Brunet (Alpes-de-Haute-Provence)

Brunet est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Brunet.

Brunet

Le village de Brunet.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Francis Berard
2020-2026
Code postal 04210
Code commune 04035
Démographie
Gentilé Brunetois
Population
municipale
290 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 32″ nord, 6° 01′ 52″ est
Altitude Min. 369 m
Max. 690 m
Superficie 28,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valensole
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Brunet
Géolocalisation sur la carte : France
Brunet
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Brunet
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Brunet
Liens
Site web brunet.dlva.fr

    Ses habitants sont appelés les Brunetois[1].

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à 425 m d’altitude[1], dans la vallée de l’Asse, à l’écart des routes départementales RD 8 et RD 907. Le village est construit sur le coteau septentrional du plateau de Valensole.

    Les communes limitrophes de Brunet sont Entrevennes, Saint-Julien-d'Asse, Riez, Puimoisson, Valensole et Le Castellet[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.
    Carte avec les communes environnantes.

    Géologie et relief

    Hydrographie

    L'Asse [3], rivière de 75,4 km, traverse la commune de Brunet au nord du village. Plusieurs de ses affluents arrosent également Brunet :

    • le ravin d'Engardin[4], cours d'eau de 3,5 km ;
    • le ravin de l'Algérie[5], ruisseau de 3,2 km ne coulant que sur la commune de Brunet ;
    • le ravin de Vauclarette[6], cours d'eau de 3,00 km ;
    • le ravin de Saint-Pierre[7].

    Risques naturels

    Risque de mouvement de terrain : le versant de la colline a glissé sur la route d'accès à Brunet, à la suite d'abondantes pluies printanières.

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Valensole auquel appartient Brunet est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Brunet est également exposée à trois autres risques naturels[9] :

    • feu de forêt ;
    • inondation (dans la vallée de l’Asse) ;
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[10].

    La commune de Brunet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[11].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[11] et le Dicrim n’existe pas non plus[12].

    Voies routières

    Lignes intercommunales

    Le village est desservi par une ligne intercommunale du réseau Trans'Agglo[13].

    Ligne Parcours
    125Brunet ↔ EntrevennesPuimichelLe CastelletOraison (Transport à la demande)
    133Brunet ↔ ValensoleManosque
    Lignes scolaires

    Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez ainsi que les lycées et collèges de Manosque. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, une autre a été rajoutée.

    Ligne Tracé
    141 SValensole ↔ Brunet ↔ PuimoissonRiez

    Urbanisme

    Typologie

    Brunet est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9 %), forêts (36,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et aménagement du territoire

    Puits couvert à Brunet.

    Environnement

    La commune compte 622 ha de bois et forêts, soit 22 % de sa superficie[1].

    Lieux-dits et hameaux

    Brunet est un village perché.

    En plus du village, la commune comporte plusieurs hameaux : Trabaye et le Grand Logisson.

    Histoire

    Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

    Dans les années 1950, des tombes romaines ont été mises au jour à Trabaye, Louvière et de Ricavi[21]. Un itinéraire gallo-romain suivait la vallée de l’Asse et passait à Brunet. Il était encore utilisé à la fin du Ier millénaire[22].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 990[22]. L’église Sainte-Marie relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui percevait les revenus attachés à cette église, alors que le prieuré Saint-Martin relevait de l’abbaye de Montmajour jusqu’en 1204, date à laquelle il passe sous l'autorité de l’évêque de Riez[22]. L’évêque de Riez y possédait un château. Une partie de la commune dépendait du marquisat de Trans (érigé en 1506 pour les Villeneuve)[23].

    La communauté de Brunet relevait de la viguerie de Moustiers[22].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 8 habitants de Brunet sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[24].

    Comme de nombreuses communes du département, Brunet se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[25]. Bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, la commune entretient aussi une école aux filles[26]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[27].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Brunet. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient un vin de qualité, se vendant assez loin de Brunet. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[28].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Brunet fait partie :

    Liste des maires

    Mairie de Brunet, surmontée d’un campanile en fer forgé.
    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1803 1804 Jean-Baptiste Mounet    
    1814   Salvagi    
    1832   Mathieu Baptiste Sauvan    
    1837   Jean-Louis Gauthier    
             
    mai 1945   Alphonse Giraud[30]    
             
    1979[31] En cours
    (au 17 avril 2014)
    Francis Berard[32],[33] DVD Agriculteur retraité

    Politique environnementale

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 290 habitants[Note 3], en augmentation de 10,69 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    418415483521509520487427456
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    463430433418414390368346330
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    342356321290234228200182187
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    190186217258162218249258262
    2018 2019 - - - - - - -
    290290-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    100 feux44 feux

    L’histoire démographique de Brunet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836[38]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population de Brunet s'est rapprochée du seuil de 260 habitants, équivalant à la moitié de celle de 1836.


    Économie

    Emploi

    En 2009, la population active s’élevait à 118 personnes, dont 23 chômeurs[39] (17 fin 2011[40]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (72 %)[41] et travaillent majoritairement hors de la commune (72 %)[41]. L’agriculture représente encore plus de la moitié des établissements (22 sur 43 en 2010)[42].

    Agriculture

    Champs dans la vallée de l’Asse

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 22 établissements actifs au sens de l’Insee et deux emplois salariés[42].

    Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en légère baisse dans les années 2000, passant de 12 à 11, orientées vers les grandes cultures et cultures permanentes[43]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a doublé, de 828 ha à 1 904 ha, alors que le nombre d’exploitations variait peu (de 11 à 12)[44]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, mais reste à un niveau élevé, à 1 715 ha[43].

    La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : à Brunet, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie de Brunet occupait plusieurs dizaines d’hectares au début du XIXe siècle. Actuellement, elle a régressé mais reste relativement importante (entre 1000 et 3500 pieds exploités)[45].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait huit établissements, employant deux salariés[42].

    Une sablière exploite le sable de l’Asse.

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait onze établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (salariant trois personnes)[42].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[46], l’essentiel des faibles capacités d'hébergement étant marchandes[47]. Ces structures d’hébergement sont :

    • des meublés, très nombreux (la deuxième capacité du département)[48],[49] ;
    • des chambres d’hôtes[50].

    Les résidences secondaires apportent un appoint appréciable dans la capacité d’accueil[51] avec 69 résidences secondaires, soit un tiers des logements de la commune. Vingt-deux de ces résidences comportent plus d'un logement[52],[53]). Le parc du Verdon a installé sa maison des produits de pays à Brunet[1].

    Lieux et monuments

    Il existe deux églises Saint-Martin à Brunet, l'ancienne au castrum et la nouvelle à mi-pente.

    Le château est situé sur une esplanade, soutenue par un mur de soutènement en galets. La façade comprise entre deux tours a disparu : subsiste une partie de tour, un corps de logis, et quelques murs (XVIIe siècle)[55]. La DRAC signale également une chapelle et deux tours de chaque côté du mur de soutènement[56].

    Héraldique

    Blasonnement : « D’or à un lévrier rampant de sable accolé d’argent. »[57]


    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Valensole », Le Trésor des régions, consultée le 11 juin 2013
    2. « IGN, Carte topographique de Brunet » sur Géoportail (consulté le 26 octobre 2013)..
    3. Fiche de l'Asse sur le site du Sandre
    4. Fiche du Ravin d'engardin sur le site du Sandre
    5. Fiche du Ravinde l'Algérie sur le site du Sandre
    6. Fiche du Ravin de Vauclarette sur le site du Sandre
    7. Fiche du ravin de Saint-Pierre sur le site du Sandre
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    9. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 4 juillet 2012
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
    12. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 4 juillet 2011
    13. DLVA Mobilité « Copie archivée » (version du 3 mars 2016 sur l'Internet Archive)
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 20
    22. Daniel Thiery, « Brunet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 4 juillet 2012
    23. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 166
    24. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
    25. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    26. Labadie, op. cit., p. 16.
    27. Labadie, op. cit., p. 11.
    28. André de Réparaz, op. cit., p. 56 et 59
    29. GenWeb
    30. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    31. J. R., « Francis Berard brigue un 7e mandat », La Provence, 5 mars 2014, p. 9.
    32. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
    33. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    39. Insee, Dossier local - Commune : , p. 5
    40. Insee, Dossier local, p. 8
    41. Insee, Dossier local, p. 7
    42. Insee, Dossier local, p. 16
    43. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    44. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    45. Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 58
    46. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    47. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    48. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    49. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 34
    50. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38
    51. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    52. Insee, Dossier local, p. 17
    53. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    54. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    55. Raymond Collier, op. cit., p 267
    56. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
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