Montlieu-la-Garde

Montlieu-la-Garde est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Montlieu-la-Garde

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Nicolas Morassutti
2020-2026
Code postal 17210
Code commune 17243
Démographie
Gentilé Montlieunais
Population
municipale
1 229 hab. (2019 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 44″ nord, 0° 15′ 15″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 147 m
Superficie 31,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montlieu-la-Garde
Géolocalisation sur la carte : France
Montlieu-la-Garde
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Montlieu-la-Garde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Montlieu-la-Garde
Liens
Site web www.montlieulagarde.fr

    Ses habitants sont appelés les Montlieunais et les Montlieunaises[1].

    Géographie

    La commune de Montlieu-la-Garde se situe dans le sud du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au midi de la France — on parle plus précisément de « midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français. Arrosée par la Livenne, elle est également le lieu de source de la Seugne.

    Elle fut longtemps le chef-lieu de canton le plus élevé de tout le département de la Charente-Maritime, étant juchée sur une haute colline culminant à 142 mètres de hauteur. Depuis 2015, elle est un des pôles d'équilibre du canton des Trois Monts, dont le bureau centralisateur (chef-lieu) est situé à Montendre.

    Communes limitrophes

    Toponymie

    Le site est mentionné dans plusieurs chartes de la fin du XIe siècle et du début du XIIe siècle Monte Lucduno, Monte Leudone, Monte Lugduno, Montislucdonis, etc. Situé sur le territoire du peuple gaulois des Santons, il évoque une forteresse du dieu Lug (*Lugu-Dunon). Ce n'est qu'au XIIIe siècle que le nom est réinterprété en Mons Leonis, qui sera ensuite francisé en Mont-Léon, et évoluera jusqu'à la forme actuelle Montlieu[3].

    Histoire

    La commune actuelle résulte de la fusion des anciennes communes de Montlieu et de La Garde le [4].La Garde était elle-même le résultat de la fusion des communes de Chalaux et de Saint-Vivien par ordonnance royale le .

    Les origines de la seigneurie

    Les premiers seigneurs connus de Montlieu remontent à la fin du XIe siècle, début du XIIe siècle. Le cartulaire de Baignes nous indique un Guillaume de Montlieu (seigneur de "Monte Leudone") et son fils Bertrand, cousin de Richard de Montendre; puis un Ramnulfe comme seigneurs de Montlieu.

    En 1385, les troupes du roi de France, dirigées par le duc Louis II de Bourbon, reprennent Le château de Montlieu aux troupes Anglo-Gasconnes, lors de la guerre de Cent ans. C'est à cette occasion que le roi Charles VI donne à Arnaud (ou Arnauton) de Bordes la seigneurie de Montlieu[5]. Sa fille, Anne, épousera Charles de Saint-Gelais, qui récupèrera alors la seigneurie de Montlieu.

    Les principaux seigneurs de Montlieu

    Très vite les Saint-Gelais s'allièrent aux Chabot dont plusieurs membres se distinguèrent au cours de l'histoire de France :

    • Jean de Saint-Gelais (né vers 1457), chambellan de Charles, comte d'Angoulême, père du futur François Ier. Il évolua dans l'entourage de louis XII, dont il écrira une biographie[6].

    Parmi les faits qui lui sont connus, on peut citer celui-ci: Il fut dépêché par le comte d'Angoulême auprès d'Anne de Beaujeu, alors régente du royaume pour demander la libération de Louis d'Orléans (futur louis XII) capturé par l'armée royale lors de la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier mettant fin à la guerre folle. Sa fille, Jeanne de Saint-Gelais, épousa Charles Chabot, seigneur de Jarnac le . Une clause du contrat de mariage imposa aux enfants de cette union de porter le nom de Saint-Gelais, sous peine de perdre la baronnie.

    • Charles Chabot (mort en 1559), seigneur de Jarnac, Montlieu, etc. , gouverneur de La Rochelle et du pays d'Aunis, maire perpétuel de Bordeaux, gouverneur du château du Hâ, vice-amiral de Guyenne, conseiller, chambellan et gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi
    • Guy Chabot (1509 - 1584), auteur du coup de Jarnac, même s'il n'était qu'à l'époque seigneur de Montlieu, son père ayant toujours le titre de seigneur de Jarnac. C'est un des chefs de file, en tant que seigneur de Jarnac, du mouvement protestant en Saintonge, Aunis et Angoumois.
    • Henri de Chabot, fondateur de la dynastie des Rohan-Chabot.

    Il donna les terres de Montlieu à sa fille Jeanne-Pélagie de Chabot-Rohan, qui revinrent par mariage à Alexandre-Guillaume de Melun, duc d'Epinoy.

    La Révolution

    Les gens de Montlieu furent associés à ceux de Montguyon et de 19 autres paroisses (dont Saint-Vivien et Challaux) pour rédiger un cahier de doléances. Ce district pré-révolutionnaire était composé de 46 représentants[7].

    Montlieu, au cours de la Révolution, fut un chef-lieu de district[8] allant de Léoville à Saint-Aigulin.

    Parmi les juges du tribunal du district de Montlieu, nous pouvons citer: Jean-Baptiste Thénard-Dumousseau et Louis-Nicolas Lemercier.

    Montlieu étant une baronnie mineure peu visitée par ses seigneurs, le château était au moment de la Révolution en piteux état. Les pierres servirent alors aux gens de la région pour construire leur maison et à empierrer la future Nationale 10.

    Le renouveau religieux au XIXe siècle

    C'est en 1834 qu'est fondée, à Montlieu, une école presbytérale de garçons, qui deviendra en 1847 un "petit séminaire" du diocèse de La Rochelle. Ce petit Séminaire durera jusqu'en 1906 avant de devenir un hospice de vieillards.

    Ce petit séminaire fut construit à la place de l'ancienne église Saint Roch, rasée pour l'occasion et remplacée par une chapelle (construite en 1860 sous la direction de l'architecte Gustave Alaux[9]).

    Cette école eut une influence importante dans la culture et la vie locales, en particulier, sous la direction de l'abbé Rainguet (1809-1882).

    La première guerre mondiale

    Au cours de la première guerre mondiale, Montlieu accueillit un hôpital militaire. Il existe d'ailleurs un carré militaire dans le cimetière que la commune honore chaque année lors des cérémonies du .

    La deuxième guerre mondiale

    Montlieu et La Garde étaient en zone occupée. Les deux villages furent témoins de deux évènement remarquables:

    • L'arrestation de deux soldats (Laver et Mills) qui se repliaient à la suite de l'opération Frankton (en ).
    • La chute d'une forteresse volante B24, le . La commune commémore tous les le souvenir de ce triste jour au monument érigé en l'honneur de ces soldats américains décédés au cours de leur mission.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules aux sept besants d’or 3.3.1[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Montlieu-la-Garde est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,2 %), zones agricoles hétérogènes (29,1 %), terres arables (17,6 %), zones urbanisées (2,5 %), mines, décharges et chantiers (1,7 %), prairies (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    (maire en 1882)[17]   Paul-Chéri Furet    
    (maire en 1981)[18]   André Menanteau    
    2001 2008 Bruno Albert    
    2008 2014 Thierry Jullien PS Professeur des écoles
    Conseiller général du Canton de Montlieu-la-Garde (2011-2015)
    2014 En cours Nicolas Morassutti DVD Professeur des écoles

    Région

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2019, la commune comptait 1 229 habitants[Note 2], en diminution de 7,18 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,83 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    843653702754843923968975958
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0599709759801 0851 121978947876
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    878856710722746712714815843
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9031 4691 3171 2891 3261 2751 3181 3301 324
    2018 2019 - - - - - - -
    1 2311 229-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 614 hommes pour 617 femmes, soit un taux de 50,12 % de femmes, largement inférieur au taux départemental (52,15 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6 
    90 ou +
    5,7 
    12,2 
    75-89 ans
    18,3 
    20,0 
    60-74 ans
    19,4 
    19,7 
    45-59 ans
    16,9 
    19,4 
    30-44 ans
    16,4 
    13,4 
    15-29 ans
    10,4 
    13,7 
    0-14 ans
    13,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2018 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    2,5 
    9,5 
    75-89 ans
    12,3 
    21,6 
    60-74 ans
    22,6 
    20,2 
    45-59 ans
    19,8 
    16,5 
    30-44 ans
    15,9 
    15,2 
    15-29 ans
    12,8 
    15,9 
    0-14 ans
    14,1 

    Remarques

    Montlieu a absorbé la commune de La Garde en 1965.

    Évolution démographique de La Garde
    1946 1954 1962
    598668613
    Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[4])

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption[24] dans le bourg recèle une maquette de bateau, le Saint-Laurent, dont la coque est en bois massif. C'est un bateau de ligne de troisième rang avec 2 ponts dont le premier porte une batterie de 16 canons et le second une de 12 canons. Cette maquette fut réalisée en 1859 par Armand Phelippon et a probablement été utilisée autrefois pour les processions car elle est munie de 6 anneaux de transport sur les flancs. Cette maquette est classée monument historique au titre objet depuis 1990[25]. L'église possède la châsse et les reliques de Saint Ixile, enfant romain martyr de treize ans (IIIe-IVe siècle), précédemment affectés au Petit séminaire de Montlieu[26].

    L'église Saint-Gilles à Challaux renferme divers éléments datant de 1757 (2 autels, 2 retables, 2 statues : Vierge à l'Enfant, saint Laurent) classés monument historique au titre objet depuis 1980[27],[28]. C'était un ancien prieuré[29].

    L'église de l'ancienne paroisse de Saint-Vivien est entourée de son cimetière. C'était un ancien prieuré[30].

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Vigen (1864-1928), médecin et historien[31].
    • L'Abbé Richard (1822-1882), attaché toute sa vie au séminaire de Montlieu et qui connut la célébrité en France et en Europe comme sourcier en se revendiquant le successeur de l’Abbé Paramelle
    • Jean de Saint Gelais, seigneur de Montlieu, biographe de Louis XII[6].
    • L'abbé Alta, pseudonyme de Calixte Melinge, (1842-1933), ecclésiastique, auteur d'ouvrages liés au gnosticisme, né à Montlieu-la-Garde et professeur au Petit Séminaire de 1865 à 1869.
    • Eugène Rimbault, auteur-compositeur de chansons né à Montlieu (1862-1952).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
    3. Valéry Raydon, Un toponyme Lugdunum redécouvert... (lire en ligne)
    4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Garde », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    5. Jean Froissart, Chroniques de J. Froissart: t. 1. I.-II ptie. Introduction. 1307-1340 (Depuis l'avènement d'Édouard II jusqu'au siège de Tournay), Mme Ve. J. Renouard, (lire en ligne)
    6. Jean de Saint-Gelais, Histoire de Louis XII, (lire en ligne)
    7. « Les documents », sur ww3.ac-poitiers.fr (consulté le )
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%2520Montlieu-la-Garde&DOM=Tous&REL_SPECIFIC=3 », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
    10. Gaso.fr
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    18. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montlieu-la-Garde (17243) », (consulté le ).
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
    24. « Église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IA00042879, base Mérimée, ministère français de la Culture
    25. « Maquette du Saint-Laurent », notice no PM17000580, base Palissy, ministère français de la Culture
    26. Saint Ixile
    27. « 2 autels, 2 retables, 2 statues », notice no PM17000215, base Palissy, ministère français de la Culture
    28. « Autel, tabernacle, exposition (maître-autel, autel tombeau) », notice no PM17000214, base Palissy, ministère français de la Culture
    29. « Chapelle Saint-Gilles ou Saint-Vincent », notice no IA00042880, base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. « Chapelle Saint-Vivien », notice no IA00042887, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. [doc] Le docteur Charles Vigen, son pays et sa plume, biographie par Jean-Christophe Menanteau

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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