Beauronne

Beauronne est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Beauronne (homonymie).

Beauronne

Le bourg de Beauronne.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Daniel Villesuzanne
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24032
Démographie
Gentilé Beauronnais
Population
municipale
371 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 41″ nord, 0° 22′ 51″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 150 m
Superficie 19,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beauronne
Géolocalisation sur la carte : France
Beauronne
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Beauronne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beauronne

    Géographie

    Généralités

    Localisée à l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Beauronne s'étend sur 19,24 km2, dont une grande partie en forêt de la Double.

    Le bourg de Beauronne est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord de Mussidan et douze kilomètres au sud-ouest de Saint-Astier. Il est implanté en rive droite de la Beauronne, au croisement des routes départementales 40 et 709 (l'ancienne route nationale 709).

    Le sud de la commune est parcouru par le sentier de grande randonnée GR 646.

    Communes limitrophes

    Carte de Beauronne et des communes avoisinantes.

    Beauronne est limitrophe de sept autres communes, dont Saint-Vincent-de-Connezac au nord, sur moins de 150 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Beauronne est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 781 - Montpon-Ménestérol » et « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Beauronne.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 51 m[6] au sud-est, là où la Beauronne quitte la commune pour servir de délimitation entre Saint-Louis-en-l'Isle et Saint-Front-de-Pradoux, et 150 m[6] au sud, en forêt de la Double, au sud du lieu-dit les Janissoux[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,24 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,31 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Beauronne, le ruisseau de la Boulbène, le ruisseau de Rieu Quérieu et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[16],[Carte 1].

    La Beauronne, d'une longueur totale de 18,12 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac ; son bras oriental se jette en rive droite de l'Isle en limite de Saint-Front-de-Pradoux et de Saint-Louis-en-l'Isle, face à Sourzac[17],[18]. Elle borde à l'est le territoire communal, lui servant de limite naturelle avec Douzillac et Saint-Louis-en-l'Isle.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 885 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[27] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[28],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 28 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauronne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,5 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), prairies (8 %), zones urbanisées (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[39].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Beauronne proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

    • les Aubéradoux
    • les Blanchiéras
    • la Boige
    • Boissonnie
    • Bontemps
    • le Bos Cailloubo
    • les Bouygeas
    • le Breuil
    • le Cambalou
    • les Chaudières
    • Combecure
    • Coutancias
    • Étang d'Éloi
    • Étang d'Eyreau
    • Faye
    • la Font de Jean
    • les Fontanelles
    • la Forêt
    • les Gautheries
    • le Gourd
    • Grand Tallet
    • les Granges
    • les Janissoux
    • les Jargougnes
    • les Lacauds
    • Landrevie
    • les Longes
    • les Loubeaux
    • Maine Moulin
    • le Mas
    • le Moulin de Faye
    • le Moulin de Milliol
    • Petit Tallet
    • la Petite Faye
    • le Peyrat
    • Au Planèze
    • le Pontet
    • Renolphie
    • Chez Ritoux
    • les Roberties
    • le Rocher
    • Au Savoi
    • le Terme
    • le Terme de Barillon
    • les Tuilières.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Beorona au XIIIe siècle, sous sa forme occitane actuelle Beurona en 1320, Beaurone en 1760[41].

    Son nom, identique au cours d'eau principal, contraction de bebros ou beber désignant le castor et de onna représentant le cours d'eau[42], est d'origine celtique.

    Bebro(n)na signifie donc « la rivière des castors »[43].

    En occitan, la commune porte le nom de Beurona[44].

    Histoire

    Lors des premières années de la Révolution, la commune de Faye près Beauronne fusionne avec Bauronne qui prend le nom de Bauronne et Faye[45].

    Bauronne-et-Faye change ensuite de nom et devient Beauronne[6].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Léopold Laforêt    
             
    1995   Nicolas Cornuault    
    mars 2001[48] mai 2020 Jean-Charles Marie SE[49] puis DVD[50] Militaire retraité
    mai 2020[51] En cours Daniel Villesuzanne    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Beauronne relève[52] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Beauronne se nomment les Beauronnais[53].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[55].

    En 2019, la commune comptait 371 habitants[Note 8], en augmentation de 8,48 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    679625696626836824826850810
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    825795814786787777738720703
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    675634652573522489479432451
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    450412350340328310304302331
    2015 2019 - - - - - - -
    363371-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Marché des potiers lors d'un week-end en août (19e édition en 2022[57]).

    Économie

    Emploi

    En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 162 personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 22,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-huit établissements[59], dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, six dans l'industrie, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[60].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    La Beauronne à Petit-Boissonnie.

    Intégrée au sud-est de la forêt de la Double, la commune représente un intérêt certain pour la faune et la flore locales. Deux zones de protection y sont donc délimitées :

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Beauronne » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Beauronne » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Beauronne », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Beauronne », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Beauronne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Confluence Beauronne-Isle au sud-est du château de Beaufort » sur Géoportail (consulté le 19 juillet 2022)..
    18. Sandre, « la Beauronne »
    19. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    24. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    27. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    28. « Orthodromie entre Beauronne et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    30. « Orthodromie entre Beauronne et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    34. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    36. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    40. « Beauronne » sur Géoportail (consulté le 25 février 2021)..
    41. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 105, (ISBN 2600028838).
    42. la lingua celtica (vocabulaire franco-celtique) (archive)
    43. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 47.
    44. Le nom occitan des communes du Périgord - Beurona sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Faye près Beauronne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    46. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
    47. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
    48. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 13 août 2014.
    49. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 18.
    50. http://www.rassemblonsladordogne.fr/lecanton.php?id=24,
    51. « Daniel Villesuzanne élu maire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 25.
    52. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    53. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
    54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    57. « Les passionnés de poterie étaient ravis », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14.
    58. Dossier complet - Commune de Beauronne (24032) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
    59. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    60. Dossier complet - Commune de Beauronne (24032) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
    61. « Eglise Notre-Dame de la Nativité », notice no PA00082358, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 mai 2017.
    62. Vallées de la Double sur le réseau Natura 2000. Consulté le 8 octobre 2009
    63. [PDF] DIREN Aquitaine - La Double orientale. Consulté le 8 octobre 2009
    64. Carte de la ZNIEFF 2651 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 8 octobre 2009
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.