenue
Longueur 1 480 m

Situation et accès

L'avenue du Bois-de-Verrières commence, côté est, au carrefour des Quatre-Chemins, aujourd'hui appelé « carrefour de la Résistance-et-de-la-Déportation », dans l'axe de l'avenue Léon-Blum. Elle marque ensuite les extremités nord de l'avenue François-Molé et de la rue des Champs. Elle traverse la place de Lexington (dite « place de l'Obélisque » jusqu'en 2013[1]), au niveau de l'intersection avec la promenade départementale des Vallons-de-la-Bièvre, dite « coulée verte ». Elle se poursuit jusqu'à la limite de Châtenay-Malabry à l'avenue d'Estienne-d'Orves, où elle est prolongée sur le territoire de cette commune par une voie éponyme.

Du côté pair, cette voie :

  • traverse la place de Reinckendorf, d'où part la rue des Gouttières ;
  • puis rencontre :
    • la rue des Mimosas ;
    • la rue des Coquelicots ;
    • la rue des Bleuets ;
    • la rue des Grouettes ;
    • la rue Émile-Lévêque ;
  • traverse la place de Lexington, puis rencontre :
    • la villa Véronique ;
    • l'impasse Jacqueline ;
    • la rue de la Cité-Moderne ;
    • la villa Carman ;
    • la rue Marcel-Maillard ;
    • la rue des Graviers ;
    • la rue Saint-Gervais ;
    • l'avenue d'Estienne-d'Orves.

Du côté impair, cette voie :

  • rencontre :
    • la ruelle à Riou ;
    • la rue des Champs ;
  • traverse la place de Reinckendorf, puis rencontre :
    • la rue du Colonel-Fabien ;
    • la rue Julien-Périn
  • traverse la place de Lexington, puis rencontre
    • la rue Camille-Pelletan ;
    • l'allée des Fées ;
    • l'avenue d'Estienne-d'Orves.

Origine du nom

Cette rue est nommée ainsi car elle va en direction du bois de Verrières-le-Buisson[2].

Historique

L'avenue porte ce nom depuis 1901[2].

Elle a porté successivement plusieurs noms dans ses différentes parties. De la limite de Châtenay-Malabry au carrefour avec la rue des Gouttières et de l'avenue François-Molé, c'était la « voie des vaches »[3]. Dans la partie du bourg, elle a porté les noms de « rue Chartraine » et de « Grande rue haute »[2].

De l'autre côté, en allant vers Verrières-le-Buisson, après la rue des Gouttières, l'avenue monte, traverse la coulée verte du TGV et se termine avenue d'Estienne-d'Orves. C'est l'ancien chemin vicinal no 6 qui portait le nom de « voie des Bois »[4].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Antony - Manufacture des cires.

Côté impair

Aux no 5 à 15 : la maison des Dames de Saint-Raphaël[5].

Au no 33, la propriété dite « Maison Lesourd » du nom de son propriétaire[6].

Côté pair

Au no 14, se trouve la Manufacture royale des cires, fondée en 1702. A son extrémité, le long du mur, le château d'eau continue à recueillir les eaux des sources d'Antony[2],[7],[8],[9].

A l'angle de cette avenue et de la rue des Gouttières, se dressait la propriété Séailles (Jean Séailles, Pierre Séailles, Simone Séailles, Spéranza Calo-Séailles et le Lap). En 1968, elle laissa la place à la résidence « Les Grands Chênes »[4].

Hommage aux villes jumelées

Le « renard de Reinckendorf », en mai 2009.
L'obélisque de Lexington, en août 2017.

Cette voie traverse deux places nommées en hommage à deux villes jumelées avec Antony :

Articles connexes

Notes et références

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