Saint-Aigulin
Saint-Aigulin est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Aigulin | |||||
![]() Rue principale en direction de La Roche-Chalais. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Jonzac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Saintonge | ||||
Maire Mandat |
Brigitte Quantin 2020-2026 |
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Code postal | 17360 | ||||
Code commune | 17309 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Aigulinois | ||||
Population municipale |
1 895 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 67 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
4 917 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 27″ nord, 0° 00′ 32″ ouest | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 116 m |
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Superficie | 28,36 km2 | ||||
Unité urbaine | La Roche-Chalais - Saint-Aigulin | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Trois Monts | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saint-aigulin.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Aigulinois et les Saint-Aigulinoises[1].
Saint-Aigulin a, en Charente-Maritime, la particularité géographique d'être la commune située la plus à l'est de ce département et elle possède également la particularité géodésique d'être longée par le fameux méridien de Greenwich qui passe avant le pont sur la Dronne avant d'accéder à La Roche-Chalais, dans le département limitrophe de la Dordogne.
Géographie
Situation géographique
Appartenant à la Haute Saintonge depuis ses plus lointaines origines, Saint-Aigulin est la commune la plus orientale du département de la Charente-Maritime située, en distances orthodromiques, à environ 145 kilomètres au sud-est de La Rochelle, la préfecture du département.
Elle est longée par le méridien de Greenwich au site du pont sur la Dronne, avant d'accéder dans la petite ville voisine de La Roche-Chalais, située dans le département de la Dordogne.
Enfin, Saint-Aigulin est l'une des deux communes de Charente-Maritime limitrophes du département de la Dordogne, que sépare pendant seize kilomètres environ la Dronne, rivière qui sert à la fois de limite naturelle et administrative.
Le bourg de Saint-Aigulin, qui forme avec la petite ville voisine de La Roche-Chalais une petite agglomération au bâti continu et au tissu urbain assez distendu, est traversé par la route départementale 730, axe routier majeur qui sillonne d'est en ouest la Double saintongeaise, région forestière dans laquelle Saint-Aigulin est également située.
Saint-Aigulin est traversée par la ligne ferroviaire Paris-Bordeaux, ligne électrifiée à très fort trafic qui fut la toute première à être construite dans le département qui se nommait alors Charente-Inférieure, bien avant la Nantes-Saintes qui dessert La Rochelle et Rochefort. Des TER Nouvelle-Aquitaine s'arrêtent en gare de Saint-Aigulin - La Roche-Chalais.
Communes limitrophes
Saint-Aigulin est limitrophe de huit autres communes, dont deux en Dordogne et une en Charente. Au nord-ouest, la commune du Fouilloux n'est limitrophe que par un simple quadripoint.
Milieux naturels et biodiversité
À Saint-Aigulin, la vallée de la Dronne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[2],[3].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[2] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[2].
Urbanisme
Typologie
Selon le zonage de l'Insee publié en 2010, Saint-Aigulin et la commune voisine de La Roche-Chalais en Dordogne formaient une unité urbaine, celle de La Roche-Chalais - Saint-Aigulin[4], peuplée de 4 910 habitants en 2017[5].
L'aire urbaine correspondante s'étendait sur les deux mêmes communes[6].
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Saint-Aigulin est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 1],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].
Occupation des sols
![](../I/17309-Saint-Aigulin-Sols.png.webp)
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,9 %), zones agricoles hétérogènes (33,5 %), terres arables (6,3 %), zones urbanisées (6 %), prairies (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), cultures permanentes (3,4 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
De l'oïl saint, suivi de l'anthroponyme Aquilinus[12]. Ceci correspond au patronage de la paroisse à saint Aigulin.
Histoire
Une origine médiévale
Au IVe siècle apr. J.-C., des moines défricheurs s'installèrent dans une boucle de la rivière pour fixer leur communauté. En même temps qu'elle leur procurait l'eau nécessaire à la vie, la Dronne, par son ondulation à cet endroit précis, leur assurait une partie du système de protection indispensable à cette époque, lorsqu'on espérait survivre durablement, éloigné des villes. Une palissade de bois complétait l'enceinte. Les campagnes regorgeaient d'animaux sauvages, pour quelques-uns dangereux, et nombreux étaient les écorcheurs, à parcourir les bois denses de Sylva Edobola (forêt de la Double), en quête de forfaits à accomplir. En pleine christianisation, les laborieux hommes de Dieu bâtirent une première chapelle de bois, qu'ils dédièrent à Sanctus Aquilinus, évêque d'Évreux, martyrisé par les Romains. L'endroit garda cette appellation, qui se vulgarisa avec l'abandon du latin. Au fil du temps, des chaumières furent édifiées dans la boucle de la rivière, au point qu'elle en devint trop exiguë. Très vite l'urbanisation déborda des limites primitives dessinées par les moines, d'autant d'une voie romaine passant à peu de distance, intensifiait les passages d'étrangers. Cette route empierrée reliait la cité de Corterate (Coutras) à la Mesone (auberge avec écurie) de Brossac[13]. Elle continuait au-delà de ces deux points dans différentes directions. À mi-chemin de l'une et de l'autre, se trouvait Saint-Aigulin offrant au lieu-dit la Mozenne, un léger promontoire où fut construit un Serae (relais à chevaux).
Sous la Révolution, la commune portait le nom de Réunion de Drône ou Union de Drône.
Au XIXe siècle
Saint-Aigulin fut la toute première commune de la Charente-Maritime à être traversée par une voie ferrée, la ligne ferroviaire Paris-Bordeaux via Angoulême, et à être équipée d'une station ferroviaire, bien avant La Rochelle et Rochefort.
Administration
Liste des maires
![](../I/Staigulin_mairie.JPG.webp)
Démographie
Analyse de l'évolution démographique
La ville a atteint son maximum démographique en 1975 où elle atteignait le chiffre record de 2 359 habitants et faisait alors partie des communes de plus de 2 000 habitants en Charente-Maritime. Depuis cette date, sa population n'a cessé de diminuer de recensement en recensement au point que, depuis 1999, elle est passée sous le seuil des 2 000 habitants, la population n'étant plus que de 1 989 habitants.
Selon les données de l'Insee, Saint-Aigulin forme avec la ville voisine de La Roche-Chalais une unité urbaine qui, en 2014, rassemblait 4 850 habitants alors qu'elle franchissait largement le seuil des 5 000 habitants en 1975, cette petite agglomération atteignant alors le chiffre record de population de 5 356 habitants.
Tableaux démographiques
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].
En 2019, la commune comptait 1 895 habitants[Note 2], en diminution de 0,32 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,83 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,8 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 903 hommes pour 1 000 femmes, soit un taux de 52,55 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,15 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Équipements, services et vie locale
Sports et activités
![](../I/Staigulin_theatre.JPG.webp)
- Le théâtre Tony-Poncet est situé au milieu du parc.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Fort possède un tympan sculpté de Real del Sarte[20].
- La façade ouest.
- La façade sud.
- Le chœur.
- Mottes de la Mozenne (castrum et serae).
- Usine de pantoufles, sise 15 rue Gambetta, bâtie vers 1919 par M. Besson sous la raison sociale Société aigulinoise de chaussons. On y fabriquait des pantoufles dites charentaises, mais également des sandales. La cessation d'activité remonte aux alentours de 1975. Environ 400 personnes y travaillaient dans les années 1960. Les bâtiments attendent un classement au patrimoine industriel.
- Au 13 rue des Girondins, une usine de chamotte bâtie vers 1940 par M. Delaloy à proximité de la gare de Saint-Aigulin sur la ligne de chemin de fer Paris-Bordeaux. La cessation d'activité remonte à 1993, 25 personnes y travaillaient encore. Cette usine postule pour un classement au patrimoine industriel.
Personnalités liées à la commune
Personnalité du XVIe siècle
- Anne de Joyeuse, duc, chef de l'Armée royale. Avant la bataille de Coutras contre le futur Henri IV, le favori du roi Henri III, vint prier et écouter l'office, dans l'église de Saint-Aigulin. Bien qu'ayant couché dans le vétuste château féodal de La Roche-Chalais, le fief étant protestant et dépourvu d'église, le duc descendit donc se recueillir à Saint-Aigulin. Quelques heures plus tard, il trouva la mort entre les deux rivières à Coutras, parmi 2 000 autres catholiques, lors d'une bataille qui passe pour avoir mis un terme aux Guerres de religion.
Personnalités du XVIIIe siècle
- Talleyrand (de Chalais) = lignée des seigneurs à laquelle appartenait entre autres, la paroisse de Saint-Aigulin (Elle donna de nombreux hommes d'État de premier plan. Le ministre de Napoléon Ier en était issu. ) Le baron de La Roche-Chalais était un vassal des ducs de Talleyrand.
- de Magezir = lignée dépossédée par les Talleyrand, de la paroisse de Saint-Aigulin, à l'occasion du mariage d'Arnaud de Magezir avec Isabeau de Talleyrand. Mariage auquel le marié ne survécut que très peu de temps. Sa veuve hérita de ses biens qui furent gérés intégralement par le père de celle-ci, le redoutable Henry de Talleyrand.
Personnalités du XIXe siècle
- Les frères Reclus, (Elie, Elisée et Onésime), illustres géographes et hommes politiques passèrent, dans leur jeunesse, nombre de leurs vacances à la Roche-Chalais, chez leur grand-mère. La campagne aigulinoise, notamment les sites de la Mozenne et du gour de Bordes, fut le terrain de leurs premières investigations.
- Paul Broca, anthropologue, contemporain des frères Reclus, passa plusieurs séjours, durant son enfance, à La Roche-Chalais. À l'instar d'Élie Reclus, il escalada souvent la petite motte de la Mozenne (castrum) à la recherche de vestiges (tels que pièces de monnaie, boucles, lames...). Il a laissé plusieurs lettres adressées à ses parents, dans lesquelles il témoigne de son intérêt pour ce site qu'il attribuait à l'époque de Charlemagne.
Personnalités du XXe siècle
- Tony Poncet est un ténor français d'origine espagnole inhumé à Saint-Aigulin (surnommé le Bombardier basque par les Américains, il eut une conduite exemplaire lors de la Seconde Guerre mondiale)
- Bernard Roussillon (père de l'acteur Jean-Paul Roussillon) ancien directeur de scène de la Comédie Française, est enterré à Saint-Aigulin
- Berthe Noelle Bessette 1913-2008 née à Sussac en Haute-Vienne, monteuse de films (épouse du réalisateur français Dimitri Kirsanoff ) est inhumée à Saint-Aigulin.
- Marcel Merkès / Paulette Merval - Ce couple de chanteurs d'opérettes, très connu dans les années 1970 et 1980, vint souvent en voisins (ils possédaient une propriété à Aubeterre-sur-Dronne). Leur cousin Guibert demeurait à Saint-Aigulin, où il avait épousé Simone Pigeon.
- Henri Fauconnier, écrivain originaire de Barbezieux, ami d'enfance de Chardonne, prix Goncourt, vint à plusieurs reprises au milieu du XXe siècle, à Saint-Aigulin; son frère demeurant dans les environs, depuis leur retour de Malaisie.
Héraldique
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Blasonnement :
D’azur à la cotice ondée d’argent chargé d’un bâton ondé de sinople et accompagnée en chef d’une grappe de raisin pamprée d’or adextrée d’une étoile de quatre rais gironnée de gueules et d’or, et en pointe d’une pomme de pin renversée aussi d’or sommé d’un faisceau de quatre aiguilles du même [21]. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Les gentilés de Charente-Maritime
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Insee, Unité urbaine 2010 de la Roche-Chalais - Saint-Aigulin (00170), consulté le 21 novembre 2020.
- Dossier complet - Unité urbaine 2010 de La Roche-Chalais - Saint-Aigulin (00170) - tableau POP T1, Insee, consulté le 20 novembre 2020.
- Insee, Aire urbaine 2010 de la Roche-Chalais - Saint-Aigulin (622) , consulté le 21 novembre 2020.
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le )
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)
- Table de Peutinger
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Aigulin (17309) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
- Site de la commune, « L’église Saint-Fort » (consulté le )
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=16681
Voir aussi
Bibliographie
- Un village de l'ancienne Saintonge de G.E. Papillaud (1899).
- Récit de l'Abbé Thomas (curé de la paroisse de Saint-Aigulin durant l'occupation allemande).
- Lettres manuscrites de Paul Broca (14-09-1836 / 08-11-1836). Collection personnelle Thierry Pigeon-Guimberteau
- Le Petit David - Étude historique de M. David (1950).
- ouvrage collectif, Histoire de Saint-Aigulin en Double Saintongeaise, publié par ARHSA (Association de recherche historique de Saint-Aigulin), Charentes Imprimerie, Jonzac, 1987.