Cathédrale Saint-Julien du Mans
La cathédrale Saint-Julien du Mans est située au centre du Mans, dans la Sarthe. Elle est l'église où siège l'évêque du diocèse (dont le trône est appelé "cathèdre"). Elle est l’un des plus grands édifices de l’époque gothique-romane de France et un cas unique dans l’Ouest. Elle est un témoignage médiéval du style architectural du gothique angevin.
Cathédrale Saint-Julien | |
Présentation | |
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Nom local | Saint Julien |
Culte | Catholique |
Dédicataire | Saint Julien |
Type | Cathédrale |
Rattachement | Diocèse du Mans (siège) |
Début de la construction | XIe siècle |
Fin des travaux | XVe siècle |
Style dominant | romans gothique angevin |
Protection | Classée MH (1862) |
Site web | Paroisse de la Cathédrale Saint-Julien du Mans |
Géographie | |
Pays | France |
Région | Pays de la Loire |
Département | Sarthe |
Ville | Le Mans |
Coordonnées | 48° 00′ 33″ nord, 0° 11′ 56″ est |
Cette cathédrale a subi maintes constructions et reconstructions depuis sa fondation. Commencée vers 1060 sous l'épiscopat de Vulgrin, elle fut achevée vers 1430. Elle aurait dû être encore agrandie vers 1500, mais le manque de moyens fit se résigner l'évêque de l’époque. Attaquée par la pollution de l'air au fil des ans, sujette au vieillissement naturel, la cathédrale Saint-Julien est un chantier quasi permanent de rénovation. Elle abrite les tombes de saint Julien et de Charles d’Anjou. Située sur la butte du Vieux-Mans, l'édifice possède une tour culminant à 64 mètres qui en fait l'édifice le plus haut de l'agglomération mancelle[1] et dominant ainsi le Pays du Mans[2].
Avec 283 613 visiteurs, la cathédrale Saint-Julien a été le monument le plus visité des Pays de la Loire en 2009[3].
Localisation
La cathédrale se situe dans le centre-ville du Mans, au nord-est de la cité Plantagenêt. Elle est entourée de la place du Cardinal-Grente au nord, de la place Saint-Michel à l'ouest, de la Psalette et ses jardins à l'est et en contrebas au sud de la place du Jet-d'Eau. Elle marque la fin de la Grande Rue qui est la voie principale de la vieille ville. La cathédrale est orientée sur un axe du nord-ouest vers le sud-est.
Histoire
Le site sacré
Érigée sur un promontoire entre le vallon d'Isaac et la Sarthe, la cathédrale possède sur son flanc ouest, une pièce rare attestant de la présence ancienne de mégalithes. Il s'agit d'un menhir en grès d'une hauteur de 4,55 mètres. Ce menhir date de l'époque préhistorique et a été installé « Place Saint Michel » en 1778[4], à la suite de la destruction du « Dolmen de la Pierre au lait ». Le menhir fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1889[5].
Première construction et accidents
La fondation de la cathédrale remonterait au IVe ou Ve siècle, et elle est alors dédiée aux saints Gervais et Protais (Ier siècle)[6]. Cette première cathédrale est arasée lorsque l’évêque Vulgrin, en 1056, ordonne la construction d'un nouveau bâtiment. Il choisit lui-même l’emplacement de l’édifice, à l’opposé du mur d’enceinte nord de la ville. Dix ans après cette première construction, l’édifice s’écroule.
Les successeurs de Vulgrin décident de poursuivre son œuvre. L’évêque Arnaud, en fonction dès 1067, reprend la construction. En 1081, le chœur et la crypte sont bâties, de même que les fondations du transept et de ses tours. De cette reconstruction, il ne reste aujourd’hui plus qu’un fragment d’arc du transept nord. L’évêque Hoël décide en 1085 d’achever les travaux de son prédécesseur. Admiratif du travail normand, il fait appel à des ouvriers de cette région pour poursuivre la construction.
Les tours et les bas-côtés de la nef sont achevés dans ce style. Pendant cette longue construction, il est impossible pour les pèlerins d’approcher les reliques et les tombeaux de saint Julien (IIIe siècle), premier évêque du Mans et grande figure du christianisme oriental. L’économie mancelle en est entachée. Les habitants obligent alors l’architecte à ouvrir l’édifice aux visiteurs[réf. nécessaire]. Cela est fait le 17 octobre 1093. Une partie achevée de la cathédrale est montrée au public.
Entre agrandissements et reconstructions
Trois ans passent avant que le nouvel évêque Hildebert de Lavardin ne reprenne la supervision des travaux. La direction est en fait confiée à un moine de l’abbaye de la Trinité de Vendôme : Jeans. La cathédrale est considérée comme pleinement achevée en 1120. La dédicace est célébrée par l’évêque Hildebert et les autorités de l’époque sont impressionnées par le résultat. Grande pour l’époque, elle est comparable à la taille d’une grande église d’aujourd’hui. En 1134, un orage s’abat sur la ville du Mans.
Toutes les maisons placées sur la « colline Plantagenêt » sont détruites dans un incendie. Les toits étant alors de chaume et de paille, les éclairs embrasent les « demeures rouges » et la cathédrale. On reconstruit rapidement les parties sinistrées, mais quatre ans plus tard, un autre incendie vient frapper la ville et l’édifice. La nef centrale et la tour sud sont alors refaites. La nef centrale devient un édifice superbe : 55 mètres de long sur 23 de largeur sont nécessaires pour créer cette pièce en style roman.
On essaie de nouvelles techniques de fondation pour rebâtir la voûte. La croisée d’ogives est adoptée. Les piliers sont réhabilités et des baies plus hautes et plus grandes sont insérées. Face à la rue principale (l'actuelle Grande Rue du Vieux-Mans), un grand portail sculpté voit le jour. Placé sur le flanc sud de la nef, il n’a pas bougé depuis. Guillaume de Passavant, nouvel évêque, inaugure et dédicace la nouvelle cathédrale le 18 avril 1158. Les travaux reprennent en 1220.
L’ancien chœur, apparaissant trop sombre et trop étroit pour l’évêque d’alors, une nouvelle construction est entreprise. Le résultat doit être selon ses dires « large et magnifique ». Dès 1217, le mur d'enceinte sud de la ville avait été détruit dans cette optique. Il est reconstruit, mais dans des matériaux différents de ceux utilisés par les premiers rois Plantagenêt.
La forme finale
Les traces de l’histoire de la construction se perdent alors. La taille du chantier est gigantesque. C’est une véritable transformation. Seuls trois noms d’architectes restent sur les registres des archives de la ville. Le nouveau chœur est achevé en 1254. Il surpasse de 10 mètres de haut le reste de la cathédrale. Après 100 ans de tranquillité, les pierres de l’édifice sont de nouveaux sollicitées pour une reconstruction. Une sacristie est édifiée alors qu’elle communique au sud avec le déambulatoire qui a servi à la construction du chœur. Le bâtiment gagne encore en grandeur.
Les chanoines trouvent ensuite que la construction « à deux vitesses » de l’édifice a conduit à le rendre assez laid. La rencontre des genres entre les deux parties rénovées et non rénovées amoindrit la splendeur du bâtiment. Le transept et la nef doivent alors être relevés de 10 mètres, pour se situer à la même hauteur que le chœur lui-même. Les travaux sont entamés dès 1385 par l’architecte Jehan le Mazçon. Le transept sud est achevé vers 1392 date de l'arrivée de Charles VI au Mans. Une salle d’archives naît au-dessus du portail de la nef.
En 1403, les travaux du transept Nord commencent. C’est alors une période noire pour le Nord de la France. La guerre de Cent Ans stoppe les constructions. En 1419, la cathédrale menace de s’effondrer et ses fondations seront consolidées. Le transept Nord est achevé vers 1430. C’est à cette date que la cathédrale prend le visage qu’on lui connaît aujourd’hui.
De nombreux projets avaient été faits dès la fin de la guerre de Cent Ans, pour agrandir le bâtiment déjà impressionnant, notamment l'exhaussement de la nef. Les caisses étant vides, les agrandissements ne seront pas mis en œuvre. Le roi Louis XI soutient ces restaurations, notamment par ses lettres patentes expédiées le 21 novembre 1467[7]. Il confirme de nouveau sa protection royale en septembre 1482[8].
En 1811 ou 1812, l'une des voûtes attenantes à l'orgue s'écroule, endommageant l'instrument[9], qui ne sera réellement restauré qu'entre 1847 et 1853 par les facteurs d'orgue Claude frères. Le , un orage de grêle s'abat sur la ville et cause des dégâts importants, en particulier aux vitraux du chœur[10]. La cathédrale est classée au titre des monuments historiques par la liste de 1862[11].
Au XXe siècle, aucun bombardement ne touche le bâtiment lors des deux guerres mondiales.
XXIe siècle
En novembre 2019, des fouilles ont permis de trouver un reliquaire en plomb et en forme de cœur dans la chapelle haute dite des « anges musiciens »[12].
Le , le député de la Sarthe Damien Pichereau a annoncé que, dans le cadre du plan de relance du gouvernement, 2,5 millions d’euros seront consacrés à des travaux de rénovation de la cathédrale[13].
Plans et architecture
L'architecture de la cathédrale cumule deux arts majeurs : l’art roman pour la nef et l'art gothique pour le chœur et transept. Les vitraux qui l'ornent sont le symbole de cette « fusion des genres ».
Bon nombre de statuettes représentatives sur l'édifice n'auraient jamais dû s'y trouver[réf. nécessaire]. En effet, taillées dans la pierre, certaines représentations sont des « manifestations d'artisans ». Ces derniers, alors qu'il travaillaient sur le projet, recevaient le strict minimum. Ils étaient logés et nourris par l'église. Lorsque leur statut leur déconvenait ou qu'ils souhaitaient se rebeller, ils créaient des petits personnages dans la pierre. On voit par exemple des oiseaux, symboles de liberté voulue... Éléments décoratifs, ils montraient la contestation artistique de beaucoup d'ouvriers.[réf. nécessaire]
Les reliefs sculptés sur la nef, comme sur les portails témoignent aujourd’hui encore, de cette époque de construction.
- plan général
- une arcature romane de la nef
- détail sur le chœur
- un contrefort de chapelle rayonnante
Dimensions
Longueur extérieure | 134 mètres |
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Longueur de la nef | 57 mètres |
Longueur du transept | 52 mètres |
Hauteur de la nef romane, sous voûte | 24 mètres |
Hauteur du transept et du chœur, sous voûte | 34 mètres |
Hauteur du double déambulatoire | 11 mètres, 22 mètres |
Hauteur de la tour | 64m |
Description
Les chapelles
- L’intérieur d’une des chapelles rayonnantes de la cathédrale
- Mise au tombeau dans une des 13 chapelles rayonnantes
La chapelle de la Vierge Marie et les anges musiciens
Les peintures de la chapelle de la Vierge Marie furent découvertes en 1842 : elles étaient dissimulées par un enduit. Elles sont célèbres par les quarante-sept anges musiciens qui décorent les voûtes. Ces peintures datent de la fin du XIVe siècle et sont l'œuvre d'un peintre de la Cour des rois de France Charles V et VI[14], peut-être Jean de Bruges, auteur des cartons de la tapisserie de l'Apocalypse à Angers[15].
- Chapelle de la Vierge
- Retable de la chapelle de la Vierge
- Plafond de la chapelle de la Vierge
Les vitraux
Restaurés après la Seconde Guerre mondiale par l'atelier des frères Paul et André Rault, maîtres verriers à Rennes, et véritable musée de l'art du vitrail, la cathédrale abrite notamment le plus ancien vitrail sur site, le vitrail de l'Ascension[16].
- Vitrail représentant saint Julien.
- Rosace du transept nord.
- La tentation d'Adam et Ève, détail d'un vitrail de la chapelle de la Vierge.
- Détail du cycle de Saint Étienne
La croix (« Le Christ aux bras ouverts »)
Réalisée par l'artiste Goudji à la demande du diocèse du Mans, cette croix a été bénite et élevée dans ce chœur le dimanche en présence d'une foule de fidèles remplissant la cathédrale.
Dans son aspect général, le Christ est ici représenté comme le grand-prêtre de la Nouvelle Alliance. L'auteur du texte biblique de la Lettre aux Hébreux l'exprime ainsi : « Tel est bien le grand prêtre qu'il nous fallait… il n'a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices… Cela il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même » (He 7,26-27). Voilà pourquoi dans cette œuvre, le Christ ressuscité porte une grande tunique et certains attributs réservés à celui qui assumait la fonction de grand-prêtre dans l'Ancien Temple de Jérusalem.
L'orfèvre Goudji permet ainsi de sceller dans la pierre les liens intimes et fondamentaux qui unissent le peuple d'Israël et l'Église du Christ.
La couronne sertie de quelques pierres précieuses souligne la royauté du Christ. Et quel est le but de la fonction royale si ce n'est prendre soin des plus pauvres, veiller à la justice et guider vers le bonheur ? Le Christ est ce Roi « qui aime la justice et réprouve le mal » (He 1,9)
L'alpha et l'oméga suspendus au bras de la croix rappellent cette parole du livre de l'Apocalypse : « Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin » (Ap 22,13). Cette mise en œuvre, spécifiquement de l'art paléochrétien, a été voulue afin de rappeler les origines très anciennes de l'Église du Mans (fin du IVe - début Ve siècle).
Les orgues
Le grand orgue, installé au fond du croisillon sud du transept, fut réalisé, entre 1529 et 1535, par le facteur Pierre Bert dans un buffet de style Renaissance, conçu et sculpté suivant les directives de Symon Hayeneufve. En 1634, les frères Jean et François de Héman restaurent l'orgue qui a alors 42 jeux. En 1848, la division du Récit est agrandie et celle du pédalier est renforcée par les frères Claude qui portent le nombre de jeux à 46.
En 1913, le nombre de jeux est augmenté à 52. Louis Vierne inaugure l'instrument ainsi transformé.
En 1954, la partie instrumentale est classée par les Monuments Historiques.
De 1959 à 1963, Pierre Chéron entreprend une restauration qui sera achevée par Joseph Beuchet pour la partie mécanique et la maison Danion-Gonzalez pour la partie sonore néoclassique. L'instrument est inauguré par Gaston Litaize en 1974.
Il est restauré entre et . Pierre Pincemaille aurait dû faire le concert inaugural du , mais ce dernier étant décédé, c'est Loïc Mallié qui a assuré le concert[17].
L'instrument possède 63 jeux sur quatre claviers manuels et pédalier pour 4204 tuyaux. Les transmissions sont mécaniques pour les claviers et électro-mécaniques pour les registres et accouplements (avec combinateur électronique). Boîte expressive pour la Voix Humaine et le Récit.
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Les cloches
La tour abrite sept cloches. Un timbre, cloche fixe sans battant intérieur, (Ré 3 de 1 200 kg environ) datant du XIVe siècle et une sonnerie de six cloches fondues par la fonderie Bollée père et fils du Mans en 1859 (Ernest et Amédée père) :
- Julien (bourdon) : Fa # 2 - 6 423 kilos ;
- Marie : Si 2 - 2 580 kg ;
- Gervaise : Do # 3 - 1 788 kg ;
- Protaise : Ré # 3 - 1 255 kg ;
- Liboire : Mi 3 - 1 044 kg ;
- Aldrique : Fa # 3 - 724 kg.
Le beffroi et l'ensemble de la sonnerie ont fait l'objet d'une grande restauration en 2014.
Galerie
- La cathédrale derrière le Palais des comtes du Maine, actuelle mairie du Mans
- Le chevet depuis le boulevard Paderborn
- L'unique tour de la cathédrale
- Bras nord du transept
- Porche du portail sud
- Statues colonnes du portail sud (ca. 1150)
- Statues colonnes du portail sud (ca. 1150)
- Sculpture de deux hommes s'étreignant, chapiteau de la façade occidentale.
- Vue générale intérieure
- Voûtes et vitraux gothiques du chœur
- Bas-côté nord de la nef romane
- Porte de sortie ouest
- Tombeau de Charles IV d'Anjou, comte du Maine, décédé en 1472, dans la première abside au Nord, sculpture attribuée à Francesco Laurana
- Chapiteau d'un pilier de la nef
- Chapiteau d'un pilier de la nef
- Seuil à têtes d'angelots.
- Représentation de la Cène gravée dans le bois.
- Flagellation du Christ sculptée dans une boiserie.
Notes et références
- Les plus hauts édifices du Mans sur pss-archi.eu
- Vue panoramique de la cathédrale sur le site officiel du Mans
- Le Mans Notre Ville-Métropole n°313/146
- François Dornic, Histoire du Mans et du pays manceau, p. 25
- Notice no PA00109848, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Gautier et Meunier 2015, p. 16
- Lettres patentes de Louis XI, Le Mans, le 21 novembre 1467, [lire en ligne]
- Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, septembre 1482, [lire en ligne]
- Archives nationales, travaux de restauration de l'orgue, F/19/7735.
- Archives nationales, travaux de restauration, cotes F/19/7734 et F/19/7735
- « Cathédrale Saint-Julien », notice no PA00109800, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Une découverte rarissime à la cathédrale du Mans », sur France Bleu, (consulté le )
- « Le Mans. 2,5 millions d'euros pour la restauration de la cathédrale Saint-Julien », sur actu.fr (consulté le )
- « Les anges musiciens » (consulté le )
- Notice de la chapelle sur place.
- Stéphane Arrondeau, in Le Vitrail au XIXe siècle et les ateliers manceaux, catalogue de l'exposition éponyme.
- « Le grand orgue de la cathédrale inauguré le 3 juin », sur Ouest France, (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Ambroise Ledru, La cathédrale du Mans, Saint-Julien, à travers la cité, Paris, Le Livre d'histoire, (1re éd. 1895), 172 p. (ISBN 978-2-7586-0675-8)
- Louis Grodecki (dir.), Vitraux du Centre et des Pays de la Loire, Corpus vitrearum : Recensement des vitraux anciens de la France, vol. II, Paris, Éditions du CNRS, , 335 p. (ISBN 2-222-02780-2), p. 241-257
- Michel Bouttier, La cathédrale du Mans, Le Mans, Éditions de la Reinette, , 151 p. (ISBN 2-913566-03-0)
- Nicolas Gautier (dir.), Hugo Meunier et al., La cathédrale du Mans, du visible à l'invisible, Le Mans, Éditions de la Reinette, , 187 p. (ISBN 978-2-913566-88-0, BNF 44491541)
- Françoise Gatouillat, « Les vitraux du bras nord du transept de la cathédrale du Mans et les relations franco-anglaises à la fin de la guerre de Cent Ans », Bulletin Monumental, Société française d'archéologie, vol. 161, no 4, , p. 307-324 (ISSN 2275-5039, lire en ligne)
- Jean-Bernard de Vaivre, « Datation des vitraux du bras nord du transept de la cathédrale Saint-Julien du Mans », Bulletin Monumental, Société française d'archéologie, vol. 151, no 3, , p. 497-523 (ISSN 2275-5039, lire en ligne)
- Stéphane Augry, Bénédicte Fillion-Braguet, « Sarthe. Le Mans. Cathédrale Saint-Julien, nouvelles découvertes autour du chevet », dans Bulletin monumental, 2020, tome 178, no 2, p. 295-298, (ISBN 978-2-901837-83-1)
Articles connexes
Liens externes
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- Photos
- Cathédrale Saint-Julien et les orgues, Le Mans, France - musiqueorguequebec.ca
- La Cathédrale Saint-Julien du Mans, ses évêques, son architecture, son mobilier, par l'abbé Ambroise Ledru (1900) - Persée
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