Belin-Béliet
Belin-Béliet[1] (prononcé [bəlɛ̃.belje])[Note 1] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Belin.
Belin-Béliet | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Arcachon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Eyre (siège) |
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Maire Mandat |
Cyrille Declercq 2020-2026 |
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Code postal | 33830 | ||||
Code commune | 33042 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Belinetois Belinois (Belin) |
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Population municipale |
5 732 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 29′ 54″ nord, 0° 47′ 20″ ouest | ||||
Altitude | Min. 11 m Max. 84 m |
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Superficie | 156,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Belin-Béliet (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Landes des Graves | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.belin-beliet.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Belin-Béliet est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le parc naturel régional des Landes de Gascogne au sud-est du Pays de Buch dans la forêt des Landes, à 45 km au sud de Bordeaux.
Hameaux et quartiers
La commune comprend les hameaux et quartiers suivants :
- l'Ambéliet,
- l'Aurignolle,
- Ballion,
- Béliet,
- Bertrine,
- la Borie,
- Bourrec,
- Boutox,
- le Bourdieu,
- Camontès,
- Cap de Bos,
- Carol,
- Carre,
- Cavernes,
- Cès,
- Chern,
- Cité Cazenave,
- la Coste,
- Courchon,
- Daye,
- Fraye,
- Garrot,
- le Graoux,
- Hillan,
- l'Hospitalet,
- la Houne,
- la Huillade,
- Joué,
- Larrouy,
- Lauray,
- Lilaire,
- Marguit,
- Marian,
- Mesplet,
- Mons,
- Nigon,
- Pernaud,
- le Puch,
- les Sables,
- Toutin.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Le Barp au nord, Saint-Magne au nord-est, Hostens à l'est, Mano au sud-est, Moustey au sud, Saugnac-et-Muret au sud-ouest — ces trois dernières communes étant dans le département des Landes —, Lugos à l'ouest et Salles au nord-ouest.
Communications et transports
La ville se trouve sur un nœud des axes routiers entre Bordeaux et Bayonne, sur la route nationale 10 et l'autoroute A63 dont les accès nos 20 et 21 desservent la ville, respectivement par le sud et par le nord.
Hydrographie
Le village est traversé par l'Eyre (ou Leyre).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1993 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3 | 2,8 | 4,5 | 6,5 | 10,2 | 13,3 | 14,6 | 14,8 | 11,5 | 10 | 5,1 | 3,4 | 8,3 |
Température moyenne (°C) | 7,2 | 7,8 | 10,8 | 12,6 | 16,5 | 19,8 | 21,1 | 21,5 | 18 | 15,4 | 9,7 | 7,3 | 14 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,4 | 12,8 | 17,1 | 18,7 | 22,8 | 26,3 | 27,6 | 28,2 | 24,6 | 20,8 | 14,3 | 11,2 | 19,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,1 13.01.03 |
−7,9 18.02.03 |
−10,2 01.03.05 |
−3,8 04.04.1996 |
−0,4 14.05.1995 |
3,2 01.06.06 |
6,6 11.07.04 |
5,8 30.08.1993 |
0,9 25.09.02 |
−5,2 30.10.1997 |
−8,9 22.11.1998 |
−12,6 17.12.01 |
−12,6 2001 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,7 05.01.1999 |
26,5 15.02.1998 |
28 20.03.05 |
34,1 30.04.05 |
36,9 30.05.1996 |
43,2 18.06.22 |
40,9 14.07.22 |
41,9 04.08.03 |
37,5 03.09.05 |
32,1 01.10.1997 |
25,1 02.11.05 |
22 07.12.00 |
43,2 2022 |
Précipitations (mm) | 89 | 73,7 | 64,6 | 83,1 | 72,8 | 57,2 | 49,5 | 59,3 | 75,5 | 96 | 111,3 | 99,1 | 931,1 |
Urbanisme
Typologie
Belin-Béliet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belin-Béliet, une unité urbaine monocommunale[14] de 5 732 habitants en 2019, constituant une ville isolée[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,8 %), terres arables (4,6 %), zones urbanisées (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de « Belin », dont « Beliet » est un diminutif, proviendrait du dieu gaulois Belenos. Une autre interprétation est que ce nom viendrait peut-être du nom romain Belendi, tribu citée par Pline l'Ancien[20].
En gascon, le nom de la commune est Belin e Beliet (ou Belin-Beliet)[21].
Histoire
Ancien chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle sur la Via Turonensis.
Le château de Belin est très anciennement attesté et cité dans la chanson de geste de Garin le Loherin, qui est le frère de Bégon de Belin[22] Suivant la tradition locale, Aliénor d'Aquitaine y serait née ; ce qui est avéré, c'est qu'elle a accordé aux habitants de Belin une charte avantageuse.
Les rois d’Angleterre ont souvent séjourné à Belin durant la guerre de Cent Ans, Édouard Ier le , Henri III en 1232 d'où il promulgue des lettres patentes puis en 1243 où il convoque les barons puis où il reçoit l’hommage des seigneurs landais et Édouard III en 1343.
Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[23].
À la Révolution, la paroisse annexe Sainte-Quitterie de Belin (de Saint-Pierre de Mons) forme la commune de Belin et la paroisse Saint-Exupère de Béliet forme la commune de Béliet. Le , la commune de Béliet est rattachée à celle de Belin qui devient Belin-Béliet[24].
Après la Révolution, le château fut petit à petit démantelé et la dernière tour a disparu à la fin du XIXe siècle[22].
Politique et administration
Liste des maires
À la suite des élections municipales du , le conseil municipal comprend 21 membres de la liste « Mieux vivre ensemble à Belin-Béliet » (Divers droite) conduite par Marie-Christine Lemonnier créditée de 54,16 % des votes exprimés et 6 membres de la liste « Belin-Béliet Autrement » (Divers gauche) créditée de 45,84 % conduite par Gérard Rodriguez.
À la suite des élections municipales du , le conseil municipal comprend 21 membres de la liste « Mieux vivre ensemble » (Divers droite) conduite par Marie-Christine Lemonnier créditée de 50,38 % des votes exprimés et 6 membres de la liste « Agir durablement pour Belin-Béliet » (Divers gauche) créditée de 49,61 % conduite par Cyrille Declercq.
Démographie
Les habitants sont appelés les Belinetois'[27].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2019, la commune comptait 5 732 habitants[Note 7], en augmentation de 18,67 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Principaux employeurs privés
- Beynel Manustock, fabricant de palettes en bois ou en aluminium, scierie.
- Domaine du Preuilh, producteur de carottes notamment.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Pierre de Mons construite au XIIe siècle et modifiée au XVe siècle, église jacquaire sur la via Turonensis, a été, sauf la sacristie inscrite monument historique par arrêté du [32].
- La croix de cimetière, proche de l'église Saint-Pierre de Mons, est inscrite monument historique par arrêté du [33].
- La Fontaine Saint-Clair[34], fontaine de dévotion ou guérisseuse par arrêté du .
- Obélisque dit Croix des Pèlerins[35] par arrêté du .
- L'église Saint-Jean de Belin-Béliet accueille les offices de la paroisse.
- L'église Saint-Maurice de Béliet, dont le clocher a été un gouffre financier dès sa construction est aujourd'hui désaffectée. La municipalité actuelle a affirmé publiquement sa volonté de ne pas la restaurer. Le clocher étant la partie qui pose un problème, il a été suggéré de le démolir et de réhabiliter l'édifice en marché couvert, piscine ou maison des associations.
Patrimoine civil
- La butte d’Aliénor qui domine le bourg de Belin à l'emplacement du château de Belin détruit[22].
- La grande forge, datée de 1798[36] est un établissement industriel désaffecté tout comme la scierie Dubourg[37] datée de 1920, la briqueterie Domecq-Cazaux[38], la distillerie de résine Cazauvielh[39] et l'usine des Ets Cazenave[40].
- La fonderie d'aluminium Domecq-Cazaux, désaffectée est répertoriée comme bâtiment industriel par la base Mérimée[41]. De la fonderie Destang Frères[42], qui a fait suite à une forge, il ne reste que la maison d'habitation.
- Une ancienne tour du télégraphe optique se trouve dans le hameau de Mons.
- Église Saint-Pierre de Mons et croix de cimetière.
- Croix de cimetière.
- Église de Belin.
- Église Saint-Maurice de Béliet.
- Fontaine Saint-Clair.
- Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Aliénor d'Aquitaine
- Édouard Ier
- Henri III
- Édouard III
- Corentin Barsacq
- Éliette Dupouy
Héraldique
Blason | Écartelé de gueules et d'azur, au premier à la fasce ondée abaissée d'argent chargée de trois anilles de sable et surmontée d'un lion léopardé d'or, au deuxième au château de deux tours d'argent maçonné de sable, surmonté d'une fleur de lis d'or et soutenu de deux rameaux de genêt du même, adossées et posées en bande et en barre, au troisième à deux bourdons de pèlerins passés en sautoir et accompagnés de deux coquilles, l'une en chef, l'autre en pointe, et de deux gourdes, une à chaque flanc, le tout d'or, au quatrième au pin d'argent terrassé d'or, le fût accosté de deux pommes de pin du même, au cor d'argent lié, virolé et garni d'or, le cordon enroulé autour du tronc de l'arbre, à deux rayons de gloire d'or naissant de chacun des angles dextre et senestre du chef[43]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- www.belin-beliet.fr Site officiel de la commune
- www.recensement.insee.fr Belin-Béliet sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une habitude s'est installée depuis plusieurs années de prononcer Beliet et d'écrire ce nom sans accent aigu, même sur certains documents municipaux. C'est une erreur, le nom de Béliet a toujours été orthographié avec un é, et c'est ainsi qu'il est référencé à l'INSEE.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Dénomination dans le Code officiel géographique, [lire en ligne]
- Belin-Béliet sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
- Belin-Béliet sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 33042001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Belin-Béliet », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Belin-Béliet sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 18 mai 2015.
- Belin-Beliet sur Gasconha.com, consulté le 18 mai 2015.
- « Historique », sur www.belin-beliet.fr (consulté le ).
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XXXI, pages 200-204 et article 5.XXXI, pages 274-280
- Historique des communes, p. 5, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 28 août 2013.
- Représentants élus sur le site de la mairie.
- « Municipales à Belin-Beliet : Cyrille Declercq élu », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 28 août 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Notice MH de l'église Saint-Pierre de Mons », notice no PA00083138, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice MH de la croix de cimetière », notice no PA00083137, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice MH de la fontaine Saint-Clair », notice no PA00083866, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice MH de l'obélisque dit Croix des Pèlerins », notice no PA00083867, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire des haut fourneau et fonderie dite la Grande Forge », notice no IA00135847, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de la scierie Dubourg et Cie », notice no IA00135848, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de la tuilerie et briqueterie Domecq-Cazaux », notice no IA00135841, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de l'usine Cazauvielh », notice no IA00135846, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de l'usine des Ets Cazenave », notice no IA00135844, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de la fonderie Domecq-Cazaux », notice no IA00135842, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice d'inventaire de la fonderie Destang », notice no IA00135843, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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