Boissy-lès-Perche
Boissy-lès-Perche est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Boissy.
Boissy-lès-Perche | |||||
La Cour Pétral, ancienne abbaye de trappistines. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Dreux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Forêts du Perche | ||||
Maire Mandat |
Christophe Lefébure 2020-2026 |
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Code postal | 28340 | ||||
Code commune | 28046 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
485 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 41′ 09″ nord, 0° 53′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 165 m Max. 233 m |
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Superficie | 33,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Verneuil d'Avre et d'Iton (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
Situation
Boissy-lès-Perche est un village du Thymerais, situé à une heure et demie de Paris et à 45 minutes de Dreux. Il est limitrophe du département de l'Eure.
- Boissy-lès-Perche dans son arrondisse-
ment. - Carte de la commune de Boissy-lès-Perche.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rueil », sur la commune de Rueil-la-Gadelière, mise en service en 1948[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 663,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Boissy-lès-Perche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,8 %), forêts (16,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones urbanisées (1 %), prairies (1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Boissy-lès-Perche est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Lamblore, l'Avre, le Buternay et le ruisseau de Pipe-Souris. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1995, 1999 et 2001[22],[20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 44,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 294 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 161 sont en en aléa moyen ou fort, soit 55 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
Jusqu'en 1924, la commune se nommait "Boissy-le-Sec", d'où une confusion possible avec Boissy-le-Sec, commune du même nom située dans l'Essonne. Par décret du , paru au Journal officiel du , Boissy-le-Sec (Eure-et-Loir) est devenu Boissy-lès-Perche, nom donné en raison de la proximité (lès = latus, à côté) avec l'ancienne province du Perche qui jouxte le territoire communal.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Buxetum en 949, Buxidum vers 1080 (cart. de Saint-Père-en-Vallée), Buisseium Siccum vers 1250 (pouillé), Boueissy le Sec en 1409, Bouici le Seq en 1410 (ch. du pr. de la Chartreuse du Val-Dieu), Boecy le Secq en 1538 (ch. de l’abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois)[27].
« Le-Sec », complément de nom historique, désigne un sol sensible à la sécheresse. Cette situation résulte d’un contexte géologique attesté par tous les experts consultés au cours du XXe siècle. Le plateau où s’inscrit le territoire de Boissy, d’une altitude de 190 à 210 mètres est constitué d’une couche mince et irrégulière de limon sous lequel affleure une couche d’argile à silex, aussi appelée « bief à silex » d’une épaisseur de 15 à 35 mètres. La couche profonde est composée de craie marneuse du Turonien.
Histoire
Un des monuments les plus anciens du village se nomme La Pierre Bise. À son existence paraissent attachées diverses légendes et culte issus du paganisme qui incitèrent les évangélisateurs à abattre cette pierre aujourd'hui à terre et brisée en deux. Jusqu'au siècle dernier pourtant, elle était considérée comme une pierre « qui chante », plus exactement qui tinte la nuit ou par temps de brouillard.
Située sous l'Ancien Régime dans la province du Thimerais, Boissy-lès-Perche s'est trouvée intégrée dans les possessions des ducs d'Alençon, comtes du Perche. La commune est remarquable par son patrimoine.
Dans le bourg, on peut admirer l'église Saint-Pierre, le presbytère (fin XVIIe siècle) ainsi que la Maison Ganivet, belle demeure édifiée sous le Directoire. Neuf châteaux et manoirs sont situés sur le territoire communal, issus pour l'essentiel d'anciennes seigneuries établies au Moyen Âge afin de surveiller la frontière du royaume de France et de la Normandie. Ces lieux remarquables ont pour nom : Bizot, le Bois-Josse, le Boulay-Saint-Clair, la Courangère, la Cour Pétral (ancien monastère), les Haies, le Mesnil, Philmain, Sorel.
La commune est traversée par la route de La Ferté-Vidame à Verneuil construite entre 1769 et 1775 sous l'influence de Jean-Joseph de Laborde qui fait alors reconstruire le château de La Ferté-Vidame.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2019, la commune comptait 485 habitants[Note 8], en diminution de 6,01 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Pierre
Sa construction date des XVe et XVIe siècles. Les vitraux des verrières n° 1, 4 et 6 sont classés monuments historiques au titre objet depuis 1908[34].
- Verrière n° 1 : vers 1515, XIXe siècle.
- Composition : 2 lancettes trilobées, tympan à 7 ajours. Hauteur : 2,60 m ; largeur 1 m.
- Lancettes : Noces de Cana, peint par Duhamel-Marette, peintre verrier à Évreux.
- Tympan : fragments de scènes de la passion, vers 1515.
- 2 ajours inférieurs : arrestation de Jésus Christ au Jardin des Oliviers.
- Ajour supérieur : Pilate s’en lave les mains.
- Verrière n° 4 : vers 1515, 1903.
- Composition : 2 lancettes trilobées, tympan à 3 ajours. Hauteur : 3 m ; largeur 1,20 m.
- Lancettes : Sainte Honorine. Saint René. Vitrail peint par Mauraire, peintre verrier à Évreux.
- Têtes de lancette : Couronnement d’architecture XVIe siècle en grisaille et jaune d’argent.
- Tympan : soufflet représentant la Résurrection, XVIe siècle, le corps de Jésus restauré au XIXe siècle.
- Verrière n° 6 : vers 1515.
- Composition : 2 lancettes trilobées, tympan à 3 ajours. Hauteur : 3 m ; largeur 1,20 m.
- Têtes de lancette : couronnement d’architecture XVIe siècle, avec des têtes dans les médaillons ovales.
- Soufflet : La Force devant des éléments d’architecture XVIe siècle, fragment d’inscription.
Autres lieux et monuments
- La Cour Pétral
- Le château de la Courangère ;
- Le château du Boulay Saint-Clair et sa chapelle ;
- Center Parcs, situé sur la commune des Barils à côté de Verneuil-sur-Avre dans le département de l'Eure.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Daubenton, commissaire générale de la Marine (le Bois-Josse) décédé le [réf. nécessaire].
- Louis-André de Beaussier de Châteauvert, chef d'escadre, propriétaire de deux des plus riches plantations de l'Île de Saint-Domingue, décédé le .[réf. nécessaire]
- Louis André de Beaussier-Cuvray, fils du précédent, capitaine de vaisseau, noble émigré (gracié par Bonaparte), décédé le .[réf. nécessaire]
- François de Courcy-Montmorin (château des Hayes), aide de camp du marquis de Puisaye, chef de l'armée catholique de Bretagne.[réf. nécessaire]
- Auguste Jean Lamy , secrétaire des Commandements de S.A.R Mme Adélaïde d'Orléans, sœur de Louis Philippe, décédé au château de la Courangère en 1874[35].
- Pierre Lefébure (château du Boulay-Saint-Clair), maire de 1912 à 1949, conseiller général du canton de La Ferté-Vidame de 1920 à 1956, vice-président du conseil général d'Eure-et-Loir.
- Gilles Leroy (1958-), prix Goncourt 2007 avec son livre Alabama Song.[réf. nécessaire]
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Boissy-lès-Perche sur le site de l'Institut géographique national
- Boissy-lès-Perche, terre d'histoire, par Michel Ganivet
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Boissy-lès-Perche et Rueil-la-Gadelière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Boissy-lès-Perche et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Boissy-lès-Perche », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Boissy-lès-Perche », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « 3 verrières figurées : la Passion, la Résurrection du Christ, la Force (baies 1, 4 et 6) », notice no PM28000041, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Source de famille.
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