Saint-Étienne-de-Puycorbier
Saint-Étienne-de-Puycorbier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Étienne (homonymie).
Saint-Étienne-de-Puycorbier | |||||
La mairie de Saint-Étienne-de-Puycorbier. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Dominique Degeix 2020-2026 |
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Code postal | 24400 | ||||
Code commune | 24399 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
105 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 7,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 32″ nord, 0° 19′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 50 m Max. 157 m |
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Superficie | 13,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Isle | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Généralités
À l'ouest du département de la Dordogne, en forêt de la Double, la commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier est limitée sur toute sa bordure ouest par le Grolet qui la sépare de Saint-Michel-de-Double.
À proximité de la route départementale (RD) 40, le hameau de Saint-Étienne-de-Puycorbier se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-nord-ouest de Mussidan et seize kilomètres au nord-est de Montpon-Ménestérol.
Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 38 et par le sentier de grande randonnée GR 646.
Communes limitrophes
Saint-Étienne-de-Puycorbier est limitrophe de cinq autres communes.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Étienne-de-Puycorbier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 781 - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène |
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Néogène (2.58 - 23.03) |
Pliocène |
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Miocène | non présent | ||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | ||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 50 mètres[5] au sud-ouest, près du lieu-dit Fougeraud, là où le Grolet quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Martin-l'Astier et Saint-Michel-de-Double, et 157 mètres[5] à l'extrême sud-est, près du lieu-dit Colombat, en limite des communes de Saint-Front-de-Pradoux et de Saint-Martin-l'Astier[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,54 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est également de 13,54 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Grolet, le ruisseau de la Boulbène, la Mouline et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le Grolet, d'une longueur totale de 14,32 km, prend sa source dans la commune de Saint-André-de-Double et se jette en rive droite de l'Isle en limite des communes de Saint-Médard-de-Mussidan, de Saint-Martin-l'Astier et de Saint-Laurent-des-Hommes, après avoir traversé six communes[16].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[25] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 29 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,1 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[31].
Urbanisme
Typologie
Saint-Étienne-de-Puycorbier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), prairies (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[37].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Le nom de la commune fait référence à saint Étienne alors que « Puycorbier » provient de « puy », dérivé de podium signifiant « colline », et de « corbier », en rapport avec les corbeaux ou tiré d'un nom de personne[38]. Ainsi Puycorbier pourrait signifier soit la « colline aux corbeaux », soit la « colline de Corbier ».
En occitan, la commune porte le nom de Sent Estefe de Puei Corbier[39].
Histoire
Les gallo-romains ont laissé quelques traces de présence sur le territoire de la commune[38].
La première mention de Puycorbier remonte au XIIIe siècle sous la forme « Poi Corber », suivie de « Corbene » à la fin du siècle suivant, puis de « Podium Corbier » au milieu du XVIe siècle[38].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune fut un lieu important de la Résistance à l'occupant en Dordogne[40].
Un maquis des Francs-tireurs et partisans (FTP) avait installé un camp au lieu-dit Virolle(s)[41]. Le , vingt-neuf résistants de ce camp meurent au village d'Espinasse, à Saint-Germain-du-Salembre, face aux Allemands, renforcés de la Légion nord-africaine[42]. En souvenir, un mémorial de la Résistance a été érigé à Virolle(s)[41].
Politique et administration
Intercommunalité
Fin 2002, Saint-Étienne-de-Puycorbier intègre dès sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Étienne-de-Puycorbier relève[47] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2019, la commune comptait 105 habitants[Note 8], en diminution de 9,48 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a diminué par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,6 %.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Étienne.
- Mémorial de la Résistance : ce monument s'élève à l'endroit où les maquisards de la Double appartenant au 4e régiment FTP avaient organisé leur camp. Au plus fort des combats, au printemps et en été 1944, lorsque la mission des résistants de l'intérieur consistait à retarder la montée des renforts allemands vers la Normandie, le camp de Virolles avait un effectif de plus de 600 hommes. Un rassemblement commémoratif y a lieu chaque 1er dimanche de juillet.
L'église Saint-Étienne. Le portail de l'église.
Patrimoine naturel
Longeant le territoire communal à l'ouest, le Grolet fait partie, avec ses affluents le ruisseau de la Boulbène et la Mouline, des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000[54] pour la conservation d'espèces animales européennes menacées. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[55].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Étienne-de-Puycorbier » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Étienne-de-Puycorbier » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « le Grolet »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Saint-Étienne-de-Puycorbier et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier (24399) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier (24399) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
- Carte des Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 mars 2013.
- Vallées de la Double sur le site du réseau Natura 2000, consulté le 26 mars 2013.
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