Médillac

Médillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Médillac

L'église Saint-Laurent au milieu du vignoble.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Joëlle Boizot
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16215
Démographie
Gentilé Médillacais
Population
municipale
155 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 58″ nord, 0° 01′ 36″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 108 m
Superficie 5,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Médillac
Géolocalisation sur la carte : France
Médillac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Médillac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Médillac

    Ses habitants sont les Médillacais et les Médillacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Située dans le canton de Chalais, Médillac est la commune la plus au sud du département de la Charente. Elle est limitrophe à la fois des départements de Charente-Maritime à l'ouest et de Dordogne au sud-est.

    Médillac est située à km au sud de Chalais, le chef-lieu de son canton, et à 48 km au sud d'Angoulême. Elle est aussi à km de La Roche-Chalais et de Saint-Aulaye, 12 km d'Aubeterre-sur-Dronne, 17 km de Montguyon, 65 km de Bordeaux[2].

    La route la plus importante est la D 674, route d'Angoulême à Libourne, qui passe à l'est de la commune. La D 78 traverse le sud de la commune du nord au sud. Cette petite route longe la rive droite de la Dronne depuis Aubeterre et va en direction de Saint-Aigulin (Charente-Maritime). Elle coupe la D 674 près de Pont de Corps. Le bourg est aussi desservi par la D 136, qui mène à Chalais. La D 462 va à Rioux-Martin au nord-ouest et la D 463 au sud-ouest vers La Genétouze[3].

    La voie ferrée Paris-Bordeaux traverse la commune, et Médillac possédait une gare, qui desservait aussi Parcoul, et qui était aussi l'embranchement de l'ancienne ligne vers Ribérac qui remontait la vallée de la Dronne.

    La gare actuelle la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La mairie est située à un kilomètre au sud du bourg, à Pont de Corps près de l'ancienne gare.

    La commune compte de nombreuses fermes et quelques autres hameaux : Devanne, la Gayaudrie, Guildon jouxtant le bourg, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Médillac est limitrophe de six autres communes, dont deux en Charente-Maritime et une en Dordogne.

    Géologie et relief

    La quasi-totalité de la commune est occupée par un terrain composé d'argile sableuse et de galets, dépôt datant du Tertiaire. Ces landes, sols peu fertiles, sont souvent boisées en pins maritimes, châtaigniers, chênes (rouvres, pédonculés, tauzins), et bruyère et constituent la Double saintongeaise, vis-à-vis occidental de la Double du Périgord et qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.

    Le Campanien, calcaire crayeux du Crétacé supérieur, affleure dans l'extrême nord de la commune, talus à l'est et au nord du bourg.

    Les vallées (Tude et Dronne) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire, parfois accumulées en terrasses pour les plus anciennes[4],[5],[6].

    La commune occupe le versant occidental de la vallée de la Tude et de la Dronne.

    Le point le plus bas de la commune, 22 m, situé à Champagne, est l'endroit où la Dronne quitte le département. C'est aussi le point le plus bas du Sud Charente, c'est-à-dire de celui du bassin versant de la Gironde en Charente, ainsi que le point le plus méridional du département.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 108 m, situé sur la bordure occidentale au Maine Machon. Le bourg, surplombant la vallée de la Tude, est à 75 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Médillac.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Dronne, la Tude, l'Argentonne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Elle est située sur la rive droite de la Tude, qui fait la limite de commune avec Bazac, puis après le confluent de cette dernière, sur la rive droite de la Dronne qui fait limite avec Parcoul (Dordogne)[3].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Bussière-Galant, et se jette dans l'Isle en Gironde à Sablons, après avoir traversé 51 communes[9].

    La Tude, d'une longueur totale de 43,3 km, prend sa source dans la commune de Boisné-La Tude et se jette dans la Dronne en Dordogne, à Parcoul-Chenaud, après avoir traversé 15 communes[10].

    L'Argentonne, d'une longueur totale de 10,93 km, prend sa source dans la commune de Bardenac et se jette dans la Tude sur la commune, après avoir traversé 5 communes[11].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Natura 2000

    Bordé à l'est par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[14],[15].

    Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[14].

    Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

    ZNIEFF

    À Médillac, les vallées de la Dronne et de son affluent la Tude font partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[16],[17].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[16] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Médillac est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,5 %), prairies (12,9 %), terres arables (8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Medilhaco au Moyen Âge[24].

    L'origine du nom de Médillac remonterait à un nom de personne gallo-romain Metelius ou Medillus auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Meteliacum, « domaine de Metelius »[25],[Note 2].

    Histoire

    Quelques vestiges romains ont été trouvés aux abords de l'église. Au nord-est du bourg, sur une roche escarpée, ont été trouvés des vestiges d'épaisses murailles. Il pourrait s'agir d'un poste d'observation de la voie passant en contrebas[26].

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une scierie et des carrières d'argile réfractaire. La gare de Parcoul-Médillac était aussi le point de départ de la ligne de Ribérac, en service entre 1906 et 1940, qui s'embranchait sur la ligne Paris-Bordeaux[27].

    Le nom de « Pont de Corps » viendrait du fait qu'après la bataille de Coutras, il fallait à Henri de Navarre traverser la Dronne, et pour faire un gué à cet endroit, il aurait fait tuer des prisonniers et entasser leurs corps dans la rivière pour faire passer son armée et ses chariots[réf. nécessaire].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Gilles Devaire    
    2008 En cours Joëlle Boizot SE Retraitée des hôpitaux

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2019, la commune comptait 155 habitants[Note 3], en diminution de 1,9 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    294261287272348304332328346
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    319325284277255252242247212
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    287283236249267254214252266
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    234209204177168158156156158
    2019 - - - - - - - -
    155--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 80 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 50,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,5 
    90 ou +
    6,5 
    8,6 
    75-89 ans
    13,0 
    21,0 
    60-74 ans
    26,0 
    24,7 
    45-59 ans
    20,8 
    11,1 
    30-44 ans
    15,6 
    12,3 
    15-29 ans
    6,5 
    19,8 
    0-14 ans
    11,7 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Les écoles et collège sont à Chalais.

    Lieux et monuments

    Le portail de l'église.
    • Gare de Médillac. Située au lieu-dit Pont de Corps, la gare de Médillac était connue pour être l'embranchement de la voie ferrée Bordeaux-Ribérac qui remontait la Dronne, voie aujourd'hui déposée, qui passait aussi par Saint-Aulaye et Tocane-Saint-Apre. Elle a été le théâtre d'un dramatique épisode le 4 juillet 1944 - un train de déportés y a stationné et fut mitraillé[36] par des avions alliés. Des déportés tentant de s’enfuir y furent fusillés par les militaires allemands[37].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le nom de la commune de Montpellier-de-Médillan (Charente-Maritime) a la même origine (ref: Dauzat).
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Médillac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Médillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Dronne »
    10. Sandre, « la Tude »
    11. Sandre, « l'Argentonne »
    12. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    14. [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 414
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 445.
    26. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 105
    27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 237
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Médillac (16215) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    35. « L'église de Médillac », notice no PA00104418, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Médillac en 1939-1945 » (consulté le )
    37. Fabrice Drouelle, « Juillet-Août 1944, le Train Fantôme », sur France Inter, (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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