Baptistère Saint-Jean de Poitiers

Le baptistère Saint-Jean situé à Poitiers est un très ancien monument chrétien, dont l'origine remonte à la deuxième moitié du IVe siècle, début du Ve siècle. Bien que fortement remanié au cours des siècles, il est le bâtiment qui illustre le mieux la dépendance de l'architecture mérovingienne avec ses assises antiques, mais aussi l'abandon des principes classiques[1]. Sauvé de la démolition en 1834, il a fait l'objet de nombreuses campagnes de fouilles donnant lieu à des synthèses controversées. Il renferme un espace muséal avec les collections mérovingiennes de la Société des antiquaires de l'Ouest.

Pour les articles homonymes, voir Baptistère Saint-Jean.

Baptistère Saint-Jean
Façade sud-ouest
Présentation
Type
Diocèse
Dédicataire
Style
Démolition
Religion
Propriétaire
État
Patrimonialité
Localisation
Pays
Région
Département
Commune
Adresse
Rue Jean-Jaurès
Coordonnées
46° 34′ 46″ N, 0° 20′ 55″ E
Localisation sur la carte de France
Localisation sur la carte de Poitou-Charentes
Localisation sur la carte de la Vienne
Localisation sur la carte de Poitiers

Le contexte

Le baptistère Saint-Jean de Poitiers est depuis 1750 un sujet de débat entre les partisans d'un édifice chrétien et ceux d'un temple païen, mais il devient aussi un exemple de l'évolution de l'archéologie et de ses limites, d'une histoire de l'art romantique et intuitive à l'établissement de typologies.

Avec les connaissances actuelles, il est probable qu'il fasse partie d'un groupe cathédral. Le bâtiment conservé est construit au Ve siècle à l'emplacement d'une salle baptismale aménagée dans une domus à l'est de la cathédrale. Au VIe siècle, son plan est modifié avec l'organisation de nouveaux espaces intérieurs. Au VIIe siècle, l'ensemble est embelli par la pose de parements et d'un décor sculpté. Les travaux de l'époque carolingienne semblent destinés à l'adaptation des structures aux nouvelles pratiques liturgiques et ecclésiales. Pendant le XIe siècle, la reconstruction de la partie ouest à pans coupés et la pose de peintures murales lui donne son aspect définitif.

L'intérêt et les travaux effectués sur cet édifice par l'Église de Poitiers semblent montrer la volonté de sauvegarder ce symbole fort de l'antiquité de la présence chrétienne dans la ville. Après la Révolution, sauvé de la destruction, il devient un objet de recherches scientifiques, un bien patrimonial et culturel[2].

Le sauvetage

Vue sur l'abside mérovingienne
Vue ouest-est dans l'axe de la piscine

L'église Saint-Jean érigée en paroisse en 1638 est désaffectée en 1791. L'édifice est mis en vente comme bien national avec la sacristie et le cimetière pour 400 livres, mais ne trouve pas d'acquéreur, vu sa vétusté. Dom Mazet, futur directeur de la Bibliothèque municipale de Poitiers, obtient du préfet le retrait de la vente. Le baptistère devient la propriété de l'État. Après des réparations, il en donne la jouissance aux Hospitaliers de la ville qui en font un dépôt, puis à la cathédrale qui le loue à un entrepreneur qui l'utilise comme magasin de bois.

En 1831, les élus de la ville souhaitent créer une voie entre le pont sur la rivière Clain et le centre de la ville. Son emprise passe sur le baptistère ce qui provoque de nombreux conflits. Après de multiples péripéties, le ministre sous l'influence d'Arcisse de Caumont directeur de la Société française pour la conservation des monuments nationaux, de Charles de Chergé de la société locale d'archéologie et du préfet ordonne dès janvier 1834 l'acquisition de l'édifice par l'État. Le ministre fait faire des réparations sans se préoccuper de la destination finale du bâtiment.

La Société des antiquaires de l'Ouest et la ville considèrent le local apte à recevoir leurs collections lapidaires et l'État leur en accorde la jouissance. En juin 1838, l'église Saint-Jean devenue Musée des Antiquités de l'Ouest est ouvert.

Le baptistère est classé sur la liste des monuments historiques protégés en 1846[3]

De grands travaux sont entrepris entre 1852 et 1859 puis pendant la guerre de 1870, l'édifice est réquisitionné par le Ministère de la Guerre. En 1883, le Ministère des Beaux-Arts en donne la jouissance à la ville pour en faire un musée. Elle le confie à la Société des antiquaires de l'Ouest qui en 1884 y dépose toutes les tombes mérovingiennes régionales dont elle est propriétaire dans un musée lapidaire des VIe, VIIe et VIIIe siècles[4],[5],[6].

Les fouilles

En 1803 Étienne Marie Siauve découvre une piscine octogonale et à partir de 1835, de nombreuses restaurations sont accompagnées de relevés et de fouilles archéologiques. Entre 1855 et 1872, Charles Joly-Leterme reconstruit les absidioles latérales puis de 1879 à 1903, Jean Camille Formigé est chargé des travaux. À la fin du XIXe siècle Camille de La Croix fouille les douves et entre 1958 et 1962 F. Eygun la salle baptismale et le sous-sol de l'abside axiale.

Entre 1995 et 2011, sept campagnes d'études portent sur les élévations extérieures, le nettoyage, les relevés, l'analyse des vestiges et des sondages[7].

Les synthèses

Façade sud en 1836
Coupe nord-sud en 1836
Coupe est-ouest en 1836
Plan au IVe siècle de Camille de la Croix, 1902
Plan possible de l'état primitif, 2011
Plan de l'état existant sur les structures anciennes, 2017

Étienne Marie Siauve

En 1804, Étienne Marie Siauve dans son rapport sur le Temple Saint-Jean rappelle les opinions d'érudits depuis 1750 établies à partir d'un marbre découvert dans l'édifice est qui porte l'inscription la ville des Pictons a ordonné pour Claudia Varenilla fille du consul Claudius Varenus des funérailles, l'érection d'un bâtiment public.... Pour certains, le temple est une construction romaine, un temple païen transformé en église chrétienne et même en baptistère. Pour Jean Lebeuf, il s'agit de l'ancien baptistère de Poitiers construit pour cette cérémonie, une construction romaine du IIIe siècle.

Espérant trouver un sarcophage, Siauve fait fouiller le 25 février 1803 le centre de la grande salle. Aux premiers coups de pics, il tombe sur un mortier très dur qui forme le revêtement d'une piscine octogonale dont les murs sont de la même nature que celle de l'édifice. Au centre de la cuve, un canal d'écoulement se dirige vers l'est en pente douce dans un tuyau de grès de trente centimètres de diamètre. Dans les déblais, il trouve des chapiteaux, des fragments de futs, des bases...

Après cette découverte, il pense que le Temple de Saint-Jean remonte au Ve siècle, peut-être au IVe siècle, qu'il fut la seule église de Poitiers transformée en baptistère au VIIe siècle et que le porche est du Xe siècle[8].

Mangon de la Lande

Prosper Mérimée, qui succède en 1834 à Ludovic Vitet comme inspecteur général des Monuments historiques, reprend, en désaccord avec Arcisse de Caumont qui croit en un baptistère du Ve siècle ou du VIe siècle, le rapport de M. Mangon de la Lande[9] . Ce fondateur de la Société des antiquaires de l'Ouest ne doute pas que le Temple de Saint-Jean fut érigé à la fin du IIIe siècle ou au début du IVe siècle pour honorer la mémoire de Varenilla une dame romaine puis transformé en baptistère beaucoup plus tard sous le vocable de saint Jean.

Pour passer du mausolée de Varenilla au baptistère, on ajoute deux bâtiments plus bas à l'avant et à l'arrière pour former une petite église. On y trouve ainsi les trois divisions nécessaires à la célébration du baptême : le porche où on introduit le catéchumène, la salle des renonciations, des promesses et des offrandes puis le sanctuaire avec la cuve sacrée[10],[11].

Camille de La Croix

Le jésuite Camille de La Croix ne veut pas suivre les méthodes de ses devanciers et pense que des fouilles et l'étude des élévations confrontées à l'histoire locale sont nécessaires. En 1890, il obtient de la Commission des Monuments historiques le droit de poser des échafaudages qui resteront sept ans et de la ville l'autorisation d'effectuer de larges et profondes fouilles.

Le monument romain du IVe siècle est composé d'un bâtiment principal et de dépendances techniquement liées. Le premier ensemble, orienté ouest-est, comprend deux salles de surfaces inégales, dont la plus grande a pratiquement en son centre une piscine octogonale à trois marche d'une profondeur d'1,40 m avec une hauteur d'eau de 25 cm entre l'arrivée et le départ des tuyaux de terre cuite. La troisième marche de 40 cm de hauteur n'est pas immergée. À l'ouest, on trouve un porche avec trois pièces, au nord deux appartements, au sud un étroit couloir et à l'est plusieurs murs délimitant quatre espaces dont un ouvert sur la salle de la piscine. Des galeries souterraines irrégulières accessibles par des escaliers étaient peut-être reliées à une maison contemporaine des constructions primitives. Les chapiteaux, colonnes et bases sont des matériaux de réemploi. Les fouilles extérieures n'ont pas mis en évidence d'autres édifices, ce qui fait croire qu'il est isolé.

Pour ce religieux, les constructions primitives de l'édifice n'appartiennent ni à un temple, ni à un monument funéraire mais à un baptistère par immersion avec sa pièce avec piscine à trois marches, une salle contigüe où sont instruits les catéchumènes et une abside pour le trône de l'évêque construit peu après 313 et la reconnaissance du christianisme par Constantin.

Au VIIe siècle, à l'époque mérovingienne, il ne reste des constructions primitives que le bâtiment principal avec ses deux pièces. Il semble que le baptistère à immersion soit transformé en baptistère à infusion. On crée deux absides rectangulaires au nord et au sud et une abside pentagonale plus complexe à l'est. L'ensemble du bâtiment est rehaussé, des ouvertures améliorent l'éclairage et des contreforts renforcent la stabilité de l'ensemble.

Au XIe siècle, après un incendie qui n'épargne que la salle principale, des pans coupés sont édifiés à l'ouest. Le niveau du sol autour du baptistère et la porte d'entrée sont rehaussés d'environ 1,50 m et un escalier est créé.

Aux XIIe et XIIIe siècles, des fresques sont peintes sur tous les murs et les ouvertures hautes de la pièce principale transformées. Les absides rectangulaires nord et sud sont remplacées par des absides semi-circulaires[5].

François Eygun

En 1951, au Congrès de la Société française d'Archéologie, Jean Hubert croit reconnaître dans les deux salles une cathédrale double en contradiction avec les conclusions de Camille de La Croix.

Des fouilles effectuées en 1958-60 montrent un baptistère avec deux salles pratiquement carrées du milieu du IVe siècle édifiées sur des constructions romaines détruites en 276. De cette époque ne subsistent que la piscine et les murs de la salle baptismale jusqu'à la hauteur des fenêtres. Au début du VIe siècle, les murs sont surélevés et décorés. Les parois intérieures sont doublées avec des arcatures et trois absides sont construites. À la fin du Xe siècle, la partie ouest est démolie et remplacée par des pans coupés. Les absidioles nord et sud rectangulaires sont abattus et deviennent hémisphériques. Les nombreux remaniement rendent difficiles d'autres conclusions[12].

Brigitte Boissavit-Camus

Entre 1995 et 2011, deux opérations du Conservatoire Régional des Monuments historiques et les nettoyages, relevés, enregistrements, analyses des vestiges et sondages sont confrontés aux rapports de Charles Joly-Leterme, Camille de La Croix et François Eygun. Une succession de douze états retracent l'histoire de l'édifice.

Le baptistère est construit au Ve siècle sur une maison gallo-romaine avec un système de chauffage. Les fondations d'une première piscine baptismale sont légèrement décalées par rapport à celle existante. À l'est d'une salle de 17 m x m, les murs marquent la présence d'un petit chevet rectangulaire.

Fonctionnement du baptistère paléochrétien de Salone

Entre cet état initial et les modifications romanes après l'incendie, on trouve cinq étapes de modifications : au cours du Ve siècle, des annexes latérales rectangulaires ; au VIe siècle, un porche situé à l'ouest entre la cathédrale et le baptistère, division de l'espace intérieur en deux salles et agrandissement de l'abside axiale certainement pour suivre l'évolution de la liturgie ; les salles annexes sont transformées en absides semi-circulaires avec l'agrandissement du chevet ; au VIIe siècle, les murs sont rehaussés avec une décoration, des frontons sont construits sur les murs nord et sud de la salle avec piscine et enfin a lieu la reprise des angles[7],[13].

Le groupe cathédral

En 1951, Jean Hubert a évoqué la possibilité d'une cathédrale double et dans les années 1980, Nelly Le Masne de Clermont montre que le baptistère est à l'est de la cathédrale primitive. On trouve dans les groupes cathédraux paléochrétiens le même fonctionnement où les catéchumènes passent par une première salle, un vestiaire, la piscine puis, devenus chrétiens par la cérémonie du baptême, accèdent à l'Eucharistie dans la cathédrale. À Poitiers, on peut croire que le baptistère organisé en deux salles dont celle de la piscine avec l'abside de l'évêque est relié vers l'ouest par un portique à la cathédrale où est célébrée la messe[13].

L'architecture mérovingienne

L'abside axiale et l'abside sud.

Que sa datation soit de la deuxième moitié du IVe siècle ou plus récente, son plan originel de deux salles précédées d'un portique tripartite ou d'une grande salle centrée sur la piscine, le baptistère actuel est réduit à une salle rectangulaire dotée de trois absides et est important dans la connaissance de l'architecture mérovingienne.

Il nous montre la dépendance avec ses origines antiques et particulièrement l'architecture paléochrétienne, mais aussi l'abandon des principes classiques. Cette esthétique mérovingienne a un goût prononcé pour la polychromie et l'animation des parois. Les éléments d'architecture sont employés à des fins décoratives et un libre jeu des formes remplace la rigueur de la composition. Les colonnes, les pilastres, les arcs en plein-cintre et en mitre, les corniches constituent un répertoire varié mais ils composent une ordonnance sans rapport avec les structures de l'édifice et se perdent dans la vision globale des murs. Les maçonnerie de petit appareil avec des tympans, des plaques, des rosaces et des frises en marqueterie encastrée dans les murs renforcent l'impression de décor. Les chapiteaux de marbre de réemploi sont comme des gemmes enchâssées dans l'orfèvrerie du haut Moyen Âge. La vibration des formes et la richesse de couleurs qui résulte de l'assemblage de matériaux et d'éléments aussi divers rappellent certains monuments provinciaux romains[1].

Les peintures gothiques

Restes de fresque gothique (rinceaux et tête de mascaron) par-dessus d'une fresque romane préexistante (médaillon avec l'agneau et l'ange), sur l'arc triomphal mérovingien.

Tous les murs étaient couverts de fresques mais beaucoup ont disparu. Elles peuvent être datées de la première moitié du XIIIe siècle et sur une petite partie du XIIe siècle.

Dans l'abside axiale polygonale, la voûte est occupée par un Christ assis dans une gloire quadrilobée avec quatre anges dans les écoinçons portant des phylactères avec le nom des Évangélistes. Le Christ ne bénit pas mais tient un globe dans la main gauche. Deux grandes figures de saints se développent à la tête de cette voûte. Sur l'arc triomphal de séparation entre l'abside et la salle de la piscines, la surface ne permet que des anges et des motifs ornementaux.

Sur les murs de l'abside polygonale se développe l'histoire du Précurseur saint Jean-Baptiste. À gauche : l'annonce à Zacharie, la naissance de Jean, sainte Élisabeth sur son lit contemplée par trois hommes et la sage-femme soignant l'enfant. Puis la colombe du Saint-Esprit souffle le nom de l'enfant à Zacharie et le Précurseur au désert se prosterne devant la main de Dieu. Dans l'axe de l'abside percée d'une fenêtre on voit deux anges thuriféraires. À droite une zone effacée devait recevoir le baptême du Christ et saint Jean dans sa prison. Il reste la décollation du saint avec Salomé recevant la tête et la présentant à Hérodiade. La portion droite de cette scène est tombée et laisse apparaître la fresque du XIIe siècle avec quatre cavaliers dont un portant une inscription évoquant Constantin[14].

Dans la salle de la piscine on trouve les Douze Apôtres de part et d'autre de l'arcade axiale, une fresque décorée d'une grecque interrompue par des médaillons garnis d'oiseaux et d'autres portant un Agnus Dei et des figures humaines[5].

Notes et références

  1. Piotr Skubiszewski, L'art du Haut Moyen-Âge : L'art européen du VIe au IXe siècle, Paris, Pochothèque, , 480 p. (ISBN 2-253-13056-7), p. 96
  2. B. Boissavit-Camus, Le baptistère Saint-Jean de Poitiers : de l'édifice à l'histoire urbaine, Turnhout, Brépols, , 520 p. (ISBN 978-2-503-54831-9)
  3. Notice no PA00105585, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. Yves Reboul et Antonia Fonyi, Mérimée, Presses Universitaires du Mirail, , p. 148.
  5. Camille de la Croix, « Étude sommaire du baptistère Saint-Jean de Poitiers », Bulletins et Mémoires de la société des antiquaires de l'Ouest, vol. 27, no 2, , p. 285 (lire en ligne)
  6. Jules Gailhabaud, Monuments anciens et moderne : Le baptistère Saint-Jean de Poitiers, Firmin-Didot, (lire en ligne), p. 133
  7. Collectif, « Archéologie et Restauration des monuments », Bulletin monumental, vol. 161, no 3, , p. 195-222 (lire en ligne)
  8. Étienne Marie Siauve, Mémoires pour les antiquités de Poitiers : Dissertation sur le temple Saint-Jean de Poitiers, Gamery, , 252 p. (lire en ligne), p. 181
  9. Collectif, « Prosper Mérimée », Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest, vol. 3, no 14, (lire en ligne)
  10. M. Mangon de la Lande, « Dissertation sur le tombeau romain de Varenilla », Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest, vol. 1, , p. 194 (lire en ligne)
  11. Arlette Auduc, Quand les monuments construisaient la Nation, Comité d'Histoire du Ministère de la Culture, , p. 115.
  12. François Eygun, Le baptistère Saint-Jean de Poitiers, p. 137-171, Gallia, 1964, no 22-1 (lire en ligne)
  13. Brigitte Boissavit-Camus, « Le baptistère Saint-Jean de Poitiers », Dossiers d'archéologie, no 363, , p. 50-59
  14. Marc Thibout, « Les peintures gothiques du baptistère de Poitiers (compte-rendu : François Salet) », Bulletin monumental, vol. 113, (lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

  • François Eygun, Le baptistère Saint-Jean de Poitiers, p. 137-171, Gallia, 1964, no 22-1 (lire en ligne)
  • B. Boissavit-Camus, Le baptistère Saint-Jean de Poitiers : de l'édifice à l'histoire urbaine, Turnhout, Brépols, , 520 p. (ISBN 978-2-503-54831-9)
  • Camille de la Croix, « Étude sommaire du baptistère Saint-Jean de Poitiers », Bulletins et Mémoires de la société des antiquaires de l'Ouest, vol. 27, no 2, , p. 285 (lire en ligne)
  • M. Mangon de la Lande, « Dissertation sur le tombeau romain de Varenilla », Mémoires de la Sosiété des Antiquaires de l'Ouest, vol. 1, , p. 194 (lire en ligne)
  • Étienne Marie Siauve, Mémoires pour les antiquités de Poitiers : Dissertation sur le temple Saint-Jean de Poitiers, Gamery, , 252 p. (lire en ligne), p. 181
  • Charles de Chergé, « Guide de voyage à Poitiers -Temple Saint-Jean, page : 99 », sur Wikisource, (consulté le )
  • Jules Gailhabaud, Monuments anciens et moderne : Le baptistère Saint-Jean de Poitiers, Firmin-Didot, (lire en ligne), p. 133
  • Marc Thibout, « Les peintures gothiques du baptistère de Poitiers (compte-rendu : François Salet) », Bulletin monumental, vol. 113, (lire en ligne).
  • Brigitte Boissavit-Camus, « Le baptistère Saint-Jean de Poitiers », Dossiers d'archéologie, no 363, , p. 50-59.

Article connexe

  • Portail du christianisme
  • Portail de la Vienne
  • Portail des monuments historiques français
  • Portail du haut Moyen Âge
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.