Bardou (Dordogne)

Bardou est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Bardou.

Bardou

L'église de Bardou.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Sud Périgord
Maire
Mandat
Jean-Paul Roussely
2020-2026
Code postal 24560
Code commune 24024
Démographie
Gentilé Bardoviens
Population
municipale
48 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 17″ nord, 0° 41′ 07″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 181 m
Superficie 4,76 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bardou
Géolocalisation sur la carte : France
Bardou
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Bardou
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bardou

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte de Bardou et des communes avoisinantes.

    Bardou est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Bardou
    Monsac
    Montaut Naussannes
    Boisse Saint-Léon-d'Issigeac

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bardou est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée g1-Cc, est la formation du calcaire de Castillon, un calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), avec un faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental). La formation la plus récente, notée g1-Cmo, est du calcaire de Monbazillac, un calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et des argiles carbonatées à nodules calcaires (Rupélien continental). Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Bardou.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 124 m et 181 m[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 4,76 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,84 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Bardou.

    La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Banège, le Couzeau et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15],[Carte 1].

    La Banège, d'une longueur totale de 17,6 km, prend sa source près de la limite sud-ouest de la commune et se jette dans le Dropt à Plaisance, face à Cahuzac[16],[17].

    Le Couzeau, d'une longueur totale de 13,76 km, prend sa source dans le nord de la commune et se jette dans la Dordogne à Varennes, face à Baneuil[18],[19].

    Gestion et qualité des eaux

    Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Bardou.

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[21]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22]. Le territoire communal est partagé à environ 45 % pour le SAGE Dropt, à l'ouest et au sud, et à 55 % pour le SAGE Dordogne Atlantique au nord et à l'est.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 879 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[29] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[30],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[31]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 20 km[32], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[33], à 13,1 °C pour 1981-2010[34], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Bardou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[36],[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,1 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), forêts (4,9 %)[41].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Bardou proprement dit, le territoire se compose de quelques autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[42] :

    • les Auquettes
    • les Barthes
    • la Borde
    • la Borie Basse
    • les Bouyjoux
    • le Charlat
    • la Croix
    • Entraygues
    • la Fonfine
    • Grand Eyral
    • la Mouthe
    • Peyreprat
    • le Suquet.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Bardo en 1286[43].

    Le nom de la commune se référerait, soit à un nom de personnage d'origine germanique Bardulf ou Bardonem, soit à l'occitan bart, correspondant à une terre argileuse[43],[44].

    En occitan, la commune porte le nom de Bardon[44].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte à l'an 1286 sous la forme Bardo[43].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Bardon[45].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Thierry Heuzey    
             
    1995   Alain Feuille    
    mars 2001 mars 2008 Huguette Mouton    
    mars 2008 mars 2017[48] Michel Castagnet SE[49] puis PS Retraité
    mars 2017[48] mai 2020 Jean-Louis Gasseau PS Retraité
    mai 2020 En cours Jean-Paul Roussely    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Bardou relève[50] :

    Démographie

    Les habitants de Bardou se nomment les Bardoviens[51].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

    En 2019, la commune comptait 48 habitants[Note 9], en augmentation de 17,07 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    191191199220196184192178174
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    164155159166170154130127111
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1271181311001031201029885
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    575458433633444244
    2019 - - - - - - - -
    48--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quinze personnes, soit 34,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (deux) a augmenté par rapport à 2010 (zéro) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte six établissements[56], dont trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux au niveau des commerces, transports ou services, et un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[57].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Blaise.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Bardou » sur Géoportail (consulté le 15 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Bardou » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bardou », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bardou », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Bardou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Banège-Dropt au nord-ouest de Basset » sur Géoportail (consulté le 20 juillet 2022)..
    17. Sandre, « la Banège »
    18. « Confluence Couzeau-Dordogne au Port de Lanquais » sur Géoportail (consulté le 20 juillet 2022)..
    19. Sandre, « le Couzeau »
    20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « SAGE Dropt », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    24. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    25. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    26. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    27. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    42. « Bardou » sur Géoportail (consulté le 21 février 2021)..
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    44. Le nom occitan des communes du Périgord - Bardon sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
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    48. Jacky Beney, « Qui est le nouveau maire de la commune », Sud Ouest édition Périgueux, 8 juin 2017, p. 23..
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    50. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
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    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    55. Dossier complet - Commune de Bardou (24024) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.
    56. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    57. Dossier complet - Commune de Bardou (24024) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.
    58. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, p. 21 (ISBN 2-87901-221-X).
    59. « Château de Bardou », notice no PA00082336, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, p. 873 (ISBN 2-86577-214-4).
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