Coignières

Coignières est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, à 29 km au sud-ouest de Paris.

Coignières

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA de Saint Quentin en Yvelines
Maire
Mandat
Didier Fischer
2020-2026
Code postal 78310
Code commune 78168
Démographie
Gentilé Coigniériens
Population
municipale
4 355 hab. (2019 )
Densité 531 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 53″ nord, 1° 55′ 16″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 178 m
Superficie 8,2 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Coignières
Géolocalisation sur la carte : France
Coignières
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Coignières
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Coignières
Liens
Site web http://www.coignieres.fr/

    Géographie

    Position de Coignières dans les Yvelines.

    Situation

    La commune de Coignières se trouve à environ 18 km au sud-ouest de Versailles. Elle est limitrophe de Maurepas au nord, du Mesnil-Saint-Denis et de Lévis-Saint-Nom à l'est, des Essarts-le-Roi au sud et de Saint-Rémy-l'Honoré à l'ouest.

    Le territoire se situe sur un plateau relativement plat sauf dans sa partie ouest où s'amorce la vallée de la Mauldre qui coule vers le nord et dont la source se trouve près du lieudit la Maison Blanche.

    La commune est relativement urbanisée, de nouveaux quartiers et zones d'activités contigus à Maurepas et au-delà à l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines ainsi qu'une zone industrielle (ZI du Marais) et une importante zone commerciale étirées le long de la route nationale et de la voie ferrée, étant venus s'ajouter au noyau du village ancien.

    La partie ouest du territoire est encore rurale et en partie boisée (bois des Hautes Bruyères).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    • La Mauldre en limite ouest de la commune.

    Transports et voies de communications

    Réseau routier

    La commune est desservie sur le plan routier par la route nationale 10 qui traverse la commune selon un axe nord-est - sud-ouest, et qui compte tenu de l'intensité de la circulation crée une véritable coupure.

    Desserte ferroviaire

    La commune dispose de la gare de Coignières, sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest, dont le tracé est parallèle à la RN 10, et qui est desservie par les trains de la ligne N du Transilien (branche Paris - Rambouillet).

    Bus

    La commune est desservie[Quand ?] par les lignes Express 12 et 89 de l'établissement Transdev de Rambouillet, par la ligne 411 du réseau de bus Sqybus et par la ligne 61 de l'établissement Transdev de Houdan[réf. nécessaire].

    Sentier de randonnée

    La commune est traversée d'est en ouest par le sentier de grande randonnée GR 11.

    Urbanisme

    Typologie

    Coignières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 8,3 % 67
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 31,4 % 253
    Équipements sportifs et de loisirs 4,8 % 39
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 25,7 % 207
    Forêts de feuillus 29,7 % 239
    Source : Corine Land Cover[9]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cotonariae[10], Cotonarias en 768[11], Coigneriae au XIIIe siècle[10], Cognères[10], Coignères-le-Chastel[10].

    Le premier élément Coign- reflète le nom du coing, terme issu du latin cotōneum, attesté en français pour la première fois sous la forme codoin au XIe siècle, puis cooing vers 1170[12]. Le coing est le fruit du cognassier. Le nom actuel de cet arbre est un néologisme du XVIe siècle dérivé de cognasse à l'aide du suffixe -ier (cf. fruitier, pommier, poirier).
    En revanche, l'ancien français avait quoingnier mentionné au XIIIe siècle[13].

    Le toponyme Coignières est issu du gallo-roman COTONARIAS, dont le suffixe -ARIAS a une valeur collective et locative, d'où le sens global de « verger(s) de cognassiers »[11].

    Histoire

    Le village existait déjà au VIIIe siècle puisque c'est en 768 qu'il est cité, sous le nom de Cotonarias, comme étant donné par le roi Pépin le Bref à l'abbaye de Saint-Denis.

    Au XIIIe siècle, le village était constitué de deux parties, Coignières-les-Vieils c'est-à-dire les maisons groupées autour de l'église et Coignières-les-Neuves, la première rangée de maisons, le long et au nord de la route nationale[14].

    La paroisse date du XIIIe siècle, époque de construction de l'église, la chapelle seigneuriale de l'église datant, quant à elle de 1553.

    Depuis le XIe siècle, Coignières a joué un rôle important comme étape sur la route reliant Paris à Chartres. On peut encore y voir un ancien relais de poste. Cette fonction a rapidement disparu avec l'arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle.

    Le a lieu l'inauguration de la gare de Coignières.

    En 1880, Coignières était encore une petite ville de paysans vivant grâce à la culture des champs de maïs.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[15], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la dixième circonscription des Yvelines.

    Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Chevreuse, année où elle intègre le canton de Maurepas[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant de 4 à 16 communes.

    Intercommunalité

    Coignières est l'une des communes de la ville nouvelle aménagée par l'établissement public d’aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY) et gérée le syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle (SCAAN) créé en 1972.

    Coignières, ainsi que Bois-d'Arcy, Maurepas et Plaisir quittent la ville nouvelle fin 1983 et la commune adhère en 2014 à la communauté de communes des Étangs (CCE), mais la quitte le .

    En effet, dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France, après avoir sans succès souhaité la constitution d'une grande intercommunalité de 800 000 habitants[17], approuve le 4 mars 2015 un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de la communauté de communes de l'Ouest Parisien et extension du périmètre du nouveau groupement aux communes de Maurepas et Coignières[18] ».

    Dans ce cadre est ainsi créé le une nouvelle communauté d'agglomération qui conserve la dénomination de Saint-Quentin-en-Yvelines, et comprend douze communes, dont Coignières[19].

    Politique locale

    Les maires de Coignières et Maurepas rendent publique en 2018 une réflexion en vue de la création d'un commune nouvelle qui les regrouperait le notamment afin d’affronter la « baisse continue des dotations de l’État ». Les deux communes limitrophes ont antérieurement mutualisé leurs archives et leurs polices municipales[20], et partagent depuis longtemps les mêmes déchetteries, station d’épuration ou réseau d’assainissement[21]. Cette initiative fait l'objet d'un refus d'habitants de Coignières[22] et d'une partie de la majorité siégeant au conseil municipal de Coignières.

    La municipalité de Coignières fait part de l'abandon de ce projet controversé en mai 2018[23]. Le conseil municipal refuse ensuite son soutien au maire[24], qui démissionne en septembre 2018[25].

    Des élections municipales sont donc organisées les et , qui voient le succès de la liste issue de l'opposition et menée par Didier Fischer (SE)[26],[27],[28]. Celui-ci est donc élu maire lors du conseil municipal du [29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1925   M. Corat    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1965 mars 1977 Henri Duriez    
    mars 1977 juin 1986 Robert Vian DVD
    (Centre droit)
    Démissionnaire
    juin 1986 avril 2015[31] Henri Pailleux RPR puis UMP Ingénieur retraité, spécialiste de la sûreté nucléaire
    Conseiller général de Maurepas (1994 → 2008)
    Vice-président du conseil général
    Maire honoraire
    Démissionnaire
    avril 2015[32] septembre 2018[25] Jean-Pierre Sevestre SE Cadre bancaire retraité
    Démissionnaire
    décembre 2018[29] En cours
    (au 27 mai 2020)
    Didier Fischer SE-DVG[33] Professeur agrégé d'histoire et géographie, docteur en histoire
    Ancien conseiller régional d'Île-de-France (2004 → 2015)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[34]

    Population et société

    Démographie

    La création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines est intervenue au milieu des années 1970 et des champs de maïs. Coignières en a fait partie jusqu'à la fin de 1983 et la population de la commune a considérablement augmenté pendant cette dizaine d'années. Le phénomène s'est nettement ralenti depuis.

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2019, la commune comptait 4 355 habitants[Note 3], en augmentation de 0,97 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    259344426403386382409492391
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384427407378373349399387388
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    386397368379438519544589743
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7749871 7993 7864 1574 2314 4024 4004 527
    2015 2019 - - - - - - -
    4 3504 355-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 299 hommes pour 2 035 femmes, soit un taux de 53,05 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    1,1 
    5,3 
    75-89 ans
    5,9 
    16,3 
    60-74 ans
    15,2 
    23,3 
    45-59 ans
    19,2 
    17,9 
    30-44 ans
    19,4 
    17,5 
    15-29 ans
    18,3 
    19,6 
    0-14 ans
    21,0 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,3 
    5,7 
    75-89 ans
    7,7 
    13,4 
    60-74 ans
    14,5 
    20,6 
    45-59 ans
    20,3 
    19,8 
    30-44 ans
    19,9 
    18,4 
    15-29 ans
    17 
    21,5 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement

    Historiquement, l'école primaire jouxtait la mairie, à côté de la place, composée du monument aux morts, de la mairie, de l'église, du cimetière, de l'école, d'un café épicerie et d'une ferme agricole (appartenant à M. Torcheux). En 1962, le directeur de l'école primaire s'appelait M. Hachet.

    De nos jours, la ville compte cinq établissements scolaires : les écoles primaire et maternelle Gabriel-Bouvet, les écoles primaire et maternelle Marcel-Pagnol ainsi que le collège de la Mare-aux-Saules[40].

    Santé

    La commune s'est dotée en 2014 d'une maison de santé, qui remplace un équipement privé vieillissant et ne respectant pas les règles d'accessibilité[41].

    Économie

    Les zones « Forum Gibet » et « Les Portes de Chevreuse », ainsi que le secteur Pariwest qui s'étend sur Coignières et Maurepas, constituent ensemble le deuxième pôle commercial de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, représentant plus de 500 M€ de chiffre d'affaires, 160 000 m2 de surfaces commerciales et plus du tiers des emplois de ces deux communes[42].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Germain-d'Auxerre.
    • Église Saint-Germain-d'Auxerre : église en pierre meulière de style roman datant du XIIIe siècle (clocher reconstruit au XIXe siècle et rénové en 2009). Elle possède un vitrail du XVe siècle classé monument historique. Voir aussi : Vitrail de la chaste Suzanne.
    • Le cimetière, qui jouxte l'église Saint-Germain-d'Auxerre, abrite sept tombes de soldats du Commonwealth.
    • Le relais de poste aux chevaux fut construit en 1706, là où se trouve aujourd'hui le no 99 de la route de Chartres à Paris. Ce relais ne devait être que temporaire, pendant le changement de locaux de celui de Trappes. Mais on avait eu le temps de constater qu'un relais s'imposait à Coignières, entre Trappes et Rambouillet.
    • Musée de la locomotion et de l'attelage de l'Île-de-France.
    • Étang du Val Favry.
    • Le poirier Saint-Martin planté il y a plus de 120 ans dans "l'Allée des Pommiers". D’une hauteur d’environ 17 mètres et d’une circonférence de 2,80 mètres, il est reconnu comme arbre remarquable en 2016.

    Personnalités liées à la commune

    Louis-Édouard Byasson (1870-1911) : officier de marine français, le premier officier à obtenir le brevet de pilote d'avion.

    Gabriel Bouvet : catcheur de la World Wide Wrestling Federation, son physique hors-norme (1,65 m - 54 kg) lui valut le surnom de Twentieth Wonder of the World (la vingtième merveille du monde). La plus grande école de la ville porte son nom[43].

    Héraldique

    Les armes de Coignières se blasonnent ainsi :
    tiercé en pairle, au premier d'azur à un cor enfermant une fleur de lis, tous deux d'or ; au deuxième de gueules à une gerbe à sept épis aussi d'or empoigné de sable ; au troisième du deux, à la champagne ondée d'azur bordée d'une jumelle d'argent et surmontée d'un coing feuillé de trois pièces aussi d'or ; au pairle diminué d'argent brochant sur la partition.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Christiane Vian, Coignières : L'église et ses vitraux, éditions de Liesse, , 74 p.
    • Monique Duriez, De Cotonarias à Coignières : 768-1945, Coignières, Ville de Coignières, , 220 p. (ISBN 2-9524643-0-8)
    • Jean Chaussade Redon, Retour au pays : Étude anthropo-géographique d'un village de la banlieue parisienne au milieu du XXe siècle, Paris/Budapest/Kinshasa etc., L'Harmattan, , 287 p. (ISBN 2-296-00853-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    10. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    11. MULON (Marianne) Noms de lieu d'Île-de-France (1997), p. 167.
    12. « Etymologie de cognassiers » (consulté le ).
    13. (source : Auguste Moutié)
    14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. CyrilMorteveille, « Intercommunalité : les élus yvelinois obtiennent gain de cause : L’amendement déposé par les élus yvelinois a été accepté par la commission régionale de coopération intercommunale (CRCI). Le projet d’une grande intercommunalité de 800 000 habitants a été abandonné= », Conseil départemental des Yvelines, (consulté le ).
    17. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le ).
    18. CyrilMorteveille, « La carte des nouvelles intercommunalités », Actualités, Conseil départemental des Yvelines, (consulté le ).
    19. Laurent Mansart, « Maurepas - Coignières : les polices municipales fusionnent : Ils seront en tout quatorze agents pour surveiller les deux villes, en attendant que ceux d’Élancourt les rejoignent avant l’été. », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « L’union fait la force. Partant de ce principe, les villes voisines de Maurepas (20 000 habitants) et de Coignières (4 500) viennent de décider la fusion de leur police municipale pour les transformer en une seule police « pluri-communale ».
    20. Laurent Mansart, « Maurepas et Coignières unissent leur destin : Les maires des deux villes lancent une étude dans le but de créer une nouvelle commune pour, disent-ils, faire face aux baisses des dotations de l’État », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    21. « Maurepas-Coignières : les anti-fusion se mobilisent et réclament un référendum », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Laurent Mansart, « Maurepas - Coignières : pas encore fiancés, déjà divorcés : Les élus de Coignières ont fait machine arrière sur le projet de fusion des deux communes, laissant des regrets à Maurepas », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    23. Laurent Mansart, « Coignières : le maire mis en difficulté par sa majorité : Jean-Pierre Sevestre (SE) a été la cible de ses opposants mais aussi de ses propres soutiens lors du conseil municipal de ce vendredi soir », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Lâché par une partie de sa majorité, il n’a cependant pas pu faire voter les délibérations concernant le compte de gestion et le compte administratif. Ces derniers seront envoyés au préfet avant d’être soumis à la chambre régionale des comptes. Par ailleurs, « un tiers du conseil au moins », dixit Brigitte Vallée, élue indépendante, va envoyer une « mise en demeure » au maire de convoquer un nouveau conseil dans le mois à venir, mais plus sûrement début septembre. 12 délibérations obligatoires seront inscrites au programme dont l’abandon du retrait des délégations d’Ali Bouselham ou encore, une demande de « blâme infligé au maire ».
    24. Laurent Mansart, « Coignières : le maire rend son écharpe : Privé de majorité au sein du conseil, Jean-Pierre Sevestre (SE) a finalement décidé de démissionner de son poste ce mardi », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Alexandre Marque, « Yvelines. A Coignières, trois candidats briguent le fauteuil de maire : A Coignières (Yvelines), trois candidats sans étiquette s'affrontent lors du 1er tour de l'élection municipale partielle programmée ce dimanche 25 novembre », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    26. L. Mt., « Coignières : deux prétendants pour le fauteuil de maire : Le second tour de l’élection partielle verra ce dimanche s’affronter Didier Fischer, arrivé en tête au 1er tour, et Ali Bouselham », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Sébastien Birden, « Coignières : Didier Fischer élu maire dans un fauteuil : Le candidat issu de l’opposition l’a largement emporté au second tour face à Ali Bouselham, ancien adjoint de la majorité sortante », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    28. M.Fi., « Coignières : Didier Fischer a revêtu son écharpe de maire : Le nouveau maire a quatorze mois devant lui avant les prochaines élections municipales », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Les maires de Coignières », sur http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=14934 (consulté le ).
    30. « Démission surprise du maire Henri Pailleux », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Elu depuis 1986, Henri Pailleux a motivé son départ par deux raisons. Tout d'abord, l'abandon du prolongement de l'autoroute A 12 dans le schéma directeur de la région d'Ile-de-France (Sdrif), l'an dernier. « Je suis scandalisé par cette décision. Ce prolongement était déjà prévu dans le Sdrif de 1965. Actuellement, 65 000 véhicules traversent Coignières tous les jours et jamais rien n'a été fait ! », s'emporte le maire. A peine a-t-il repris son souffle, qu'il passe au second dossier qui l'indigne : l'intercommunalité. « J'ai toujours été farouchement contre ces mariages forcés. L'intercommunalité est un projet qui dépouille les maires de toutes leurs compétences. Aujourd'hui, je n'ai presque plus de moyens d'action. » Car en 2014, Coignières a rejoint la communauté de communes des Etangs (CCE) avec Les Essarts-le-Roi, Maurepas, Les Bréviaires et Le Perray-en-Yvelines ».
    31. Laurent Mansart, « Jean-Pierre Sevestre (SE) mise sur la continuité à Coignières », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Élu par 21 voix contre 6 pour Didier Fischer (PS), le désormais ex-adjoint chargé des affaires économiques a donc pris la place tenue depuis 1986 par Henri Pailleux, lequel avait annoncé son souhait de démissionner lors de la cérémonie des vœux de janvier ».
    32. « Une liste comprenant notamment six élus d’opposition et « indépendante de tout parti politique. C’est pour cela que nous allons partir sans étiquette (SE) », explique Didier Fischer, lui-même de sensibilité de gauche. »
    33. Alexandre Marque, « Coignières : Didier Fischer repart pour six ans de mandat : En poste depuis décembre 2018, le maire de Coignières (Yvelines) Didier Fischer a été réélu lors d'un conseil municipal d'installation qui s'est tenu ce lundi 25 mai à huis clos », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Coignières (78168) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    39. « Annuaire : Résultats de recherche », sur Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse (consulté le ).
    40. « Un accord trouvé au nouveau centre médical », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    41. « Pariwest – Forum Gibet – Les Portes de Chevreuse (Maurepas et Coignières) SQY », sur SQY (consulté le ).
    42. « L'enseignement et les établissements scolaires de la ville de Coignières dans les Yvelines - Établissements scolaires », sur www.coignieres.fr (consulté le ).
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