Saint-Pierre-de-Frugie
Saint-Pierre-de-Frugie est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Pierre.
Saint-Pierre-de-Frugie | |||||
Le bourg de Saint-Pierre-de-Frugie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Périgord-Limousin | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Chabaud 2020-2026 |
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Code postal | 24450 | ||||
Code commune | 24486 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pétrofrugiens | ||||
Population municipale |
404 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 34′ 27″ nord, 0° 59′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 305 m Max. 491 m |
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Superficie | 21,74 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Thiviers | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | saintpierredefrugie.fr | ||||
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
Généralités
Partie intégrante du parc naturel régional Périgord Limousin et localisée à l'extrême nord-est de la Dordogne, la commune de Saint-Pierre-de-Frugie est limitrophe du département de la Haute-Vienne (commune de Bussière-Galant). Elle est arrosée par deux affluents de l'Isle, la Valouse qui traverse le territoire communal du nord-est au sud, et à l'est le Périgord qui sert de limite naturelle sur quelques centaines de mètres, séparant Bussière-Galant de Saint-Pierre-de-Frugie.
Le bourg de Saint-Pierre-de-Frugie est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres au nord-nord-est de La Coquille et neuf kilomètres au sud de Châlus. Il est traversé par la route départementale 67.
La principale voie de communication de la commune reste à l'ouest la route nationale 21 qui, sur deux kilomètres et demi, lui sert de limite avec Firbeix et La Coquille. C'est sur ce tronçon que se trouve le point culminant des routes du département.
Communes limitrophes
Saint-Pierre-de-Frugie est limitrophe de quatre autres communes dont une dans le département de la Haute-Vienne.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Pierre-de-Frugie est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ζ1-2I, se compose de gneiss plagioclastiques grauwackeux à schisteux à deux micas ou biotite seule et sillimanite et parfois microcline (Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 711 - Châlus » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
Permien (252.17 - 298.9) |
non présent | |||||||||||||||||||||
Carbonifère (298.9 - 358.9) |
Pennsylvanien |
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Mississippien |
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Dévonien (358.9 - 419.2) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Silurien (419.2 - 443.8) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Ordovicien (443.8 - 485.4) |
non présent | ||||||||||||||||||||||
Cambrien (485.4 - 541.0) |
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Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 305 mètres[5] au sud, à la pointe nord de l'étang de la Barde, là où la Valouse quitte la commune pour entrer sur celles de La Coquille et Saint-Priest-les-Fougères, et 491 mètres[5], point culminant de la Dordogne, à l'extrême est, en forêt de Vieillecour[6], en limite de la commune de Bussière-Galant[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 21,74 km2[5],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,27 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dronne, la Valouse, le Périgord et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[16],[Carte 1].
La Dronne, d'une longueur totale de 200,6 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle en limite de Sablons et de Coutras en Gironde, après avoir traversé 54 communes[17].
La Valouse, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune et se jette en rive droite de l'Isle en limite de Sarrazac et de Saint-Paul-la-Roche, après avoir traversé six communes[18].
Le Périgord, d'une longueur totale de 11,13 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette dans l'Isle à Jumilhac-le-Grand, après avoir traversé quatre communes[19].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[28] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[30]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 36 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[32], à 11,4 °C pour 1981-2010[33], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[34].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre-de-Frugie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[35],[36],[37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), prairies (21,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones urbanisées (2,6 %), cultures permanentes (0,9 %)[40].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le nom de Saint-Pierre-de-Frugie fait référence à l'apôtre saint Pierre[41] et à Frotgius, nom d'un personnage d'origine germanique[42].
En occitan, la commune porte le nom de Sent Peir de Frègia[43].
Histoire
Après avoir été grièvement blessé au siège de Châlus, Richard Cœur de Lion, aurait trouvé refuge au château de Vieillecour en 1199 six jours avant de mourir.
En 1372, lors de la guerre de Cent Ans, Bertrand Du Guesclin installe sa garnison au château de Vieillecour pour plusieurs semaines, après avoir repris Saint-Pierre-de-Frugie aux Anglais.
La première mention écrite connue du village apparaît en 1382 sous la forme Sanctus Petrus de fracto Jove (« Saint Pierre du Jupiter brisé ») correspondant à une mauvaise interprétation du nom d'origine, Frotgius[42].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Frugie[44].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Pierre-de-Frugie (appelée Frugie à l'époque) a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[5].
Intercommunalité
Fin 2002, Saint-Pierre-de-Frugie rejoint la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[45] puis en en communauté de communes Périgord-Limousin[46].
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Pierre-de-Frugie relève[50] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Saint-Pierre-de-Frugie, sont jumelées avec la municipalité allemande de Romrod depuis 2012, La Coquille l'étant depuis 1990[51].
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[52].
En voie de désertification, le village de Saint-Pierre-de-Frugie a inversé la tendance en misant sur l'écologie et la qualité de vie[53],[54].
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Pierre-de-Frugie se nomment les Pétrofrugiens[55].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].
En 2019, la commune comptait 404 habitants[Note 8], en augmentation de 6,32 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Une école privée hors-contrat, à pédagogie alternative de type Montessori (non adhérente à l'Association-Montessori-France[59]), est implantée à Saint-Pierre-de-Frugie
Économie
Emploi
En 2015[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 139 personnes, soit 36,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,1 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-neuf établissements[61], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, trois dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[62].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Frugie, XIVe et XVe siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1968 pour ses façades et sa toiture[63], propriété privée.
- Château de Vieillecour, XVIe siècle, inscrit depuis 1946[64], propriété privée.
- Vestiges du château de Montcigoux, XIIe et XVIIe siècles, propriété privée.
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Chapelle de Montcigoux.
Maison Passerelle réhabilitée par la mairie de Saint-Pierre-de-Frugie. Mairie de Saint-Pierre-de-Frugie. Ancienne école publique. Vue aérienne du centre bourg de Saint-Pierre-de-Frugie .Vue aérienne du gîte "Le nichoir". Le logis sud-ouest du château de Frugie. Le château de Vieillecour. L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Le plafond à caissons
de l'église.La chapelle de Montcigoux. Maison ancienne à côté de l'église. La fontaine de Montcigoux.
Personnalités liées à la commune
- Selon certaines sources, saint Vaast (mort en 540) pourrait être né au château de Vieillecour[65].
- Richard Cœur de Lion, grièvement blessé, aurait trouvé refuge en 1199 au château de Vieillecour, quelques jours avant de mourir à Châlus[66].
- Édouard Valéry (1924-2010), résistant, a vécu à Saint-Pierre-de-Frugie, au Verdenille[67].
Héraldique
Blason | D'azur à trois étoiles d'argent rangées en fasce, surmontées d'un croissant du même et soutenues d'une grappe de raisin (arlot) d'argent tigée et feuillée de deux pièces de sinople. |
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Détails |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Pierre-de-Frugie » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Pierre-de-Frugie » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Pierre-de-Frugie », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 711 - Châlus de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Patrick Ranoux, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 20, 1996
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Pierre-de-Frugie », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Pierre-de-Frugie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « la Dronne »
- Sandre, « la Valouse »
- Sandre, « le Périgord »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
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- « Frugie » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2013)..
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- [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
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- Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
- « Un petit village de Dordogne inverse l’exode rural avec le « bio » et la qualité de vie », La Dépêche, consulté le 21 août 2017.
- « Un petit village de Dordogne inverse l’exode rural avec le « bio » et la qualité de vie », nouvelobs.com, consulté le 21 août 2017.
- Fiche commune Saint-Pierre-de-Frugie, Union des maires de la Dordogne, consultée le 8 février 2022.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Ecoles signataires de la charte qualité | Association Montessori de France », sur AssoConnect (consulté le )
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- « Château de Vieillecour », notice no PA00082892, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 septembre 2009
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 942.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 292-293.
- [PDF] E. Valery, Quatre années dans la Résistance.
- Site de la commune de Saint-Pierre-de-Frugie, consulté le 28 février 2015.
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