Collection paléontologique de l'université de Tübingen
La collection paléontologique de l'université de Tübingen, également désignée sous l'acronyme GPIT, pour Geologisch-Paläontologisches Institut Tübingen[16],[17],[18],[19], est l'une des 70 collections scientifiques placées sous le patronage du MUT (musée de l'université de Tübingen)[20],[21],[22],[23]. Elle est en partie composée de collections privées[24],[23].
Nom local |
Paläontologische Sammlung der Universität Tübingen |
---|---|
Type | |
Dirigeant |
Ingmar Werneburg (conservateur)[4] |
Site web |
Collections | |
---|---|
Provenance | |
Époque | |
Nombre d'objets |
Pays | |
---|---|
Land | |
Arrondissement | |
Adresse | |
Coordonnées |
48° 31′ 34″ N, 9° 03′ 35″ E |
La collection, dont les origines remontent à la fin du XVe siècle, avec les premiers travaux de recherches réalisés sur des roches[16], est créée au cours du XVIIIe siècle[11]. Elle fait l'objet d'une première organisation systématique durant les années 1830[16]. Les pièces constituant la collection paléontologique, dont le nombre atteint près d'un million[10],[11],[12], sont conservées dans le bâtiment de l'institut de géologie et de paléontologie de Tübingen[13],[14],[25]. La collection paléontologique, qui s'étend du Trias jusqu'au Pléistocène[7],[6],[8],[9], est composée de fossiles de spécimens invertébrés — ammonites, planorbes — et de spécimens vertébrés — amphibiens, poissons, dinosaures, ichthyosaures, mammifères[26],[6],[27],[22]. Les spécimens paléontologiques de la collection universitaire ont fait l'objet de plus de 1 700 publications scientifiques[12],[11].
Historique
Les origines de collection de paléontologie prend ses racines en 1477, avec la fondation de l'université de Tübingen et les premières analyses de gisements géologiques[16].
La collection fait l'objet d'une première organisation systématique en 1837, par le géologue et paléontologue Friedrich August von Quenstedt[28],[29],[24].
La collection scientifique s'accroît avec les travaux de recherche sur des vertébrés du Trias, réalisés par Friedrich von Huene, puis par ceux d'Otto Heinrich Schindewolf sur des ammonites datées du Jurassique et du Crétacé[28]. Dans la première moitié du XXe siècle, le baron von Huene crée la collection de fossiles de sauriens[30].
En 1902, un squelette de Plésiosaure s'ajoute à la collection[31]. En 1903, le corpus de fossiles paléontologiques est complété par un squellette d'Hybodus, acquis pour un montant de 2 700 marks[31].
Les travaux paléoichnologiques d'Adolf Seilacher réalisés dans la seconde moitié du XXe siècle permettent à la collection de s'enrichir d'empreintes et de traces fossiles[13],[32],[33],[34].
Le corpus de fossiles paléontologiques a été également rassemblé grâce aux travaux et aux collectes réalisés par Erwin Auer[35], Wilhem von Branco[36],[37],[38],[39], Ferdinand Broili[40], Ludwig Bronn[41],[42],[43],[44],[45], Oskar Fraas [46],[47],[48],[37], Bernhard Hauff[31],[49], Oskar Heer[50], d'Edwin Hennig[51],[52],[53], Jaeger, Koken, Naef, Josef Felix Pompeckj, Otto Schindewolf[54], Rudolf Schlegelmilch, Seilacher, Westphal, Wiedmann et Zittel[28],[19].
En , la collection paléontologique, comme les autres collections créées par les différents départements de l'université de Tübingen, devient administrée par une organisation centralisatrice : le MUT[55],[23],[56].
En 2009, avec les travaux de recherche entrepris sur les gisements de l'époque du Néogène, la collection scientifique est augmentée d'environ 20 000 pièces de fossiles de mammaliens[7].
La collection paléontologique comprenait environ 600 000 pièces dans la première moitié des années 2010[57] et approximativement un million dans la seconde moitié des années 2010[28],[29]. La collection et son exposition permanente ont fait l'objet d'une réorganisation en 2010-2011[10],[58].
Localisation et plan de la collection
La collection scientifique est abritée au sein du bâtiment de l'institut de géologie et paléontologie de Tübingen[13],[14],[25]. Ce bâtiment est situé à l'angle des voies Sigwartstraße et Hölderlinstraße, dans la partie orientale du centre-bourg de la ville universitaire[14]. L'institut se trouve au nord-est de l'université Eberhard Karl[14],[15].
Les pièces paléontologiques, conservées et exposées au premier étage de l'institut universitaire, sont réparties dans 5 salles thématiques : la salle des thérapsides terrestres et leur écosystème[59] ; la salle des reptiles marins[60] ; la salle dédiée aux fossiles de platéosaures[61] ; une salle consacrée aux fossiles stratigraphiques[60] ; et une salle dédiée aux fossiles du Bade-Wurtemberg incluant des ossements de spécimens mis en évidence au sein de sites préhistoriques[62],[63].
Composition de la collection
Ammonites
Le corpus d'ammonites fossiles comprend un gisement géologique de 3,50 m haut retrouvé dans la formation lithostratigraphique dite Arietenkalk (de) à Bodelshausen, gisement contenant des spécimens d'Arietites (en), un genre se classant dans le sous-ordre des Ammonitina et datés d'environ 190 M d'années (Jurassique inférieur)[64],[8],[65],[66].
Un spécimen de Perisphinctes (en), mis au jour à Solnhofen, dans le niveau stratigraphique du Tithonien inférieur, compose également la série des ammonites[67].
Planorbes
Le corpus de fossiles de céphalopodes compte des exosquelettes de plusieurs espèces de Gyraulus — genre appartenant à la famille des Planorbidae[68] — : de Gyraulus elegans[69], de Gyraulus intermedius[70], de Gyraulus oxystoma[71], de Gyraulus planorbiformis[72], de Gyraulus salcotus[73] et de Gyraulus trochiformis[74]. Le musée possède également un arbre phylogénétique établissant les liens de parentés des Gyraulus (antérieurement désignés sous le nom binominal Planorbis multiformis)[75],[76]. Cet arbre de relations phylogénétiques a été construit par Franz Martin Hilgendorf (en) et résultant des travaux du paléontologues sur ce type de gastropodes durant la seconde moitié du XIXe siècle[75],[76],[77].
Foraminifères
La série muséographique de foraminifères comprend un spécimen de Quenstedtoceras (en) (ou Quenstedticeras)[78].
Trilobites
Le corpus de trilobites comporte un fossile de Cruziana (en) goldfussi, spécimen mis en évidence dans la formation géologique de quartzite et de schiste argileux dite Khabour Quartzite-Shale — située à environ 2 km à l'ouest du village de Kaista dans le Kurdistan irakien —[79] datée de l'Ordovicien inférieur[80], ainsi que des spécimens de Cruziana aegyptica — individu retrouvé dans l'oued de Qena (Haute-Égypte) —, Cruziana salomoninis, Cruziana semiplicata, et Cruziana arzonensis[81]. La série de trilobites comprend également un spécimen de Rusophycus dispar, individu découvert dans la formation de Mickwitzia (en), à Västergötland, en Suède et daté des étages 3 et 4 du Cambrien et un spécimen de Rusophycus arizonensis, mis en évidence dans l'unité stratigraphique dite de Tapeats Sandstone (en), dans le Grand Canyon, en Arizona, dans l'étage 3 du Cambrien[82].
Échinodermes
Le corpus de fossiles d'échinodermes une empreinte de Seirocrinus subangularis (de) — espèce du Jurassique inférieur appartenant à la classe des crinoïdes — mise au jour par Friedrich August von Quenstedt en 1868 dans la formation lithostratigraphique dite Argiles à Posidonies, à l'étage du Toarcien, au sein du village d'Ohmenhausen (ville de Reutigen)[83],[84],[85].
- Seirocrinus subangularis.
- Regulaecystis pleurocystoides.
- Aspidosoma sp.
- Calycanthocrinus decadactylus.
- Ophiura scutellata.
Fossiles de poissons
Cette série de fossiles est composée de dents d'Asteracanthus (en) ornatissimus, une espèce de requin appartenant à la famille des Acrodontidae, ordre des Hybodontiformes[86],[87] ; les restes d'un spécimen de Notidanus muensteri (espèce faisant partie du genre des Notidanoides, ordre des Hexanchiformes), mis en évidence à Nusplingen, mesurant 65 cm de long daté du Jurassique supérieur[88].
- Restes d'Asteracanthus ornatissimus.
- Dents d'Asteracanthus ornatissimus.
- Dents d'Asteracanthus ornatissimus.
Fossiles d'amphibiens
Le corpus des fossiles d'amphibiens comprend un spécimen de Dvinosaurus sp., un spécimen de Trimerorhachis sp., un spécimen de Eryops sp, un spécimen de Sclerocephalus sp., un spécimen de Cheliderpeton latirostre, un spécimen d' Archegosaurus decheni, un spécimen de Parotosuchus (en) nasutus, ainsi qu'un spécimen de Heptasaurus (en) cappelensis[89],[90]. Ces individus, qui sont des taxons de temnospondyles classés dans la famille des Mastodonsauridae, ont été mis en évidence en 1977, dans la formation dite de Lettenkeuper — étage du Ladinien, époque du Trias moyen[89],[91].
La série des fossiles amphibiens également inclut un occiput de Mastodonsaurus giganteus. L'ossement fossilisé de cet individu est découvert en 1824 dans la formation de Lettenkeuper[92]. Le spécimen est utilisé comme type original par le paléontologue Georg Friedrich Jaeger lorsqu'il décrit l'espèce en 1828[92].
- Fossile de Mastodonsaurus giganteus.
- Fossiles de Mastodonsaurus giganteus.
- Fossile de Dvinosaurus primus.
- Fossile d'Eryops megacephalus.
Ichthyosaures
Le corpus de fossiles d'ichthyosaures comprend le squelette d'un Stenopterygius quadriscissus, restes retrouvés en 1856 dans le village de Holzmaden, au sein de la formation d'argiles à Posidonies — groupe lithostratigraphique du Jura noir (de), étage du Toarcien — et datés d'environ 182 M années[93],[94],[95],[96],[97].
Deux autres spécimens de d'ichthyosaures, un Stenopterygius cf. uniter et un Stenopterygius uniter, également découverts dans la formation d'argiles à Posidonies, font aussi partie de cette série de fossiles[95],[98]. Les spécimens de Stenopterygius quadriscissus et de Stenopterygius uniter ont respectivement servi de lectotype et de néotype[95].
- Squelette d'un Stenopterygius quadriscissus.
- Squelette de Stenopterygius.
- Squelette de Stenopterygius.
Placodontes
La série des placodontes est notamment composée d'un squelette d'Henodus chelyops mesurant environ un mètre de long[99],[100]. Le spécimen, daté de l'étage du Carnien, époque du Trias supérieur, a été mis en évidence au sein de la formation lithostratigraphique dite de Gipskeuper (en), dans le village de Lustnau — à 3 km de l'institut de géologie et de paléontologie —, arrondissement de Tübingen[99],[100],[101],[102],[103]. Le fossile, identifié et classé par von Huene en 1936, est l'unique spécimen complet ayant été retrouvé dans la formation géologique de Gipskeuper[102],[103]. L'espèce est marquée d'une convergence morphologique avec des représentants appartenant au genre des Placochelyidae[102],[103].
Reptiles marins
Le corpus de fossiles de reptiles marins comporte un squelette de Steneosaurus bollensis, spécimen mis en évidence dans la formation lithostratigraphique de Holzmaden[104],[105],[106],[94].
La série des reptiles marins compte un spécimen de Platecarpus coryphaeus et un spécimen de Tylosaurus dyspelor[107]. Les deux squelettes, mis au jour dans l'état du Kansas en 1911, mesurent respectivement 5,60 et 7,68 m de long[107]. Le corpus de reptiles marins inclut un spécimen de Cryptoclidus eurymerus ; un spécimen de Peloneustes philarchus, une espèce qui se classe dans la super-famille des pliosaures et ayant vécu durant le Jurassique moyen et supérieur ainsi qu'au cours du Crétacé[18],[108] ; un spécimen de Metriorhynchus[109] ; ainsi que les restes d'un Simosaurus gaillardoti, une espèce appartenant au clade des Sauropterygia[110],[111]. Un squelette de Xinpusaurus kobi, spécimen retrouvé dans la province de Guizhou et daté du Trias supérieur, ainsi qu'un squelette d'Ophthalmosaurus icenicus, individu mesurant plus d'un mètre et mis au jour à Peterborough, font également partie de la collection[112],[113].
- Liopleurodon ferox.
- Tylosaurus dyspelor.
- Peloneustes philarchus.
- Cryptoclidus eurymerus.
Phytosaures
Le corpus des fossiles de Phytosaures comporte un spécimen de Paleorhinus angustifrons et un spécimen de Mystriosuchus westphali[114]. Les ossements de ces deux individus, datés de l'époque du Carnien, ont été mis au jour à Ebrach, en Bavière[114].
Rhynchosauriens
La série des rhynchosauriens se compose notamment d'un squelette complet et bien conservé d'un spécimen de Stenaulorhynchus stockleyi[115]. L'individu, daté de l'Anisien tardif, a été mis en évidence dans la formation de Manda (en), en Tanzanie[115].
Archosauriens
- Rauisuchiens
Le corpus de l'ordre des Rauisuchia comprend un spécimen de Batrachotomus kupferzellensis[116]. L'individu, retrouvé dans la formation de Lettenkeuper (de), à Erfurt[116]. L'espèce, décrite par Quenstedt en 1885, est alors désignée sous le nom binominal Cladyodon crenatus[116].
- Dinosaures
Le corpus de dinosauridae comprend un squelette de Plateosaurus engelhardti, restes d'un dinosaure retrouvé à Trossingen lors d'une campagne de fouilles conduite par Friedrich von Huene dans les années 1921-1923[117],[118],[119],[120].
La collection de dinosauridae inclut la boîte crânienne d'un Tyrannosaurus rex — fossile mesurant environ un mètre appartenant à un individu dont la longueur est estimé à environ 12 m — et qui a été retrouvé dans l'État du Montana[121],[122].
Les restes fossilisés d'un Kentrosaurus aethiopicus, mis en évidence dans la formation de Tendaguru, en Tanzanie, ainsi qu'une empreinte de pas d'un iguanodon font également partie de cette série[123],[124].
- Ptérosaures
Le corpus des fossiles appartenant à l'ordre des ptérosaures comprend le squelette d'un Pteranodon ingens, un spécimen mis en évidence dans la région naturelle de Smoky Hills (en), au sein des étages du Coniacien inférieur et du Campanien, dans la formation géologique dite de Niobrara, une formation datée de 87 à 82 M d'années[125].
La série compte un squelette d'un Cycnorhamphus suevicus, un individu retrouvé dans le niveau géologique du Tithonien à Solnhofen au XIXe siècle[126]. Ce spécimen, dont l'espèce a été décrite par Quenstedt en 1855, a servi d'holotype[126].
Les restes fossilisés d'un Dorygnathus — dont un métacarpe et des phalanges mesurant 0,46 m de long —, découverts dans la formation de Holzmaden, font également partie de la série des ptérosaures[127],[128],[129].
Fossiles de thérapsides
Les fossiles de thérapsides incluent le squelette d'un Stahleckeria (en), un spécimen de dicynodontes mesurant approximativement 3 m de long et exhumé par Huene et Rudolf Stahlecker (en) en 1928-1929, au sein d'une formation lithostratigraphique de Santa Maria, dans le Rio Grande do Sul[130],[131],[132].
Le corpus des thérapsides comprend le squelette de Lystrosaurus hedini[133] et celui d'un squelette d'un Dimétrodon[134].
Un spécimen de Belesodon magnificus (es) (espèce classée dans la famille des Chiniquodontidae) mesurant 26 cm de long et qui a servi d'holotype, ainsi qu'un spécimen de Scymnognathus parringtoni (genre des Aelurognathus, sous-ordre des gorgonopsiens) font également partie de la série des thérapsides[135],[136].
À ces pièces paléontologiques s'ajoutent des fossiles d'un Chiniquodon theotonicus (thérapside non-mammalien) ossements recueillis au Brésil[137],[138]. Le spécimen du GPIT a été utilisé par von Huene comme holotype afin décrire l'espèce[137],[138].
- Crâne d'un Chiniquodon theotonicus.
- Squelette d'un Chiniquodon theotonicus.
- Squelette d'un Lystrosaurus hedini.
- Squelette d'un Scymnognathus parringtoni.
- Squelette d'un Stahleckeria potens.
- Crâne d'un Stahleckeria potens.
Fossiles de mammifères
Le corpus de fossiles de mammifères se compose d'os crâniens provenant d'un spécimen de Mammouth laineux[139]. Deux squelettes d'ours des cavernes, individus mis en évidence en 1950 au sein de la Barenhöhle (de), une grotte situé près d'Erpfnigen (commune de Sonnenbühl), dans des couches sédimentaires datées du Pléistocène, sont également présents dans le corpus des fossiles de mammifères[140],[141].
Autres spécimens
La collection scientifique comprend un exemplaire d'Eozoon canadense conservé au sein d'une roche métamorphique (mesurant 50 mm de long sur 40 de large), un pseudo-fossile d'abord considéré comme un foraminifère lors de sa découverte, à la fin des années 1850, puis identifié comme étant une structure minéralogique formée de serpentine alternée à du calcaire[142],[143],[144],[145],[146].
Un spécimen de coprolithe de vertébré est à l'institut de géologie et de paléontologie de Tübingen[147]. L'excrément fossilisé, à haute teneur en phosphore, a été retrouvé dans des sédiments de la formation lithostratigraphique de Nusplingen[147].
La collection scientifique est aussi constituée de traces fossiles, notamment un exemplaire de Chirotherium (en), un type d'empreinte de pas d'un reptilien, datée du Trias inférieur et formée de cinq doigts[148].
Enfin, plusieurs individus fossiles d'Arthrophycus alleghaniensis et d'Arthrophycus lateralis sont également inclus dans la collection[149]. Ces spécimens représentent des espèces eucaryotes classées dans la famille des Sargassaceae et datées de l'Ordovicien et du Silurien[149]. Les spécimens d'Arthrophycus lateralis conservés par le GPIT ont été utilisés comme holotype afin de décrire l'espèce auxquels ils appartiennent[149],[150].
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Musée de l'université de Tübingen » (voir la liste des auteurs).
Notes
Références
- (de) Markus Moser, chap. 7.1.2.1 « Taxonomie von Plateosaurus : Die Fundstelle Trossingen », dans Plateosaurus engelhardti MEYER, 1837 (Dinosauria: Sauropodomorpha) aus dem Feuerletten (Mittelkeuper; Obertrias) von Bayern., vol. 24, Munich, coll. « Zitteliana », (lire en ligne [PDF]), p. 146 à 148.
- (en) Philip J. Currie et Kevin Padian, « Trossingen », dans Encyclopedia of Dinosaurs, Elsevier, , 869 p. (lire en ligne).
- (de) « Plateosaurus engelhardti », sur le site du Musée de l'université de Tübingen (consulté le ).
- (de) Johanna Soika, « Eine der ältesten Universitätssammlungen der Welt », Tagblatt Anzeiger, (lire en ligne, consulté le ).
- Werneburg et Betz 2018, p. 6.
- Engelhardt 1977.
- Werneburg et Böhme 2018, p. 507.
- Werneburg et Böhme 2018, p. 510.
- Werneburg et Böhme 2018, p. 511.
- Myriam Hönig, « Wiedereröffnung der Paläontologischen Sammlung der Universität Tübingen - Neugestaltung der weltweit bedeutenden Sammlung », Newsletter der Eberhard Karls Universität Tübingen, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Werneburg 2016, p. 95.
- Werneburg et Böhme 2018, p. 505.
- (en) « Palaeontological Collection », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Lagepläne - Karte B », sur le site de l'université de Tübingen (consulté le ).
- « Institut für Geowissenschaften », sur la base de données géographiques OpenStreetMap (consulté le ).
- Werneburg et Betz 2018, p. 4.
- (en) « Loan », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (en) Theagarten Lingham-Soliar, chap. 9.2 « A Serpent through a Turtle », dans The Vertebrate Integument, vol. 1 : Origin and Evolution, Springer Science & Business Media, , 268 p. (lire en ligne).
- (de) « Sammlung - Willkommen bei der Paläontologischen Sammlung der Universität Tübingen », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Paläontologische Sammlung », sur la base de données de l'Universitätssammlungen in Deutschland, (consulté le ).
- (de) « Paläontologische Sammlung - Evolution », sur la base de données Wissenschaftliche Sammlungen in Deutschland (consulté le ).
- Werneburg 2016.
- (de) Ernst Seidl (dir.), Sammlungen der Universität Tübingen MUT, (lire en ligne [PDF]).
- (de) Wolf von Engelhardt et Helmut Hölder, Mineralogie, Geologie und Paläontologie an der Universität Tübingen von den Anfängen bis zur Gegenwart, vol. 20, Franz Steiner Verlag, , 292 p. (lire en ligne).
- Werneburg et Betz 2018, p. 3.
- Werneburg et Betz 2018.
- Werneburg et Böhme 2018.
- (en) Ingmar Werneburg et Madelaine Böhme, chap. 52 « Tübingen: The Palaeontologial Collection of Tübingen », dans Paleontological Collections of Germany, Austria and Switzerland, Springer, , 505-512 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) I. Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne).
- (de) Rudolf Vierhaus, « Hoyningen-Huene », dans Deutsche Biographische Enzyklopädie, vol. 5 : Hitz - Kozub, Munich, De Gruyter, (lire en ligne).
- Engelhardt 1977, p. 134.
- (de) « Tübinger Paläontologe hinterlässt tatsächlich viele Spuren - Adolf Seilacher starb am Samstag im Alter von 89 Jahren », Schwabisches Tagblatt, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Derek E. G. Briggs, « Adolf Seilacher (1925–2014) : Palaeontologist who pioneered analysis of trace fossils. », Nature, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) David Sepkoski et Michael Ruse, The Paleobiological Revolution : Essays on the Growth of Modern Paleontology, University of Chicago Press, , 584 p. (lire en ligne).
- Engelhardt 1977, p. 243.
- Engelhardt 1977, p. 37.
- Engelhardt 1977, p. 38.
- Engelhardt 1977, p. 201.
- Engelhardt 1977, p. 129.
- (en) Vincent L. Morgan et Spencer G. Lucas, « Walter Granger, 1872-1941, Paleontologist », Bulletins du Musée d'histoire naturelle et des sciences du Nouveau-Mexique, no 19, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) H. F. Eisenbach, Beschreibung und Geschichte der Universität und Stadt Tübingen, (lire en ligne).
- Engelhardt 1977, p. 274-275.
- Engelhardt 1977, p. 271.
- Engelhardt 1977, p. 179.
- Engelhardt 1977, p. 278.
- Engelhardt 1977, p. 114.
- Engelhardt 1977, p. 192.
- Engelhardt 1977, p. 117.
- Engelhardt 1977, p. 111.
- (de) Helmut Hölder, Paläontologische Meditationen, LIT Verlag Münster, , 178 p. (lire en ligne).
- Engelhardt 1977, p. 89.
- Engelhardt 1977, p. 227.
- Engelhardt 1977, p. 142.
- Engelhardt 1977, p. 155.
- (de) Philipp Aumann et Ernst Seidl, « MUT zum 'KörperWissen'. Aufgaben und Strategien des Museums der Universität Tübingen », dans C. Weber et K. Mauersberger (dirs.), Universitätsmuseen und Sammlungen im Hochschulalltag, Berlin 2010, 119–126 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Museum der Universität Tübingen MUT », sur le site de la ville de Tübingen (consulté le ).
- (de) Ulrike Pfeil, « Kustos der Paläontologischen Sammlung bekommt seine Stelle nicht verlängert », Schwäbisches Tagblatt (en), (lire en ligne, consulté le ).
- Werneburg et Böhme 2018, p. 506-507.
- (de) « Therapsiden Saal », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Stratigraphischer Saal », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Plateosaurier Saal », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Württemberg Saal », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Sammlungsrundgang », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (en) Thomas Wright, « Arietes bisulcatus », dans A Monograph on the Lias Ammonites of the British Islands, vol. 1, Cambridge University Press, , 3e éd. (1re éd. 1878), 454 p. (lire en ligne).
- (de) Tobias Moller et Kerstin Braun, « Arietenkalk und Arierensandstein » [PDF], sur Natursteinpark Tübingen (consulté le ).
- Schlegelmilch 2014, p. 93.
- (de) « Rollmarken von Perisphinctes », sur le site du MUT (consulté le ).
- (en) Claus Meier-Brook, « A preliminary biogeography of pulmonates gastropods », dans Alan Solem et Adolf Cornelis van Bruggen, World-Wide Snails : Biogeographical Studies on Non-Marine Mollusca, Brill Archive, (lire en ligne).
- (de) « Gyraulus elegans », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Gyraulus intermedius », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Gyraulus oxystoma », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Gyraulus planorbiformis », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Gyraulus salcotus », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Gyraulus trochiformis », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Stammbaum der fossilen Schnecke "Gyraulus Multiformis" nach Franz Martin Hilgendorf », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (en) Matthias Gaubrecht, « Franz Hilgendorf's dissertation ”︁Beiträge zur Kenntnis des Süßwasserkalks von Steinheim ” from 1863: Transcription and description of the first Darwinian interpretation of transmutation », Zoosystematics and evolution, vol. 88, no 2, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) Paul Wrede et Saskia Wrede, chap. 10 « Unvollständikgeit der geologischen Urkunden », dans Charles Darwin: Die Entstehung der Arten, John Wiley & Sons, (lire en ligne).
- (de) K. Heinersdorff, Würterbuch vor Derfsteisenrungs sfammler, (lire en ligne [PDF]).
- (en) Dler H. Baban et Fadhil A. Lawa, « Palynological and Stratigraphical Evidences on the Age of the Outcropped Khabour Formation near Chalki Nasara Village, Kurdistan Region, Northern Iraq », (consulté le )
- (en) Robert B.MacNaughton, « The Application of Trace Fossils to Biostratigraphy », Trace Fossils - Concepts, Problems, Prospects, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) R. Said (dir.), The Geology of Egypt, Routledge, , 734 p. (lire en ligne).
- (en) Gabriela Mángano et Luis A. Buatois, « The Cambrian Explosion », dans The Trace-Fossil Record of Major Evolutionary Events, vol. 39 : Topics in Geobiology, Springer Science+Business Media Dordrecht, 2016 m.g. mángano, l.a. buatois (dirs.) (DOI 10.1007/978-94-017-9600-2_3, lire en ligne), chap. 3.
- (de) « Das schwäbische Medusenhaupt », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (en) Hans Hess, William I. Ausich, Carlton E. Brett et al., « Lower Jurassic Posinodia Shale of the Southern Germany », dans Fossil Crinoids, Cambridge University Press, (lire en ligne).
- (en) Adolf Seilacher, Gunther Drozdzewski et Reimund Haude, « Form and function of the stem in a pseudoplanktonic crinoid (Seirocrinus) », Palaeontology, vol. 11, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Mario Schädel, « Taxonomische Einordnung triassischer Acrodus-Funde », Der Steinkern, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Louis Agassiz, Recherches sur les poissons fossiles, t. III, 1833-1843 (lire en ligne).
- Henri Cappetta, « Hexanchiforme nouveau (Neoselachii) du Crétacé inférieur du Sud de la France », Paleovertebrata, , p. 46 et 47 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de + en) Rainer R. Schoch, chap. 1.4. « Material examined », dans Comparative osteology of Mastodonsaurus giganteus (Jaeger, 1828) from the Middle Triassic (Lettenkeuper: Longobardian) of Germany (Baden-Württemberg, Bayern, Thüringen), Staatliches Museum für Naturkunde, coll. « Stuttgarter Beiträge zur Naturkunde », (lire en ligne [PDF]).
- (en) Rainer R. Schoch et Andrew R. Milner, « The intrarelationships and evolutionary history of the temnospondyl family Branchiosauridae », Journal of Systematic Palaeontology, Natural History Museum, , p. 3 (DOI 10.1017/S1477201908002460, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de + en) Rainer R. Schoch, chap. 1.3. « Lithology and fauna of the Kupferzell Fossil-Lagerstätte », dans Comparative osteology of Mastodonsaurus giganteus (Jaeger, 1828) from the Middle Triassic (Lettenkeuper: Longobardian) of Germany (Baden-Württemberg, Bayern, Thüringen), Staatliches Museum für Naturkunde, coll. « Stuttgarter Beiträge zur Naturkunde », (lire en ligne [PDF]).
- (de + en) Rainer R. Schoch, chap. 2. « Taxonomy of Mastodonsaurus giganteus (JAEGER, 1828) », dans Comparative osteology of Mastodonsaurus giganteus (Jaeger, 1828) from the Middle Triassic (Lettenkeuper: Longobardian) of Germany (Baden-Württemberg, Bayern, Thüringen), Staatliches Museum für Naturkunde, coll. « Stuttgarter Beiträge zur Naturkunde », (lire en ligne [PDF]).
- (de) « Fischsaurier, Stenopteryglus quadriscissus. », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de) « Paläontologische Sammlung », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- (de + en) Michael W. Maisch, « Revision der Gattung Stenopterygius Jaekel, 1904 emend. von Huene, 1922 (Reptilia: Ichthyosauria) aus dem unteren Jura Westeuropas - Revision of the genus Stenopterygius Jaekel, 1904 emend. von Huene, 1922 (Reptilia: Ichthyosauria) from the Lower Jurassic of Western Europe », Palaeodiversity, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) « New metrics to differentiate species of Stenopterygius (Reptilia: Ichthyosauria) from the Lower Jurassic of southwestern Germany », Journal of Paleontology, vol. 86, no 1, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Axel Hungerbuhler, « Recently identified type material of the Lower Jurassic ichthyosaurStenopterygius in the geological—Paleontological institute, tubingen », Paläontologische Zeitschrift, vol. 68, nos 1-2, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Fischsaurier », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) Naturgeschichte des Lebens : Eine paläontologische Spurensuche (lire en ligne).
- (de) « Henodus chelyops », sur le site du MUT (consulté le ).
- Engelhardt et Hölder 1977, p. 146.
- (en) S. Renesto et F. M. Dalla Vecchia, chap. 8 « Late Triassic Marine Reptiles », dans Lawrence H. Tanner, The Late Triassic World : Earth in a Time of Transition, Springer, , 805 p. (lire en ligne).
- Maisch 2014, p. 273.
- (de) « Steneosaurus bollensis », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- Maisch 2014, p. 280.
- Maisch 2014, p. 284.
- Huene 1919, p. 7-8.
- (en) Hilary F. Ketchum et Roger B. J. Benson, « The cranial anatomy and taxonomy of Peloneustes philarchus (Sauropterygia, Pliosauridae) from the Peterborough Member (Callovian, Middle Jurassic) of the United Kingdom », Paleontology, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Richard Forrest, « Evidence for scavenging by the marine crocodile Metriorhynchus on the carcass of a plesiosaur », Proceedings of the Geologists' Association, vol. 114, no 4, , p. 363 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Miguel Chaves, C. de, Ortega, F. et Pérez-García, A, « Cranial variability of the European Middle Triassic sauropterygian Simosaurus gaillardoti », Acta Palaeontologica Polonica, vol. 63, no 2, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) « Geological-Palaeontological Institute Tübingen, Tübingen, Germany », sur le site MorphoMuseum, Institut des Sciences de l'Évolution de Montpellier (consulté le ).
- Maisch 2014, p. 275.
- Maisch 2014, p. 285.
- (en) Michelle Stocker, Richard Butler et Oliver Rauhut, « Redescription of the phytosaurs Paleorhinus (‘ Francosuchus ’) angustifrons and Ebrachosuchus neukami from Germany, with implications for Late Triassic biochronology », Zoological Journal of the Linnean Society, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Martin Ezcurra, Felipe Montefeltro et Richard J Butler, « The Early Evolution of Rhynchosaurs », Frontiers in Ecology and Evolution, , p. 8, 9 et 10 (lire en ligne, consulté le ).
- (en + de) HANS HAGDORN et RAOUL J. MUTTER, « The vertebrate fauna of the Lower Keuper Albertibank (Erfurt Formation, Middle Triassic) in the vicinity of Schwäbisch Hall (Baden-Württemberg, Germany) », Palaeodiversity, Stuttgart, no 4, , p. 237 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Stefan Reiss et Heinrich Mallison, « Motion range of the manus of Plateosaurus engelhardti von Meyer, 1837 », Palaeontologia Electronica (en), (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Rebecca Hofmann et P. Martin Sander, « The first juvenile specimens of Plateosaurus engelhardti from Frick, Switzerland : isolated neural arches and their implications for developmental plasticity in a basal sauropodomorph », PeerJ, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Mark Norell, Eugene S. Gaffney et Lowell Dingus, « Plateosaurus engelhardti », dans Discovering Dinosaurs : Evolution, Extinction, and the Lessons of Prehistory, University of California Press, , 219 p. (lire en ligne).
- (de) « Plateosaurus engelhardti », sur le site officiel du MUT (consulté le ).
- Maisch 2014, p. 293.
- (de) Roland Knauer, « Neues von den Dinos - Tübinger Forscher fühlen T. rex auf den Zahn », Stuttgarter Nachrichten, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Maisch 2014, p. 287.
- (de) « Dinosaurierfährte », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de) « Pteranodon ingens », sur le site du MUT (consulté le ).
- (en) Christopher Benett, « On the taxonomic status of Cycnorhamphus and Gallodactylus (Pterosauria: Pterodactyloidea). », Journal of Paleontology, vol. 70, no 2, , p. 335-338 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Gustav Arthaber, Studien über Flugsaurier auf Grund der Bearbeitung des Wiener, Gustav Fischer. Verlag, (lire en ligne [PDF]), p. 438-439.
- Maisch 2014, p. 279.
- (en) Elizabeth Martin-Silverstone, Mark P. Witton, Victoria M. Arbour et al., « A small azhdarchoid pterosaur from the latest Cretaceous, the age of flying giants », Royal Society Open Science, vol. 8, no 3, (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Stahleckeria », sur le site du MUT (consulté le ).
- (en) Edwin H. Colbert, « A Saurichian Dinosaur in the Trias Brazil », American Museum Novaties, Musée américain d'histoire naturelle, no 2405, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (pt) Mario Costa Barberana, Michael Holltz et al., « Tétrapòdes Triássicos do Rio Grande do Sul », publications du SIGEP (Serviço Geológico do Brasil), no 22, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Maisch 2014, p. 269-270.
- Huene 1919, p. 182-183.
- (en) Agustín G. Martinelli, Christian F. Kammerer et Tomaz P. Melo, « The African cynodont Aleodon (Cynodontia, Probainognathia) in the Triassic of southern Brazil and its biostratigraphic significance », PLOS One, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Frank Zachos (dir.) et Robert Asher (dir.), chap. 5.3.3.4 « Gorgonopsia », dans Mammalian Evolution, Diversity and Systematics (lire en ligne).
- (en) Fernando Abdala et Norberto P. Giannini, « Chiniquodontid cynodonts: systematic and morphometric considerations », Palaeontology, vol. 45, no 6, , p. 1151-1170 (DOI 10.1111/1475-4983.00280, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) T. S. Kemp, « The Endocranial Cavity of a Nonmammalian Eucynodont, Chiniquodon theotenicus, and Its Implications for the Origin of the Mammalian Brain », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 29, no 4, , p. 1188-1198 (lire en ligne, consulté le ).
- (de) « Mammutschädel », sur le site du MUT (consulté le ).
- (de + en) Thomas Rathgeber et Wolfgang Ufrecht, « Bären- und Karlshöhle bei Sonnenbühl-Erpfingen / The Bärenhöhle (Bear Cave) and Karlshöhle (Charles' Cave) near Sonnenbühl-Erpfingen », dans Rosendahl, W., Morgan, M. & López Correa, M. (dirs), Cave-Bear-Researches/Höhlen-Bären-Forschungen.- Abhandlung zur Karst- und Höhlenkunde, vol. 34, München, , 86-90 p. (lire en ligne [PDF]).
- Werneburg et Böhme 2018, p. 510-511.
- Engelhardt et Hölder 1977, p. 116.
- (de) Otto Hahn, « Gibt es ein Eozoon canadense? Eine mikrogeologische Untersuchung », Jahreshefte des Vereins für vaterländische Naturkunde in Württemberg, vol. 32, , p. 155–177 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (de) Otto Hahn, « Gibt es ein Eozoon canadense? Erwiderung auf Dr. C. W. Gümbels u. Dr. Carpenters Entgegnung. », Jahreshefte des Vereins für vaterländische Naturkunde in Württemberg, vol. 34, , p. 155–177 (lire en ligne, consulté le ).
- Yves Gingras, « L’Eozoön canadense, un vrai-faux fossile ? », La Recherche, no 444, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- (en) Charles F. O'Brien, « Eozoön Canadense "The Dawn Animal of Canada" », Isis, vol. 61, no 2, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) G. Schweigert et G. Dietl, « Vertebrate coprolites from the Nusplingen Lithografic limestones », Vertebrate Coprolites, New Mexico Museum of Natural History and Science, no 57, (lire en ligne, consulté le ).
- Seilacher 1997, p. 5-7.
- (en) Adolf Seilacher, chap. 11 « Ordovician and Silurian Arthrophycus Ichnostratigraphy », dans D. Worsley, Geological Exploration in Murzuq Basin, Elsevier, (lire en ligne).
- Seilacher 1997, p. 41.
Pour approfondir
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (en) Adolf Seilacher, Trace Fossil Analysis, Springer Science & Business Media, , 226 p. (lire en ligne).
- (de) Friedrich August von Quenstedt, Petrefactenkunde Deutschlands., Leipzig, L. F. Fues, 1846-1884 (lire en ligne).
- (de) Friedrich August von Quenstedt, Die Ammoniten des Schwäbischen Jura., Stuttgart, Schweizerbart Verlag, 1883–1888 (lire en ligne [PDF]).
- (de) Friedrich August von Quenstedt, Handbuch der Petrefaktenkunde, Tübingen, Laupp Verlag, (lire en ligne).
- (en) Michael W. Maisch, chap. 9 « Die Entfaltung der Saurier (Tetrapoda, Sauropsida) im Mesozoikum. », dans W. Maier et I. Werneburg (dirs.), Schlüsselereignisse der organismischen Makroevolution, Scidinge Hall Verlag Zürich, (ISBN 978-3-905923-15-5, lire en ligne).
- (de) Friedrich von Huene, « Bilder aus der paläontologischen Universitätssammlung in Tübingen. », dans Jahreshefte des Vereins für vaterländische Naturkunde in Württemberg, vol. 75 : 183-4, (lire en ligne [PDF]).
- (de) Friedrich von Huene, « Saurischia et Ornitischia Tradicia (Dinosaurischia Tradicia) », dans Fossilium Catalogus I. Animalia – Fossilium Catalogus I., coll. « Animalia », , 1-21 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) Ingmar Werneburg et Olivier Betz, « Einführung », dans Das 60. Phylogenetische Symposium in Tübingen: Funktionsmorphologie und Bionik, Tübingen, Scidinge Hall Verlag, (ISBN 978-3-947020-07-2, lire en ligne [PDF]).
- (de) Ernst Seidl (dir.), Sammlungen der Universität Tübingen MUT, (lire en ligne [PDF]).
- (de) Wolf von Engelhardt et Helmut Hölder, Mineralogie, Geologie und Paläontologie an der Universität Tübingen von den Anfängen bis zur Gegenwart, vol. 20, Franz Steiner Verlag, , 292 p. (lire en ligne).
- (de) Ingmar Werneburg, « Die Paläontologische Sammlung. », dans Seidl E. (dir.), Museen + Sammlungen der Universität Tübingen. Schriften des Museums der Universität Tübingen MUT, vol. 14, , 92-97 p. (lire en ligne [PDF]).
- (en) Ingmar Werneburg et Madelaine Böhme, chap. 52 « Tübingen: The Palaeontologial Collection of Tübingen », dans Paleontological Collections of Germany, Austria and Switzerland, Springer, , 505-512 p. (lire en ligne [PDF]).
- (de) Rudolf Schlegelmilch, Die Ammoniten des süddeutschen Doggers: Ein Bestimmungsbuch für Fossiliensammler und Geologen, Springer-Verlag, , 284 p. (lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- (de) Site officiel
- (en) « Palaeontological Collection », sur le site de l'Université Eberhard Karl de Tübingen (consulté le ).
- (de) « Paläontologische Sammlung », sur la base de données de l'Universitätssammlungen in Deutschland, (consulté le ).
- (de) « Paläontologische Sammlung - Evolution », sur la base de données Wissenschaftliche Sammlungen in Deutschland (consulté le ).
- Portail du Bade-Wurtemberg
- Portail des musées
- Portail de la paléontologie