Dampierre-en-Bray
Dampierre-en-Bray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Dampierre-en-Bray | |||||
Salle communale Jacques Moinet. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 4 rivières | ||||
Maire Mandat |
Sophie Petit 2020-2026 |
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Code postal | 76220 | ||||
Code commune | 76209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dampierrois, Dampierroises | ||||
Population municipale |
442 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 31′ 57″ nord, 1° 39′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 102 m Max. 168 m |
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Superficie | 12,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Gournay-en-Bray (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Dampierre-en-Bray est un village agricole situé sur les bords de l'Epte dans le pays de Bray, à environ 65 km au sud de Dieppe, à la jonction des routes D 16 et D 84.
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Dampierre-en-Bray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,7 %), terres arables (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), forêts (0,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Dampierre devient Dampierre-en-Bray par décret du 26 novembre 1846. Il est curieux de noter qu'un décret du 05 janvier 1965 procède à la même modification[21].
L'hagiotoponyme caché de la localité est attesté sous la forme Domni petram en 1152[22].
Appellation hagionymique, l'élément dam (ailleurs dom) dérivé du latin dominus, ayant la valeur de « saint ». Dampierre signifie « Saint Pierre »[22].
Le pays de Bray est une région naturelle du Nord-Ouest de la France. À cheval sur les départements de Seine-Maritime et de l'Oise.
Histoire
Des groupements d'habitations existent à Dampierre-en-Bray lors de la conquête des Gaules par Jules César, tout comme à Alges, à Gournay-en-Bray, à Saint-Clair-sur-Epte, à Ferrières, à Elbeuf-en-Bray, à Avesnes-en-Bray, à Neuf-Marché...
Dampierre-en-Bray, qui est appelé dans les anciens titres, « Terra domini Pétri », s'est formée des paroisses de Dampierre et de Beuvreuil[23].
Au Moyen Âge, Dampierre-en-Bray est occupée par les seigneuries de : Dampierre, Rambures, et Marigny[24].
Au XIIe siècle, Mahaut de Marigny apporte par mariage la seigneurie de Mar(i)gny à Hugues Le Portier, seigneur de Rosay et co-seigneur de Lyons-la-Forêt. Enguerran II Le Portier leur fils adopte le nom de sa mère ; Enguerran III de Marigny né à Lyons-la-Forêt, fils d'Enguerran II, conseiller-chambellan et trésorier de Philippe le Bel, pendu en 1315, sera finalement inhumé dans l'église d'Écouis qu'il avait fait bâtir.
Isabeau de Marigny, fille du trésorier, apporte par mariage la seigneurie de Dampierre à la famille d'Auxi ; son fils et son petit-fils seront tués à la bataille d'Azincourt ; sa petite-fille, Catherine d'Auxi dame de Dampierre et d'Écouis, apporte ses biens à la famille de Rambures du fait de son mariage avec David de Rambures qui lui aussi est tué en 1415 à Azincourt. Andrieu (ou Adrien, ou André) de Rambures, fils ou petit-fils de David, possède en 1450 le fief de Rambures près de l'église de Dampierre ; il est seigneur de Rambures, de Dampierre, et d'Écouis ; son petit-fils vendra le fief et le manoir féodal de Dampierre à Nicolas Bénard.
Un fief entier, nommé le fief de Mar(i)gny, assis en la paroisse de Dampierre (châtellenie de Gournay) est transmis par le mariage d'Alix de Marigny (sœur d'Isabeau, ci-dessus) avec Pierre de Fécamp, à la famille de Fécamp. La fille (ou petite-fille ou arrière-petite-fille ?) d'Alix, Marie de Fécamp, transmet l'héritage à Guillaume Ier de Gamaches ; sa petite-fille Blanche, fille de Guillaume II de Gamaches, épouse Jean seigneur de Châtillon-sur-Marne, dont la fille Marie (Marguerite) dame de Châtillon, apporte par son mariage en 1439 ou 52 une partie du fief de Marigny à Pierre de Roncherolles, seigneur de Heuqueville ; l'autre part restant aux Gamaches jusqu'à la Révolution.
Quant à la paroisse de Beuvreuil[25] (qui sera plus tard rattachée à Dampierre), elle relevait de l'abbaye de Saint-Germer (Oise). C'était en 1118 une seigneurie appartenant à la famille Le Cat.
Le , Dampierre prend le nom de Dampierre-en-Bray[26].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2019, la commune comptait 442 habitants[Note 8], en diminution de 4,74 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Trois monuments majeurs sur cette commune :
- le château dit des Huguenots (Beuvreuil) daté du XIVe siècle[34]. Son nom vient du fait qu'il y avait plusieurs familles seigneuriales huguenotes qui y vivaient. (propriété privée, ne se visite pas). Il a été classé par arrêté du 2 mai 1921 ;
- l'église Saint-Pierre de Beuvreuil est souvent appelée improprement chapelle. Cette église possède des fondations du XIe siècle, certains murs sont du XIIe siècle. Elle reçut de nombreuses rénovations en particulier au XVIe siècle. À voir ses peintures murales et son porche fait de briques émaillées. L'église est ouverte le premier dimanche du mois. Elle a été classée par arrêté du 12 juin 1920[35] ;
- l'église Saint-Pierre de Dampierre-en-Bray, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [36].
Personnalités liées à la commune
L'abbé Robert Denhez, dernier prêtre de Dampierre-en-Bray, né à Ville-Saint-Jacques en Seine-et-Marne, le 14 septembre 1921, prêtre à Dampierre-en-Bray de 1971 à 1983, desservait les paroisses suivantes en plus de Dampierre-en-Bray : Cuy-Saint-Fiacre, Doudeauville, Gancourt-Saint-Étienne, Ménerval et Molagnies. Passionné par l'histoire, il est décédé le 10 décembre 1983 dans son presbytère à la suite d'une longue maladie.
'Émile Lamorte, instituteur de Dampierre-en-Bray, mort pour la France à la guerre de 1914-1918, serait le descendant du lieutenant-colonel De Lamorte, envoyé par Louis XIV pour combattre les protestants en Cévennes au moment de la guerre des Camisards et qui s'est ensuite converti au protestantisme pour en épouser une. Né à Vialas en Lozère le 7 mai 1877, a épousé Aline Berthe Bonicel à Vialas le 29 août 1903, a enseigné à Formerie-sur-Seine et à Hodeng-Hodenger entre autres, est décédé en rentrant de la guerre le 25 octobre 1919 à Vialas à la suite de la perte d'un œil au combat. Son nom figure sur le monument aux morts de Vialas avec celui de son frère.
Amédée Le Mercher de Longpré, ancien receveur particulier des finances et propriétaire, s'est retiré à Dampierre-en-Bray dans une propriété familiale, maire de la commune de 1871 à 1878, né à Rouen le quatre pluviose an VIII de la République, mort à Dampierre-en-Bray le 19 juin 1878.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Dampierre-en-Bray et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dampierre-en-Bray et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Guerrin Christian. Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime, Nouvelle revue d'onomastique, page 314.
- François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime.
- Nicolas René Potin de la Mairie : Recherches historiques sur la ville de Gournay (en Bray), Tome Premier page 21
- http://ot76g.free.fr/FR/Fiche_Dampierre_en_Bray.php
- http://rrouffy.free.fr/PinlongRouffy/f0868.htm
- Décret du 5 janvier 1965 portant changement de noms de communes, JORF no 7 du 9 janvier 1965, p. 213, sur Légifrance.
- « Municipales 2020 : à Dampierre-en-Bray, le maire Emmanuel Duclos décide de laisser sa place : Lors de ses vœux, le maire de Dampierre-en-Bray, Emmanuel Duclos, a annoncé qu'après 25 ans de vie municipale dont 19 en tant que maire, il a décidé de ne pas se représenter », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales : à Dampierre-en-Bray, la liste menée par Sophie Petit : La 3e adjointe de l’équipe sortante se présente en tête de liste accompagnée de deux conseillers municpaux sortant », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Sophie Petit, 58 ans, est technicienne qualité et se présente comme tête de liste pour « Ensemble vers l’avenir » aux élections municipales. Elle a effectué deux mandats en tant que 3e adjointe aux côtés du maire Emmanuel Duclos, qui ne se représente pas. ».
- Sébastien Aliome, « Dampierre-en-Bray : le premier mois de la nouvelle maire Sophie Petit : Cela fait maintenant un mois que Sophie Petit est officiellement la nouvelle maire de Dampierre-en-Bray. Et jusque-là, tout va bien pour celle qui a succédé à Emmanuel Duclos », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Philippe Seydoux, Châteaux du Pays de Caux et du Pays de Bray, Paris, Éditions de la Morande, , 128 p. (ISBN 2-902091-17-6), p. 26.
- « Église Saint-Pierre de Beuvreuil », notice no PA00100617, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Pierre de Dampierre-en-Bray », notice no PA00100616, base Mérimée, ministère français de la Culture
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